Cet écrivain Algérien révèle un SECRET D’ÉTAT qui fait Trembler MACRON ! révélation CHOC

Le 3 décembre 2025 restera une date marquante dans le paysage médiatique français. Invité sur GPTV, l’écrivain et lanceur d’alerte Moradel Hattab a non seulement relancé des accusations explosives visant directement Brigitte Macron, mais il a surtout dressé un réquisitoire accablant contre un système étatique qu’il qualifie de criminel et de mafieux, capable de détourner l’argent public tout en sacrifiant la protection des enfants. Face à une opinion publique déjà ébranlée par la succession des scandales, le témoignage de Moradel Hattab résonne comme un signal d’alarme fracassant, un test ultime pour la transparence des institutions.
La Révélation Choc : Brigitte Macron, l’Accusation et la Loi
Dès les premières secondes de son intervention, Moradel Hattab a frappé fort, réitérant publiquement et sans ambiguïté ses accusations de pédocriminalité contre Brigitte Macron. Pour l’écrivain, il ne s’agit pas d’une simple rumeur, mais d’une infraction d’atteinte sexuelle sur mineur de moins de 15 ans commise par une personne abusant de l’autorité que lui confère ses fonctions, citant explicitement l’article 227-26 du Code pénal français. La peine encourue ? Dix ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende.
S’appuyant sur l’ouvrage L’Opération Macron d’Eric Stemelen, l’écrivain affirme que la relation entre l’actuel président et son épouse aurait débuté lorsqu’Emmanuel Macron n’avait que 14 ans et non 17 ans, tandis que Brigitte Trogneux, son enseignante, en avait 39. Ce changement d’âge n’est pas anodin, car il place l’affaire dans un cadre légal beaucoup plus grave, justifiant, selon Hattab, l’usage du terme « pédocriminel », ce que la loi française l’autorise à faire.
Mais c’est sur la question cruciale de la prescription que Moradel Hattab apporte un éclairage juridique nouveau. Alors que l’intervieweur et d’autres personnes sur les réseaux sociaux évoquent une prescription imminente (dans un mois,), l’écrivain brandit deux arguments massue. Premièrement, l’adoption récente, le 17 juin 2025, d’une proposition par le Parlement européen visant l’imprescriptibilité des crimes sexuels sur les enfants. Deuxièmement, il invoque un arrêt de la Cour de Cassation datant du 7 juillet 2022 qui introduit la notion de dommage psychique. Selon Moradel Hattab, le traumatisme psychologique subi par la victime, difficilement consolidable, rend la prescription caduque. En qualifiant le président Macron de « pervers hypocondriaque », il affirme que le dommage n’est pas consolidé, et donc qu’il n’y aura pas de prescription. Cette offensive juridique transforme l’affaire en une véritable bombe à retardement, démontrant une volonté inébranlable de défier l’Élysée sur son propre terrain.
Le Crime Organisé au Plus Haut Niveau : Quand l’État Trahit les Enfants

L’affaire Brigitte Macron, bien que spectaculaire, n’est que la partie émergée d’un iceberg de corruption et de criminalité systémique que Moradel Hattab s’acharne à dénoncer depuis 2017. L’écrivain affirme être aux prises avec un véritable crime organisé au plus haut niveau de l’État.
Au cœur de cette dérive, une somme ahurissante : 11 milliards d’euros d’argent public qui seraient “littéralement détournés” d’une cause aussi noble que la protection de l’enfance. Il s’agit, selon l’écrivain, de la détournement des moyens du public au profit du privé, une mécanique d’oligarchie financière qui reposerait sur trois piliers criminels :
La pédocriminalité ;
Le trafic d’organes ;
Le narcotrafic.
Il insiste sur le lien intrinsèque entre ces réseaux, faisant le parallèle avec l’affaire Palmade où il était question de trafic de passeports. Pour lui, le fait que l’État refuse de répondre aux sollicitations des lanceurs d’alerte, notamment concernant la lutte contre la prostitution de mineures dès l’âge de 11 ans, prouve son implication et sa responsabilité entière dans ce drame.
L’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), qui est censée être le rempart de la République pour les mineurs en danger, est pointée du doigt. L’État, à travers ce système, retire des enfants en danger pour les placer dans un environnement pas du tout protégé. C’est un paradoxe macabre, un “système qui retire des enfants pour les livrer”, notamment à la prostitution, un drame dont l’ampleur ne cesse de s’accroître, avec une augmentation officielle de 40% des agressions sexuelles depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir.
Le Système des « Pédomagistrats » : Les Criminels en Robe Noire
Le segment le plus passionné de l’intervention de Moradel Hattab vise l’institution judiciaire elle-même. Il s’en prend aux « pédomagistrats », les accusant d’être les « vrais criminels dans ce pays ». Leur crime : non pas laxisme, mais la participation active. Hattab affirme que ces magistrats sont des « carriéristes », des « tricheuses » qui, par fainéantise et haine terrible envers les enfants de France, rendent des jugements qui sont de simples « papiers collés ».
L’écrivain met en lumière son propre combat personnel où, malgré l’absence de danger pour ses enfants, il s’est vu retirer l’autorité parentale. Il dénonce les tactiques d’intimidation et d’obstruction, comme l’obligation de payer des consignations jusqu’à 8 000 euros pour déposer plainte, une somme réservée aux « millionnaires », visant à gagner du temps et à décourager les familles plaignantes. Selon lui, la justice est utilisée pour protéger les pédocriminels en France.
Le cas du juge Olivier B. de Dijon est cité comme l’exemple parfait de cette déchéance institutionnelle. Ce magistrat, qui a mis sa fille de 12 ans sur des sites échangistes, était en charge de la politique de l’enfance et des familles à Dijon. Il était surnommé « le libertin » par ses collègues. L’horreur est d’autant plus grande que, bien qu’ayant pris initialement une peine légère, celle-ci a été réduite en appel à du simple sursis. Pire encore, Moradel Hattab révèle que l’enquête de police a mis en évidence la présence de personnes connues, dont des magistrats, sur ces sites, mais qu’aucun nom n’a été divulgué. Le dossier a été délocalisé à Besançon pour s’assurer de sa protection.
La réaction du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) face aux plaintes des familles ayant été jugées par cet homme est jugée scandaleuse. Le CSM a refusé de revenir sur la moindre décision judiciaire de ce « pédocriminel », rejetant en bloc les plaintes et affirmant qu’il n’y avait pas de « populisme antijudiciaire », mais plutôt une « justice antipopulaire ». Le message est clair : l’institution protège ses propres membres, même les plus pervers, au détriment des centaines de milliers d’enfants massacrés chaque année.
Le Prix du Silence et l’Impératif de la Transparence
Aborder un tel sujet n’est pas sans risque. Moradel Hattab assume pleinement les conséquences de ses prises de parole, affirmant que le silence serait une forme d’omerta. L’écrivain et son interlocuteur évoquent les menaces, les tentatives de discrédit, le blocage médiatique et même la surveillance physique qu’ils subissent pour avoir osé soulever ces problématiques. Moradel Hattab rappelle qu’il avait été confronté à des mesures d’intimidation extrêmes lors de ses premières manifestations, où une caution d’un million d’euros lui avait été demandée en cas de dégradation.
Ce climat de peur est, pour l’écrivain, la preuve que la France est infiltrée par une « culture pédocriminelle » ou, au moins, une culture d’impunité institutionnelle. La manière dont l’histoire du couple Macron a été vendue aux Français, comme un conte de fées glamour plutôt que sous l’angle de l’autorité et du droit, est pour lui le symptôme de cette acceptation. Il rappelle d’ailleurs les tentatives passées (années 70) de légalisation de la pédophilie dès 10 ans, signées par des intellectuels de renom.

L’intervention de Moradel Elhatab a laissé une empreinte durable. Qu’on adhère ou non à l’ensemble de ses analyses, son message central est sans appel : la vérité, quelle qu’elle soit, doit être recherchée, et le refus de la complaisance est une condition indispensable au fonctionnement d’une société juste. Tant que des zones d’ombre persistent, notamment sur le détournement des 11 milliards d’euros, la protection des enfants et les accusations au sommet de l’État, il est légitime d’exiger des enquêtes et une transparence totale. L’heure n’est plus au silence : la vigilance citoyenne est le seul moyen de faire vaciller les criminels, qu’ils soient en robe noire ou qu’ils jouissent de la plus haute protection étatique. Le combat pour la justice, la vraie, ne fait que commencer.
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