Trahi et Éjecté : Le Plan Secret de Macron pour Saborder Ursula von der Leyen et Sauver sa Peau

Dans les couloirs feutrés de Bruxelles, où les destins de nations se jouent loin du regard du citoyen, un drame politique d’une intensité rare est en train de se dérouler. Le titre est sans appel, le geste d’une audace glaciale : Emmanuel Macron, le président français, orchestrerait la chute de sa propre alliée, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Ce n’est pas un simple désaccord, c’est un véritable coup de force, une manœuvre cynique et calculée qui révèle non seulement l’ampleur du naufrage européen, mais surtout la panique qui s’empare de l’Élysée face à la tempête économique et politique qui menace d’engloutir le camp centriste.
L’Union est aujourd’hui un vieux rafiot en perdition. Les symptômes sont criants : factures d’énergie qui explosent comme des bombes, fermetures d’usines en cascade, chômage grimpant en flèche. Dans cet abîme collectif, Macron ne surgit pas en héros, mais en stratège opportuniste. L’homme qui, pendant des années, a soutenu sans réserve la vision centralisatrice et atlantiste de Von der Leyen, se mue soudain en champion de la souveraineté. Mais attention, ce revirement n’a rien de noble. C’est une tentative désespérée de reprendre le volant du projet européen non par conviction, mais parce que la maison brûle et que l’incendie menace d’atteindre Paris.
La dame de fer de Bruxelles, qui s’est longtemps comportée en impératrice de l’Union, s’est arrogé tous les leviers du pouvoir, engageant l’Europe dans une série de choix désastreux. Mais le plus cuisant de ses échecs, celui qui a créé la faille fatale dans laquelle Macron s’est engouffré, est l’accord commercial UE-USA. Ce que la Commission a présenté comme un partenariat équilibré s’est révélé être, selon de nombreux observateurs et voix politiques de tous bords, une véritable « reddition en bonne et due forme ».
L’Humiliation Économique : Le Prix de la Capitulation
L’accord commercial négocié par Von der Leyen sonne comme une « gifle économique » pour l’industrie française et européenne. Les chiffres sont vertigineux et rappellent l’ampleur de la trahison. Tenez-vous bien : un taux de taxe de 15 % sur nos exportations vers les États-Unis, tandis que leurs produits traversent l’Atlantique sans payer un sou. L’acier et l’aluminium sont taxés jusqu’à 50 %. Les conséquences ne sont pas théoriques : ce sont plus de 750 milliards de dollars qui s’envolent vers les caisses américaines pour financer leur énergie, tandis que l’Europe se vide de sa substance.
Mais l’hémorragie ne s’arrête pas là : 600 milliards d’euros d’investissement européen ont été transférés, direction les États-Unis. Devant un tel désastre, qualifier cet arrangement de “deal équitable” relève de la farce tragique. Le malaise est palpable jusque dans les rangs traditionnellement pro-européens. François Ruffin, d’habitude opposé à Macron, dénonce le « pire accord de tous les temps ». Même la presse internationale, à l’image de Bloomberg, pourtant peu réputée pour son anti-macronisme, lâche un constat cinglant : « cette situation est intenable ».
Face à ce carnage économique, l’image de Von der Leyen s’écroule. Elle est l’architecte d’une capitulation totale, un immense camouflet diplomatique où l’Europe « se couche, paie, et dépend ». C’est dans ce contexte de soumission que Macron, jouant les équilibristes, fait mine d’agir, essayant de désamorcer une crise qu’il a pourtant largement contribué à déclencher. Son objectif n’est pas de réparer l’Europe, mais de faire pivoter le centre de gravité du pouvoir, de Bruxelles vers l’Élysée.
L’Obsession Verte, la Ligne Rouge et le Grand Virage
Au-delà de la débâcle commerciale, une autre politique menée par la Commission a mis le feu aux poudres : l’« obsession verte », incarnée par le plan climat prévoyant une réduction de 90 % des émissions d’ici 2040. Pour les critiques, c’est une « utopie » qui a eu un coût réel, celui de la désindustrialisation. Des voix, y compris au sein de la majorité présidentielle, s’élèvent pour tirer la sonnette d’alarme. Agnès Pannier-Runacher, du Conseil de Renaissance, craint la « spirale de désindustrialisation provoquée par un prix du CO2 qui s’envole ».
L’urgence a changé. Aujourd’hui, les priorités sont l’économie et l’emploi ; l’environnement, bien que crucial, passe au second plan lorsque les usines ferment. Là encore, Macron démontre une flexibilité opportuniste. En plein bras de fer avec Von der Leyen, il franchit une ligne rouge symbolique en annonçant qu’il compte « enterrer » l’interdiction des moteurs thermiques d’ici 2035 – une priorité absolue de la Commission. En agissant ainsi, il coupe l’herbe sous le pied de VDL, l’empêchant de rassembler une majorité pour ses propositions, démontrant qu’il est prêt à sacrifier ses anciens engagements pour apaiser la colère montante.
Le Gambit Russe : La Faille Finale

Si l’économie et l’écologie n’avaient pas suffi, le projet de saisie des avoirs russes gelés a offert à Macron la faille parfaite pour précipiter la chute de son alliée. La Commission de Von der Leyen a avancé tête baissée, ignorant l’avertissement limpide du Kremlin : « Touchez à nos biens et vous payerez le prix fort ». Cet acte doublement risqué, visant à financer Kiev, est perçu comme le pas de trop, le franchissement de l’irréparable.
Pour Macron, c’est une opportunité en or. Il peut désormais se poser en homme d’État responsable, celui qui dit « altela » à une escalade géopolitique dangereuse, redécouvrant ainsi la « souveraineté française » qu’il avait pourtant rangée au placard pendant des années. Son rêve est clair : avoir Von der Leyen « dégagée de Bruxelles », exfiltrée discrètement vers Paris.
Et c’est là que réside le cynisme suprême : le président français lui tend un « petit poste bien sage » au sein de son équipe Renaissance, peut-être le ministère de l’Économie, un lot de consolation. Ce n’est pas un honneur, c’est une muselière dorée, une manière élégante de recycler l’échec et de s’assurer que la présidente éjectée ne devienne pas une voix critique trop puissante en exil. Ce geste, sous ses airs de « stratégie raffinée », sonne comme un « coup de poignard » dans le dos du rêve européen qu’ils ont tous deux co-construit.
Le Duel d’Égos : L’Effondrement du Centre
Nous assistons à un « bras de fer féroce », un « duel d’ego d’une rare intensité ». L’ancienne alliance entre Macron et Von der Leyen, sous la bannière de Renaissance, s’est transformée en une « guerre de tranchée » sans merci. Ces deux anciens alliés se livrent bataille, et leur affrontement révèle une vérité cinglante : le centre de l’Union est en train de s’effondrer sur lui-même.
Ce règlement de comptes permanent, ces « coups de poignard dans le dos » entre alliés, ne fait que souligner l’instabilité et le manque de clarté idéologique du camp présidentiel. Mondialiste, atlantiste, ou vaguement patriote : le parti ne sait plus ce qu’il est. Et pendant que ces deux géants politiques s’écharpent, c’est la France qui paie l’addition.
Le Vent Tourne : Le RN s’Engouffre dans la Brèche
Ce théâtre de l’absurde a un grand bénéficiaire : le Rassemblement National. Eux, les voix constantes de l’opposition, n’ont cessé de marteler que Bruxelles « vide les poches de la France, étouffe notre économie et piétine notre souveraineté ». Leur scénario, celui d’une centralisation qui écrase les libertés, est en train de se réaliser sous nos yeux.
Ce que l’on observe aujourd’hui, ce n’est pas un Macron agissant par conviction, mais par obligation. Il plie devant la « pression populaire, pression médiatique, pression du RN ». Le RN, par la voix de Jordan Bardella, au Parlement européen, dénonce la « capitulation totale » et se pose comme la « voix du peuple contre cette dérive insensée ».
La colère gronde dans toute l’Union, et Von der Leyen est désormais un symbole décrié. Dans ce grand désordre, les citoyens « voient clair dans le jeu ». Ce que propose le RN est du « concret » : le retour à la souveraineté, des prix de l’énergie supportables, des emplois solides.

En fin de compte, la manœuvre de Macron est une tentative de sauver sa propre peau politique, une fuite en avant. Il pousse Von der Leyen vers la sortie, sans ménagement ni honneur, mais ce duel ne fera « ni vainqueur ni survivant politique » dans le camp du centre. Il ne fait qu’accélérer la redistribution des cartes, laissant le terrain politique pencher en faveur de ceux qui ont dénoncé l’aveuglement bruxellois depuis le début. Le centre de l’Europe est à terre, et le prix de sa survie sera la souveraineté française elle-même.
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