Laurent Ruquier né par « accident » : cette phrase assassine que lui disait souvent sa maman.

Laurent Ruquier sinh ra "một cách tình cờ", mẹ cậu bé khẳng định: "Nếu có thuốc, thằng bé đã không ở đây"

Dans l’émission de Frédéric Lopez, “Un dimanche à la campagne”, Laurent Ruquier s’est confié comme rarement sur son enfance.

Frédéric Lopez a ce génie qu’on lui confie des choses qu’on ne confie à personne d’autre. Et ce 15 juin 2025, c’est Laurent Ruquier, d’habitude intervieweur, qui s’est prêté au jeu.

Il était parmi les invités de “Un dimanche à la campagne”, ce dimanche, sur France 2. Et il a raconté un souvenir d’enfance qui va émouvoir beaucoup de ses fans.

En effet, à 62 ans aujourd’hui, Laurent Ruquier ne s’est jamais caché de ses origines modestes. Dernier enfant d’une fratrie de 5 enfants, il a grandi au Havre.

Laurent Ruquier pointé du doigt par sa mère

Et si aujourd’hui, il est un incontournable de la télévision, de la radio, et du théâtre, au sein de sa famille, il n’était pas désiré.

En effet, Laurent Ruquier raconte que sa maman l’a eu “vers 39 ou 40 ans“. Il était “un accident”, comme elle le lui répétait à loisir. En compagnie de la chanteuse Melody Gardot et la comédienne Caroline Anglade, il s’est souvenu qu’il avait “souvent entendu” cette remarque.

Si bien que “Dès qu’il y avait des gens nouveaux à la maison, à un dîner, elle disait ça“, dit-il. La mère de Laurent Ruquier ajoutait aussi “si la pilule avait été là, il ne serait pas là“.

Et s’il avoue bien volontiers “Ce n’est pas très agréable rétrospectivement à entendre”, Laurent Ruquier sait aussi que sa mère n’avait pas les codes de ce qu’il fallait dire et ne pas dire devant les enfants“.

Pourquoi il ne lui en veut pas ?

Si son parcours professionnel dit probablement tout de ce que Laurent Ruquier a cherché, lui, assure qu’il n’en a pas pris ombrage.

Et d’expliquer : “Ce n’était pas méchant de sa part, comme une blague. Et c’était la vérité d’ailleurs. Elle faisait un constat, c’était la réalité. Je ne lui en veux pas, c’est comme ça“. Et de conclure toutefois : “Je ne peux pas dire que cela m’a traumatisé quand elle disait cette phrase, mais avec le recul, je me dis qu’elle n’était pas très adroite“.

Laurent Ruquier né par « accident » : cette phrase assassine que lui disait souvent sa maman

Dans l’émission de Frédéric Lopez, Un dimanche à la campagne, diffusée ce 15 juin 2025 sur France 2, Laurent Ruquier s’est livré comme rarement sur son enfance, offrant aux téléspectateurs un moment de sincérité et d’émotion. Habitué à être celui qui pose les questions, l’animateur, humoriste et auteur s’est cette fois prêté au jeu de la confidence.

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Un parcours hors du commun, depuis Le Havre jusqu’aux plateaux de télévision

Âgé aujourd’hui de 62 ans, Laurent Ruquier est l’une des figures les plus incontournables du paysage audiovisuel français. Animateur de radio dès les années 1980, homme de théâtre, producteur, écrivain et présentateur emblématique de On n’est pas couché, il a marqué plusieurs générations par son ton à la fois impertinent et chaleureux. Mais derrière cette carrière impressionnante se cache une histoire personnelle faite de modestie, de résilience et parfois de petites blessures.

Né au Havre, dans une famille modeste, il est le cinquième et dernier enfant d’une fratrie de cinq. Cette position particulière dans la famille, combinée à l’âge avancé de sa mère au moment de sa naissance — « vers 39 ou 40 ans » — a donné lieu à une phrase récurrente, que Laurent Ruquier a entendue maintes fois dans son enfance.

« Un accident » : la phrase qui revenait comme un refrain

Avec une désarmante franchise, il raconte devant les caméras : « Ma mère me disait souvent que j’étais un accident. Dès qu’il y avait des gens nouveaux à la maison, à un dîner, elle le répétait. » Et d’ajouter, avec un sourire teinté de nostalgie : « Elle disait même : ‘Si la pilule avait été là, il ne serait pas là.’ »

Ces mots, qui pourraient blesser bien des enfants, étaient prononcés chez les Ruquier sans véritable méchanceté. Mais avec le recul, l’animateur admet que ce n’était « pas très agréable à entendre ».

Une époque, d’autres codes

Pour Laurent Ruquier, il ne s’agit pas de reprocher quoi que ce soit à sa mère, mais de constater une différence d’époque et de mentalité. « Elle n’avait pas les codes de ce qu’il fallait dire ou ne pas dire devant les enfants. À l’époque, on ne se posait pas ces questions. On disait les choses comme elles venaient, parfois comme une blague. »

Loin d’y voir un traumatisme, il analyse cette habitude maternelle comme un constat, une vérité énoncée sans filtre. « Ce n’était pas méchant de sa part. C’était la réalité. Je ne lui en veux pas, c’est comme ça. »

Des blessures légères, mais fondatrices

Si l’homme de médias insiste sur le fait qu’il n’en garde pas de séquelles, on peut se demander si ces petites piques, répétées au fil du temps, n’ont pas contribué à forger son caractère. Ambitieux, travailleur acharné et doté d’un humour parfois mordant, Laurent Ruquier a bâti une carrière où il s’est imposé, souvent à force de persévérance et de talent, comme pour prouver sa légitimité.

Cette dynamique est fréquente chez les personnes qui, dans leur enfance, ont ressenti le besoin d’exister davantage aux yeux des autres. Chez lui, cela s’est traduit par une énergie créative et un goût prononcé pour la scène, les mots et le débat public.

Une relation mère-fils empreinte d’humour et de franchise

Malgré cette phrase répétée au fil des ans, la relation entre Laurent Ruquier et sa mère n’a jamais été entachée de rancune. Bien au contraire, il la décrit comme une femme directe, drôle, parfois maladroite, mais toujours aimante à sa manière. « Elle avait son humour, un peu piquant, et moi, j’ai hérité de ça. Peut-être que, quelque part, ces petites phrases ont contribué à mon sens de la répartie. »

Ce regard bienveillant sur le passé témoigne aussi de la capacité de Laurent Ruquier à prendre du recul sur sa propre histoire. « Je ne peux pas dire que cela m’a traumatisé, mais avec le recul, je me dis qu’elle n’était pas très adroite. »

Un témoignage qui résonne chez beaucoup

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En évoquant cet épisode intime, Laurent Ruquier touche un point sensible pour de nombreuses personnes : les paroles des parents, qu’elles soient prononcées à la légère ou non, peuvent laisser une empreinte durable. Son récit rappelle l’importance de la manière dont on s’adresse aux enfants, mais aussi la force du pardon et de la compréhension.

Le public, habitué à voir en lui un homme sûr de lui et à l’aise sur tous les plateaux, découvre ici un visage plus vulnérable, mais aussi plus humain. Ce moment télévisé illustre parfaitement ce qui fait le succès de Un dimanche à la campagne : des confidences authentiques, qui permettent d’entrevoir l’envers du décor des personnalités que l’on croit connaître.