UNE FILLETTE DE 12 ANS SUIVIT SON PETIT AMI DANS LA BROUSSE

euh je te laisse m’embrasser chuchota Ali 14 ans en uniforme scolaire les yeux de chume 12 ans sécart hier non Ali je ne peux pas dit-elle en secouant la tête sa voix douce mais insistante c’est juste un baiser personne ne le saura s’il te plaît chume elle le regarda dans les yeux et pendant un moment sa résolution vacilla elle ne voulait pas le décevoir elle hocha lentement la tête une seule fois murmura-t-elle Ali se pencha avant pressant ses lèvres contre les siennes dans un baiser maladroit et inexpérimenté chume reste affigé ne

sachant pas comment réagir quand il s’éloigna il lui sourit sa confiance grandissant ce n’était pas si mal n’est-ce pas demanda-t-il chum se cou la tête son visage rougissant mais avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit Ali l’embrassa encore une fois cette fois avec plus d’urgence chum ressentit un étrange mélange d’émotions peur excitation confusion tout tourbillonnant en elle c’était un après-midi chaud typique à l’école primaire d’Odo l’air était remplie du bruit des enfants qui riaient parlaient et se poursuivait

parfois autour de l’enceinte parmi les bavardages Ali était assis dans le coin d’un banc en bois son regard fixé sur un groupe de filles riant à quelqu pas de là Ali était grand pour son âge avec une silhouette mince et un regard malicieux qui faisait de lui le centre d’attention parmi ses pères il avait un air de confiance que les autres garçons enviaient et les filles admiraient mais aujourd’hui son attention était fixée uniquement sur chum une petite fille douce avec des yeux ronds et des cheveux soigneusement coiffés elle était assise

parmi ses amis sa voix à peine audible alors qu’elle riait de quelque chose que l’une d’elles avait dit Ali pourquoi tu regardes chum comme ça demanda Shik son meilleur ami en le poussant du coude de manière en jouer rien répondit Ali en essayant de paraître nonchalant mais ses yeux le trahissaient il ne pouvait s’empêcher d’admirer chum sa petite amie bien qu’aucun d’eux ne comprenne vraiment ce que signifiait être en couple c’était juste quelque chose qui les faisait ce entir spéciaux un secret qu’il partageaent loin des moqueries de

leurs camarades de classe alors que la cloche de la pause sonnait signalant la fin de la première récréation les élèves commencèrent à se disperser en direction de leur classe certains s’attardant sous les arbres Ali se leva et épousa son short je reviens dit-il à sheake avant de se diriger vers le groupe de filles chum aplatil doucement sa voix juste assez forte pour qu’elle entende elle leva les sourcils fronçant les sourcils de curiosité puis-je te parler une minute chum hésita jetant un coup d’œil à ses amis qui rigolaient maintenant et

chuchotaient entre eux d’accord dit-elle enfin se levant et épousstant sa jupe Ali la conduisit devant les blocs de classe bruyants et vers le bord de l’enceinte de l’école où les buissons poussaient épais et haut formant une limite naturelle cette zone était interdite aux étudiants où allons-nous demanda chum une légère note de nervosité dans sa voix juste ici répondit Ali en montrant une petite clairière dans la brousse les arbres formaient une canopée auudessus de leur tête créant un endroit isolé qui semblait loin de la cour d’école animée

alors qu’ils atteignaient la clairière Alice se tourna vers elle les mains dans ses poches allez chum sers-moi dans tes bras dit-il sa voix basse chum cligna des yeux incertaine de comment répondre te serrer dans les bras pourquoi demanda-t-elle en changeant son poids d’un pied sur l’autre parce que je t’aime dit Ali en souriant d’une manière qu’il trouvait charmante et tu as dit que je te plaisais aussi 4h43 chum détourna le regard son cœur battant elle faisait confiance à Ali mais c’était différent étrange je

ne sais pas si nous devrions être ici dit-elle en faisant un pas en arrière chum il n’y a rien de mal à faire un câlin dit Ali en se rapprochant c’est juste un câlin ne me fais-tu pas confiance chum hésita elle lui faisait confiance mais les avertissements sévères de sa mère à propos des garçons raisonnaient toujours dans son esprit elle ne voulait pas contrarier Ali d’accord juste un câlin dit-elle finalement sa voix peine audible Ali sourit et ouvrit les bras chum s’avança avec hésitation en roulant ses petits

bras autour de lui dans une brève étreinte mal à droite mais alors qu’elle essayait de s’éloigner Alice s’accrocha sa prise ferme mais pas forcée tu vois ce n’était pas si mal dit-il en la regardant tu es belle chume chume rougit ne sachant pas quoi dire merci marmonat etelle en essayant de s’éloigner à nouveau mais Ali se pencha plus près son visage à quelques centimètres du sien laisse-moi t’embrasser murmura-t-il les yeux de chume s’écarquillèrent non Ali je ne peux pas dit-elle en secouant la tête pourquoi pas demanda Ali d’une voix

douce mais insistante c’est juste un baiser personne ne le saura s’il te plaît chum elle le regarda dans les yeux pendant un moment sa résolution vacillant elle ne voulait pas le décevoir lentement elle ha la tête juste une fois murmura-t-elle Ali se pencha en avant pressant ses lèvres contre les siennes dans un baiser maladroit et inexpérimenté chum reste affigé incertaine de comment réagir quand il s’éloigna il lui sourit sa confiance grandissant ah ce n’était pas si mal n’est-ce pas demanda-t-il chum secoua la

tête son visage rougissant mais avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit Ali l’embrassa à nouveau cette fois avec plus d’urgence chum ressentit un étrange mélange d’émotions peur excitation confusion tout tourbillonnant en elle les minutes qui suivir était un flot Ali ramassa rapidement des feuilles de Plantin les déposant sur le sol tandis que les yeux de chume se déplaçaient rapidement les mains d’Ali bougèrent maladroitement et chum se retrouva à céder à ses avances ne sachant pas comment l’arrêter ou même si elle le

voulait cela semblait durer une éternité mais c’était fini en quelques instants Ali avait fait ce qu’il voulait d’elle et même si chum commençait à saigner il lui donna rapidement son mouchoir pour qu’elle se nettoie chum avait mal et il s’assirent tous les deux par terre dans le buisson pendant quelques minutes tandis que chum pleurait allez tu es une grande fille pourquoi pleures-tu demanda Ali avec une main autour de son épaule mais tout à quoi pensait chum était sa mère quand ils eurent fini chum s’éloigna en redressant son uniforme

froissée et en glissant le mouchoir dans son pantalon pour éviter que le saignement ne soit remarqué elle évitait le regard d’Ali son esprit rempli de question et de culpabilité nous devrions rentrer dit-elle doucement en essuyant ses larmes avec le dos de sa paume oh d’accord répondit Ali en sentant son malaise il ne la poussa pas plus loin mais une petite partie de lui ressentait un étrange sentiment de fierté comme s’il avait accompli quelque chose d’important alors qu’il retournait à l’école la cloche sonna signalant la fin

de la récréation ils entrèrent en silence l’atmosphère autrefois ludique était maintenant lourde de mots non proncé chum se glissa de nouveau dans la salle de classe rejoignant ses amis qui la saluèrent avec des sourires taquins qu’est-ce qui t’a pris si longtemps lui demanda l’un d’eux en la poussant du coude de manière enjoué rien répondit chum rapidement c’est jou brûlant alors qu’elle évitait leurs yeux Ali prit place de l’autre côté de la pièce son expression neutre comme si rien ne s’était passé mais quelque chose s’était

Le retour de l'espoir de la famille - YouTube

produit quelque chose qu’aucun d’eux ne comprenait complètement c’était un secret qu’ils emporteraient avec eux un secret qui changerait bientôt leur vie d’une manière qu’il ne pouvait pas imaginer quand le professeur entra et commença la leçon chum regarda fixement son cahier les mots se brouillaient elle ne pouvait se défaire du sentiment que quelque chose n’allait pas qu’elle avait franchi une ligne dont elle ne savait même pas qu’elle exista et même si elle ne le savait pas encore les conséquences de cet après-midi

allaient bientôt frapper à la porte remodelant le cours de sa jeune vie alors que la journée d’école se terminait le bavardage habituel des étudiants remplissait l’air des groupes d’enfants s’attardaient autour de l’enceinte discutant et riant pendant qu’ils attendaient les uns les autres pour rentrer à la maison cependant chum s’éclipsa silencieusement serrant fermement son sac d’école elle n’attendit même pas ses amis qui l’appelaient avec confusion chum attends-nous cria on mais chume ne se retourna pas son esprit était lourd

embrumé de pensé qu’elle ne parvenait pas à traiter ses pas étaient lents sa tête penché vers le bas alors qu’elle marchait sur le chemin poussiéreux menant à sa maison habituellement le voyage de retour était animé pour chum rempli de blagues et de disput en jouer avec ses amis mais aujourd’hui c’était silencieux les événements dans la brousse se rejouaient encore et encore dans son esprit elle ressentait un étrange malaise lancinant dans sa poitrine dont elle ne pouvait se débarrasser au moment où chume arrivait

à la maison sa mère Mama chum était dans l’arrière-cour en train de piler l’ignam pour le repas du soir elle s’arrêta quand elle vit sa fille passer sans sa salutation joyeuse habituelle chum c’est toi cria sa mère oui maman répondit chum à voix basse Mama chum s’essuya les mains sur son pagne et suivit sa fille dans la maison elle trouva chum assise sur le bord de son petit lit en bois regardant le sol chum qu’est-ce qu’il se passe quelque chose à l’école demanda sa mère s’asseyant à côté côté d’elle rien Mama marmona chume en évitant le regard

de sa mère Mama chume étudia le visage de sa fille remarquant à quel point elle semblait terne et retirée elle était habituellement pleine d’énergie discutant de sa journée et aidant aux tâches ménagères mais aujourd’hui elle avait l’air distante presque comme une ombre d’elle-même es-tu sûr chum insista sa mère l’inquiétude gravée sur son visage oui Mama répondit chum rapidement en forçant un sourire je suis juste fatiguée Mama chum ne l’a crut pas mais elle décida de ne pas insister davantage d’accord va te laver les mains la

nourriture sera bientôt prête dit-elle en quittant la pièce à contre-cœur cette nuit-là chume toucha à peine à sa nourriture elle se coucha tôt mais le sommeil ne vint pas facilement ses pensées étaient un tourbillon rempli de culpabilité et de confusion elle ne pouvait pas se débarrasser du souvenir des mains d’alie de ses paroles et de la façon dont tout s’était passé si vite 6 semaines plus tard les jours se transformèrent semaine et la vie continua chum fit de son mieux pour agir normalement mais quelque chose en elle

avait changé elle était plus calme que d’habitude souvent perdu dans ses pensées ses amis le remarquèrent mais chaque fois qu’il lui demandait elle les repoussait avec un sourire forcé un matin chum se réveilla en se sentant inhabituellement faible son estomac se retourna et avant même qu’elle puisse s’asseoir elle se précipita dehors dans l’arrière-cour et vomit MAM chume qui balayait la cour se précipita à ses côtés chum qu’est-ce qui ne va pas chez toi demanda-t-elle en tenant les épaules de sa fille je ne sais pas MAM je me

sens juste malade dit chum faiblement Mama chum l’aida à rentrer et la déposa sur le lit c’est peut-être le paludisme dit-elle en fronçant les sourcil tu as l’air terne depuis un certain temps maintenant au cours des prochains jours l’état de chume s’aggrava elle perdit l’appétit et vomi chaque matin elle devint si faible qu’elle pouvait à peine sortir du lit mamaizom devint de plus en plus inqui te et décida qu’il était temp d’emmener chizom au Centre de santé de la ville voisine au centre de santé l’infirmière posa à chizom une série de

questions tandis que mamashizom se tenaient anxieusement à ses côtés un échantillon de sang fut prélevé et on leur demanda d’attendre dans la zone de réception les minutes semblaient des heures tandis que mamizom faisaient les SAS en marmonant des prières à voix basse finalement l’infirmière revint en tenant un petit press papier son expression sérieuse alors qu’elle leur faisait signe de la suivre dans le cabinet du médecin à l’intérieur le médecin un homme d’âge moyen avec des yeux gentils les salua chaleureusement

bon après-midi madame chizom comment vous sentez-vous maintenant demanda-t-il pas bien docteur répondit shizom doucement sa voix à peine audible le docteur soupira en regardant les résultats sur son bureau il regarda mamashizom qui le fixait attentivement madame les test montrent que shizom est enceinte les mots restèrent suspendu dans l’air comme un lourd nuage les yeux de mamizom s’écarquillèr d’incrédulité enceinte c’est impossible c’est juste un enfant s’exclama telle la voix tremblante le cœur de shizom battait

fort alors qu’elle fixait le sol incapable de rencontrer le regard de sa mère les larmes lui montèrent aux yeux et ses mains tremblèrent sur ses genoux chizom est-ce vrai demanda sa mère en se tournant vers elle qui est responsable de cela shizom ne pouvait pas parler sa gorge était sèche et son corps tremblait de sanglos le docteur s’éclaircit doucement la gorge madame je comprends que c’est difficile à entendre mais nous devons nous concentrer sur la santé de shizom en ce moment elle a besoin de soins appropriés mais Mama shizom était trop

choquée pour penser clairement shizom répond-moi qui t’a fait ça cria-t-elle des larmes coulaient sur le visage de shizom alors qu’elle murmurait c’est Ali mamaizom se figea son esprit tournant vers Ali le garçon qui venait toujours à la maison avec SH celui qu’elle pensait inoffensif sans un mot de plus Mama chizom attrapa le bras de sa fille et la tira hors du bureau le voyage de retour fut silencieux mais shizom pouvait sentir la colère irradiée de sa mère elle savait qu’il y aurait des conséquences mais elle n’était pas

préparée à ce qui allait arriver alors qu’ils entraient dans l’enceinte de la maison Mama shizom appela son mari papa chizom qui était assis sous le manguier en train de lire un journal il leva les yeux surpris par l’urgence dans sa voix shizom est enceinte annonça mama shizom HME sa voix tremblante de colère et de tristesse papa chizom laissa tomber le journal sa bouche ouverte de stupéfaction quoi enceinte qu’est-ce que tu dis elle a dit que c’est ce garçon Ali continua mamaashizom ses mains sur ses hanches voilà ce qui arrive quand

les enfants jouent avec des choses qu’ils ne comprennent pas shizom se tenait près de la porte les larmes coulant sur son visage elle se sentait petite et impuissante tandis que ses parents discutaient de son sort elle ne savait pas quoi faire ni comment expliquer qui s’était passé nous devons appeler les parents d’Ali dit finalement papa chizom sa voix lourde ils doivent savoir ce que leur fils a fait la nouvelle se répandit rapidement dans le village et le soir une réunion fut organisée entre les deux familles shizom

était assise tranquillement dans le coin redoutant ce qui allait arriver Ali fut amené par son père son visage pâle de peur il évita le regard de shizom connaissant la gravité de la situation que faisons-nous maintenant demanda mamashizom la voit se brisant nos enfants ont fait une erreur mais c’est plus gros que ça tout le monde dans la pièce resta silencieux alors que chacun luttait avec la réalité de la situation l’avenir de deux jeunes vies était désormais en jeu et les décisions pris cette nuit-là façonneraient leur destin

pour toujours l’air du village était lourd de murmure et de jugement tout le monde semblait avoir quelque chose à dire sur shizom et Ali les Anciens décidèrent que la meilleure solution était que shizom en ménage avec la famille d’Ali jusqu’à ce qu’elle accouche cette décision était censée apportter la paix entre les deux familles mais pour shizom cela ressemblait à une punition qu’elle ne méritait pas lorsque Mama shizom lui annonça la décision shizom fondit en larmes maman s’il te plaît ne m’envoie pas là-bas supplia TL à genou au pied de

Sa sœur jumelle lui a envoyé prendre sa revanche sur les brutes à l'école -  Contes africains - YouTube

sa mère je veux rester ici avec toi Mama shizom essuya ses propres larmes son cœur se brisant pour sa fille mais elle se sentait impuissante ma fille ce n’est pas ma décision c’est ce sur quoi les anciens et ton père ont convenu nous devons respecter leur souhait dit-elle en tirant shizom dans ses bras cette nuit-là shizom dormit à peine elle s’accrocha à son oreiller en sanglotant silencieusement l’idée de quitter sa maison sa mère et ses frères et sœurs était insupportable elle ne pouvait pas imaginer vivre avec la famille d’Allie

cette histoire met en lumière plusieurs leçons morales importantes l’une des plus évidentes est l’importance de la communication et de l’éducation entre parents et enfants surtout en ce qui concerne les relations et les interactions avec les autres il est crucial que les jeunes comprennent les conséquences de leurs actions et qu’ils soient bien informés sur les limites et le respect de soi et des autres de plus l’histoire montre l’impact des décisions des adultes sur les jeunes vies la manière dont les parents et la

communauté réagissent à des situations délicates peut grandement influencer l’avenir des enfants concerné cela soulligne l’importance de la compassion de l’écoute et du soutien dans les moments difficiles finalement cette histoire nous rappelle que les erreurs peuvent avoir des conséquences durables mais qu’il est essentiel de faire preuve de compréhension et de chercher des solutions uctive pour aller de l’avant quelle leçon morale avez-vous tiré de cette histoire partagez vos pensées dans les commentaires si vous avez apprécier

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