Tourists Regret Harassing Stray Dog When They Find Out Who’s Behind It!

Quand les vacances tournent au drame : un chien errant, des rires moqueurs, puis le silence

Il faisait beau ce jour-là sur la côte sud de la Croatie. Les rues pavées de la vieille ville accueillaient des centaines de touristes venus profiter du soleil, des plages et de l’authenticité locale. Parmi eux, un petit groupe de jeunes vacanciers français, surexcités par la découverte d’un soi-disant « chien errant » qui rôdait autour de leur logement Airbnb.

L’animal, un magnifique berger des Pyrénées au poil blanc immaculé, semblait doux, calme, presque apathique. Mais il avait visiblement l’habitude des lieux : il allait et venait, s’allongeait à l’ombre des balcons, attendait patiemment devant les boulangeries. Pour ces jeunes touristes, c’était l’occasion rêvée de filmer une scène « drôle » à poster sur TikTok : une vidéo d’eux faisant semblant de chasser le chien, de lui crier dessus, ou même de le pousser légèrement du pied. Rires en arrière-plan. Hashtags ironiques. Et une certitude : personne ne le remarquerait.

Mais ils avaient tort. Gravement tort.

Ce que les touristes ignoraient : le chien appartenait au plus influent homme d’affaires de la région

Ce que ces vacanciers ignoraient, c’est que ce chien, prénommé Zoran, n’était pas un simple vagabond. Il appartenait à Milos Vuković, un magnat de l’immobilier croate et figure politique locale redoutée, connu pour son influence tentaculaire sur la région. Zoran n’était pas errant, mais libre : il faisait partie du décor, adoré par les habitants, soigné par un vétérinaire personnel, nourri dans les meilleurs restaurants du port.

Enfant adopté par Vuković à l’âge de trois ans, Zoran avait été sauvé d’un refuge pendant une tempête hivernale. Depuis, l’animal était devenu plus qu’un compagnon : un symbole de fidélité et d’amour dans un monde de pouvoir et d’apparences. Toute la ville savait que faire du mal à Zoran, c’était faire du mal à Milos lui-même.

Quand la vidéo des touristes s’est mise à circuler sur les réseaux sociaux, elle est tombée entre de mauvaises mains. Ou plutôt : entre les mains.

La vengeance d’un homme puissant : « Ils regretteront d’avoir touché à mon chien »

Moins de 24 heures après la publication de la vidéo, le cauchemar commence. Une convocation immédiate au poste de police. Interrogatoire. Confiscation des passeports. L’ambassade de France contactée. Un avocat imposé par la municipalité.

Le communiqué officiel du bureau de Vuković est glaçant :

« Ce que ces jeunes ont fait n’est pas une farce, c’est une agression. Et dans cette ville, nous ne tolérons pas qu’on agresse les nôtres – à deux ou à quatre pattes. »

Selon certaines sources locales, Vuković aurait même menacé de poursuites pour cruauté envers les animaux, atteinte à la propriété privée, et trouble à l’ordre public – rien que ça. Pire encore, des commerçants refusent désormais de servir les touristes impliqués. Leur logement a été annulé. Une pétition circule pour les expulser du pays.

Des excuses publiques en larmes… mais trop tard ?

Pris de panique, l’un des vacanciers filme une vidéo d’excuse, en pleurs, tenant dans ses bras Zoran, tentant de lui caresser la tête en bafouillant des mots en anglais : « I’m sorry, I didn’t know… ». Mais le mal est fait. Sur les réseaux sociaux croates, la rage est palpable. Des milliers de commentaires réclament des sanctions. D’autres s’interrogent : et si Zoran n’avait pas été « célèbre », est-ce que quelqu’un aurait réagi ?

Une affaire révélatrice : la face cachée du tourisme irrespectueux

Cette affaire dépasse largement le simple fait divers. Elle soulève une question brûlante : jusqu’où peut aller l’arrogance touristique ? Venir dans un pays étranger ne donne pas le droit de mépriser ses traditions, ses animaux, ou ses habitants. Zoran est devenu le symbole d’une lutte plus large : celle d’un territoire qui refuse d’être un simple décor pour vidéos virales.

Épilogue : Zoran, désormais « chien d’honneur de la ville »

Quelques jours plus tard, la mairie de la ville organise une cérémonie officielle : Zoran reçoit une médaille symbolique, « Chien d’Honneur de Dubrovnik ». Vuković, en costume sombre, prend la parole devant la presse :

« On m’a souvent attaqué sur mes affaires, ma fortune, mes décisions politiques. Mais jamais je n’avais vu une attaque aussi lâche. Ce chien est meilleur que bien des hommes. »

Quant aux touristes, ils ont pu quitter le pays – non sans promesse de ne plus jamais y revenir.

Une leçon gravée à jamais

Le message est clair : ce que l’on croit être une simple blague peut se transformer en désastre international.

Et vous ? La prochaine fois que vous croiserez un animal errant en vacances… serez-vous sûrs de savoir qui est derrière lui ?