Koh-Lanta : Noémie se confie après son élimination surprise et évoque sa rencontre marquante avec Denis Brogniart

Exclu. Koh-Lanta : Denis Brogniart pareil en vrai qu'à la télé ? Noémie nous  a répondu - TV ACTU by AlloCiné

L’aventure a brutalement pris fin pour Noémie, candidate emblématique de la tribu de l’Ouest dans Koh-Lanta : La Revanche des 4 Terres, lors de l’épisode diffusé le mardi 3 juin 2025 sur TF1. Victime d’un coup de théâtre orchestré par ses camarades Claire et Jérôme, la jeune femme a vu ses espoirs s’envoler malgré une alliance qu’elle pensait solide. Dans un entretien exclusif accordé à TV Actu, elle revient sur cette élimination inattendue, partage ses impressions sur l’émission et livre une anecdote touchante sur sa rencontre avec Denis Brogniart, le visage emblématique de l’émission.

Une élimination fondée sur une ruse bien ficelée

Tout semblait pourtant bien engagé pour Noémie, qui se croyait protégée par une alliance stratégique entre les tribus orange et verte. Mais c’était sans compter sur l’ingéniosité de Claire et Jérôme, surnommé « le Catalan ». Après une épreuve éliminatoire, les deux aventuriers ont eu la possibilité de gagner un collier d’immunité. Manque de chance, ils ont choisi la mauvaise boîte et se sont retrouvés avec un collier… sans aucun pouvoir.

Plutôt que d’abandonner, ils ont choisi de jouer un coup de bluff digne des plus fins stratèges : faire croire aux autres candidats qu’ils étaient bel et bien protégés. Et le stratagème a parfaitement fonctionné. “On ne s’est pas vraiment posé de questions. Pour nous c’était un vrai collier, qui protégeait Claire, et on a foncé tête baissée”, raconte Noémie. Résultat : un vote bouleversé par la peur d’attaquer un binôme soi-disant intouchable, et une élimination surprise qui a scellé le sort de la jeune Bretonne.

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Une aventure marquante, sans regret

Malgré la déception, Noémie garde un souvenir extrêmement positif de son passage dans Koh-Lanta. “La personne que je suis dans le jeu est la personne que je suis dans la vie”, affirme-t-elle avec fierté. L’authenticité qu’elle a affichée à l’écran lui a valu de nombreux messages de soutien. “Les retours, même sur les réseaux sociaux, sont très sympas. J’ai beaucoup de gens qui m’encouragent et c’est très agréable”, confie-t-elle, visiblement touchée par l’affection du public.

Originaire d’Ille-et-Vilaine, Noémie s’est pleinement investie dans cette aventure aux Philippines, entre épreuves physiques, survie quotidienne et stratégies parfois cruelles. Son élimination, bien qu’amère, fait partie du jeu. Elle en ressort grandie, fière d’avoir montré sa vraie nature sans artifice.

Un Denis Brogniart fidèle à sa légende

Parmi les souvenirs marquants de cette aventure, Noémie évoque sa rencontre avec Denis Brogniart, l’animateur historique de Koh-Lanta. Si elle ne le connaissait que par le prisme de la télévision, elle n’a pas été déçue par leur interaction dans la réalité. “Il est super grand ! Il y a un sacré écart entre nous deux (rires)”, plaisante-t-elle d’emblée.

Mais au-delà de la stature imposante de l’animateur, c’est surtout son humanité qui l’a marquée. “Il est hyper professionnel. Il a toujours un mot sympa pour nous encourager quand on a un petit coup de mou à la sortie des conseils”, souligne-t-elle. Une bienveillance discrète mais précieuse pour les candidats souvent éprouvés par les conditions extrêmes du jeu.

Exclu. Koh-Lanta : Noémie réagit au faux collier d'immunité qui l'a  conduite à l'élimination et dévoile ce plan qui aurait pu la sauver - TV  ACTU by AlloCiné

Une belle aventure humaine

Même si son parcours s’est interrompu plus tôt qu’elle ne l’espérait, Noémie quitte Koh-Lanta avec le sentiment d’avoir vécu une expérience inoubliable. Entre coups de théâtre, émotions fortes et rencontres marquantes, elle garde en mémoire une aventure humaine riche, qui lui a permis de se dépasser et de gagner le cœur des téléspectateurs.

Et qui sait ? Peut-être que cette élimination prématurée ne sera qu’un au revoir… Dans Koh-Lanta, tout peut arriver.

“Je suis obligé de vivre avec” : à peine remis de son cancer, Pascal Bataille (65 ans) dévoile l’autre maladie qui lui pourrit la vie

Festival du Livre de Paris 2025, France - 12 Apr 2025Pascal Bataille, célèbre animateur télé, partage son combat contre le cancer du poumon et révèle une autre maladie qui le tourmente depuis des décennies. Découvrez comment il gère cette situation complexe.

L’animateur et producteur Pascal Bataille, très populaire grâce à son duo formé à la télévision avec son comparse de toujours Laurent Fontaine, a ému tout le monde en confiant souffrir d’un cancer du poumon. A 65 ans, le présentateur télé des programmes devenus cultes Y’a que la vérité qui compte ou encore Y’a pas photo est aujourd’hui en rémission, comme il l’a récemment indiqué à la presse. Mais malheureusement, sa santé reste fragile et une autre pathologie lui rend la vie dure.

Pascal Bataille souffrant : cette maladie l’handicape depuis plus de 30 ans

À 65 ans, l'épouse de Pascal Bataille admet ENFIN la tragique vérité sur la  santé de son mari. - YouTube

Pascal Bataille a vaincu son cancer

C’est dans les colonnes du journal France Dimanche que Pascal Bataille s’est confié sur son état de santé, relaye Voici. En décembre 2024, l’animateur et vieil ami de Laurent Fontaine a déclaré : “Officiellement, je suis en rémission de ce cancer du poumon qui a été diagnostiqué l’an passé. Je dois néanmoins faire des examens réguliers, car cette maladie a la fâcheuse habitude de revenir vicieusement“. Le sexagénaire a ensuite ajouté ne pas vouloir crier victoire trop vite : “On dit qu’il faut à peu près cinq ans pour être vraiment tranquille. Il va donc falloir que je vive encore quelques années avec cette épée de Damoclès au-dessus de ma tête, mais ça n’empêche pas que je reste serein. D’autant que je suis surveillé comme le lait sur le feu par d’excellents médecins. Ça fait maintenant trois mois que j’ai été opéré, et je refais déjà du sport ! Je mène une vie tout à fait normale et malgré la fatigue, mon moral est excellent !”

Est-ce que Pascal Bataille était un fumeur ?

A l’instar de Jean-Pierre Pernaut et de Florent Pagny, Pascal Bataille était également un gros fumeur. Pendant une grande partie de sa vie, le présentateur a fumé, comme il l’expliquait il y a quelques mois, sur le plateau de Chez Jordan de Luxe. “J’ai été un gros fumeur pendant ma jeunesse. De l’âge de 15 ans à l’âge de 24 ans à peu près, j’ai beaucoup fumé. Ensuite, j’ai fait une pause et j’ai repris encore huit ou neuf ans intensément”, peut-on lire dans Closer.

Pendant près de 20 ans, Pascal Bataille fumait environ “un paquet et demi par jour”“On ne peut pas dire de façon certaine que ce cancer que j’ai développé en 2024 est dû à la cigarette, mais il y a de fortes présomptions sur le fait que ça y soit pour quelque chose”, concède-t-il. “J’ai été hospitalisé pendant trois semaines sans pouvoir bouger de mon lit (…) Et je me suis dit : ‘si tu refumes, t’es vraiment le roi des abrutis’. J’encourage les plus jeunes à ne pas succomber à ce vice qui est extrêmement prenant”.

 

À 64 ans, Pascal Bataille révèle comment il a appris son cancer : "J'ai  fait un

Pascal Bataille : cette autre pathologie qui lui mène la vie dure

Une source de tracas quotidiens

Pascal Bataille est également revenu, auprès de nos confrères, sur cette autre maladie dont il souffre en silence. Il s’agit d’un mal qui ne se voit pas et qui est très gênant. “J’entends des bruits parasites en permanence. Mais je suis obligé de vivre avec”, a-t-il expliqué à nos confrères de France Dimanche. En effet, Pascal Bataille souffre d’acouphènes et ce, depuis septembre 1993 ! L’animateur a confié entendre des bruits parasites incessants depuis de longues années “du jour au lendemain” après “une crise de surdité brusque”.

Une hygiène de vie irréprochable

Pascal Bataille explique s’être mis à la méditation et au yoga pour essayer de mieux vivre avec cette pathologie qui touche des millions de personnes en France dont 2 à 4 millions de façon permanente, selon une étude Ifop relayée par Laboratoires Unisson“À force, j’ai appris à les ‘dominer’. Au début, c’était bien plus dur. J’avais envie de me taper la tête contre le mur !”