Gilles Verdez réclame l’exclusion d’Anouk de la Star Academy : une polémique qui enflamme le plateau de TBT9
Ce vendredi 24 octobre 2025, une nouvelle polémique a agité le plateau de TBT9. Connue pour ses coups de gueule retentissants, Gilles Verdez s’en est cette fois pris à Anouk, la jeune candidate belge de la Star Academy 2025, qu’il accuse d’être « pro-RN » à cause de certains « likes » repérés sur ses réseaux sociaux. Selon lui, la chanteuse ne devrait plus avoir sa place dans l’émission. Une déclaration qui a immédiatement fait réagir ses collègues et suscité un débat passionné sur la frontière entre vie privée, liberté d’expression et engagement politique.
Une candidate prometteuse au cœur d’une tempête médiatique
Jusqu’à récemment, Anouk faisait figure de révélation dans cette nouvelle édition de la Star Academy. Originaire de Belgique, la jeune artiste avait séduit le public et le corps professoral dès le premier prime, notamment avec sa reprise touchante de Aimer pour de vrai d’Héléna Bailly. Douce, talentueuse et solaire, elle semblait avoir tous les atouts pour s’imposer comme l’une des favorites du concours.
Mais en quelques jours, la situation a basculé. Sur les réseaux sociaux, des internautes ont mis en lumière plusieurs « likes » laissés par la chanteuse sur des publications de Jordan Bardella, Marine Le Pen et d’autres figures du Rassemblement National (RN). Rapidement, les captures d’écran ont circulé, alimentant la suspicion d’une proximité idéologique entre la candidate et le parti d’extrême droite français.
La polémique enfle : entre indignation et appel à la nuance
Face à ces révélations, les réactions n’ont pas tardé à affluer. De nombreux internautes se sont dits choqués, jugeant « inquiétant » qu’une participante d’une émission aussi populaire affiche un quelconque soutien – même indirect – à des personnalités politiques controversées. Certains ont même appelé à des sanctions, arguant que la Star Academy, vitrine de la diversité et du vivre-ensemble, ne pouvait se permettre d’héberger une candidate associée à un parti qualifié de « radical ».
D’autres, en revanche, ont défendu la jeune femme, invitant à plus de discernement. Plusieurs voix se sont élevées pour rappeler qu’un simple « like » ne constitue pas forcément un engagement politique. Il peut s’agir d’un geste anodin, d’un réflexe ou même d’une volonté de suivre l’actualité sans adhérer aux idées partagées.
Un autre argument avancé par ses défenseurs : Anouk est belge, et ne vote donc pas en France. Pour eux, la polémique est d’autant plus disproportionnée qu’elle repose sur des interprétations hâtives et un procès d’intention.
Gilles Verdez monte au créneau : “Elle doit être exclue”
Invité à réagir à cette affaire sur le plateau de TBT9, Gilles Verdez n’a pas mâché ses mots. Fidèle à sa réputation de chroniqueur sans filtre, il a réclamé l’exclusion pure et simple d’Anouk du programme.
« La candidate de la Star Academy serait pro-RN, et il y a tout un débat pour savoir si c’est normal ou pas ? », a-t-il lancé avec indignation, avant de poursuivre : « D’autres disent qu’elle a aussi fait des publications contre le Rassemblement National, qui annuleraient les premières. Mais moi, ça me dérange profondément. Je vous le dis, ça n’engage que moi, mais pour moi, il faut l’exclure de l’émission. »
Ses propos ont immédiatement provoqué un tollé sur le plateau. Cyril Hanouna, animateur de l’émission, ainsi que plusieurs chroniqueurs, notamment Danielle Moreau, se sont dits choqués par la virulence de sa position.
Un débat sous haute tension sur la liberté d’opinion
Cyril Hanouna, visiblement surpris, a cherché à comprendre la logique de son chroniqueur : « Et si elle avait liké des trucs de LFI, Gilles ? » lui a-t-il demandé.
Réponse, mi-sérieuse, mi-provocatrice, de Verdez : « Alors, je l’aurais virée, mais moins rapidement. » Une phrase qui a déclenché les rires, mais aussi des regards interloqués sur le plateau.
Cette sortie a été perçue par certains comme une démonstration des dérives possibles de la culture de la polémique. Faut-il vraiment juger un artiste sur ses interactions numériques ? Où s’arrête la vie privée et où commence la responsabilité publique ?
Plusieurs observateurs ont souligné que la Star Academy est avant tout une émission artistique, non un tribunal politique. Et que sanctionner une candidate pour un « like » pourrait ouvrir la porte à une forme de censure morale difficilement justifiable.
Le “like” : un geste anodin ou un acte politique ?
Au cœur de cette affaire, une question plus large se pose : qu’est-ce qu’un « like » sur les réseaux sociaux ? Est-ce une marque d’adhésion, une simple curiosité, ou une manière de s’informer ?
Dans une société ultra-connectée, où chaque interaction numérique peut être scrutée, le moindre clic devient potentiellement un signal interprétable. Pourtant, les spécialistes des médias le rappellent souvent : « aimer » une publication ne signifie pas toujours approuver son contenu.
De plus, la jeune génération navigue dans un environnement numérique complexe où l’algorithme influence fortement les contenus visibles. Il n’est donc pas rare de « liker » sans réelle réflexion politique derrière le geste.
La Star Academy face à un dilemme
Pour la production de la Star Academy, cette polémique tombe mal. L’émission, qui connaît un fort succès depuis son retour, mise sur l’image positive, inclusive et bienveillante de ses élèves. Voir l’une de ses figures montantes éclaboussée par une controverse politique représente un risque d’image certain.
Jusqu’à présent, TF1 et Endemol France n’ont pas commenté l’affaire publiquement. Mais en coulisses, plusieurs sources indiquent que la direction du programme prône la prudence. La chaîne serait peu encline à réagir dans l’immédiat, préférant laisser la tempête médiatique s’essouffler d’elle-même.
Une polémique révélatrice de notre époque
Au-delà du cas d’Anouk, cette histoire illustre à quel point la frontière entre vie publique et vie numérique est devenue poreuse. Dans un monde où chaque clic peut être interprété, le moindre geste sur les réseaux sociaux prend une portée démesurée.
Le coup de gueule de Gilles Verdez aura au moins eu le mérite de relancer un débat fondamental : faut-il juger les artistes sur leurs opinions, leurs goûts ou leurs interactions en ligne ?
Entre ceux qui réclament l’exemplarité absolue et ceux qui défendent la liberté individuelle, la société semble plus divisée que jamais. Et si cette controverse en dit long sur notre rapport à la politique, elle révèle aussi une forme d’intolérance nouvelle : celle qui refuse toute nuance dans un monde dominé par la visibilité instantanée.
En conclusion
L’affaire Anouk met en lumière une réalité troublante : à l’heure des réseaux sociaux, l’intention n’a plus toujours d’importance. Ce qui compte, c’est l’image, la perception, la capture d’écran.
Qu’elle soit coupable d’un clic maladroit ou victime d’un emballement collectif, la jeune chanteuse se retrouve aujourd’hui au centre d’un tourbillon médiatique dont il sera difficile de sortir indemne.
Pendant ce temps, sur les plateaux télé comme sur les réseaux, le débat continue de diviser : un « like » doit-il vraiment coûter une carrière ?
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