CHOC: Meurtre de Lola : “Elle a arrêté de respirer seule”, chez Faustine Bollaert, sa mère dévoile tout des derniers instants de sa vie.

Ce mardi 12 novembre 2024, Delphine Daviet-Ropital, la maman de Lola, s’est exprimée pour la première fois sur le plateau de Ca commence aujourd’hui.

Un drame qui a profondément choqué des milliers de Français. En octobre 2022, le corps sans vie de Lola, âgée de 12 ans, a été retrouvé dans une valise à Paris.

Cette macabre découverte a entraîné de nombreux rebondissements… Et après une enquête minutieuse, les autorités ont finalement arrêté Dahbia Benkired, la principale suspecte dans cette affaire.

“Tout ce qui s’est passé, ça s’est produit dans l’appartement. Je l’ai un peu tapée, je n’étais pas bien en fait, j’ai fait ce que j’avais à faire. J’ai abusé un peu, histoire d’avoir mon plaisir et point barre”, aurait confié la jeune femme aux gardiens de la paix à la suite de sa garde à vue.

Mise en examen pour “meurtre sur mineur de 15 ans accompagné de viol”, “torture ou actes de barbarie”, “viol sur mineur avec torture” et “actes de barbarie”, la principale suspecte navigue désormais entre prison et hôpital psychiatrique sans l’ombre d’un procès en vue. Et tandis que la justice tarde à faire son travail, la famille de la fillette lutte pour se reconstruire.

La maman de Lola s’exprime pour la première fois

Malgré les deux années écoulées, les proches de Lola restent profondément meurtris. En deuil, ils ont néanmoins fait le choix de prendre la parole dans Ça commence aujourd’hui sur France 2, l’émission animée par Faustine Bollaert.

Présente sur le plateau du programme culte, Delphine Daviet-Ropital, la maman de la victime, s’est exprimée pour la première fois ce mardi 12 novembre 2024.

“D’habitude, je sors à ce moment-là, quand elle rentre. Je l’aurais forcément croisée. Et malheureusement, ce jour-là, je ne suis pas sortie. J’ai ressenti un gros coup de poignard à ce moment-là. On a su vraiment tout ce qu’elle lui avait fait et là, ça fait mal, oui. Elle a arrêté de respirer toute seule, par peur, on m’a dit. Donc elle est morte d’asphyxie. Voilà donc… Elle n’a pas souffert“, a-t-elle confié les larmes aux yeux. Un témoignage bouleversant.

Un travail de longue haleine

Avant de recevoir la famille de Lola sur le plateau de son émission, Faustine Bollaert a mené un travail minutieux et approfondi.

“Je l’ai reçue pendant une heure, avec son fils et je ne peux pas dire que je ressors indemne des confidences de cette famille qui a vécu l’indicible […]“, a confié l’animatrice à nos confrères de TV Mag.

Et d’ajouter : “Il faut du temps pour se sortir de ce genre d’émission. Il faut y aller avec une petite armure parce qu’il faut se protéger, même s’il ne faut surtout pas se protéger sur le moment“.

Une chose est certaine, c’est que le passage de Delphine Daviet-Ropital sur la deuxième chaîne n’a pas laissé les téléspectateurs indifférents.

Le meurtre de Lola, une affaire qui a bouleversé toute la nation, ne cesse de hanter les esprits. Ce crime atroce, survenu en octobre 2022, a choqué la France par sa brutalité. La petite Lola, âgée de seulement 12 ans, a été retrouvée morte dans une valise à Paris, un acte de violence inouïe qui a soulevé une onde de choc à travers le pays. L’enquête, qui a suivi cette découverte macabre, a permis de dévoiler l’ampleur de l’horreur et d’identifier Dahbia Benkired comme étant la principale suspecte.

Cette affaire a pris une tournure encore plus sordide lorsque la suspecte a avoué, lors de sa garde à vue, les détails macabres de son acte. “J’ai abusé un peu, histoire d’avoir mon plaisir”, aurait-elle confié, une déclaration glaçante qui a laissé le public sous le choc. Mais malgré cette confession, le système judiciaire semble trainer en longueur. Dahbia Benkired, mise en examen pour plusieurs chefs d’accusation, dont “meurtre sur mineur de 15 ans accompagné de viol” et “actes de barbarie”, navigue entre la prison et l’hôpital psychiatrique, sans qu’un procès n’éclaire enfin cette affaire.

Pendant ce temps, la famille de Lola lutte pour se reconstruire après cette tragédie. Delphine Daviet-Ropital, la maman de la victime, a choisi de prendre la parole pour la première fois, révélant dans l’émission “Ça commence aujourd’hui” la profondeur de sa douleur. Elle a raconté les derniers instants de sa fille, expliquant qu’elle aurait dû être là pour la protéger. “Je l’aurais forcément croisée”, a-t-elle déclaré, en référence à son absence tragique ce jour-là, qui, selon elle, aurait pu changer le cours des événements.

Les mots de Delphine Daviet-Ropital ont marqué les téléspectateurs. Avec les larmes aux yeux, elle a partagé la terrifiante vérité sur la mort de sa fille : “Elle a arrêté de respirer toute seule, par peur, on m’a dit. Donc elle est morte d’asphyxie. Voilà, donc elle n’a pas souffert.” Ces propos déchirants ont jeté une lumière crue sur les circonstances de la mort de Lola, qui, bien que terrifiante, a permis à sa mère de trouver une forme de réconfort, en sachant que sa fille n’avait pas souffert dans ses derniers instants.

Faustine Bollaert, l’animatrice de l’émission, a souligné l’ampleur du travail émotionnel qu’implique un tel témoignage. “Je l’ai reçue pendant une heure, avec son fils, et je ne peux pas dire que je ressors indemne des confidences de cette famille qui a vécu l’indicible”, a-t-elle avoué. L’émission a été un moment d’émotion brute et de partage, un espace où une mère pouvait enfin libérer sa souffrance et permettre à la France entière de comprendre la profondeur de la tragédie qu’elle a vécue.

Les téléspectateurs, eux, ont été profondément touchés par le courage de Delphine, qui n’a pas hésité à exposer la douleur la plus intime de sa famille. La diffusion de ce témoignage a permis de remettre au premier plan le sort tragique de Lola, et d’apporter une nouvelle perspective sur ce crime. Mais au-delà des détails sordides de l’affaire, ce sont avant tout les souffrances humaines qui ressortent : la perte d’un enfant, le vide laissé par cette disparition, et le combat quotidien pour surmonter l’insurmontable.

Cette affaire, à la fois simple et terrifiante, soulève des questions sur la nature humaine, la justice et la manière dont nous, en tant que société, réagissons face à de tels actes de violence. En attendant que justice soit rendue, la famille de Lola, marquée à jamais, continue de se battre pour que la mémoire de leur fille ne soit pas oubliée. Leur courage face à la douleur est un exemple poignant de résilience. La France, quant à elle, attend avec impatience que la justice fasse son travail, dans l’espoir qu’un procès permettra de donner un semblant de réponse à cette tragédie qui reste gravée dans l’histoire du pays.