L’amour est dans le pré : La production révèle ce qui a changé dans la sélection des prétendantes depuis le passage de Justine.

La productrice de L’amour est dans le pré révèle en quoi le comportement de Justine, venue pour rencontrer Patrice lors de la saison 18, a modifié la façon dont les prétendantes sont sélectionnées aujourd’hui.

La 19e saison de L’amour est dans le pré bat son plein sur M6. Les speed-datings se succèdent, les arrivées à la ferme s’enchaînent et les premiers bisous sont échangés. Alors que les agriculteurs découvrent leurs prétendants et prétendantes, la productrice Gabriella Mather dévoile ce à quoi elle a fait attention cette année après avoir fait face à un comportement largement critiqué la saison dernière. En effet, le tempérament de Justine, venue jusqu’en Normandie pour son beau Patrice a fait grincer quelques dents, au point d’impacter la manière dont les prétendantes sont sélectionnées aujourd’hui !

L’amour est dans le pré : ce point sur lequel la production redouble de vigilance après la situation entre Patrice et Justine

Rappelez-vous, en saison 18, le touchant Patrice invitait deux prétendantes à la ferme, Véronique finalement partie avec son ami Charles et Justine, au caractère bien trempé. Aujourd’hui, les deux tourtereaux sont toujours ensemble mais l’idylle avait bien failli prendre fin à l’heure du bilan. À la demande de Patrice, Karine Le Marchand avait quelque peu secoué la jeune femme. “Pourquoi tu ne fais pas le repas avant qu’il arrive ?“, “Tu as 35 ans, tu peux travailler à temps plein“, avait lancé celle qui incarne l’émission depuis presque quinze ans. Cette situation a alerté la production qui a redoublé de vigilance cette année. “Je ne dis pas que Justine n’était pas sincère mais on a eu peur cette année des prétendantes qui ne travaillent pas et qui pouvaient très vite s’installer à la ferme”, dévoile Gabriella Mather, la productrice de L’amour est dans le pré, à nos confrères de Télé Poche.

“La partie professionnelle a été renforcée” : la production de L’amour est dans le pré s’assure des motivations des prétendants

La productrice de l’émission précise : “On a un questionnaire dans lequel la partie professionnelle a été renforcée : est-ce qu’elles ont une situation stable, des projets…” Évidemment, ce test ne permet pas de savoir à l’avance si les prétendantes vont se montrer autoritaires ou non. Dans la saison 19 en cours de diffusion, c’est le comportement de Murielle, prétendante de Pascal, qui est pointé du doigt, notamment par les anciens participants à L’amour est dans le pré.

Depuis le passage de Justine dans la saison 18 de L’amour est dans le pré, la production de l’émission a pris conscience de la nécessité de renforcer certains aspects de la sélection des prétendantes. En effet, le caractère fort de Justine, bien que sincère, a soulevé des questions sur les motivations réelles des participantes. Son comportement, jugé autoritaire par certains téléspectateurs, a été un tournant pour la production qui souhaite désormais éviter que de telles situations se reproduisent.

Ce tournant dans la sélection des prétendantes s’explique par un souci d’éviter les déséquilibres dans les relations. Dans un programme où les rencontres se font dans un cadre assez particulier, celui de la ferme, il est essentiel que les candidats partagent des valeurs communes, non seulement sur le plan affectif, mais aussi professionnel. La productrice Gabriella Mather explique que, désormais, une attention particulière est portée à la stabilité professionnelle des prétendantes. L’objectif est de s’assurer qu’elles ne viennent pas uniquement pour une aventure ou, pire, pour s’installer à la ferme sans véritables projets personnels.

Désormais, les questionnaires auxquels doivent répondre les prétendantes incluent des questions plus approfondies sur leur situation professionnelle, leurs ambitions, et leurs projets de vie. Ces éléments sont essentiels pour garantir une cohérence dans la relation qui pourrait se développer avec l’agriculteur. Il ne s’agit pas seulement de s’assurer qu’elles ont un emploi stable, mais aussi qu’elles sont prêtes à s’investir dans une relation sérieuse et respectueuse des deux parties. L’émission, qui met en avant l’amour au cœur de la vie rurale, souhaite éviter les dérives qui pourraient faire de l’émission un simple spectacle plutôt qu’une véritable rencontre de cœur.

Les témoignages des anciens participants illustrent bien cette évolution. Par exemple, Pascal, un agriculteur de cette saison, a été témoin des tensions suscitées par le comportement de Murielle, une de ses prétendantes. Cette dernière, bien que sincère dans ses intentions, a parfois été perçue comme trop insistant dans sa manière de gérer la relation, ce qui a créé des frictions avec les autres candidats. Ces situations ont encore renforcé la vigilance de la production, qui veille désormais à ce que les prétendantes respectent une certaine éthique et ne cherchent pas à perturber l’équilibre de l’émission.

Un autre aspect important de cette évolution est le changement de perception du rôle des prétendantes dans le cadre de l’émission. Ce n’est plus simplement une rencontre entre un agriculteur et une femme à la recherche d’un compagnon, mais aussi un test de compatibilité sur différents plans : émotionnel, professionnel et même psychologique. Le respect mutuel, la communication et la capacité à gérer les conflits sont désormais des critères clés pour évaluer si une relation peut vraiment se construire dans ce contexte particulier.

Le programme a ainsi évolué au fil des années, prenant en compte les retours des téléspectateurs et des anciens participants pour affiner sa sélection. Ce processus, bien qu’invisible à l’écran, permet de garantir que les candidats viennent pour de bonnes raisons, prêtes à vivre une expérience authentique et respectueuse. L’émission, en offrant cette opportunité de rencontre hors des sentiers battus, reste fidèle à son objectif : créer des histoires d’amour sincères et durables, loin des faux-semblants et des dynamiques superficielles. Dans ce contexte, le rôle de la production devient crucial, non seulement pour encadrer les relations, mais aussi pour éviter que des situations conflictuelles ne nuisent à l’image du programme.