Choc : Qu’ont fait les Algériens du corps de l’actrice Biyouna après sa sortie de l’hôpital ? Un acte inadmissible qui suscite l’indignation.
Le scandale qui secoue l’Algérie : un geste inacceptable qui défie les valeurs islamiques !
Le matin du mercredi 29 novembre, la scène du Théâtre National Algérien a été témoin d’un événement qui a choqué de nombreux Algériens et musulmans à travers le monde. En effet, le corps de l’actrice et chanteuse algérienne bien-aimée Beïouna, décédée la veille à l’hôpital, a été transporté non pas directement au cimetière pour les rites funéraires, mais à la salle de théâtre, pour ce que l’on appelle “la dernière vue”. Ce geste inouï a mis en lumière une pratique qui est perçue par beaucoup comme incompatible avec les traditions islamiques.
Une cérémonie choquante au Théâtre National
Beïouna, une figure emblématique du monde artistique algérien, avait marqué le cœur des Algériens avec sa carrière musicale et cinématographique. Cependant, son décès a déclenché une controverse sans précédent lorsque son corps a été exposé au Théâtre National de Alger, sur la scène même de l’emblématique salle Mustafa Kateb. Ce geste a été organisé par le directeur du théâtre, qui a invité les fans, les artistes et les membres du milieu culturel algérien à venir rendre un dernier hommage à l’artiste, en se recueillant devant son corps.
La cérémonie, censée être une occasion de dire adieu, a cependant pris une tournure qui a fait scandale dans le pays. Au lieu de respecter la procédure islamique, qui privilégie un enterrement rapide et discret, les autorités ont décidé d’organiser cette dernière vue, où le public était invité à observer le corps de l’artiste sur scène. Cette décision a suscité une vague d’indignation sur les réseaux sociaux et dans les médias, notamment parmi les défenseurs des valeurs musulmanes.
Un acte contraire aux principes islamiques ?
Les critiques de cet acte soulignent qu’une telle pratique est totalement étrangère à la tradition musulmane. En effet, selon les principes islamiques, la meilleure manière de traiter le corps d’un défunt est de l’enterrer rapidement, et non de l’exposer en public. La communauté musulmane considère que l’âme du défunt est en paix, et il est de la responsabilité des proches et des membres de la communauté de respecter son intimité et de protéger son corps des regards indiscrets.
Plusieurs voix s’élèvent, dénonçant ce geste comme étant une immixtion des coutumes étrangères, souvent associées aux pratiques des non-musulmans. Les militants et les prédicateurs islamistes sur les réseaux sociaux ont vivement critiqué ce qu’ils appellent une “profanation” du corps, en raison de la “vue finale” qui a été mise en place, qualifiée de pratique typiquement non islamique.
La dernière vue : une tradition occidentale mal interprétée ?
Le phénomène de la “dernière vue” n’est pas nouveau en Occident, où il est courant d’exposer les corps des défunts dans des chambres funéraires ou lors de cérémonies publiques. Cependant, en Algérie, ce type de pratique est perçu par certains comme une importation des mœurs étrangères, et non comme une coutume locale ou religieuse. La confusion vient du fait que beaucoup de musulmans d’Algérie, influencés par les médias modernes et les pratiques globalisées, commencent à intégrer des éléments étrangers dans leurs rituels funéraires, sans prendre en compte les enseignements traditionnels de l’Islam.
Les critiques affirment que ces nouvelles pratiques risquent d’éroder les valeurs culturelles et religieuses locales, notamment celles liées au respect des défunts. En effet, la tradition musulmane est claire : l’exposition du corps, le fait de le laisser accessible à des centaines de regards et d’observations publiques, va à l’encontre du respect dû au défunt. Selon l’Islam, seul l’imam, les proches du défunt, ainsi que ceux chargés de préparer le corps, sont autorisés à manipuler le corps.
L’Islam face aux influences modernes : un dilemme culturel ?
La situation met également en lumière le dilemme auquel l’Algérie, comme de nombreux autres pays musulmans, est confrontée : comment concilier modernité et tradition ? D’un côté, les jeunes générations sont de plus en plus influencées par les modes et les pratiques occidentales, influençant leurs perceptions de la culture, du funéraire et du respect des traditions religieuses. De l’autre, une partie de la population, notamment les conservateurs, tente de maintenir l’intégrité des valeurs islamiques et de les défendre face à ces influences extérieures.

Des débats enflammés ont émergé sur les réseaux sociaux, certains prônant une révision des traditions funéraires algériennes pour les adapter aux réalités contemporaines, tandis que d’autres appellent à un retour strict aux préceptes religieux de l’Islam, notamment en ce qui concerne le respect du défunt et de ses proches.
Un précédent dangereux ?
L’Algérie, étant un pays musulman à majorité sunnite, a toujours respecté une série de rituels funéraires bien définis. Cependant, cet incident avec le corps de Beïouna soulève des interrogations sur l’avenir de ces rites et la manière dont la société évoluera face aux pressions sociales et culturelles modernes.
Les défenseurs des pratiques traditionnelles préviennent que cette tendance pourrait devenir plus répandue, menaçant les fondements de l’Islam et des pratiques culturelles du pays. Ils appellent à une réévaluation de l’impact de ces traditions nouvelles et étrangères sur les jeunes générations et à un retour aux valeurs fondamentales de la religion et de la culture algérienne.
L’Islam et le respect du défunt : une leçon importante
Il est important de souligner que dans l’Islam, l’hommage à un défunt se fait avec dignité, simplicité et respect. La cérémonie de l’enterrement doit se faire rapidement, dans l’intimité des proches, sans spectacle ni ostentation. Les images et les vidéos des corps défunts, souvent partagées sur les réseaux sociaux, sont considérées comme une violation de la pudeur et du respect dû au défunt. Ce que nous avons vu avec Beïouna est une dérive de plus en plus fréquente, qui semble se dissocier des principes religieux et traditionnels de l’Islam.

L’incident de la “dernière vue” soulève donc des questions profondes sur la direction que prend l’Algérie, entre l’érosion des valeurs islamiques et les influences extérieures de la modernité. L’Algérie saura-t-elle préserver ses racines spirituelles tout en s’adaptant à un monde de plus en plus globalisé ? C’est une question qui, sans aucun doute, continuera de diviser l’opinion publique algérienne pendant longtemps.
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