Star Academy 2025 : Victor raconte son malaise face à Vitaa sur le prime… et révèle enfin pourquoi !

Le prime du 15 novembre 2025 restera gravé dans les annales de la Star Academy, non pas seulement pour la qualité des prestations, mais pour un secret que l’un de ses candidats les plus prometteurs a réussi à dissimuler avec une maestria déconcertante. Victor, 24 ans, connu de ses fans également sous le nom de Vico pour son single “ADN, amour de nuit,” a illuminé la scène du studio 217 aux côtés de la superstar Vitaa. Leur interprétation du titre « Survient en essai » fut saluée par le public, les professeurs, et les téléspectateurs, apparaissant comme une symbiose parfaite entre l’élève talentueux et l’artiste confirmée. Pourtant, dès le lendemain, la réalité est venue fracasser cette image de perfection, révélant un combat intérieur d’une intensité rare.

Le dimanche 16 novembre, l’exercice redouté du débrief a pris une tournure inattendue. Face à Marlène Schaf, la professeure d’expression scénique dont la réputation n’est plus à faire en matière d’analyse psychologique et technique, Victor a vidé son sac. Ce qu’il a révélé n’était pas un simple trac, mais une véritable crise de stress physique qui menaçait de faire basculer l’intégralité de sa prestation. Ce contraste saisissant entre la perception publique d’une performance lumineuse et l’expérience vécue du candidat offre une plongée fascinante dans la vulnérabilité qui se cache derrière le glamour des projecteurs.

La Pression Incontrôlable des Grands Soirs

La 13e saison de la Star Academy a placé la barre haut, proposant des duos avec des artistes de renom qui confrontent les élèves à une exigence professionnelle maximale. Pour Victor, l’opportunité de chanter avec Vitaa représentait un immense honneur, une validation de son parcours et de son talent brut. Mais comme c’est souvent le cas dans ces moments cruciaux, l’enjeu a pris le dessus, se manifestant par une réaction physique incontrôlable.

« J’avais les jambes fébriles, » a confié Victor à Marlène Schaf. Cette expression, simple en apparence, cache un malaise profond, une panique sous-jacente qui menaçait de paralyser son corps. Il a décrit cette sensation terrifiante de perdre pied, d’être à la merci de son propre système nerveux. Chaque pas sur scène, chaque mouvement de groove, chaque sourire affiché face à la caméra était un effort monumental, une victoire arrachée de haute lutte contre une angoisse qui le rongeait de l’intérieur.

« J’essayais de me mettre dedans, de m’amuser, » a-t-il expliqué. Mais l’effort pour jouer la décontraction était si intense qu’il craignait de livrer une performance « à demi-point », c’est-à-dire une prestation sans âme, dénuée de l’énergie et de la sincérité qu’exige un duo avec une artiste de la trempe de Vitaa. Pour lui, le risque que « ce moment bascule à tout instant » était palpable, réel, transformant la grande scène du prime en une zone de danger psychologique.

L’Expertise Déconcertée : Quand le Talent Masque la Détresse

Ce qui rend cette confession si percutante, c’est la réaction de Marlène Schaf. Connue pour son regard acéré et sa capacité à déceler la moindre fissure dans la carapace scénique de ses élèves, elle est tombée des nues. « Je suis assez surprise que tu dises que tu étais fébrile. Je t’ai trouvé lumineux, à l’aise dans ton corps. Ça grouvait, » a-t-elle admis. Elle n’avait absolument rien remarqué, pas la moindre ombre de malaise ou d’hésitation dans l’attitude de Victor.

Cette divergence entre l’observation experte et l’expérience vécue de l’élève est la preuve éclatante du professionnalisme et de la force mentale de Victor. Il n’a pas seulement assuré vocalement, réussissant une harmonisation impressionnante avec Vitaa, mais il a réussi à construire un mur de façade si solide que même les professionnels les plus aguerris n’ont pu en percer le secret. Un tel niveau de maîtrise émotionnelle, capable de masquer une détresse physique incontrôlable par un simple sourire et une présence scénique impeccable, est une qualité rare et précieuse dans l’univers impitoyable du spectacle.

La professeure a souligné que Victor avait non seulement tenu son rang, mais avait brillé, une performance d’autant plus méritoire qu’elle a été livrée dans des conditions de stress extrême. C’est le signe d’une maturité artistique qui dépasse son âge et son expérience, une force intérieure qui transforme l’anxiété en carburant, et la peur en concentration forcée. C’est une validation ultime : le talent de Victor a non seulement dominé sa voix, mais il a aussi dompté son corps et son esprit.

L’Ancre Humaine : Le Rôle Salvateur de Vitaa

Face à l’intensité de son malaise, Victor a dévoilé ce qui l’a maintenu à flot : la connexion avec Vitaa. Loin de l’image de la diva inaccessible, l’artiste s’est révélée être une ancre de simplicité et de spontanéité pour le jeune chanteur.

« J’ai essayé de me connecter à elle, » a raconté Victor. Et c’est dans les coulisses, juste avant de monter sur scène, que Vitaa lui a offert la boussole dont il avait désespérément besoin. Son message était d’une désarmante simplicité : « Viens, on s’amuse, on danse ensemble. »

Dans le tourbillon de la peur et de l’enjeu, ce conseil s’est transformé en mantra, en planche de salut. Vitaa a désacralisé l’événement. Elle a ramené la performance à son essence la plus pure : le plaisir de la musique, la joie du partage. En l’invitant à “s’amuser” et à “danser”, elle a non seulement allégé la pression professionnelle, mais elle a aussi créé un espace de jeu et de liberté où Victor a pu s’accrocher.

C’est cette spontanéité, cette chaleur humaine et cette simplicité de la part d’une artiste de sa stature qui a rassuré Victor. Il s’est concentré sur la « beauté du tableau », sur l’harmonie de leurs voix, sur le lien fugace et précieux avec l’artiste. Il a réussi à transformer son « moment de panique intérieur » en une « prestation lumineuse » en s’accrochant à la seule chose qui comptait vraiment : la musique et l’échange.

Cette histoire est un puissant rappel du pouvoir du mentorat et de l’authenticité dans l’industrie musicale. Là où la pression des caméras et l’immensité de l’enjeu auraient pu faire flancher le candidat, c’est l’humanité simple et directe de Vitaa qui a servi de catalyseur à la réussite.

Un Mal-Être Partagé : Léo et le Poids des Artistes

Victor n’est d’ailleurs pas le seul à avoir ressenti le poids émotionnel de chanter avec une icône. Le même soir, Léo, qui a partagé la scène avec Vitaa sur le titre « Avant toi », a fait une confession similaire, reconnaissant l’avoir vécu comme un véritable « choc ».

« Elle en impose, » a-t-il avoué. Et le plus frappant, c’est ce sentiment d’illégitimité qu’il a exprimé : « même aux répè, je ne me sentais pas légitime de chanter avec elle. »

Ces deux témoignages, celui de Victor et celui de Léo, mettent en lumière la vulnérabilité intrinsèque à l’aventure Star Academy. Loin d’être de simples chanteurs en herbe, les élèves portent le poids des attentes, le stress de la compétition et l’intimidation naturelle face à des artistes dont ils admirent le parcours. Le château, avec ses lumières et son glamour, est en réalité un laboratoire de progression où la progression artistique est indissociable de la progression personnelle et psychologique.

Cette séquence de débrief révèle une nouvelle fois que l’authenticité est au cœur de l’émission. Victor a eu le courage de révéler sa détresse, non pas pour chercher la pitié, mais pour analyser sa performance et comprendre comment son talent a pu dépasser son stress. Il a offert une leçon de force mentale, prouvant que derrière le sourire impeccable du prime se cache parfois un véritable guerrier des émotions.

Le parcours de Victor, alias Vico, est désormais marqué par cette nuit où il a vaincu un ennemi invisible, ses propres doutes et son stress physique, tout en donnant l’impression d’une aisance totale. Il a prouvé que la vraie performance ne se mesure pas seulement aux notes justes, mais à la capacité à transformer l’épreuve intérieure en un moment de grâce extérieure. C’est cette force, cette vulnérabilité assumée et cette capacité à surmonter les « jambes fébriles » qui font de lui un candidat d’autant plus attachant et, peut-être, le futur vainqueur de cette saison.