A Poor Mother Wanted Credit Clothes For Her Children... But This Old Man  Tricked Her... - YouTube

Nabintu vivait une vie heureuse avec son mari, Bakari, et leurs enfants. La maison était pleine de rires et d’amour. Chaque désir de ses enfants était comblé avec une rapidité qui témoignait de la prospérité de leur foyer. Ils étaient heureux, ils avaient tout ce dont ils avaient besoin. Nabintu souriait constamment, reconnaissante pour la chance d’avoir une vie aussi douce.

Mais tout bascula le jour où Bakari mourut subitement. Le monde de Nabintu s’effondra en un instant. Les rires s’éteignirent et la maison devint silencieuse. Elle se retrouva seule, avec ses enfants et un vide immense dans son cœur. Au début, elle parvint à survivre grâce à l’argent que Bakari avait laissé, mais lorsque l’argent s’épuisa, la réalité de la pauvreté la frappa de plein fouet.

Pour nourrir ses enfants, Nabintu alla mendier, demander de l’aide à ses frères et sœurs, et même s’humilier devant ses beaux-parents. Mais les réponses étaient souvent froides et pleines de reproches. Personne ne pouvait ou ne voulait l’aider. Elle travailla dur pour quelques morceaux de pain, passant ses journées à faire des corvées chez les autres, à frotter le sol ou laver les vêtements des voisins. Malgré tous ses efforts, elle n’arrivait jamais à combler les attentes de ses enfants.

Un jour, ses enfants lui demandèrent des vêtements neufs pour Laï, la fête du sacrifice. “Maman, tous les enfants du quartier ont déjà leurs habits, et nous, on n’a rien. L’année dernière, tu n’as rien pu nous offrir. Cette fois, promets-nous que tu vas nous acheter des habits.” Ces mots, bien qu’infantiles, frappèrent profondément Nabintu. Elle savait que ses enfants ne comprenaient pas la gravité de la situation, mais ces demandes incessantes la déchiraient.

Elle pensa à la souffrance qu’elle endurait chaque jour, aux nuits sans sommeil, aux larmes qu’elle essuyait en silence, et pourtant, elle continua de se battre pour eux. Pour les voir sourire, elle était prête à tout. Elle savait que ses enfants méritaient cette joie simple, même si cela signifiait sacrifier encore un peu plus de sa dignité.

Nabintu commença à frapper à toutes les portes, demandant de l’aide. Mais ses proches ne firent que lui donner des excuses. “Nous aussi, on est dans la difficulté”, lui dirent ses parents. “Trouve-toi un homme qui pourra t’aider”, suggérèrent ses beaux-parents. Nabintu était dévastée. Elle avait perdu son mari, mais elle n’était pas prête à laisser un autre homme, qui n’était pas le père de ses enfants, s’occuper d’eux.

Elle quitta la maison de ses beaux-parents, le cœur lourd. Un seul murmure la hantait : “Pour le bonheur de mes enfants, dois-je vendre ma dignité ?” Cette question tourna dans son esprit alors qu’elle se dirigeait vers la ville. Mais alors qu’elle marchait, une lueur d’espoir brilla dans ses yeux. Elle se souvint de la boutique de Fatuma, où l’on vendait des vêtements à crédit.

Nabintu se rendit à cette boutique, les espoirs renouvelés. Le vendeur lui expliqua les conditions : “Nous vendons à crédit, mais il y a un prix à payer. Beaucoup de gens ne reviennent pas, c’est pourquoi nous avons des conditions.” Intriguée mais résolue, Nabintu lui demanda de lui expliquer ces conditions. Le vendeur lui tendit un livre et lui dit : “Lisez-les, et si vous êtes d’accord, vous aurez vos vêtements.”

Nabintu ouvrit le livre et commença à lire lentement. À mesure qu’elle lisait, ses mains commencèrent à trembler. La première condition était inimaginable : “Toute femme désirant des vêtements à crédit doit se tenir nue devant nous, sans voile, sans vêtements, pour que nous puissions filmer une vidéo. Si vous ne payez pas, la vidéo sera diffusée sur un site obscène.” Le cœur de Nabintu se serra. Comment pouvait-on exiger une telle humiliation ?

Elle lut la deuxième condition, et la terre sembla se dérober sous ses pieds : “Si vous refusez la première condition, vous devrez établir une relation intime avec nous. Chaque fois que nous vous appelons, vous devrez venir, et ce ne sera pas une seule fois.” Nabintu trembla de tout son corps, son âme en révolte contre de tels termes.

Enfin, la troisième condition était encore plus horrible : “Si vous refusez les deux premières, nous revendrons votre maison.” Nabintu se sentit vide. Elle ferma le livre et, sans un mot, le posa sur le comptoir avant de quitter la boutique en courant. Elle était brisée.

A Poor Mother Will Do Anything For Her Children… But This Old Man Trapped  Her - YouTube

Alors qu’elle marchait dans la rue, le cœur lourd, elle aperçut une autre boutique en face. Un autre vendeur la regardait. Cet homme semblait différent. Il l’avait observée, il savait ce qu’elle avait vécu. Il s’approcha et, d’une voix douce, l’appela : “Ma sœur, si tu veux des vêtements, tu peux venir dans ma boutique. Je t’aiderai sans aucune condition.”

Nabintu se tourna vers lui, inquiète : “Je n’ai pas d’argent. J’étais venu pour acheter à crédit.” Le vendeur lui sourit et dit : “Tu peux payer plus tard, ce qui compte, c’est le sourire de tes enfants.” Ces mots réchauffèrent le cœur de Nabintu. Pourtant, la peur persistait. Elle avait été trahie et humiliée. Elle répondit d’une voix tremblante : “Je ne peux pas accepter, frère. Je ne peux plus faire confiance.”

Le vendeur comprit. Avec douceur, il lui expliqua : “Je ne te demanderai rien. Aucun piège, aucune condition. Quand Allah te donnera de l’argent, tu me le rendras. Pour l’instant, ce qui compte, c’est ta dignité.”

Nabintu hésita un moment, puis, submergée par les émotions, elle accepta enfin. Le vendeur lui donna les vêtements, sans aucune condition, juste un sourire. Elle remercia Allah, et ce soir-là, pour la première fois depuis longtemps, elle put prier dans la paix de son cœur.

Quelques jours plus tard, alors qu’elle se préparait à offrir les vêtements à ses enfants, elle trouva une enveloppe glissée sous sa porte. À l’intérieur, une somme d’argent suffisante pour subvenir aux besoins de sa famille pendant plusieurs mois. Le vendeur pieux avait agi en silence, sans rien attendre en retour. Allah avait entendu ses prières.

UNE MÈRE PAUVRE VOULAIT DES HABITS À CRÉDIT POUR SES ENFANTS MAIS CE VIEIL  HOMME L'A PIÉGÉE😱😱😱😱 - YouTube

Le jour de Laï, Nabintu regarda ses enfants, vêtus de nouveaux habits, et sourit. Elle savait que, même dans l’obscurité, il y a toujours une lumière qui brille. Elle n’avait pas cédé à l’humiliation, et Allah avait répondu à ses prières.