Mon Travail Était De Coucher Avec Des Chiens – Le Côté Obscur de Travailler En Arabie Saoudite !

Chaque année, des milliers de mères et de pères quittent leur foyer, laissant derrière eux l’être le plus cher, dans l’espoir d’une vie meilleure pour leur famille. Ces voyages sont souvent pavés de sacrifices, mais pour Sabina, mère tanzanienne de trois enfants et entrepreneure, le voyage vers l’Arabie Saoudite s’est transformé en un cauchemar dont l’horreur dépasse l’entendement. Poussée par l’amour et le désir d’assurer un avenir décent à sa progéniture, elle a accepté un emploi de femme de ménage. Ce qu’elle a découvert derrière les portes closes des foyers saoudiens n’était pas un simple travail domestique, mais un abîme de violence, de harcèlement, et finalement, une exigence d’une inhumanité sidérante : coucher avec des chiens. Son récit n’est pas seulement un témoignage de l’obscurité du monde, mais une ode à la résilience, au courage et à la force inébranlable d’une mère déterminée à survivre pour ses enfants. Si vous pensez que la détermination peut tout surmonter, l’histoire de Sabina est celle qui vous fera reconsidérer la définition même de la ténacité.
La Première Cage : Harcèlement, Trahison et Brutalité
Le début de son contrat, dans une grande maison abritant un mari, sa femme et leurs fils adultes, a apporté deux ou trois semaines d’accalmie, avant que l’atmosphère ne devienne nauséabonde. Sabina, ayant laissé son passeport confisqué à l’entrée du pays – une pratique courante qui piège les travailleuses migrantes – s’est rapidement retrouvée confrontée aux avances incessantes du mari. Elle le trouvait allongé, cherchant le contact, la touchant, et elle était horrifiée. Dans un pays où la loi pourrait la condamner à mort ou à la honte si elle était « surprise » avec l’époux d’une autre, refuser était un jeu dangereux. Sabina a choisi l’ignorance, le refus obstiné, sans jamais céder.
Les patrons ont alors mis en place une véritable torture psychologique. L’homme, frustré par ses refus, a commencé à l’ignorer, à la saluer par un silence méprisant et à dénigrer toute tâche accomplie, même si elle était bien faite. L’objectif était clair : la frustrer, la briser mentalement, la pousser à l’erreur ou au départ. Mais Sabina, concentrée sur son objectif, celui de ne pas être renvoyée sans un sou, a tenu bon. L’horreur a continué, s’étendant à la génération suivante. Lorsque le père a finalement cessé ses avances, son fils de 32 ans a pris le relais. Ironiquement, cet homme, qui a commencé par être le seul de la maison à lui montrer de la gentillesse et à lui parler de la vie, a rapidement révélé sa nature de prédateur. Une nuit, il est entré dans sa chambre, la surprenant alors qu’elle venait de prier. Choquée, elle l’a réveillé, le sommant de partir sous la menace de crier à l’aide. Il s’est excusé, promettant que cela ne se reproduirait plus. Sabina, avec une compassion maternelle, l’a guidé « comme j’aurais guidé mon jeune frère ».
Toutefois, la découverte de cette “relation” ou de cette proximité naissante a conduit à une escalade de la violence. La famille, se sentant trahie ou déshonorée, a organisé une réunion pour décréter qu’absolument personne ne devait plus parler gentiment à la femme de ménage. L’ordre était de lui parler « durement, avec pression, et de me traiter avec mépris ». Ils voulaient la briser. Le père de famille, l’homme même qui l’avait initialement harcelée, l’a traînée et l’a battue brutalement. Les coups, les gifles, les insultes, la dégradation… l’agression a atteint son paroxysme lorsque l’homme a « appelé des bandits pour essayer de me tuer ». Terrifiée, seule, loin de sa Tanzanie natale, Sabina a compris que sa vie ne tenait qu’à un fil. Elle devait partir.
La Demande Inhumaine : “Coucher Avec Des Chiens”
La demande de transfert de Sabina, motivée par la peur de la mort, était un pari risqué. Elle espérait échapper à son environnement toxique, mais les anciens propriétaires, mus par une haine vindicative, avaient déjà agi. Ils avaient répandu de fausses rumeurs sur elle au point que sa nouvelle patronne n’en voulait plus. Cependant, la dame a fait preuve d’une once de gentillesse, la transférant vers un tout autre foyer, après lui avoir donné l’illusion de l’aider et une semaine de repos bien méritée. La nouvelle maison semblait agréable, la chambre confortable. Ce répit, cette semaine de « manger et ne rien faire », contrastait si violemment avec la torture précédente qu’il lui a donné un faux sentiment de sécurité.
Le lendemain du départ du travailleur masculin, le patron l’a appelée dans sa chambre. La question qu’il lui a posée – « Tu sais quel est le travail pour lequel tu es venue ici ? » – a immédiatement suscité le doute en elle. N’est-il pas évident qu’une femme de ménage est là pour le ménage, la lessive, la cuisine ? L’homme l’a conduite à travers sa petite entreprise d’élevage : poissons, canards, pigeons… et enfin, la maison des chiens. C’est là, dans cette petite maison propre, conçue pour des humains, où résidaient quatre chiens, qu’il a lâché la bombe : « Je t’ai amené ici pour dormir avec ces chiens ».
Sous le choc, son esprit a d’abord perçu cela comme une mauvaise blague. Elle a accepté rapidement, pensant que son nouveau travail serait simple : s’occuper des chiens, les nourrir, les nettoyer. Le terme « dormir avec » a été pris au sens littéral, un travail facile. Mais la réalité s’est révélée cent fois pire. Quelques jours plus tard, quelque chose d’étrange s’est produit : les chiens ont commencé à chercher à avoir des activités sexuelles avec elle. L’un d’eux est venu et a commencé à lui lécher le derrière et les jambes. Terrifiée, elle a immédiatement cherché à parler à son employeur.
La réponse de l’homme fut un ricanement horrifiant. « Ces chiens ont aussi des sentiments comme les humains et ont des désirs », lui a-t-il dit avec un visage impassible, comme si la chose était naturelle. Il a ensuite brisé le dernier mur de l’horreur : « je ne parlais pas seulement de dormir avec eux, mais aussi d’avoir des relations sexuelles ». Le travail qu’il exigeait n’était rien de moins que la zoophilie forcée, et avec quatre mâles. La terreur qui a envahi Sabina était absolue. Elle ne pouvait pas imaginer comment un être humain pouvait même concevoir une telle abomination, et encore moins l’imposer à une autre personne sans son consentement.
L’Intelligence au Service de la Survie et de la Liberté
Face à l’impensable, Sabina a fait preuve d’une intelligence et d’un sang-froid incroyables. Son premier réflexe, après la sidération, fut de gagner du temps pour planifier sa fuite. Au lieu de refuser catégoriquement, ce qui aurait pu déclencher une nouvelle vague de violence ou son renvoi immédiat, elle a imploré deux jours pour « s’habituer à l’idée ». Une fois ces deux jours écoulés, elle est revenue avec une excuse encore plus efficace : elle avait ses règles et avait besoin de deux semaines pour « se rétablir ». Le patron a accepté sans problème. Ces deux semaines étaient son seul espoir de liberté, un temps précieux qu’elle a utilisé pour se familiariser avec le quartier.
Sa première tentative de fuite fut brutale. Profitant de l’absence de son employeur, elle a rassemblé ses affaires, ignorant qu’il avait laissé des gardes. Elle a été attrapée, ramenée, et enfermée dans une pièce nauséabonde, sans air. À son retour, l’homme l’a battue violemment, la blessant et la faisant saigner, avant de lui dire que c’était son « premier et dernier avertissement ».
Cette humiliation n’a fait que renforcer sa détermination. Elle s’est jurée de ne plus tenter de fuir, d’obéir à toutes les demandes, pour regagner leur confiance. C’est là que réside sa plus grande force mentale. Une fois guérie, elle a annoncé qu’elle était prête à « travailler avec les chiens comme il l’avait demandé ». Elle a discuté avec la femme du patron le soir, puis a rassemblé ses affaires, réussissant, sous la surveillance constante des caméras, à les faire sortir de la maison et à les cacher.
Le lendemain matin, armée de son plan, elle a dit au patron qu’il n’y avait plus de provisions et qu’elle savait où en acheter. Il lui a donné de l’argent. C’était l’ouverture qu’elle attendait. Elle est sortie, a récupéré ses bagages et, sans un regard en arrière, s’est dirigée vers les autorités. Là, elle a tout raconté, les deux foyers, la violence, le harcèlement, et l’exigence des chiens. Les autorités, ne revenant pas de ses révélations, l’ont aidée immédiatement. Elles lui ont rendu son passeport, lui ont donné deux millions de shillings tanzaniens, et lui ont acheté un billet de retour.
Le Triomphe de la Mère : Rentrer Chez Soi
Toute cette brutalité, toute cette inhumanité n’a pas réussi à briser Sabina. Sa détermination à retrouver ses enfants était son bouclier, sa plus grande force. Accueillie chaleureusement par sa famille et ses enfants qui ignoraient tout de son calvaire, elle a pu enfin souffler, vivante. Son histoire est un témoignage puissant des dangers extrêmes qui guettent les travailleuses migrantes, souvent mal informées par des courtiers véreux qui omettent la « réalité de la vie là-bas ».
Le récit de Sabina nous rappelle que la dignité humaine n’est pas négociable, même dans les circonstances les plus sombres. Son courage et son sang-froid lui ont permis d’éviter la mort et une dégradation qui aurait marqué son âme à jamais. Elle est revenue pour transmettre la leçon la plus vitale : l’abandon n’est jamais une option quand des êtres chers attendent. Il n’existe pas de héros plus grand qu’une femme prête à tout endurer pour survivre et rentrer chez elle, peu importe combien ce monde tente de l’écraser. Son triomphe est un message d’espoir et de survie pour toutes celles qui luttent dans l’ombre.
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