Le Veto “Bombe Atomique” de Meloni : L’Humiliation Totale d’Ursula von der Leyen et la Fin du Rêve Fédéral de l’UE.

Novembre 2025. L’air, dans les couloirs feutrés de la Commission européenne, est plus épais que jamais, chargé d’une tension palpable qui précède les plus grands bouleversements. Au cœur de ce drame politique shakespearien, deux femmes, deux visions du monde, et un enjeu d’une importance historique : le budget pluriannuel de l’Union. Contre toute attente, l’implacable Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a brandi son droit de veto, frappant de plein fouet le Cadre Financier Pluriannuel (CFP) de l’UE pour 2026-2032, un plan de dépenses colossal de 1,2 billion d’euros. Ce n’est pas un simple désaccord politique ; c’est un séisme. C’est la déclaration de guerre d’une nationaliste déterminée contre l’utopie d’un contrôle centralisé, laissant Ursula von der Leyen, la puissante présidente de la Commission, humiliée, stupéfaite et terrassée dans les arcanes du pouvoir.
Ce geste unilatéral a figé des milliards, mis en ruines des politiques phares et exposé une fracture béante au sein du bloc. L’Union européenne, forgée sur le consensus, tremble aujourd’hui sous le poids de la désobéissance d’une seule femme.
Meloni : L’Ascension de la Pyromane Souverainiste
Pour saisir la ferveur et la brutalité de ce veto, il faut remonter aux racines de Giorgia Meloni. Née en 1977 dans la périphérie de Rome, Meloni est l’incarnation d’une colère anti-establishment qui a balayé la vieille garde italienne. Passée par l’aile jeunesse du Mouvement social italien (héritier post-fasciste), elle a fondé Frères d’Italie en 2012. En 2022, elle a orchestré un véritable tremblement de terre populiste, portant son parti de l’ombre au pouvoir avec 26% des voix.
À 48 ans, Meloni n’est pas seulement Première ministre ; elle est devenue la reine populiste de l’Europe, maniant le veto de l’Italie avec la précision d’un gladiateur. Son triomphe n’est pas un accident, mais l’écho du tonnerre du Brexit et le symptôme d’une Europe post-guerre d’Ukraine, fragilisée par la dette (140 % du PIB italien) et l’inflation galopante. Son credo est simple : la souveraineté nationale d’abord.
Le CFP, ce plan septennal qui finance tout, des subventions agricoles à la défense des frontières, a été conçu par Von der Leyen comme son magnum opus, une révolution verte et numérique. Noble en apparence, avec 40 % des fonds alloués à l’action climatique, Meloni y voit un piège, une tentative de Bruxelles de siphonner l’argent des contribuables italiens pour financer des “trous noirs” qui n’apportent aucun bénéfice à son peuple.
Les Trois Piliers de la Vengeance Italienne
Le veto de Meloni ne relève pas d’une simple pique. Il s’agit d’un sabotage stratégique fondé sur trois griefs majeurs qui ont fait monter la pression jusqu’au point de rupture.
1. L’Hypocrisie de la Migration
L’Italie est l’État de première ligne face à la crise migratoire. Meloni accuse Bruxelles d’une « compassion de façade » et d’une hypocrisie insupportable. Le nouveau pacte de Von der Leyen sur la migration et l’asile promettait un partage des charges, mais l’Italie continue de supporter 70 % des arrivées, tandis que ses appels à l’aide sont étouffés.
Malgré les 15 milliards d’euros alloués aux mécanismes de solidarité, Meloni a tonné en réunion du Conseil que l’UE “finance des ONG qui affrètent plus de bateaux pendant que nos îles suffoquent.” Des mémos du ministère des Affaires étrangères italien, obtenus par des sources internes, révèlent le mépris des fonctionnaires de la Commission face aux données romaines concernant les camps débordés de Lampedusa. Ce n’est pas seulement une question d’aide ; c’est une question de dignité nationale et d’équité.
2. Le Naufrage des Fonds Verts
L’ambition climatique de l’UE, avec 450 milliards d’euros pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, est jugée par Meloni comme une « fantaisie ratée ». Les incendies ont ravagé la Sicile, mais les fonds européens s’évaporent dans des “éoliennes allemandes et des arnaques solaires françaises,” dénonce-t-elle. Un audit de 2024, que la Commission aurait tenté d’enterrer, signalait une inefficacité de 30 % dans les subventions vertes – des milliards évaporés chez des consultants et des affidés.
Le comble de l’affront réside dans le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF), qui, selon Rome, a frappé durement les exportations d’acier italien, coûtant au pays 2 milliards d’euros par an. Le mémorandum de veto, transmis secrètement, qualifie cette politique de “guerre économique déguisée en salut.” Pour Meloni, l’argent des Italiens ne doit pas financer la gloire allemande ou française.
3. La Vengeance Personnelle et la Soif de Souveraineté
Derrière la stratégie, des motivations plus sombres se dessinent. Le veto de Meloni, qui bloque paradoxalement 22 milliards d’euros de transferts vers l’Italie, est un pari audacieux pour forcer la renégociation, exiger des clauses d’exception sur les quotas migratoires et rapatrier des fonds pour ses infrastructures nationales.
Mais des sources proches du dossier évoquent également une vendetta personnelle. L’arrestation de son frère en 2023 dans une affaire de corruption a été largement perçue par l’entourage de Meloni comme une ingérence de la Commission par le biais de juges italiens. La vengeance, dans la politique romaine, est un plat qui se mange froid, et Meloni l’utilise comme carburant. Ce veto est son histoire fondatrice pour une Europe post-Union, axée sur la confédération plutôt que sur la fédération.
Von der Leyen : La Reine Déchue et le Chaos à Bruxelles
Face à cette “bombe atomique,” Ursula von der Leyen, l’ancienne ministre allemande de la Défense réputée pour sa colonne vertébrale d’acier, est décrite par ses proches comme « arpentant les couloirs telle une panthère en cage ». Son cercle intime est en pleine panique, cherchant frénétiquement des informations compromettantes sur Rome.
L’autorité de Von der Leyen s’est évaporée en une nuit. Son CFP était censé être un Cheval de Troie pour le fédéralisme, transférant plus de pouvoirs à Bruxelles. Meloni a éventré ce plan. La crise est si profonde qu’elle pourrait déclencher des motions de censure au Parlement européen, notamment de la part du groupe ECR (Conservateurs et Réformistes Européens), où les alliés de Meloni détiennent une influence croissante.
Des rapports de renseignement italiens, révélés plus tard, suggèrent que Von der Leyen aurait autorisé la surveillance des collaborateurs de Meloni, ce qui pourrait être la goutte d’eau déclenchant une procédure de destitution. La présidente, déjà échaudée par les scandales de vaccins en 2020, s’accroche au contrôle comme à une bouée de sauvetage.
Le Champ de Bataille et l’Alliance de la Souveraineté
Le veto italien a instantanément créé deux camps en Europe.
Les Fumeurs : L’Allemagne de Scholz (qui a succédé à l’ancien chancelier), dont la coalition en miettes a désespérément besoin des fonds de migration, fulmine, qualifiant le geste de Meloni de « terrorisme économique ». Emmanuel Macron, éternel showman centriste, soutient Von der Leyen publiquement, tout en lorgnant les voix italiennes pour sa réélection en 2027. L’Espagne socialiste de Sanchez condamne, mais des rumeurs d’abstention agitent déjà Madrid.
Les Cheerleaders : À l’Est, Viktor Orbán, le jumeau idéologique de Meloni, a immédiatement applaudi depuis Budapest, faisant allusion à une « alliance de veto ». Les Pays-Bas et l’Autriche, membres du « Frugal Four », applaudissent secrètement, voyant là une opportunité d’obtenir des concessions budgétaires à leur tour.
Le Veto de Meloni n’est donc pas isolé ; c’est l’étincelle d’une révolte souverainiste généralisée. Des chaînes WhatsApp divulguées au sein des groupes du Parlement européen révèlent la panique : “Si l’Italie part, nous sommes des dominos.”
Conséquences Cataclysmiques et l’Aube d’un Nouvel Ordre

Le CFP exige l’unanimité. Le “Non” de Meloni bloque la ratification et gèle le budget de l’année prochaine. Les conséquences sont immédiates et désastreuses :
Économie : Les rendements obligataires (bond yields) ont bondi de 0,5 % du jour au lendemain. L’euro a chuté à 1,08 contre le dollar. Les modèles de la Banque Centrale Européenne (BCE) prévoient un choc de 1 % du PIB pour l’ensemble du bloc en cas de maintien du veto.
Social : Les agriculteurs des Pouilles se soulèvent face aux retards de subventions. Les îles grecques, sans aide, se préparent à un afflux incontrôlé de migrants. Les fonds de cohésion s’évaporent, condamnant les régions plus pauvres. La grogne des États du Sud, comme la Grèce et le Portugal, monte face au partage inégal des richesses.
Politique : L’élargissement de l’UE est au point mort, enterrant les espoirs d’adhésion de l’Ukraine. Le veto donne le vent en poupe aux forces de droite, présageant une vague ECR lors des élections de 2029, qui pourrait faire basculer le Parlement vers la droite conservatrice. Des rumeurs de référendums sur la souveraineté italienne circulent déjà pour le printemps 2026.
L’article de Meloni n’est pas un bluff. Son discours au palais du Quirinal, diffusé en direct, a fait plus de 5 millions de vues : “Bruxelles oublie que nous avons construit cette Union non pas pour nous agenouiller, mais pour nous tenir debout.”
L’heure est aux manœuvres d’urgence. Von der Leyen tente la politique du « diviser pour régner », courtisant la Suède avec des pactes de sécurité balte pour isoler Rome. Mais Meloni tisse sa toile, un réseau souverainiste discret avec Orbán, Le Pen et Wilders.
L’enjeu n’est plus seulement budgétaire. Il est existentiel. Meloni a exposé “les nouveaux vêtements de l’empereur” en révélant qu’un rapport du GIEC (supprimé) montrait que les émissions de l’UE stagnaient, malgré des centaines de milliards dépensés. Des fonds seraient “blanchis” par des élites de Davos plutôt que livrés aux régions touchées par la sécheresse comme la Toscane.
Alors que les envoyés se déplacent comme des fantômes à minuit dans les bunkers de Bruxelles, la question demeure : Meloni va-t-elle céder en échange de concessions majeures (un fonds pour un mur anti-migration, des opt-outs verts) ou doublera-t-elle la mise, cherchant un levier transatlantique auprès d’un potentiel retour de Trump en 2025 ?
L’Union, forgée sur les cendres de l’après-guerre, se consume sous son propre poids. Les rêves centralisés se heurtent aux battements de cœur nationaux. Von der Leyen fait face à son Rubicon. Si elle riposte sans compromis, elle risque d’entraîner le bloc dans une autocratie que Meloni dénonce. Si elle plie, son mandat est fini. Quoi qu’il arrive, une chose est certaine : le vieil ordre est en train de mourir. Une nouvelle union, plus féroce et plus nationale, sortira-t-elle de ces cendres, ou tout s’embrasera-t-il ? L’histoire ne fait que commencer.
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