Mort de Nadège dans le Var : “décès bizarre”, “zones d’ombre”, témoignage troublant du dépanneur… qu’est-il arrivé à la mère de famille ?

Si le corps de Nadège Klopcic a été retrouvé sans vie ce mardi 11 novembre près d’une voie ferrée, le mystère reste entier quant aux circonstances et causes du décès de la femme de 46 ans.

Le corps de Nadège Klopcic, 46 ans, a été retrouvé sans vie près d’une voie ferrée à Carnoules, dans le Var, deux jours après sa disparition. Après avoir d’abord ouvert une enquête pour “disparition inquiétante”, le parquet a requalifié les faits en “recherche des causes de la mort”, signe que de nombreuses zones d’ombre subsistent dans cette affaire.

Tout commence le dimanche 9 novembre. Nadège passe la journée avec son compagnon, son beau-fils et des amis. Sur la route du retour, près de Pignans, leur voiture heurte un terre-plein et doit être remorquée. Tandis que son compagnon et le jeune homme rentrent par leurs propres moyens, Nadège reste sur place pour régler les formalités avec le dépanneur et appelle une amie afin d’être raccompagnée. Finalement, la mère de famille aurait indiqué à celle-ci qu’elle prendrait le train de 18 heures. Elle disparaît ensuite sans laisser de trace. Son téléphone borne pour la dernière fois autour de la gare de Carnoules.

Ce n’est que le mardi 11 novembre, en fin d’après-midi, que le corps de Nadège est finalement retrouvé près des voies, entre Cuers et Le Luc, à environ deux kilomètres de la gare de Pignans. D’après le parquet, les premiers éléments pointent vers un “décès accidentel”. Le procureur adjoint, Guy Bouchet, précise toutefois à Var-Matin qu’aucun “polytraumatisme” n’a été relevé et que “le corps ne porte pas de trace de violence” : la victime n’a donc “pas été percutée par un train”, malgré la découverte de la dépouille près de la voie ferrée.

“Il y a des zones d’ombre dans cette histoire”

L’affaire se complique toutefois avec la médiatisation, qui fait émerger des versions divergentes à propos des heures précédant la disparition. Le dépanneur, visé par des messages agressifs, a accepté de s’exprimer dans Var-Matin. Il affirme avoir demandé au couple s’ils avaient une solution pour rentrer. Selon lui, le compagnon a refusé de contacter son assurance, expliquant qu’”il n’y avait pas droit”. Il assure aussi qu’il restait de la place dans sa dépanneuse, contredisant les déclarations des proches, et affirme que le couple lui aurait dit qu’on viendrait les chercher : “Ils ont refusé. Ils m’ont dit : ‘Ne vous inquiétez pas, des personnes vont venir nous récupérer bientôt’”.

Face aux critiques qui visent Fabrice, le compagnon de Nadège, l’un de ses amis, Guillaume, a tenu à le défendre sur Facebook, le décrivant comme un homme “gentil et bienveillant”. Contacté par Var-Matin, il rejette l’idée que Fabrice aurait laissé Nadège dans un lieu qu’il savait dangereux.

Mais certains proches de la quadragénaire doutent. Nathalie, son amie et marraine de l’un de ses enfants, confie à BFM Var que cette mort lui “paraît bizarre” et dit penser qu’”il y a des zones d’ombre dans cette histoire”. Une autre amie rapporte que Nadège l’a appelée à trois reprises pour qu’elle vienne la chercher, avant de la rappeler brièvement à 17h54 : “C’est bon. On prend le train”. Après cela, plus aucun contact.

Le mystère demeure donc autour de ce décès encore inexpliqué, que seule l’autopsie pourra peut-être éclaircir. Elle doit être pratiquée dans les prochains jours. Dans l’attente des résultats, une cagnotte a été ouverte pour couvrir les frais d’enterrement.

La Mort de Nadège Klopcic : Un Mystère qui Continue d’Interroger

La disparition de Nadège Klopcic, une mère de famille de 46 ans, plonge ses proches et les habitants du Var dans une profonde stupéfaction. Après que son corps ait été retrouvé près des voies ferrées de Carnoules, le mystère entourant sa mort reste entier. Bien que le parquet ait initialement ouvert une enquête pour disparition inquiétante, la requalification en “recherche des causes de la mort” indique que des zones d’ombre persistent et que les circonstances de cette tragédie sont loin d’être claires.

Le dimanche 9 novembre, Nadège passe une journée ordinaire avec son compagnon, son beau-fils et des amis. Cependant, ce qui semblait être une journée sans histoire se transforme en un drame inattendu lorsque leur voiture heurte un terre-plein sur la route de Pignans, nécessitant un dépannage. Tandis que son compagnon et son beau-fils prennent le chemin du retour, Nadège reste sur place pour régler les formalités avec le dépanneur. Elle appelle une amie pour lui faire savoir qu’elle prendrait le train de 18 heures. Mais après cet appel, Nadège disparaît sans laisser de trace, son téléphone ne captant plus aucun signal, sauf autour de la gare de Carnoules, à 17h54.

Le mardi 11 novembre, son corps est retrouvé près des voies ferrées, dans un endroit isolé, entre Cuers et Le Luc, à environ deux kilomètres de la gare de Pignans. Bien que les premières investigations aient orienté les enquêteurs vers un décès accidentel, aucun signe de polytraumatisme ou de violence n’a été relevé sur le corps. Le procureur adjoint, Guy Bouchet, a précisé que la victime n’avait pas été percutée par un train, malgré la proximité de la voie ferrée. Pourtant, la question demeure : comment Nadège est-elle morte ? Était-elle seule lorsque cela s’est produit ?

L’affaire prend un tournant avec l’interview du dépanneur, un homme désormais sous le feu des critiques. Selon lui, le compagnon de Nadège aurait refusé l’aide de l’assurance, expliquant qu’il “n’y avait pas droit”. Il affirme également que de l’espace restait dans son véhicule de dépannage, contredisant ainsi les témoignages des proches qui évoquaient la possibilité de laisser Nadège sur place. Le dépanneur raconte que le couple lui aurait dit que des amis venaient les chercher, mais il n’a pas été précisé si ces “amis” étaient véritablement au courant de la situation.

Les proches de la victime, notamment son amie Nathalie, remettent en question ces versions et évoquent des “zones d’ombre”. Nathalie, qui connaissait bien Nadège, confie que la situation lui semble suspecte et qu’elle n’arrive pas à comprendre comment Nadège aurait pu se retrouver seule, dans un endroit si éloigné. Des amis de la victime affirment que Nadège avait bien l’intention de prendre le train, mais pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Les témoins affirment qu’elle était en contact avec eux jusqu’à peu avant sa disparition, ce qui alimente encore plus l’incompréhension.

Un autre élément troublant est la présence de témoins qui affirment avoir vu Nadège parler à des inconnus avant sa disparition, ce qui soulève des questions sur d’éventuelles rencontres avec des personnes qui auraient pu jouer un rôle dans cet étrange événement. L’enquête, pour l’instant, semble naviguer à vue, et les enquêteurs attendent désormais les résultats de l’autopsie pour tenter de percer les mystères de cette mort inexpliquée.

En attendant, les proches de Nadège se battent pour que la vérité éclate. Une cagnotte a été lancée pour aider à financer ses obsèques et soulager sa famille, qui doit non seulement affronter le deuil, mais aussi l’incertitude entourant les circonstances de cette tragédie.

Nadège, une femme pleine de vie, laisse derrière elle un vide immense dans la vie de ses enfants et de ses proches. Ils espèrent que l’enquête permettra de répondre à leurs questions, de dissiper les zones d’ombre et de rendre justice à cette mère de famille qui n’aura pas eu le temps de dire au revoir. La communauté, elle aussi, attend des réponses, car ce genre de drame n’affecte pas seulement les personnes concernées mais tout un voisinage qui se retrouve plongé dans l’incompréhension face à un destin tragique.