Zaz se confie sur ses débuts chaotiques et les critiques blessantes : “Il fallait que je vive”

Ce mardi 3 juin, sur le plateau de l’émission C à vous sur France 5, la chanteuse Zaz est revenue avec émotion sur les débuts difficiles de sa carrière. Aujourd’hui artiste reconnue, coach dans The Voice et bientôt de retour avec un nouvel album, Sains et Saufs, prévu pour le 19 septembre, elle n’a pas oublié les obstacles qui ont jalonné son parcours.

Avant de connaître le succès avec son premier tube Je veux en 2010, Zaz – de son vrai nom Isabelle Geffroy – a vécu des années de galère. Elle a longuement raconté comment, à une époque où elle ne trouvait plus sa place, elle avait fini par chanter dans la rue. Une décision née non pas d’un choix artistique volontaire, mais d’un manque de solutions : “Avant d’être dans la rue, j’ai été intermittente, j’ai fait du bal, j’ai été dans des orchestres, j’ai travaillé un peu partout… Et puis un moment, je ne trouvais plus d’endroit et je me suis trouvé un endroit”, a-t-elle expliqué avec une sincérité touchante.

Le succès n’a pas été immédiat pour la chanteuse. C’est à l’âge de 30 ans, alors que beaucoup doutent encore, qu’elle est repérée par un producteur. Ce dernier lui propose d’enregistrer Je veux, un morceau devenu emblématique, à la fois par sa fraîcheur et par son message de liberté. Ce titre ouvre les portes d’un premier album éponyme qui rencontre un immense succès en France et à l’international. Elle collabore alors avec Raphaël, qui lui écrit notamment le poignant Éblouie par la nuit.

Mais derrière cette réussite soudaine, Zaz a aussi découvert la face sombre de la célébrité. Interrogée par Anne-Élisabeth Lemoine, elle n’a pas éludé le sujet des critiques virulentes qui l’ont visée au début de sa carrière. “J’avais 30 ans quand je me suis fait connaître et ça a été violent la méchanceté qu’il peut y avoir”, a-t-elle confié. “Des gens qui crachent leur venin derrière les écrans, parce qu’ils ne le font pas devant… Ça a révélé des failles à l’intérieur de moi.”

Loin d’être abattue, Zaz semble aujourd’hui plus apaisée, mais toujours marquée par ces débuts chaotiques. Elle reconnaît avoir puisé une force incroyable dans l’adversité : “Je ne sais pas si mon parcours a été facile… Mais j’ai une rage de vivre, j’ai une force de résurrection qui est incroyable donc je n’avais pas d’autre choix que d’enfoncer des portes malgré moi, parce qu’il fallait que je vive.”

Cette résilience, elle l’a cultivée dans la rue, au contact direct du public, sans filtres ni projecteurs. Un apprentissage brutal mais formateur, qui l’a forgée. Et aujourd’hui, c’est avec cette même énergie qu’elle revient sur le devant de la scène, avec un album attendu, fruit d’un cheminement artistique et personnel. Sains et Saufs, un titre qui résonne comme une déclaration : malgré tout, elle est là, entière, fidèle à elle-même.

Avec cette apparition télévisée, Zaz ne cherche pas à susciter la pitié, mais à inspirer. Son témoignage rappelle que derrière chaque voix, chaque succès, se cachent des années de lutte, de doutes, de ténacité. Et que parfois, pour se faire entendre, il faut d’abord chanter dans la rue.

Ils ont divorcé mais ce qu’Amanda Sthers a dit à Patrick Bruel pour ses 66 ans va vous surprendre !

“Je te souhaite des rires et des chansons” : Patrick Bruel a 66 ans et son ex Amanda Sthers lui adresse un tendre message

Ce mercredi 14 mai, Patrick Bruel souffle ses 66 bougies. Un anniversaire que son ex-femme, Amanda Sthers, n’a pas manqué de célébrer avec une touchante attention sur Instagram.

En ce 14 mai, jour d’anniversaire de Patrick Bruel, son ex-femme Amanda Sthers n’a pas manqué de marquer le coup. Avec une photo souvenir et quelques mots touchants partagés sur Instagram, l’écrivaine prouve que malgré leur divorce il y a 18 ans, leur complicité reste intacte.

Une complicité intacte malgré la séparation avec Patrick Bruel

Alors que le soleil n’était pas encore levé, Patrick Bruel a certainement eu la surprise de découvrir une notification sur son téléphone. À seulement quatre heures du matin, Amanda Sthers partageait en story Instagram une photo en noir et blanc d’elle et de son ex-mari, tous deux rayonnants de bonheur. Un cliché tendre accompagné d’un message simple mais émouvant : “Joyeux anniversaire Patrick. Je te souhaite des rires et des chansons”.

Cette attention n’est pas surprenante pour ceux qui suivent l’histoire de ce couple pas comme les autres. Mariés pendant trois ans avant leur séparation en 2007, Patrick Bruel et Amanda Sthers ont toujours fait preuve d’une bienveillance rare l’un envers l’autre. “Avant de nous marier et d’avoir des enfants, nous étions les meilleurs amis. Nous le resterons malgré notre séparation”, confiait la romancière à Gala en 2015.

Une amitié qui s’est transformée en quelque chose de plus profond encore après leur divorce : “Lorsqu’on a deux enfants et une séparation qui s’est plutôt bien passée, on devient plus que des amis, on est un peu comme un frère et une sœur. Il y a une intimité qui ne peut pas s’en aller…”

Patrick Bruel lui-même ne disait pas autre chose lorsqu’il déclarait dans les colonnes de Paris Match : “Quelque part, on a mieux réussi notre divorce que notre mariage”. 

Des enfants qui font la fierté de Patrick Bruel et Amanda Sthers

Cette belle entente entre les ex-époux s’explique aussi par l’amour qu’ils portent à leurs deux fils, Oscar, 22 ans, et Léon, 20 ans. Des jeunes hommes qui ont tracé leur propre chemin et dont leurs parents peuvent être fiers.

L’aîné, Oscar, a choisi la voie scientifique en devenant neuroscientifique, tandis que le cadet, Léon, a décidé de suivre les traces artistiques de son père, en se lançant dans la musique sous le nom de scène de Léon Hesby.

Si elle est heureuse de voir ses fils s’épanouir, Amanda Sthers a récemment confié dans une interview accordée au magazine Rewell avoir “mal vécu le départ de ses deux fils de la maison”.

Patrick Bruel fourmille de projets

À 66 ans, Patrick Bruel, le “chanteur à femmes” des années 90, est loin d’être à court de projets. En plus de sa carrière musicale toujours florissante, l’artiste aux multiples facettes s’apprête à ouvrir un hôtel de luxe à l’Isle-sur-la-Sorgue, dans le Vaucluse. Une région qu’il connaît bien puisqu’il y possède déjà le domaine Léos, où il produit une huile d’olive réputée pour sa qualité exceptionnelle.

Son nouvel établissement, baptisé Isle de Leos MGallery, promet d’être un havre de paix pour les plus privilégiés.

Une belle continuité pour celui qui a tout perdu dans les incendies de Los Angeles il y a quelques mois.