Ursula Von der Leyen llamó a los miembros de la UE a reforzar su defensa  para hacer frente a los cambios geopolíticos - Infobae

L’Irlande Déclare la Guerre à Bruxelles : La Crise du « XIT » Expose le Scandale Von der Leyen et le Plan Secret de Migration Massive

L’Europe tremble. L’Élysée est en état de choc. Une tempête politique, économique et sociale d’une violence inouïe secoue les fondations de l’Union Européenne. Au cœur de cet ouragan se trouve l’Irlande, où un mouvement que l’on pourrait appeler le « XIT » – l’appel à quitter l’UE – gagne chaque jour du terrain, porté par un ras-le-bol migratoire qui a atteint un point de rupture. Face à cette révolte populaire, Ursula von der Leyen, la toute-puissante présidente de la Commission de Bruxelles, semble perdre pied, son autorité s’effritant sous le poids d’une crise qu’elle ne parvient plus à contenir par la seule domination bureaucratique.

Mais ce n’est pas seulement l’Irlande qui s’embrase. En France, la charge est menée par Florian Philippot, leader des Patriotes, dont le message de souveraineté a percé le mur du silence médiatique. Un seul de ses posts sur le réseau X a été vu par plus de 50 millions de personnes, un chiffre qui a fait exploser les réseaux sociaux et révélé l’ampleur d’une colère populaire jusque-là sous-estimée. Tandis que les médias dits “mainstream”, de France Télévisions au Monde, persistent dans un mutisme assourdissant sur ce séisme politique, la question que tout le monde se pose est simple, mais existentielle : est-ce le début de la fin pour l’Union Européenne ?

L’Ultimatum de Bruxelles : La Souveraineté Foulée aux Pieds en Irlande

Pour comprendre l’intensité de la crise actuelle, il faut remonter au 3 juillet 2025. Cette date restera gravée comme le jour où la justice irlandaise, agissant pour la protection de ses propres citoyens, a déclaré qu’il n’existait « aucune obligation légale d’accueillir des demandeurs d’asile au détriment des citoyens ». C’était un acte fort, une affirmation de souveraineté nationale face à la pression constante de l’Union. Dans une confession choc, le ministre irlandais de l’intégration admettait d’ailleurs que le pays était « saturé » après l’afflux de migrants ukrainiens et qu’il ne pouvait « plus accueillir qui que ce soit ». Le message était limpide : l’Irlande voulait reprendre le contrôle de son destin.

La réponse de l’UE fut immédiate et brutale. Dès le lendemain, 4 juillet, des juges européens, depuis le confort de leurs bureaux de Bruxelles, cassaient la décision irlandaise. Leur ordre ? Catégorique et sans appel : « Vous devez fournir des logements aux migrants que vous le vouliez ou non. »

Cet épisode est d’une violence démocratique rare. Il n’y a eu ni vote, ni débat, juste une « domination brute » imposée par une entité non élue. Même les précisions apportées par les tribunaux irlandais, soulignant que les demandeurs d’asile ne vivaient pas dans des conditions inhumaines mais simplement avec des contraintes matérielles, n’ont pas fait fléchir l’intransigeance de Bruxelles. La directive était claire : « Obéissez, même si cela nuit à votre peuple. »

Imaginez la scène : vos villes au bord de la faillite, vos hôpitaux débordés, vos citoyens contraints au sans-abri, et l’Union Européenne vous répond : « Peu importe. » Cet abus de pouvoir n’est pas un cas isolé, mais une démonstration de force qui résonne dans toutes les capitales. Si Bruxelles peut imposer cela à l’Irlande, une nation insulaire et historiquement neutre, qu’est-ce qui l’empêche de le faire à la France ? À l’Allemagne ? À votre propre commune ?

Le Cri des 50 Millions : Philippot Brise le Mur du Silence

C’est dans ce contexte de fureur irlandaise que Florian Philippot a frappé au cœur de l’Union. Son post retentissant sur X, vu par cinquante millions de personnes, n’était pas qu’une simple opinion ; c’était un acte de guerre symbolique contre la Commission. Il a dénoncé avec force une Union qui a cessé d’être une communauté d’États pour devenir un « monstre bureaucratique qui écrase la souveraineté des nations ».

La colère du peuple irlandais a explosé en pleine lumière. À Dublin, les rues ont été envahies par des manifestants – parents, étudiants, retraités – scandant : « Mort à la bureaucratie ! Non à la migration imposée ! » Il ne s’agit pas d’une frange extrémiste, mais du peuple dans son ensemble qui réclame sa voix.

Ursula von der Leyen, la « reine de Bruxelles », a réagi avec une froideur glaciale, martelant que « la solidarité n’est pas une option ». Une traduction sans fard de : « Taisez-vous et obéissez. » Ses alliés à Bruxelles ont renchéri, affirmant que le logement des migrants est une obligation européenne, pas une question nationale. En clair, les électeurs n’ont pas leur mot à dire.

Pourtant, la panique est palpable. Le Parlement irlandais, en quelques heures, a censuré plus de 2 000 commentaires critiques en ligne. Les médias publics ont refusé de relayer le message incendiaire de Philippot, mais cela n’a servi qu’à renforcer sa crédibilité : 50 millions de personnes l’ont vu, déjouant le système de censure habituel.

Il y a dix-huit mois, Von der Leyen et ses acolytes se moquaient de figures comme Philippot, leur disant d’« [s’occuper] de [leur] petite politique ». Aujourd’hui, l’homme qui a fait de X une arme pour la liberté d’expression voit plus clair que tous. Il dit tout haut ce que des millions de citoyens pensent : l’UE mène une guerre contre les nations, déguisée en vertu et imposée par la peur. Et aujourd’hui, Bruxelles a peur de lui. Car lorsque la parole est libérée, l’histoire montre que les élites perdent.

Le Scandale : Des Milliards de Vaccins aux 10 Millions de Migrants

La crise irlandaise n’est que la partie visible d’un dysfonctionnement systémique. Comme l’a révélé Philippot, « Le système n’est pas cassé, il fonctionne comme il a été conçu, et c’est pourquoi il doit être démantelé. »

Cette crise dépasse de loin la simple question du logement. Elle a servi de catalyseur pour révéler des chiffres accablants : l’UE compte 4,3 millions de migrants sous protection temporaire, et 147 milliards d’euros ont été dilapidés sans aucun plan viable pour gérer un séjour qui, de temporaire, devient permanent.

Le plus alarmant, ce sont les documents ayant fait l’objet de fuites qui montrent que Bruxelles prépare l’arrivée de dix millions de migrants supplémentaires d’ici 2030, vague après vague, sans plan d’intégration, sans responsabilité et, bien sûr, sans consulter les peuples. Et qui est le seul à payer l’addition ? Toujours le contribuable.

Les témoignages humains sont déchirants. Écoutez Sarah Murphy, infirmière à Cork : « Je paye des impôts depuis 20 ans. Ma fille ne trouve pas de logement, mais on construit des centres pour des gens arrivés hier. » Michel O’Riley, un ancien combattant irlandais, s’est vu refuser une demande de logement tandis qu’un hôtel voisin était réquisitionné pour des demandeurs d’asile. Même l’Irish Times, un journal loin d’être populiste, a été contraint d’admettre que la position de l’UE, bien que « juridiquement défendable », est « politiquement explosive ».

L’explosivité est d’autant plus grande que l’opacité et l’arrogance d’Ursula von der Leyen sont mises à nu. Rappelez-vous : en 2025, elle a survécu à une motion de censure au Parlement européen, malgré des critiques massives. Pourquoi ? Parce que le système la protège. Cette motion était liée au scandale des vaccins, des milliards d’euros dépensés pour des doses inutilisées. La Commission refuse toujours de publier les SMS échangés entre Von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla. La Cour de justice européenne a même jugé que la Commission violait ses obligations de transparence, soupçonnée d’avoir détruit des documents pour éviter toute responsabilité.

Non contente de bafouer la transparence, l’UE instrumentalise désormais la loi. Le Digital Services Act (DSA), présenté comme un outil de régulation, est utilisé pour influencer les élections et réduire les critiques au silence, comme en France et en Roumanie où il sert à contester des résultats électoraux. Il ne s’agit plus de défendre la démocratie, mais bien de l’attaquer, comme l’a si justement qualifié Victor Orban, parlant d’une véritable « catastrophe ».

La France, le Maillon Faible de la Soumission

Socialdemocratici e liberali pronti ad appoggiare von der Leyen, aprono  anche i Verdi. Si chiude lo spazio per l'alleanza a destra - Eunews

La révolution qui se profile ne se limite pas aux côtes irlandaises. Les chiffres ne mentent pas : pour la première fois depuis l’adhésion de l’Irlande à l’UE, le soutien à l’Union chute sous les 50 %. Mais c’est en Europe continentale que le vent tourne le plus violemment. En France, 41 % des citoyens veulent désormais un référendum sur un Frexit. Aux Pays-Bas, 43 % soutiennent un « exit ». En Pologne, 38 % envisagent un « Polexit ». Ces chiffres sont en hausse constante et proviennent non pas de marginaux, mais d’enseignants, d’ingénieurs et de parents épuisés d’être gouvernés par des bureaucrates non élus qui semblent mépriser la volonté populaire.

En France, la colère gronde, et elle se focalise sur l’Élysée. Emmanuel Macron promettait en 2024 que l’on verrait « du changement cet été ». Que voyons-nous ? Des prix qui explosent, une insécurité croissante et un État qui perd le contrôle de ses frontières et de ses budgets. Une enquête récente montre que seuls 22 % des Français constatent une amélioration sous Macron. Même au sein de son propre parti, Renaissance, le soutien s’effrite.

Pourquoi ? Parce que Macron est perçu comme le prolongateur des politiques de soumission à Bruxelles. Il parle de réforme, mais plie dès que Von der Leyen siffle. L’exemple de l’Ocean Viking en 2023 reste dans toutes les mémoires, où la France avait été forcée d’accepter des quotas migratoires après une confrontation avec l’UE, un épisode que Philippot avait dénoncé comme un abandon de la souveraineté française au profit des politiques migratoires imposées par Bruxelles.

Aujourd’hui, l’économie française est également sous le joug. Le secteur automobile, fleuron de notre industrie, est sacrifié sur l’autel de l’accord douanier de Von der Leyen avec les États-Unis. Cet accord impose 15 % de taxes sur les exportations européennes, tandis que l’UE renonce à taxer les produits américains. Qui paie la note de cette concurrence déloyale ? Le contribuable et l’ouvrier français.

Face à cela, le paysage politique traditionnel est à l’arrêt : Les Républicains restent silencieux, Renaissance incarne l’indécision et les Écologistes prônent l’idéologie. Seuls Les Patriotes, menés par Florian Philippot, parlent clair. Une enquête indique que 26 % des Français pensent désormais que Les Patriotes pourraient devenir une force majeure aux prochaines élections, rivalisant avec les partis traditionnels. Pourquoi ? Parce que Philippot parle directement au peuple, dénonçant un Élysée qui obéit à Bruxelles au détriment des Français.

Le vent de la révolte qui a soufflé de Dublin jusqu’à Paris n’est pas passager. Il est le signe d’une fracture profonde entre une élite bruxelloise déconnectée, opaque et autoritaire, et des nations qui réclament, avec une ferveur grandissante, le droit fondamental de décider de leur propre destin. La question n’est plus de savoir si l’Union Européenne survivra, mais sous quelle forme elle le fera. Le message de l’Irlande, répercuté par 50 millions de voix en France, est un avertissement que les élites feraient bien de ne plus ignorer.