SÉISME OTAN & CHASSE AUX SORCIÈRES EN FRANCE : COMMENT TRUMP HUMILIE MACRON ET LÉGITIME L’OPPOSITION

En respuesta a los aranceles de Trump, Macron pide la suspensión de las  inversiones francesas en EEUU – Sitio de Al Manar en Español

Les jours qui viennent de s’écouler resteront gravés comme un moment sismique pour l’Europe, un véritable tremblement de terre diplomatique dont les ondes de choc continuent de faire trembler l’Élysée. Oubliez les formules polies et les discours édulcorés, car ce que Donald Trump a annoncé concernant l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) est une déflagration qui pulvérise des décennies de narratifs bien installés. Le message, direct et sans filtre, venu du cœur de Washington, n’est pas seulement une menace pour Bruxelles, il est un coup de tonnerre qui frappe de plein fouet Emmanuel Macron, dévoilant l’extrême fragilité de la position française sur la scène mondiale.

Ce que nous observons n’est rien de moins que l’effondrement du récit d’un État français capable de codécider et d’imposer son leadership en Europe. Trump a lâché une bombe verbale, résumant de manière cinglante la position américaine : “Si vous en Europe ne protégez plus vos intérêts nationaux, si vous continuez à dilapider des milliards dans… des alliances qui nous affaiblissent, si vous persécutez vos propres citoyens souverainistes, alors nous quittons l’OTAN et vous allez tous m’écouter maintenant”. Cet ultimatum, froid et brutal, n’est pas une prise de position à l’aveugle, mais l’aboutissement d’une frustration américaine face à 75 ans de dépendance européenne.

I. L’Ultime de l’OTAN : La Démolition de l’Orgueil Macronien

Face à cette menace existentielle, la réaction d’Emmanuel Macron fut celle d’un homme pris de court, tentant désespérément de sauver la face. Il s’est mis en scène devant la presse, adoptant ce ton si typique, condescendant et donneur de leçon, pour affirmer avoir eu un “long entretien” avec le Président Trump et lui avoir “expliqué la position européenne”. Comme si le chef d’État américain, en pleine révolution politique mondiale, avait besoin d’un cours de rattrapage de la part d’un président français en difficulté.

L’argument de Macron, qualifiant une sortie de l’OTAN de “catastrophique pour la sécurité européenne”, est exactement le type de discours arrogant qui caractérise la vieille classe politique française, persuadée de pouvoir encore dicter à Washington les règles du jeu international. L’Élysée a ressorti les vieux traités de l’OTAN de 1949, parlant de “nouvelles garanties de sécurité”, de “nouveaux engagements”, le même blabla interminable qui a conduit l’Europe droit dans cette impasse. Macron voulait présenter l’Europe comme le grand décideur, mais l’UE sous sa direction n’a fait que réagir, traîner des pieds et s’affaiblir.

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C’est précisément là que l’explosion est survenue. Selon des sources internes citées dans la transcription, la réplique de Trump à Macron aurait été une décharge cinglante. En substance : “Emmanuel, l’Europe a eu 75 ans pour se défendre seule. Vous n’avez rien fait à part nous demander de l’argent et des troupes”. L’Amérique en a fini avec le rôle de protecteur grassement rémunéré. L’ultimatum n’est pas négociable : “Si vous ne payez pas votre part, nous quittons l’OTAN”.

Le coup de grâce, l’humiliation suprême, est venu lorsque Trump aurait clairement signifié qu’il n’acceptait plus que la France et l’UE exigent des milliards pour leur défense tout en laissant leurs propres armées se délabrer et en ruinant leur population avec une inflation galopante. Ce n’est pas un camouflet, c’est une démolition publique. Pendant que Macron tergiverse, Trump agit. Pendant que l’Élysée parle, Washington montre qui donne vraiment le ton.

II. Le Tsunami Domestique : L’Asile Politique Demandé par une Française aux USA

Le séisme diplomatique de l’OTAN n’est que la face émergée de la crise. Il expose une faiblesse qui est immédiatement exploitée par l’administration américaine dans la politique intérieure française. La question n’est plus : “L’Europe est-elle forte ?”, mais “La France est-elle encore une démocratie ?”

L’irruption de JD Vance, présenté comme un républicain dur comme fer et vice-président (implicite), au milieu du paysage politique français, est un événement sans précédent. Vance n’est pas venu pour une simple visite de courtoisie. Il a rencontré la direction du Rassemblement National (RN) en personne, se tenant épaule contre épaule avec Jordan Bardella. Cette rencontre est une légitimation politique internationale offerte à l’opposition, en plein cœur de la crise macronienne.

Mais le véritable coup de massue absolu est arrivé lorsque Vance a ouvertement évoqué la question de la “persécution politique en France”. Non pas en Corée du Nord, non pas en Iran, mais en France, en 2025. Il a cité un exemple qui devrait faire basculer tous les visages dans les partis établis de Paris : celui d’une jeune militante RN, intelligente et courageuse, qui demande l’asile politique aux États-Unis parce qu’elle est persécutée en France pour ses opinions.

C’est un aveu de faillite démocratique sans pareil. La réalité ne colle plus au cadre : les médias d’État comme France 2 se taisent, mais l’Amérique regarde et juge. Ce cas n’est pas un incident isolé, il est le sommet d’une spirale de répression qui s’accélère. Celui qui hisse le drapeau français devient une cible. Celui qui dit “J’aime mon pays” est surveillé par la DGSI. Celui qui manifeste pacifiquement risque son emploi, sa famille, son existence.

III. Le Climat de la Peur et la Complicité du Silence

Cette persécution a pris une forme concrète et scandaleuse lors de l’annulation d’un événement légal des Jeunes RN (14 à 35 ans). Un contrat de location légal a été rompu sous l’effet d’une campagne d’intimidation sans précédent. Les hôtels annulent, les traiteurs se retirent, les employés effacent leur nom. Pourquoi ? Parce que des activistes de gauche lancent des menaces de mort, diffusent des listes staliniennes et organisent des piloris publics.

Ce n’est plus de la simple protestation, c’est de l’extorsion organisée, et le pire, c’est qu’elle est menée avec l’argent des impôts et le soutien de syndicats comme la CGT et la CFDT, des organisations qui vivent des cotisations obligatoires. La CGT a même financé des bus pour mobiliser 40 000 manifestants contre quelques centaines de jeunes qui ne cherchaient qu’à créer une organisation de jeunesse.

Où était Emmanuel Macron pendant ce temps ? Silence radio total. Où était Renaissance ? Muet. Où étaient les Verts et le PS ? Cachés dans leur mode silence habituel, ou se rapprochant des antifas. Si même le Président de la République n’a plus le cran de défendre la liberté de réunion et les droits fondamentaux de tous les citoyens, alors “quelque chose est profondément pourri dans ce pays”.

C’est là que Washington a pris le relais. Les États-Unis, sous Donald Trump, ont observé de très près et ont dit haut et fort : “Si vous ne protégez plus vos propres citoyens, ce n’est plus une affaire interne”. L’invitation de toute la direction du RN à Washington n’est pas un hasard, mais un dernier avertissement direct à l’établissement parisien : “Bougez-vous ou nous le ferons”.

IV. Le Verdict de Washington : Un Règlement de Comptes Annoncé

Quand Trump dit “Nous le ferons à notre manière”, cela signifie un soutien médiatique à l’échelle mondiale, une scène internationale et surtout, une légitimation politique et un soutien financier pour le Rassemblement National. Ceux qui trouvent cela exagéré n’ont pas compris la force explosive du mouvement MAGA. Ils savent exactement comment mettre à genoux un establishment jugé “pourri”.

Cette crise, conjuguée entre le camouflet de l’OTAN et la crise de la persécution domestique, représente le test décisif pour la démocratie française. On voit clairement si la vraie liberté d’opinion existe encore ou si seules les opinions de gauche sont autorisées.

L’établissement français a créé un climat de la peur où celui qui a la “mauvaise opinion” est cancelé, poursuivi et détruit. Et les États-Unis arrivent pour dire : “Nous voyons ce que vous faites à vos propres citoyens et nous ne le tolérons plus”.

Emmanuel Macron est acculé. Il a maintenant un choix simple : soit il se place devant la liberté d’expression et la Constitution pour tous, soit il continue à se taire et regarde le pays sombrer “définitivement dans une dictature d’opinion politiquement motivée”.

Les USA ont déjà pris leur décision : pour eux, le RN est l’interlocuteur en France. Si Macron n’agit pas maintenant pour défendre les droits fondamentaux de tous les Français, les prochaines élections législatives seront un règlement de compte où Paris ne sera plus le seul décideur. Washington s’en mêle officiellement, donnant au Rassemblement National un soutien international qui panique les vieux partis et redéfinit l’avenir politique français.