« L’Italie n’est pas votre terrain de jeu » : Meloni lance un ultimatum fracassant à Von der Leyen et agite le spectre de l’ItalExit.
Depuis Rome, une onde de choc souverainiste traverse l’Europe, menaçant de fissurer l’Union jusqu’à ses fondations. Sous la houlette de sa Première ministre, Giorgia Meloni, l’Italie, autrefois considérée comme le « paillasson » de l’Europe face aux flux migratoires, a déclaré unilatéralement la guerre à la migration illégale. Cette offensive, menée avec une détermination militaire, n’est pas seulement une politique intérieure ; c’est un signal clair et incendiaire à Bruxelles : l’ère des compromis est terminée. La crise atteint désormais son paroxysme, transformant une dispute frontalière en une confrontation idéologique pour l’identité même de l’Europe, un duel qui fait planer la menace concrète d’un « ItalExit ».
La Doctrine Meloni : Fermeté Militaire et Frontières Externalisées
L’Italie est passée des paroles aux actes avec une rapidité et une fermeté sans précédent. Le gouvernement de Giorgia Meloni a transformé la Méditerranée en une zone de défense militaire, engageant l’armée pour s’attaquer directement aux réseaux de passeurs et aux bandes criminelles. La stratégie est brutale et efficace : les bateaux sont repérés, repoussés, et dans certains cas, neutralisés, les moteurs étant délibérément détruits ou jetés à la mer.
Ce durcissement s’est accompagné de nouvelles lois sur la protection des frontières, dont la plus spectaculaire est l’« exportation » du contrôle frontalier directement sur le continent africain. L’Italie investit cinq milliards d’euros par an – un contraste saisissant avec les 1,5 milliard dépensés par l’Allemagne, pourtant à la puissance économique double – dans des navires de guerre, des drones et des accords bilatéraux avec des pays comme la Libye et la Tunisie. Ces millions sont injectés pour former les gardes-côtes locaux et stopper les départs à la source, une approche pragmatique qui a porté ses fruits : les entrées illégales ont chuté de 60 %, passant de 157 000 à 66 000 en 2024, un succès que même ses détracteurs ne peuvent ignorer.
Parallèlement, Meloni a ciblé les organisations non gouvernementales (ONG) de sauvetage en mer, les accusant d’être un « facteur d’attraction » pour les passeurs. Les navires autrefois célébrés comme le Sea Watch 3 se retrouvent bloqués, les capitaines et équipages menacés d’amendes de plus de 900 000 euros ou même de peines de prison. Un nouveau code de conduite restreint sévèrement leurs opérations. En septembre 2025, le navire Aurora de Sea Watch a été détenu pendant 60 jours en Sicile, un signal clair que l’Italie ne tolérera plus l’ingérence d’acteurs privés dans sa politique migratoire.
Le projet le plus controversé reste cependant la mise en place de centres de rétention en Albanie, une enclave italienne sur un territoire étranger. Ces installations, notamment à Gjader et Schengjin, étaient censées traiter jusqu’à 6 000 demandes d’asile par an. Initialement prévus pour un coût de 700 millions d’euros sur cinq ans, les coûts de construction ont littéralement explosé, atteignant presque le double des prévisions, suscitant l’ire des contribuables italiens.
Le Coup de Marteau Judiciaire et la Riposte Politique
L’ambition de Meloni s’est heurtée à un obstacle de taille : la bureaucratie et le système judiciaire européens. En août 2025, la Cour de justice de l’UE (CJUE) a porté un coup majeur en jugeant illégale la liste italienne des « pays sûrs » (comme l’Égypte ou le Bangladesh). Cette décision a rendu les transferts vers l’Albanie presque impossibles, réduisant le projet à une coquille vide. Meloni a « fulminé », dénonçant un jugement qui « affaiblit les politiques contre l’immigration illégale ».
Pourtant, cette défaite a été la prélude à la bataille la plus importante : la confrontation directe avec l’Union européenne sur le nouveau Pacte Migratoire.
Ce plan, qualifié d’« audacieux » par Bruxelles, contenait la goutte d’eau qui a fait déborder le vase italien : un mécanisme de solidarité obligatoire. Ce mécanisme impose des quotas de migrants à chaque État membre, sans négociation. Le Pacte prévoyait également la création d’une Chambre Européenne d’Asile au Luxembourg, capable d’annuler les décisions nationales. Pour Rome, c’était la preuve que l’UE, dirigée par une bureaucratie « non élue » comme la Commission d’Ursula von der Leyen, cherchait à usurper la souveraineté nationale.
Meloni a immédiatement rejeté ce plan, le qualifiant d’« affront à la démocratie italienne ».
Le Conseil Européen : L’Italie n’est pas le terrain de jeu de l’Allemagne
La véritable bataille pour l’âme de l’Europe s’est déroulée au Conseil Européen, où le ton est monté avec une rare intensité. Le chancelier allemand Friedrich Mertz, héritier d’une certaine arrogance berlinoise, a déclaré sans retenue : « L’Italie doit comprendre sa place dans l’ordre européen ».
Ce fut une « gifle » pour l’Italie, mais Meloni a riposté avec une phrase qui est instantanément devenue un cri de ralliement national : « Monsieur Mertz, l’Italie n’est pas le terrain de jeu de l’Allemagne. Nous sommes un pays avec une histoire millénaire ». Selon des initiés, Mertz fut « sans voix », tandis que d’autres délégués souriaient, signalant que l’axe du pouvoir en Europe s’est déplacé, non plus vers le centre technocratique de Bruxelles ou le pouvoir économique de Berlin, mais vers les nations souveraines.
En amont de cette confrontation, Meloni avait réalisé un « coup d’échec » stratégique. Elle a laissé fuiter la nouvelle que l’Italie prévoyait d’accueillir 500 000 travailleurs étrangers d’ici 2028. Ce faisant, elle a divisé la gauche européenne, qui ne pouvait plus l’attaquer simultanément pour être anti-migration et anti-travailleurs. C’était un coup de maître qui alliait fermeté migratoire et pragmatisme économique, dont l’Italie, avec ses besoins en main-d’œuvre pour l’agriculture et le tourisme, a tant besoin.
La Menace d’ItalExit et la Rébellion des Nations
Le choc a immédiatement trouvé un écho national et international. En Italie, le soutien à Meloni a atteint 77 %. Le patriotisme est redevenu un mot noble, les syndicats eux-mêmes se rangeant derrière leur Premier ministre pour « défendre la patrie ».
L’effet domino est immédiat. La Hongrie de Viktor Orban, la Pologne, et la Tchéquie se sont déclarées solidaires, Orban allant jusqu’à qualifier Meloni de « défenseur des nations européennes ». En France, la ligne de fracture est également apparue au grand jour : tandis qu’Emmanuel Macron a « cédé sous la pression allemande » et s’est positionné contre Meloni, Marine Le Pen a sauté sur l’occasion, dénonçant la « loyauté de Macron » allant non pas à la France, mais à Bruxelles.
Face à cette rébellion, la Commission européenne, le visage de cette crise, a répliqué avec des menaces dignes d’une crise constitutionnelle. Ursula von der Leyen a brandi le spectre des sanctions, du gel des fonds de l’UE, et même de l’Article 7, la clause nucléaire qui pourrait priver l’Italie de ses droits de vote. Mais loin d’affaiblir Meloni, cela n’a fait que renforcer son « récit victimaire » : les sondages montrent qu’une menace extérieure immédiate double le nombre d’Italiens se ralliant à leur gouvernement.
L’humeur bascule en Italie. Il y a six mois, l’idée d’un référendum sur la sortie de l’UE (ItalExit) était à peine audible. Aujourd’hui, 42 % des Italiens y sont favorables. Une sortie de l’Italie, dont l’économie est trois fois plus importante que celle de la Grèce, provoquerait un véritable « tremblement de terre » économique et politique. À Rome, à Milan, les analystes mettent en garde contre un effet domino sur les marchés. Les réseaux sociaux s’enflamment avec les hashtags #ItalExit et #MeloniaRaison.
La panique gagne Bruxelles. Un conflit avec l’Italie mettrait en péril des alliances cruciales en matière de défense, de migration, et de numérisation. Même au sein du Parti Populaire Européen (PPE), la plus grande faction du Parlement, les députés italiens se rangent derrière leur Première ministre, désavouant la direction du parti qui s’accroche à Von der Leyen.
La confrontation entre Rome et Bruxelles n’est pas qu’un différend sur des quotas ; c’est une bataille pour l’identité, le contrôle et l’avenir de l’Europe. La question n’est plus de savoir si l’Italie fera marche arrière, mais qui cédera le premier : Meloni ou la bureaucratie de Bruxelles. Si les États exigent leur souveraineté, le grand projet européen tel que conçu après la Seconde Guerre mondiale est-il condamné à l’échec ? La réponse se trouve dans l’issue de ce conflit qui secoue l’Europe comme un ouragan. Meloni, armée de la volonté populaire et de sa détermination, a mis le doigt dans l’engrenage du changement, forçant l’Union à regarder en face ses faiblesses incurables.
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