Jean Dujardin et Nathalie Péchalat : rien ne va plus depuis la rupture.

Ce vendredi 24 octobre 2025, dans “TBT9”, Fabien Lecœuvre a indiqué que les relations entre Jean Dujardin et Nathalie Péchalat se seraient dégradées. La faute à des biens immobiliers qui déchireraient les ex-tourtereaux.

Après dix ans d’amour, Jean Dujardin et Nathalie Péchalat prenaient la décision de se séparer au cours de l’été 2024. La faute, selon un de leurs proches au magazine Voici, à un manque d’accompagnement de l’acteur, vivement critiqué après son passage dans le JT de Léa Salamé, envers l’ancienne patineuse alors qu’elle présidait le Club France.

“Elle lui reproche de ne pas l’avoir épaulée pendant les Jeux olympiques alors qu’elle présidait le Club France, puis d’avoir enchaîné coup sur coup deux tournages à l’étranger, la laissant très seule”, indiquait la source.

Une rupture “en douceur” pour Jean Dujardin et Nathalie Péchalat

Pour le comédien âgé de 53 ans, cette rupture a résonné comme un “coup de massue” qui espérait pouvoir recoller les morceaux avec la mère de ses deux filles, Jeanne, 9 ans et Alice, 3 ans. “Leur couple battait de l’aile depuis un certain temps. Ces dernières semaines, ils avaient décidé de vivre sur deux étages différents dans leur maison de Montretout afin de se donner un peu de temps et d’espace pour réfléchir”, a ajouté la même source à Voici.

Malgré la séparation, Jean Dujardin et Nathalie Péchalat auraient réussi à échanger et discuter de l’avenir de leurs enfants calmement. “Avec Nathalie, ils ont réussi à se mettre d’accord pour ne pas changer leurs filles d’établissement scolaire, histoire de ne pas les déstabiliser davantage”, a en effet indiqué une source à Voici.

De fait, les ex-tourtereaux voulaient que cette période de transition se déroule sans écueils pour leurs enfants, malgré l’amertume et le chagrin. Mais ça, c’était avant à en croire Fabien Lecœuvre.

Mais aujourd’hui, ce serait la guerre

En effet, le journaliste people et chroniqueur de Cyril Hanouna, a fait de nouvelles révélations au sujet de Jean Dujardin et Nathalie Péchalat ce vendredi 24 octobre 2025. Sur le plateau de TBT9, le spécialiste des stars a révélé que la “bonne entente” aurait laissé place à la guerre entre les deux ex.

“Alors ça se passe mal en ce moment leur rupture”, a d’abord confié Fabien Lecœuvre, avant de rappeler : “Bon, ils ont réussi à se mettre d’accord au niveau de la garde des enfants”. Mais sur les biens immobiliers, “il y a un gros litige” d’après lui.

“En fait parce que elle, elle se moque de la résidence qu’ils ont à Soulac en Gironde. Il peut en bénéficier, il n’y a pas de souci. Mais elle, elle veut garder aussi la jouissance de la maison, l’hôtel particulier qui est l’ancienne maison de Lino Ventura qu’ils avaient achetée en 2015 à trois millions d’euros. Elle veut rester dans la maison avec ses deux filles qu’ils ont, Jeanne et Alice, c’est à Saint-Cloud”, a alors précisé le journaliste.

“Voilà, donc ça se passe très mal. C’est un immeuble magnifique, vous avez un hôtel particulier époque napoléonienne, trois cent quarante mètres carrés, c’est un grand hôtel particulier. Elle, elle veut y rester, mais lui, il veut rester aussi dans cette maison. Donc c’est très compliqué. Donc il y a une bataille d’avocats qui s’engage et ce n’est pas simple”, a conclu Fabien Lecœuvre, supposant que la relation se serait dégradée entre Jean Dujardin et Nathalie Péchalat.

Reste que, derrière les sourires de façade et les communiqués mesurés, la séparation de Jean Dujardin et de Nathalie Péchalat semble entrer dans une phase plus rugueuse. Selon les confidences glissées sur le plateau de “TBT9”, la discussion autour des biens immobiliers aurait envenimé une relation que l’on disait pourtant harmonieuse au lendemain de la rupture. Rien d’exceptionnel sur le papier — beaucoup de couples y passent — mais l’onde de choc est plus forte quand il s’agit d’icônes médiatiques.

Au cœur des crispations, d’après ces indiscrétions, se trouveraient deux lieux de vie devenus symboliques : une résidence à Soulac (Gironde) et un hôtel particulier à Saint-Cloud, présenté comme l’ancienne demeure de Lino Ventura. On parle d’histoire, de souvenirs, d’enfants qui grandissent, d’un quotidien difficile à démêler. Dans ce type de dossier, le juridique se mêle à l’affect : la “jouissance” d’un bien ne se chiffre pas seulement en mètres carrés, elle se calcule en repères, en rituels, en stabilité.

Rappelons qu’après dix ans d’amour, l’ancienne patineuse et l’acteur oscarisé avaient, l’été 2024, fait le choix d’une séparation dite “en douceur”. On avait appris qu’ils s’étaient organisés pour préserver le cadre scolaire de leurs deux filles, Jeanne et Alice, et éviter toute déstabilisation inutile. Une volonté louable, saluée par de nombreux observateurs. Mais la mécanique, si bien huilée sur le papier, se grippe parfois lorsqu’il faut trancher ce que l’on garde, ce que l’on vend, ce que l’on partage.

Sur le plan juridique, le dossier n’a rien d’anodin. Régime matrimonial, investissements réalisés au fil des années, répartition des charges et des travaux : tout finit par compter. Les avocats, appelés à la rescousse, tenteront de transformer l’émotion en clauses précises, les souvenirs en inventaires, la nostalgie en lignes de contrat. C’est froid, c’est nécessaire. Et c’est souvent à ce moment que l’on mesure la difficulté d’une “séparation exemplaire”.

Pour Jean Dujardin, ces rumeurs de tensions arrivent à un moment charnière de sa carrière, entre projets de cinéma et sollicitations à l’international. Pour Nathalie Péchalat, qui a porté des responsabilités lourdes dans le monde du sport, l’enjeu est aussi d’offrir à ses filles un cocon stable. Deux trajectoires exigeantes, deux agendas serrés, et un même désir affiché : protéger l’enfance au milieu du tumulte.

Faut-il pour autant y voir une “guerre” ouverte ? Les mots sont forts, l’époque adore les formules choc. Prudence : aucune des deux parties n’a confirmé publiquement une telle escalade. Dans ces moments, l’effet loupe médiatique grossit la moindre aspérité, la moindre phrase rapportée. Il n’en demeure pas moins que les négociations patrimoniales sont, par nature, des marathons discrets où l’on avance clause après clause, parfois à pas comptés.

Ce qui se joue désormais dépasse la simple question de clés et de titres de propriété. C’est la définition d’un “après” : où dors-tu ? où jouent les enfants ? où se fêtent les anniversaires ? Ce sont des coordonnées intimes qui, une fois fixées, dessineront le plan d’une nouvelle vie. Un compromis paraît à portée de main pour qui connaît la puissance des médiations familiales et la volonté initiale des deux ex-conjoints de privilégier l’apaisement.

En attendant, place au silence utile. Moins de rumeurs, plus de travail en coulisses : c’est souvent ainsi que se règlent les affaires compliquées. Si un accord se dessine, il ne fera sans doute pas de bruit. Et c’est peut-être le meilleur signe qu’il aura été pensé pour durer, loin des plateaux et des emballements, au plus près de ce qui compte vraiment : l’équilibre d’une famille qui se réinvente.