Entre gloire et cendres : Jenifer avoue son addiction au tabac, jusqu’à l’étouffement, devenant victime de ses propres maux.

Jenifer: Rượu, thuốc lá... cô ấy cố gắng điều chỉnh giọng nói của mình sao cho giống với thần tượng của mình

Jenifer : une étoile brûlante au parfum de tabac froid

La scène française a connu peu d’icônes aussi lumineuses et durables que Jenifer Bartoli. Révélée au grand public grâce à sa victoire éclatante lors de la première saison de la Star Academy en 2002, elle s’est imposée comme une figure incontournable de la pop francophone. Mais derrière les sourires éclatants, les tubes entêtants et les plateaux télé, une autre histoire se dessinait — plus intime, plus âpre, et résolument taboue : celle de sa consommation compulsive de cigarettes.

Une révélation-choc : “À m’en étouffer”

C’est dans une interview récemment diffusée, que Jenifer a lâché une phrase qui a glacé les fans :

“J’en fumais jusqu’à m’en étouffer.”

Un aveu cru, sans filtre — comme une bouffée de vérité dans un monde saturé de faux-semblants. Cette phrase a résonné comme un coup de tonnerre dans l’univers lissé de la célébrité. Comment une artiste si aimée, si médiatisée, pouvait-elle se laisser consumer ainsi par une addiction qui tue à petit feu ?

L’émotion dans sa voix, palpable, ne laissait place à aucun doute : il ne s’agissait pas d’une coquetterie ou d’un écart passager. Jenifer parle d’années d’habitude, de gestes machinalement répétés, de paquets enchaînés comme des chapitres silencieux d’un combat qu’elle menait dans l’ombre.

Une image publique ciselée… et une réalité intérieure en fumée

Tout au long de sa carrière, Jenifer a cultivé une image de femme forte, libre, souvent solaire. Mais le tabac, compagnon fidèle mais toxique, s’était immiscé dans sa vie dès l’adolescence. “C’est venu avec le stress, avec la scène, avec cette pression de toujours être au top”, confie-t-elle.

Ce qui avait commencé comme un geste de “grande”, comme beaucoup de jeunes artistes en quête d’aplomb, s’est transformé en dépendance sourde. “Je pensais pouvoir arrêter quand je voulais… Jusqu’à ce que je réalise que je ne le pouvais plus.”

Les coulisses de l’industrie musicale sont rarement tendres. Entre les tournées éreintantes, les attentes des maisons de disques, les critiques acerbes sur les réseaux sociaux et la solitude des loges, Jenifer trouvait dans la cigarette une sorte de réconfort. Un faux ami, certes, mais un ami tout de même.

“J’en ai honte… mais je veux que ça serve”

Lorsqu’on lui demande pourquoi elle en parle aujourd’hui, Jenifer répond sans détour :

“Parce que je ne veux pas que d’autres pensent que c’est glamour ou libérateur. Ce n’est ni l’un ni l’autre. C’est une prison.”

Avec courage, elle brise le tabou qui entoure encore trop souvent les addictions chez les célébrités. Loin de vouloir jouer les donneuses de leçons, elle veut offrir un miroir sincère. “Oui, j’ai craqué. Oui, j’ai eu peur. J’ai toussé, j’ai eu mal, j’ai pleuré. Et j’ai lutté.”

Elle évoque les tentatives d’arrêt, les patchs, l’hypnose, les rechutes. Rien n’a été simple. Ce n’est qu’à force de volonté, d’accompagnement médical et surtout d’une prise de conscience personnelle profonde, qu’elle a pu commencer à tourner la page.

Un témoignage qui touche, une voix qui tremble

Jenifer: rượu, thuốc lá... cô ấy đã cố gắng điều chỉnh giọng nói của mình để giống với thần tượng của mình như thế nào - Closer

Ce qui bouleverse, au-delà de la confession, c’est la manière dont Jenifer la livre : avec humilité, émotion et une rare lucidité. Elle ne cherche pas à édulcorer son parcours. Elle ne se donne pas le beau rôle. Elle avoue ses faiblesses, ses contradictions, ses moments de honte.

“Je chantais l’amour, la liberté, l’espoir… Mais dans le secret, je m’empoisonnais. C’était l’incohérence totale.”

Et cette incohérence, elle l’a payée cher : perte de souffle sur scène, toux chronique, réveils difficiles… Jusqu’à ce jour où, prise d’une quinte incontrôlable, elle a eu la peur de sa vie. “Je me suis dit : ‘C’est comme ça que je vais finir ? À bout de souffle ?’”

Une prise de conscience salutaire pour ses fans

Depuis cette révélation, les réactions pleuvent sur les réseaux. Beaucoup saluent son courage. D’autres, ex-fumeurs ou en lutte eux-mêmes contre la dépendance, se reconnaissent dans son récit. Certains même, grâce à elle, affirment avoir trouvé la motivation d’arrêter.

Jenifer le dit : “Si mon histoire peut en sauver ne serait-ce qu’un, alors ça valait la peine de l’avouer.”

Et maintenant ? Une nouvelle ère, sans fumée

Aujourd’hui, Jenifer affirme être “en paix” avec elle-même. Si la tentation persiste parfois, elle a trouvé dans le sport, la méditation, et surtout le chant — sa passion première — des exutoires puissants.

Elle prépare actuellement un nouvel album, dans lequel elle aborde, en filigrane, cette renaissance. “Je veux chanter la liberté, la vraie. Celle de vivre pleinement, en respirant à pleins poumons.”

Conclusion : Une star humaine, enfin démasquée

Épinglé par borhene kassis sur Jenifer bartoli | Jenifer bartoli, Jenifer,  Actrice

Dans un monde où l’image prime souvent sur la vérité, le témoignage brut de Jenifer fait l’effet d’un électrochoc. Oui, les stars sont humaines. Oui, elles ont leurs fêlures, leurs combats, leurs zones d’ombre. Et parfois, ces fêlures, lorsqu’elles sont exposées avec sincérité, deviennent des forces.

Jenifer, autrefois “fille en or de la chanson française”, nous montre qu’elle est aussi une femme de chair, de souffle, et de courage.