Florent Pagny et Thomas Ngijol se confient chez Mouloud Achour : entre humour, sagesse et désir de devenir grands-pères

Sur le plateau de « Clique », l’émission emblématique animée par Mouloud Achour, deux personnalités que tout semble opposer se sont retrouvées pour un échange empreint d’humanité, de sincérité et de rires. Florent Pagny, icône de la chanson française, et Thomas Ngijol, humoriste et comédien charismatique, ont accepté de se livrer sur un sujet inattendu : leur rapport à la paternité… et à la perspective de devenir grands-pères.
Derrière les caméras, loin des plateaux de tournage et des scènes de concert, les deux hommes ont en commun une profonde affection pour leur famille. Et à mesure que les années passent, une nouvelle envie se fait sentir : celle d’endosser un rôle encore inconnu, celui de grand-père.
Thomas Ngijol : « C’est la vie qui me booste »
Dès les premières minutes de la conversation, Thomas Ngijol affiche son enthousiasme. Père comblé, il ne cache pas son impatience de découvrir un jour les joies de la grand-parentalité. Avec son franc-parler et son humour légendaire, il aborde le sujet sans détour :
« J’ai 46 balais, j’ai des enfants, et je souhaite de tout mon cœur être grand-père », déclare-t-il face à un Mouloud Achour amusé.
Un aveu sincère, empreint d’une certaine tendresse. Mais fidèle à lui-même, l’humoriste ajoute une touche d’autodérision : oui, il met un peu la pression à ses enfants.
« Ouais, mais j’aime bien le dire quand même. J’aime bien le dire parce que, comme je dis, c’est quand même un petit booster. Ce n’est pas le métier moi qui me booste, c’est la vie qui me booste », explique-t-il avec passion.
Pour lui, devenir grand-père n’est pas une simple étape biologique, mais une continuation naturelle du cycle de la vie, une source d’énergie et de motivation. Le comédien confie qu’il se projette volontiers dans ce rôle, imaginant déjà le plaisir de transmettre, de choyer, sans les contraintes de l’éducation quotidienne.
Florent Pagny, entre sérénité et espoir
Face à lui, Florent Pagny écoute avec attention. À 63 ans, le chanteur, qui a traversé bien des épreuves et des succès, garde son calme et sa sagesse. Quand Mouloud Achour lui pose la même question — « Grand-père ou pas grand-père ? » —, il répond sans détour :
« Pas encore. »
Ses deux enfants, Inca (29 ans) et Aël (26 ans), sont aujourd’hui de jeunes adultes épanouis, chacun menant sa vie à son rythme. Si Pagny reconnaît qu’il aurait déjà aimé devenir grand-père, il insiste sur un point essentiel : aucune pression.
« C’est vrai que bon, moi, j’ai presque vingt ans de plus que lui (Thomas Ngijol), donc les mômes sont déjà un poil plus grands, mais c’est vrai que bon… Jamais, on n’aborde spécialement le sujet, parce que c’est eux qui feront ce qu’ils voudront, mais on ne leur met pas la pression », confie-t-il avec un sourire.
Cette réponse, teintée de douceur et de respect, en dit long sur la philosophie de vie de l’artiste. Après avoir longtemps vécu à cent à l’heure, Pagny semble désormais animé par une quête d’équilibre, de liberté et de sérénité. Son discours traduit une forme de détachement bienveillant : il laisse la vie suivre son cours, sans attente, sans contrainte.

Une génération en quête de transmission
Ce moment d’échange sur le plateau de Clique dépasse le simple cadre de la confidence personnelle. Il touche à un sujet universel : le désir de transmission. Devenir grand-parent, c’est non seulement voir sa lignée se prolonger, mais aussi transmettre un héritage émotionnel, des valeurs, un regard sur le monde.
Thomas Ngijol, en père attentif et passionné, aborde la question avec fougue. Florent Pagny, lui, adopte une posture de philosophe. Cette différence de ton, de rythme, de rapport au temps reflète deux visions complémentaires. L’un représente l’énergie de la quarantaine, l’autre la sagesse de la soixantaine.
Et pourtant, au fond, ils partagent la même attente : celle de voir la vie continuer à travers leurs enfants.
« J’adorerais, bien sûr ! »
Lorsque Thomas Ngijol, un brin taquin, lui demande si devenir grand-père lui ferait vraiment plaisir, Florent Pagny ne laisse planer aucun doute :
« Ah bah j’adorerais, bien sûr ! »
Mais si le chanteur semble plus réservé dans sa manière d’en parler, c’est, selon Ngijol, parce qu’il aborde le sujet avec « une sorte de légèreté, voire de distance ». Une remarque que Pagny confirme avec un brin d’humour et de lucidité :
« Ah oui, non mais légèreté et distance pour ne pas mettre la pression, qu’ils n’aient pas l’impression de se dire : ‘Attends, attends, je n’ai pas encore fait d’enfants. Oh !’ Tout le monde est libre. Ça arrivera quand ça arrivera. »
Ce refus de l’injonction familiale, cette volonté de ne rien forcer, s’inscrit dans la philosophie que Pagny revendique depuis toujours : vivre librement. Pour lui, la parentalité — comme la vie — ne se dicte pas, elle se vit à son propre rythme.

Deux hommes, deux chemins, une même humanité
Ce dialogue entre Pagny et Ngijol révèle aussi quelque chose de plus profond : la façon dont les hommes d’aujourd’hui envisagent la paternité. Longtemps perçue comme une responsabilité distante, elle est désormais vécue comme un lien intime, affectif, et même spirituel.
L’un comme l’autre évoquent leurs enfants avec fierté, douceur et respect. Pas de regrets, pas de nostalgie, simplement l’envie d’accompagner, sans diriger. Et derrière leurs mots, se devine une réflexion sur le passage du temps, sur ce que signifie vieillir, transmettre, continuer à aimer autrement.
Pagny, qui a récemment affronté la maladie avec courage, semble aborder cette nouvelle étape avec un regard apaisé. Quant à Ngijol, il incarne cette génération d’hommes qui ne craignent plus d’exprimer leurs émotions et leur vulnérabilité.
Le temps, la famille et la liberté
En conclusion de cet échange aussi drôle qu’émouvant, une évidence s’impose : pour ces deux artistes, la famille reste la plus belle des aventures humaines. Que l’on soit chanteur de légende ou humoriste à succès, le désir de voir grandir ceux qu’on aime, de les voir devenir parents à leur tour, est universel.
Mais là où certains pourraient se montrer impatients, Florent Pagny préfère la patience et la confiance. Ses mots résonnent comme une leçon de vie :
« Tout le monde est libre. Ça arrivera quand ça arrivera. »
Dans un monde où tout va vite, où l’on veut tout contrôler, cette phrase sonne comme un rappel à la simplicité et à la sagesse. Car, au fond, que l’on ait 46 ou 63 ans, l’essentiel reste le même : aimer, transmettre, et laisser la vie suivre son cours.
Souvent perçus comme des figures publiques inaccessibles, Florent Pagny et Thomas Ngijol se sont ici révélés profondément humains. Entre rires et confidences, ils ont rappelé que derrière chaque célébrité se cache avant tout un parent, un être en quête de sens et de continuité.
Et si la célébrité s’efface un instant, c’est pour laisser place à ce qu’il y a de plus simple et de plus vrai : le désir d’aimer encore, à travers les générations.
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