😲Cette femme croyait finir avec tous les hommes mais ….

Dans la ville de Descon, le nom de Sika était chuchoté avec un mélange de crainte et de fascination morbide. Nouvelle venue, elle s’était rapidement imposée comme la figure la plus redoutable du paysage social. D’une beauté qui laissait peu d’hommes indifférents, Sika n’avait qu’un seul objectif : les hommes riches, et surtout, les hommes déjà heureux en ménage.
Son arrivée fut un séisme. En moins de six mois, le nombre de foyers brisés à Descon s’était envolé, faisant d’elle, malgré sa splendeur, une paria connue de tous comme la « briseuse de ménages ». Son arrogance était sans limite. Face aux épouses désespérées qui venaient la supplier, parfois à genoux, de laisser leurs maris tranquilles, Sika se montrait d’une cruauté glaciale. « Ne me parle pas, » leur rétorquait-elle, méprisante, « regarde-toi. Quel homme voudrait d’une chose aussi laide pour femme ? »
Cette femme, dotée d’une richesse personnelle considérable, d’un talent de cuisinière exceptionnel et d’une habileté au lit légendaire, ne se contentait pas de séduire : elle humiliait, laissant derrière elle des femmes dévastées et des familles déchirées. Elle puisait une joie profonde dans la destruction du bonheur conjugal, une satisfaction qui était le moteur de son existence à Descon.
Pourtant, malgré les rumeurs de « pouvoirs diaboliques » – qu’elle savait n’être que sa maîtrise de l’art de la séduction – Sika restait invaincue, son ego blindé par l’admiration inconditionnelle qu’elle suscitait. Tous les hommes tombaient. Jusqu’à ce jour de marché qui allait sceller son destin.
Obina : Le Défi Impassible
C’est devant un supermarché, non loin de son luxueux 4×4, que Sika aperçut Obina. Séduisant, riche, il rayonnait d’un bonheur tranquille aux côtés de sa compagne, Tchatcha. Pour la première fois depuis son arrivée, Sika fut fascinée par l’aura de ce couple. Un nouveau foyer à détruire. Mais cette fois, le prédateur allait rencontrer son égal, ou du moins, le pensait-elle.
Elle se présenta à Obina, sûre de l’effet dévastateur de sa beauté. La réponse de l’homme fut un choc brutal pour son estime de soi : « Puis-je vous aider ? » demanda-t-il, le visage impassible, sans la moindre once d’attirance ou de trouble. Stupéfaite, Sika fut contrainte d’assister à une humiliation sans précédent : Obina, croisé à la caisse, paya ses achats et s’éclipsa sans attendre un merci, comme s’il s’agissait d’une simple charité.
Son orgueil blessé transforma cette rencontre en une obsession dévorante. Sika, qui n’avait jamais connu le rejet, se jura de briser Obina et de le faire ramper. « Une fois qu’il aura goûté à mes talents de séduction et à mes compétences culinaires, il viendra me supplier à genoux comme un chien, » se promit-elle.
L’enquête qu’elle mena sur Obina ne fit qu’attiser son désir. Immensément riche, le couple venait d’arriver en ville. Mais surtout, malgré près de dix ans de mariage et l’absence d’enfant – un détail crucial –, Obina était connu pour sa fidélité inébranlable. La rumeur disait qu’il était impossible de le faire flancher. Pour Sika, il ne s’agissait plus d’une conquête, mais d’un défi qui devait laver l’affront qu’il lui avait fait.
Elle traqua Obina jusqu’à son bureau. Dans un geste d’audace qui lui était habituel, elle verrouilla la porte et s’assit sur ses genoux, lui offrant sans ambages « son corps et son cœur », demandant seulement à être partagée. Obina, à la surprise de Sika, ne se déroba pas. Il sourit, accepta et l’embrassa passionnément. Sika s’en alla, certaine d’avoir capturé le cœur du dernier homme qui lui avait résisté. Elle ignorait alors que dans cette histoire, le prédateur était devenu la proie.
Le Calme Anormal de Tchatcha et le Piège du Luxueux Manoir

La relation s’intensifia. Obina couvrit Sika de cadeaux somptueux, de bijoux coûteux, finançant son mode de vie extravagant jusqu’à la rendre dépendante de ce luxe. Sika croyait régner en maîtresse, mais un détail la troublait profondément : Tchatcha, la femme légitime, restait étrangement calme.
Là où d’autres épouses l’avaient confrontée, menacée ou suppliée, Tchatcha se contentait de sourire et de s’éloigner, même lorsqu’elle les croisait ensemble. Sika, qui se nourrissait de la détresse de ses victimes, ne ressentait aucune victoire. Pourtant, le luxe et l’attachement grandissant à Obina la poussèrent à ignorer ce signal d’alarme.
Un autre signe troublant apparut : Obina refusait obstinément d’avoir des relations intimes avec elle. Malgré toutes ses tentatives, ses séductions et même ses ruses pour l’enivrer, il restait chaste. Sika commença à douter de sa virilité, tout en espérant qu’une grossesse scellerait le départ d’Obina du foyer.
L’apogée de cette mystérieuse cour arriva avec l’approche de l’anniversaire d’Obina. Il l’invita à une grande fête dans une somptueuse demeure qu’elle n’avait jamais vue, lui envoyant une robe rouge pour l’occasion. Entourée d’invités aux visages inconnus et vêtus de manière extravagante, Sika était perplexe. L’introduction d’Obina la rassura : « Mesdames et messieurs, je vous présente la plus belle femme de Descon. Elle est la raison de cette célébration. »
Croyant que la victoire était totale, Sika accompagna Obina dans une chambre privée. Il lui offrit un verre de vin. Un vin dans lequel il avait glissé un somnifère. Sans la moindre méfiance, Sika but. Elle commença à se sentir étourdie. C’était la nuit de son destin tragique.
Alors que le sommeil l’envahissait, luttant pour garder les yeux ouverts, Sika vit l’impensable. Tchatcha, la femme d’Obina, entra dans la pièce. Sous ses yeux troublés par le narcotique, l’épouse se transforma en un énorme Cobra. Le serpent divin s’allongea à ses côtés, tandis qu’Obina restait immobile, regardant la scène avec une froide satisfaction. Sika, paralysée par le vin, ne put que sombrer dans l’obscurité, ignorant qu’elle venait d’être sacrifiée.
La Révélation du Pacte Noir et l’Héritage de la Haine
Le réveil fut brumeux. Obina, souriant, mentit sur une « nuit incroyable ». Il la ramena chez elle avec un tas d’argent, puis disparut. Brusquement. Téléphones et messages restèrent sans réponse. Ce qui déconcerta Sika, c’est que, simultanément, tous les hommes qui la courtisaient auparavant cessèrent de l’approcher.
Sika, l’ancienne reine de la séduction, était devenue invisible. Elle ne le savait pas encore, mais Obina et Tchatcha lui avaient volé son ventre et sa beauté pour renouveler leur richesse. Obina n’était pas un homme d’affaires chanceux, mais un ritualiste, un complice de sa propre femme.
Face à la détresse de sa fille, Jennifer, la mère de Sika, intervint. Le passé de Jennifer jeta une lumière crue sur la cruauté de Sika. Adolescente, Jennifer avait été violée et rendue enceinte par le mari de sa tante. Chassée et jamais crue, elle éleva Sika seule, lui inculquant une haine féroce des hommes mariés, qu’elle décrivait comme des « monstres ». Sika était l’héritière involontaire d’une rancune vieille de plusieurs décennies.
La mère et la fille se rendirent chez un puissant sorcier pour connaître la vérité. La révélation fut un coup de tonnerre. Obina, autrefois pauvre, avait conclu un pacte avec la Déesse des Rivières, dont Tchatcha était la fille. Les conditions étaient terrifiantes : épouser la fille de la déesse, ne jamais coucher avec une autre femme (expliquant son refus avec Sika), et surtout, offrir chaque année le ventre et la beauté d’une jeune femme pour permettre à Tchatcha de conserver ses pouvoirs ou son humanité.
Sika comprit tout : l’impassibilité d’Obina, le sourire de Tchatcha. Elle n’était qu’un ingrédient dans un rituel macabre. Choquée, elle supplia le sorcier de l’aider. Sa réponse fut simple et brutale : le seul moyen de récupérer ce qui lui avait été volé était de tuer Tchatcha, la fille de la Déesse des Rivières. Une mission impossible pour une simple humaine, face à un être spirituel.
Le Piège de la Vengeance et la Justice du Vin Brisé

Cette mission impossible fut le catalyseur de la rédemption de Sika. Face à la vérité, sa rancune se mua en une quête de justice, non seulement pour elle, mais pour toutes les autres victimes. Ne pouvant affronter la créature spirituelle elle-même, Sika inventa un plan machiavélique.
Elle recruta Sandra, une jeune femme d’une beauté aussi éclatante que la sienne autrefois, et lui raconta toute l’histoire. En échange d’une somme d’argent considérable, Sandra accepta de devenir le nouvel appât, mais avec une stratégie infaillible : elle irait à la fête d’Obina, mais ne boirait pas le vin empoisonné.
Quelques semaines plus tard, l’histoire se répéta. Sandra s’installa à Descon, attira Obina et se fit inviter à la sinistre fête d’anniversaire. Vêtue de la fameuse robe rouge, elle fut conduite dans la chambre des sacrifices. Obina lui offrit le vin. Sandra feignit de boire, mais le versa discrètement sous le lit.
Le piège se referma lorsque Tchatcha fit son apparition. Au moment où elle se transforma en Cobra et se glissa sur le lit vers sa nouvelle victime, Sandra réagit avec une rapidité foudroyante. Se redressant brusquement, elle attrapa le serpent par la tête. Obina, figé par la peur, fut incapable de réagir. Sandra s’empara d’une bouteille de vin intacte, la brisa contre le lit et frappa violemment la tête du serpent, encore et encore.
À chaque coup, la créature poussa un cri strident et commença à se retransformer en Tchatcha. Mieux encore, Obina souffrait atrocement, comme si les coups portés à sa femme l’atteignaient aussi. La justice était en marche. Sandra continua jusqu’à ce que Tchatcha ne soit plus qu’un corps inerte dans une mare de sang, l’empêchant de s’échapper ou de se retransformer.
L’alerte fut donnée par la femme de ménage. À l’arrivée de la police, le corps de Tchatcha avait disparu, ne laissant qu’Obina. Mais la vraie victoire était ailleurs : Sika, ainsi que toutes les femmes dont Obina et Tchatcha avaient volé l’essence vitale, retrouvèrent leur ventre et leur beauté.
Sika honora sa promesse envers Sandra, mais, plus important, elle changea de vie. La briseuse de ménages, ayant elle-même frôlé le sacrifice, alla s’excuser auprès de toutes les femmes auxquelles elle avait causé du tort, implorant leur pardon. Quelques années plus tard, elle épousa un homme compatissant et eut de magnifiques enfants. Sa mère, Jennifer, regretta l’héritage de haine qu’elle avait transmis et consacra sa vie à la rédemption.
Cette histoire, bien au-delà d’un conte africain, est une leçon de vie brutale : la rancune est un poison qui détruit celui qui la porte. Mais surtout, elle nous rappelle que la richesse mal acquise, surtout lorsqu’elle est construite sur des pactes sombres et le sacrifice d’innocents, entraîne inévitablement une perte bien plus grande : celle de l’âme et, dans le cas d’Obina, celle de la vie. Le prix du bonheur volé est toujours un châtiment sanglant.
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