Adèle Exarchopoulos, Gilles Lellouche et Louis Garrel : fous rires, cascades et vomissements sur le tournage de Chien 51
Mercredi 8 octobre 2025, le plateau de Quotidien a pris des allures de grand barnum cinématographique. Yann Barthès recevait trois invités de marque : Gilles Lellouche, Louis Garrel et Adèle Exarchopoulos. Tous trois étaient venus présenter Chien 51, le nouveau long-métrage très attendu de Cédric Jimenez. Entre confidences de tournage, anecdotes hilarantes et révélations surprenantes, la soirée a viré au véritable show.
Un nouveau virage pour Cédric Jimenez
Connu pour ses thrillers nerveux et réalistes comme Bac Nord ou Novembre, Cédric Jimenez a décidé de s’aventurer sur un terrain plus inattendu : la science-fiction. Avec Chien 51, il signe un polar futuriste au cœur d’un Paris dystopique, plongé dans un “futur proche” où l’intelligence artificielle s’est immiscée dans les rouages du maintien de l’ordre.
Le film dépeint une capitale divisée en trois zones distinctes, symbolisant les fractures sociales grandissantes. Dans ce décor oppressant, deux policiers que tout oppose — Salia et Zem — se retrouvent contraints de collaborer après le meurtre de l’inventeur d’ALMA, une intelligence artificielle révolutionnaire chargée d’assister la police. Une intrigue haletante où se mêlent tension, technologie et enjeux humains.
Si le synopsis évoque déjà un univers ambitieux, la présence de Gilles Lellouche, Louis Garrel et Adèle Exarchopoulos au casting promet une intensité rare. Et d’après leurs confidences sur le plateau de Quotidien, le tournage n’a pas été de tout repos.
Des cascades qui ne pardonnent pas
Lors de leur passage dans l’émission de TMC, Yann Barthès a souhaité en savoir plus sur les fameuses scènes d’action du film. Un sujet qui a immédiatement déclenché rires et moqueries entre les trois comédiens.
Gilles Lellouche, visiblement amusé, a raconté comment il avait tenté d’impressionner sa partenaire de jeu, Adèle Exarchopoulos, en lui faisant croire qu’il avait suivi un entraînement intensif pour les scènes de combat. “Première scène, je mets un coup de pied, je tombe par terre comme une tortue”, a-t-il raconté hilare. “Elle s’est foutue de ma gueule pendant un mois !”
Un aveu qui a provoqué les éclats de rire d’Adèle Exarchopoulos et de Louis Garrel, spectateur amusé de cette complicité. Mais si les chutes de Gilles Lellouche ont fait rire tout le monde, elles ont aussi rappelé l’intensité des scènes physiques du tournage. À 53 ans, l’acteur n’a visiblement pas hésité à se frotter lui-même aux cascades les plus risquées.
“Vomita” Exarchopoulos : quand l’action donne la nausée
C’est alors que Yann Barthès, visiblement bien renseigné, a décidé de taquiner la comédienne. “Adèle, elle a vomi ?”, a-t-il lancé, mi-curieux, mi-provocateur. Sans se faire prier, Gilles Lellouche a confirmé, amusé : “Elle fait que ça, on l’appelle Vomita !”
Une révélation qui a provoqué un fou rire général sur le plateau. Adèle Exarchopoulos, un brin gênée mais bon joueur, s’est immédiatement justifiée : “Parce qu’il roule à deux cents et que parfois, il fait les propres cascades aussi de voiture !” Avant d’ajouter dans un éclat de rire : “Je le charrie, mais parfois, c’est vraiment lui qui conduit.”
Le présentateur n’en revenait pas : “La voiture va hyper vite comme ça sur les quais de Seine, et c’est vous qui conduisez ? Elle n’est pas sur un camion ou un plateau ?”
Ce à quoi l’actrice a répondu avec prudence : “Parfois, c’est des cascadeurs.” Mais Gilles Lellouche, désireux de remettre les choses au clair, a tenu à nuancer : “Non, mais c’est très coordonné. On fait le parcours plusieurs fois lentement, puis on accélère progressivement. C’est tout un apprentissage, on ne fonce pas tête baissée.”
Une précision qui n’a pas empêché le public de s’amuser à imaginer la pauvre Adèle luttant contre son estomac sur les routes parisiennes.
Une complicité évidente
Au-delà des anecdotes, ce passage télévisé a surtout révélé la belle entente entre les trois comédiens. Entre les piques, les rires et les moqueries bon enfant, le trio a montré une complicité rare qui, espérons-le, transparaîtra à l’écran.
Louis Garrel, plus discret mais tout aussi taquin, s’est amusé à commenter les échanges entre ses partenaires. À plusieurs reprises, il a dû retenir son rire face aux confidences de Lellouche et Exarchopoulos, formant un véritable contrepoint de calme au duo explosif.
Cette alchimie est d’autant plus prometteuse que le film repose justement sur le contraste entre ses deux personnages principaux : Salia, la jeune policière fougueuse incarnée par Adèle Exarchopoulos, et Zem, l’enquêteur expérimenté mais désabusé joué par Gilles Lellouche. Entre eux, la relation s’annonce électrique — un reflet parfait de leur dynamique en coulisses.
Cédric Jimenez, maître du réalisme dans un monde futuriste
Si les anecdotes font sourire, elles soulignent aussi l’engagement de Cédric Jimenez pour le réalisme. Le cinéaste, réputé pour son exigence et sa précision, pousse toujours ses acteurs à s’impliquer physiquement dans leurs rôles.
Que ce soit pour Bac Nord ou Novembre, il avait déjà habitué ses équipes à des tournages intenses, proches du documentaire. Avec Chien 51, il conserve cette authenticité tout en explorant un univers plus stylisé, presque cyberpunk.
Les cascades, la conduite, les scènes de combat : tout a été chorégraphié avec minutie pour maintenir une tension palpable à l’écran. Et si Adèle Exarchopoulos a parfois dû rendre son petit déjeuner, c’est sans doute le prix à payer pour un réalisme à toute épreuve.
Un film entre polar et science-fiction
Chien 51 s’annonce comme un savant mélange de film noir et d’anticipation. Derrière l’intrigue policière, Cédric Jimenez interroge la place grandissante de la technologie dans nos sociétés et les fractures sociales qu’elle amplifie.
Le réalisateur y dépeint un Paris glaçant, fragmenté, où les inégalités sont littéralement inscrites dans la géographie urbaine. Un décor de science-fiction, certes, mais qui résonne étrangement avec les préoccupations bien réelles de notre époque.
Entre tension, émotions et réflexions sur l’avenir, le film promet une expérience cinématographique intense, sublimée par un trio d’acteurs au sommet de leur art.
Rires, sueur et adrénaline
Sur le plateau de Quotidien, Gilles Lellouche, Adèle Exarchopoulos et Louis Garrel ont prouvé que, même dans les moments les plus extrêmes du tournage, l’humour n’était jamais bien loin. Entre la maladresse assumée du premier, les nausées de la seconde et la malice du troisième, le tournage de Chien 51 semble avoir été aussi éprouvant qu’amusant.
Et si le film se veut sombre et futuriste, son trio de stars, lui, n’a rien perdu de sa légèreté. Comme le prouve cette séquence télévisée pleine d’authenticité, Chien 51 ne sera pas seulement un grand film de science-fiction français : ce sera aussi le fruit d’une aventure humaine, faite de rires, de chutes et… de quelques vomissements.
News
Laure Manaudou prise en flagrant délit de tentative de vol à Disneyland
Laure Manaudou : la petite sirène devenue légende, entre gloire, blessures et renaissance Ce 9 octobre 2025, Laure Manaudou souffle…
Zaho de Sagazan s’en prend maintenant à “The Voice”
🎙️ Zaho de Sagazan tacle The Voice et les télé-crochets : “Des labels qui te prennent comme des petits pantins”…
Vingt-quatre heures de douleur : la lutte sans fin de Branson pour le confort
Les dernières vingt-quatre heures ont été parmi les plus éprouvantes qu’ils aient dû traverser. Chaque inspiration, chaque battement de cœur…
Lara Fabian avoue ne plus avoir de nouvelles de Slimane depuis l’éclatement de l’affaire de harcèlement
Lara Fabian se confie : entre reconnaissance envers Slimane et prudence face à la polémique Lara Fabian s’apprête à vivre…
Nawell Madani sous enquête pour violence sur un enfant de 6 ans
Nawell Madani visée par une enquête pour violence sur mineur après un incident sur les Champs-Élysées Une scène surréaliste s’est…
Julien Clerc avoue la vérité à Robert Badinter avant sa prestation
Julien Clerc : un hommage bouleversant à Robert Badinter au Panthéon Ce jeudi 9 octobre restera gravé dans l’histoire de…
End of content
No more pages to load