La Vérité Explosive sur la Dette Sociale et l’« Assistanat » : Jordan Bardella Démantèle la Propagande Médiatique de Patrick Cohen

Dans l’arène politique et médiatique française, la confrontation entre l’ambition de l’État-providence et la réalité des comptes publics atteint un point de rupture. Récemment, un échange acéré entre Jordan Bardella, figure de proue du Rassemblement National, et le journaliste Patrick Cohen, a mis en lumière non seulement des divergences idéologiques profondes, mais également une véritable guerre des chiffres et de l’information. Au-delà du simple débat, c’est une analyse dévastatrice du modèle social français, de son coût exorbitant et de ses dérives perverses, qui a été mise en œuvre. L’enjeu ? Dire la vérité à cette « France du travail » qui se sent abandonnée et spoliée.
L’intervention, décortiquée par la suite, révèle une stratégie de la part du camp Bardella visant à pulvériser une « propagande anti-RN » persistante, notamment sur la question sensible de l’« assistanat » et de la fraude sociale. Le ton est donné : il ne s’agit plus de débattre avec courtoisie, mais de restaurer une vérité factuelle, souvent occultée par des raccourcis journalistiques ou des comparaisons fallacieuses.
Le Mythe Brisant du SMIC contre le RSA : Le Cri d’une France qui se Lève Tôt
Le cœur de la discorde et l’hameçon émotionnel de cet échange résident dans le fossé de plus en plus intolérable entre le labeur et le bénéfice. Patrick Cohen met en avant le livre de Jordan Bardella, qui dresse le portrait de travailleurs acharnés, dont Bernard, un marin-pêcheur de 70 ans. Ce dernier, se levant à 2h du matin et travaillant près de 95 heures par semaine, constate avec une lassitude amère que « travailler rapporte à peine plus que de ne rien faire ».
C’est sur ce sentiment d’injustice profonde que le débat s’enflamme. Lorsque Cohen tente de minimiser le constat en citant des chiffres du RSA (Revenu de Solidarité Active) prétendument inférieurs au SMIC, la réponse est cinglante : une déconstruction méthodique et rigoureuse. Le journaliste avançait qu’un temps plein au SMIC (1 300 à 1 500 € net avec la prime d’activité) rapporte plus que le RSA. Cependant, cette comparaison est entièrement biaisée, selon l’analyse détaillée fournie.
Premièrement, le montant exact du SMIC net pour 35 heures est de 1 426 € par mois. Deuxièmement, et c’est le point crucial, le bénéficiaire du RSA ne vit pas seulement du RSA ; il cumule ce revenu avec d’autres aides complémentaires, telles que les aides au logement (APL) et les allocations familiales. Cet ensemble modifie radicalement le résultat final, rendant la simple comparaison du SMIC net seul contre le RSA seul une manipulation des faits. Troisièmement, une part significative des salariés au SMIC n’est pas à temps plein, travaillant à 80 % ou 70 %, ce qui réduit leur rémunération nette et invalide la comparaison avec une aide forfaitaire. L’émotion est ici palpable : elle cristallise la colère des travailleurs qui ont le sentiment de porter sur leurs épaules le poids d’un système qui, paradoxalement, les pénalise.
Le Gouffre de la Dette Sociale : La Réalité Inavouable de l’État-Providence

Pour Bardella, la question de l’aide sociale dépasse la seule comparaison SMIC/RSA. Elle est au cœur du déséquilibre financier du pays. Il s’appuie sur des travaux documentés, citant notamment le livre « La Dette Sociale de la France » de Nicolas Dufourcq, directeur de la BPI (Banque Publique d’Investissement). Ce que ces travaux révèlent est stupéfiant et mérite d’être souligné en gras dans le débat public : les deux tiers de la dette publique française sont destinés à financer des prestations sociales.
Plus encore, l’analyse révèle une dépendance alarmante à la dépense publique. En cumulant les 18 millions de retraités, les 4 millions d’allocataires de minimas sociaux, les 2,5 millions de chômeurs et les 6 millions d’agents de la fonction publique, on arrive à la conclusion qu’un adulte sur deux en France est dépendant de la dépense publique. Ce chiffre, rarement mis en perspective, est une bombe à retardement pour la démocratie et l’économie. Il illustre à quel point la « France du travail », celle qui crée la richesse et paie des impôts, est sommée de financer un fardeau colossal, contribuant à ce que Bardella appelle une fiscalité « confiscatoire ».
Clarifier les Termes : Assistana contre Protection Sociale
L’un des défis majeurs pour le Rassemblement National a toujours été de naviguer entre la nécessité de soutenir les plus faibles et la dénonciation des abus. La droite et le RN sont souvent accusés de faire une « guerre des pauvres contre les pauvres ». Pour y répondre, il est essentiel de bien définir les termes. L’« assistanat », dans la doctrine du RN, n’est pas la « protection sociale ».
La protection sociale est conçue comme un soutien temporaire, un filet de sécurité incitatif face aux accidents de la vie. L’assistanat, en revanche, est un système de redistribution qui a pour effet pervers de maintenir ses bénéficiaires en dépendance chronique, décourageant ainsi le retour à l’autonomie ou à l’emploi. Vouloir lutter contre l’« assistanat » n’est donc pas une attaque contre le filet social ; c’est une volonté de réformer un système qui engendre l’inaction et la démobilisation, nuisant in fine à la dignité et à la prospérité de l’individu.
Cette nuance s’illustre parfaitement sur la question du conditionnement du RSA à 15 heures d’activité par semaine. Bien que les témoignages de travailleurs rencontrés par Bardella (tel que François, agriculteur) réclament des contreparties face à ceux qui « passent leur vie au RSA », le RN a voté contre la loi “Plein Emploi”. La raison avancée est stratégique : le risque de voir ces bénéficiaires être utilisés comme des « contrats précaires », des travailleurs bon marché, nuisant aux conditions et aux contrats de travail classiques. Il faut des contreparties, affirme Bardella, mais sans créer une précarisation de l’emploi.
Le Chiffre Tabou : 15 Milliards d’Euros et la Priorité Nationale
L’argument le plus explosif et le plus clivant de Jordan Bardella concerne la proposition de réserver la « générosité du modèle social français » aux seuls nationaux. Le coût des aides sociales non-contributives aux étrangers est chiffré par le RN à au moins 15 milliards d’euros par an (le double selon l’Institut Montaigne, ce qui rend le chiffre du RN plus prudent). Ce montant, présenté comme une fuite massive dans les caisses de l’État, est l’élément central du plan de « remise en ordre » des comptes publics.
En affirmant vouloir limiter cette dépense, Bardella ne cherche pas seulement à faire des économies. Il cherche à restaurer le principe de l’équité contributive et de la priorité nationale. Il renvoie la « France du travail » à la promesse qu’elle cotise pour les siens et non pour financer des prestations non-contributives à grande échelle. Cette proposition, sans doute l’une des plus radicales de son programme, a le mérite de la clarté et donne une dimension très concrète à la lutte contre le déficit.
Le Coût du Travail et l’Épuisement de la France Active
L’analyse économique qui soutient la position de Bardella est implacable. La France se distingue en Europe par l’un des prélèvements les plus lourds sur le travail. En 2024, le taux de « coin fiscal » global (charges patronales et salariales) atteint près de 47 % selon l’OCDE. À titre de comparaison, les Pays-Bas sont à 38 %, l’Allemagne à 40 %, et des pays comme l’Irlande ou le Danemark prélèvent nettement moins (27 % et 28 %).
L’exemple est frappant : un salarié payé 3 000 € coûte environ 5 000 € à son employeur. Cette pression fiscale massive est présentée comme la cause principale du manque de compétitivité, de la modicité des salaires nets et du sentiment de « confiscation » éprouvé par les travailleurs.

Ce fardeau se répercute sur l’emploi, notamment chez les jeunes, dont l’entrée sur le marché du travail est anormalement tardive. En France, le premier emploi stable n’est atteint qu’à 27 ans, contre 23 ans en Allemagne. Ce retard n’est pas seulement un problème social ; il est une perte de croissance et de PIB, une diminution de la main-d’œuvre pour les entreprises, et surtout, un déficit abyssal de cotisations dans le système des retraites. C’est là que se trouve le cœur du déficit des retraites : l’incapacité à mobiliser suffisamment d’actifs pour soutenir le modèle par répartition.
La Dénonciation d’une Manipulation Démocratique
L’affrontement entre Bardella et Cohen se termine par une accusation encore plus grave que la seule guerre des chiffres : celle de la manipulation de l’information par les médias traditionnels. L’analyse post-débat révèle qu’une partie de la réponse de Marine Le Pen, dans une précédente émission, concernant sa volonté de lutter contre les « dérives » de la fraude sociale, aurait été supprimée par un « montage sélectif » ou une « omission de propos ».
Ce procédé, loin d’être un simple incident, s’inscrirait dans un schéma de « contextualisation biaisée » visant à orienter l’opinion. Le commentateur cite un rapport officiel du Centre d’Analyse de Prévention de Stratégie (CAPS) et de l’Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire (IRSEM) soulignant que ces manipulations constituent un danger pour la démocratie en France.
En pointant du doigt ces pratiques, Jordan Bardella ne fait pas qu’attaquer un adversaire politique ou médiatique ; il ouvre la boîte de Pandore de la confiance dans les institutions et dans l’information. Il consolide son image de pourfendeur d’un système qui, non content d’être jugé coûteux et inefficace, chercherait à dissimuler la vérité pour protéger ses propres fondations.
En conclusion, la confrontation Bardella-Cohen n’est pas un simple fait divers politique. Elle est le symptôme d’une fracture profonde entre une élite qui défend un modèle social à bout de souffle et une « France du travail » qui réclame justice, mérite, et une gestion saine des deniers publics. En pulvérisant les arguments de la « propagande anti-RN » par la force des chiffres et l’émotion des témoignages, Jordan Bardella a réussi à transformer un débat en un manifeste : celui de la nécessité d’un changement radical dans la manière dont la France honore le travail et gère sa dette sociale.
News
Enceinte Du Fils Du Milliardaire… Il M’a Donné De L’Argent Pour Avorter
Enceinte Du Fils Du Milliardaire… Il M’a Donné De L’Argent Pour Avorter. Débarrasse-ten. Voici 50000 dollars. L’enveloppe heurta la table…
Elle a acheté un homme pauvre a 500.000 pour donner une leçon à ses parents mais tomba amoureuse…
Elle a acheté un homme pauvre a 500.000 pour donner une leçon à ses parents mais tomba amoureuse… SCA était…
Une infirmière pauvre a été engagée comme domestique pour laver un milliardaire dans le coma
Une infirmière pauvre a été engagée comme domestique pour laver un milliardaire dans le coma. Les grandes portes enfer de…
Après la disparition de leur fils, un berger allemand frappe quotidiennement à leur fenêtre – et là où cela les mène, ils pâlissent !
Après la disparition de leur fils, un berger allemand frappe quotidiennement à leur fenêtre – et là où cela les…
😱Une Fille Sans-Abri Accusée De Sorcellerie Guérit La Fille D’un Milliardaire – Ce Qui Se Passe …
😱Une Fille Sans-Abri Accusée De Sorcellerie Guérit La Fille D’un Milliardaire – Ce Qui Se Passe … une jeune fille…
Nicolas Sarkozy moqué par Bertrand Chameroy pour la sortie de son livre
Nicolas Sarkozy moqué par Bertrand Chameroy pour la sortie de son livre Ce lundi 24 novembre 2025, sur les ondes…
End of content
No more pages to load






