MOSCOU lance un ultimatum à Macron – Ça sent pas bon!

Français, Françaises, ouvrez les yeux. Le murmure de la diplomatie s’est éteint, laissant place au fracas d’une confrontation inédite dont les enjeux dépassent l’entendement. Le Kremlin est en éruption, Emmanuel Macron est aux abois, et les mots de Vladimir Poutine résonnent désormais comme un avertissement funèbre : nous ne sommes plus à la veille d’une crise, mais en pleine escalade d’un affrontement mondial. L’enjeu est colossal, plus élevé et plus périlleux que lors de la crise des missiles de Cuba, et cette fois, l’Europe tout entière se trouve en première ligne.

L’homme autrefois perçu comme le maître du jeu, le négociateur audacieux et imprévisible, Emmanuel Macron, est aujourd’hui moqué par ses adversaires et regardé avec suspicion par ses propres alliés. Poussé par un ego que d’aucuns jugent démesuré, le Président français a franchi une ligne d’une irresponsabilité telle que Moscou en est resté sans voix un instant. Ce silence n’a pas été de l’indifférence, mais le prélude à une réponse cinglante, d’une dévastation qui ne s’est pas manifestée par des frappes militaires, mais par un sarcasme glacial et une menace existentielle.

La Ligne Rouge des Missiles SCALP-EG : L’Acte de Guerre

Le ton entre la France et la Russie s’est envenimé à une vitesse alarmante. Dans une interview sans précédent, le masque est tombé : Poutine l’a dit clairement, la France n’est plus un acteur neutre. Elle est, aux yeux de Moscou, une partie belligérante dans le conflit. Cette accusation, lourde de conséquences politiques et militaires, tranche avec les déclarations de l’Élysée clamant l’ouverture à un dialogue. Le Kremlin est de marbre : la confiance a été brisée, non par la Russie, mais par Paris et ses alliés qui ont choisi, de manière répétée, la voie de l’escalade.

L’objet de la discorde est précis et d’une gravité absolue : la possible livraison des missiles longue portée SCALP-EG à l’Ukraine. Poutine a été limpide, traçant une ligne rouge que la France s’apprête à franchir avec une légèreté sidérante. Si ces missiles sont livrés à Kiev, ce serait une implication directe de l’armée française dans des attaques sur le sol russe. Rien de moins qu’un acte de guerre. L’avertissement est d’autant plus troublant que Moscou enfonce le clou sur un point technique : les SCALP-EG ne peuvent être opérés sans la présence et l’expertise d’officiers français. En clair, des soldats français seraient directement impliqués dans des frappes contre la Russie.

Tout en minimisant leur impact militaire sur l’issue globale du conflit, Poutine insiste sur leur effet politique : « Ils ne changeront pas l’issue du conflit, mais ils mettront le feu à l’Europe ». Le message est destiné à la France, mais il résonne comme un glas pour le continent tout entier. Devant la situation désastreuse des unités ukrainiennes sur le front (à bout de souffle, mobilisation désastreuse, pertes dépassant les renforts), Poutine pose la question brutale : « À quoi servent vos missiles ? » Il appelle à des négociations immédiates, tout en prévenant que les conditions de dialogue sont désormais bien plus dures qu’elles ne l’étaient lors de l’accord d’Istanbul. La question est désormais inévitable et dérangeante : Macron est-il en train d’entraîner la France, les yeux grands ouverts, dans une confrontation directe avec la Russie, sans mandat ni consentement du peuple français ?

Le Théâtre Nucléaire : Sous-marins, X et la “Main Morte”

C’est alors que l’escalade verbale a basculé dans une dimension terrifiante, celle de la dissuasion nucléaire. Quelques heures seulement après les déclarations de Poutine, une rumeur glaciale a parcouru les capitales occidentales : deux sous-marins nucléaires français auraient “disparu” ou été déployés furtivement dans les abysses. Il ne s’agit pas de navires ordinaires, mais de géants de la classe Triomphant, chacun armé de 16 missiles M51, capables de porter jusqu’à 10 ogives nucléaires chacune. Des armes conçues non pas pour la dissuasion, mais pour l’anéantissement.

Macron a répondu à cette rumeur par une allocution cryptique, déclarant avoir « ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires juste au cas où ces provocations seraient plus qu’un simple jeu ». Il n’en fallait pas plus pour que Dmitri Medvedev, l’allié le plus mordant de Poutine, entre en scène pour un numéro de sarcasme qui a fait trembler l’Élysée. Sa réplique fut cinglante et funeste : « Macron ferait mieux de revoir ses séries Netflix sur les zombies et de se rappeler ce qu’une main morte peut faire ».

Cette référence n’est pas une simple boutade. Elle renvoie au système russe « Main Morte » (Perimeter en anglais), un mécanisme automatique d’alerte et de lancement de frappes nucléaires qui pourrait se déclencher même si la direction russe était éliminée. C’est une mise en garde pure et dure, rappelant à la France et à l’Europe que toute escalade atomique ne serait pas négociable, mais fatale.

La réponse de Macron, furieux, sur X (« Nous devons être prêt Face aux armes nucléaires. Nous sommes absolument préparés ») a soulevé une vague d’inquiétude : soit le Président n’a pas compris la gravité de la menace russe, soit – pire encore – il l’a parfaitement comprise et agit en connaissance de cause. C’est un moment inédit dans l’histoire moderne, où un simple poste sur un réseau social aurait pu potentiellement déclencher une alerte nucléaire. L’état-major russe, par la voix du général Valérie Guerasimov, a renchéri avec un avertissement non moins sombre : « Nos sous-marins sont là depuis longtemps, plus profonds, plus silencieux, plus mortels… Nos sous-marins ne prennent pas de selfie, ils frappent. »

Bluff Stratégique ou Folie Pure ? Le Prix que l’Europe Pourrait Payer

Toute cette séquence, de l’ultimatum aux sous-marins, est décryptée par certains stratèges comme un « théâtre » dangereux. Le ministère de la Défense française, tout comme l’OTAN, a refusé de confirmer tout déplacement des sous-marins. Ce silence diplomatique, cette absence de confirmation, ne fait qu’accentuer l’impression d’une pièce jouée en haute tension, où une erreur d’interprétation pourrait entraîner des millions de morts.

Mais que cherche Macron ? La théorie la plus audacieuse veut que cette menace nucléaire ne soit pas destinée à détruire, mais à forcer Poutine à négocier. En créant un scénario apocalyptique, le Président français se positionnerait comme le sauveur, celui qui impose la paix par une démonstration de force ultime. Un jeu terrifiant pour asseoir sa domination sur la scène européenne. Or, si une partie se trompe dans ses calculs, ce ne seront ni Washington ni Moscou qui disparaîtront en premier, mais l’Europe. La Pologne, les pays Baltes, la France elle-même. Ils ne sont pas seulement les spectateurs de cette escalade, ils sont la ligne de front, l’échiquier que l’Élysée semble prêt à sacrifier. Le stratège russe Theodore Lukianov l’a rappelé : si Macron continue sa rhétorique émotionnelle sans stratégie concrète, il n’aura d’autre choix que d’agir, transformant le bluff en réalité.

La Nation en Crise : Un Président en Vacances

Ce jeu de poker atomique se déroule sur un fond de crise nationale absolument désastreuse. Pendant que les Français luttent sous le poids d’une inflation galopante, de factures d’énergie astronomiques et d’une économie qui s’effondre, où se trouve le chef de l’État ? Le contraste est choquant. Emmanuel Macron savoure des vacances luxueuses à Monaco, dans des établissements où le coût d’un dîner dépasse le salaire mensuel de nombreux travailleurs. L’insouciance affichée est une gifle pour les millions de concitoyens pris à la gorge.

Les indicateurs économiques crient à l’aide :

Les usines ferment : Solvay à Lyon, ArcelorMittal à Dunkerque.
12 500 entreprises ont fait faillite au premier semestre 2025, un record historique depuis dix ans.
Le chômage explose et les impôts continuent d’écraser les petites et moyennes entreprises (PME).
Le pire est à venir : une fuite du ministère des Finances révèle un projet glaçant de hausse de la TVA à 22%.

Avec des milliards d’euros de déficits budgétaires menaçant de plonger la France dans une véritable faillite, Macron parade, insouciant, tandis que le peuple paie le prix de ses ambitions démesurées, tant sur le plan géopolitique que sur le plan national.

Le Rassemblement National : La Voix de la Paix et de la Souveraineté

Face à cette double dérive – l’escalade militaire irresponsable et l’effondrement économique – une seule force politique ose dire la vérité et proposer une alternative crédible : le Rassemblement National. Marine Le Pen et Jordan Bardella sont clairs : la France ne peut pas se permettre de jouer les va-t-en-guerre. La priorité du pays doit être la paix, la souveraineté et la prospérité économique.

Le RN exige des négociations immédiates, un retour à la diplomatie, et un arrêt immédiat des provocations qui mettent en danger la nation. Leur programme est à l’opposé des choix de l’Élysée : il faut réduire les impôts, protéger nos entreprises de la concurrence déloyale, contrôler l’immigration, et mettre fin à une idéologie climatique coûteuse qui tue l’économie française.

Les Français en ont assez. 65 % craignent de perdre leurs économies et 54 % désirent un changement radical, selon une récente enquête. La colère populaire se manifeste sur les réseaux, où le mot d’ordre « Macron dehors » résonne avec force. Pourtant, les partis traditionnels – LRM, socialistes, écologistes – tentent d’étouffer cette voix en menaçant d’interdire le Rassemblement National, un déni de démocratie inacceptable. Il est urgent d’exiger des élections anticipées pour chasser cette élite discréditée et corrompue.

Aujourd’hui, la France se trouve à un carrefour historique. Le choix est entre une élite prête à sacrifier la nation sur un échiquier nucléaire et économique, et un mouvement qui réclame la paix et la prospérité. L’heure n’est plus à l’hésitation. La prochaine alerte pourrait ne plus être un simple théâtre, mais le début d’un chaos que personne ne pourra plus arrêter.