À l’approche de l’orientation, Koh-Lanta ne laisse plus de place à l’erreur. Cette semaine, entre stratégies affûtées, collier d’immunité et rebondissements inattendus, la mécanique des destins liés a fait tomber un duo fort, Naïs et Pierre-Marie.
L’aventure Koh-Lanta entre dans sa phase la plus redoutable. Cette semaine, la mécanique des destins liés a fait son grand retour. Deux par deux, les aventuriers voyaient leur sort scellé ensemble, si l’un chutait, l’autre tombait aussi. Dans ce contexte ultra-stratégique, les coups de bluff se sont multipliés, un collier d’immunité a été dégainé au bon moment par Gaëlle, et les retournements de situation ont rythmé le conseil. Mais à l’issue d’un épisode tendu, c’est le binôme du Sud, Naïs et Pierre-Marie, qui a été éliminé, à seulement quelques jours de la mythique épreuve d’orientation. Un coup dur, et une sortie pleine d’amertume.
Voici.fr : Comment vous sentez-vous après cette élimination ?
Pierre-Marie : Très bien, enfin tout est relatif, mais plutôt bien. Je suis quand même content de mon aventure, donc ça va. C’est toujours dur de digérer une élimination sur Koh-Lanta, mais dans l’ensemble, le temps à fait son œuvre.
À la fin du conseil, vous paraissez en colère contre Maxime…
En fait, ce que je ressens à ce moment-là, c’est de m’être fait avoir par une stratégie en carton. C’est-à-dire, si Maxime nous suit pas, c’est son choix, je comprends sa rancœur. Mais là, on a eu la double lame. On a eu celle de Maxime, certes, mais aussi celle de Gaëlle avec son collier d’immunité. L’un ou l’autre aurait suffi, donc plus dommage par rapport à ça. Juste le collier de Gaëlle aurait suffi ou juste le vote de Maxime. Là, on sent qu’ils n’ont pas été beaucoup concertés et c’est dommage.
Avant le conseil, Maxime met en place de nombreuses stratégies, vous aviez totalement confiance en lui ?
Compliqué d’avoir confiance en Maxime à 100%. Je savais qu’il était instable stratégiquement, mais voilà, il nous avait prouvé les deux derniers votes qu’on pouvait voter ensemble. Je pensais que la rancœur qu’il avait suite au conseil des ambassadeurs était mise de côté, ou du moins, qu’on avait réussi à passer à autre chose, mais visiblement non.
C’est surtout le nom de Naïs qui est sorti au conseil, est-ce que vous pensez que les autres aventuriers en avaient surtout après elle ou après votre binôme ?
Je pense que c’était surtout le binôme qui était visé. On cochait toutes les cases pour se faire éliminer. Entre moi, qui était dans le viseur de Maxime et Naïs qui était en danger depuis plusieurs conseils, nous étions les parfaites têtes à abattre. Pour moi c’est vraiment le bilan qui a été visé. Un tout petit peu déçu sur le fait que Maxime n’a pas voté contre moi alors qu’il voulait me voir partir. J’aurais préféré à la limite qu’il vote contre moi plutôt que contre Naïs.
“J’ai l’impression que c’était vraiment le destin de partir avec elle”
Justement, est-ce que le fait de partir avec Naïs a été plus douloureux ?
Non. C’est vrai qu’on n’a pas été les plus chanceux au tirage, forcément en danger puisque deux bleus. Mais en même temps, Naïs c’est un premier compagnon de galère, on a découvert la bannière bleue ensemble, on a eu des victoires ensemble, on a partagé un super confort ensemble, grâce à elle. Donc pour le coup, j’ai l’impression que c’était vraiment le destin de partir avec elle (rires). Non, je ne suis pas déçu. C’est juste dommage.
Les Bleus avaient la réputation d’une équipe soudée, quelle a été votre force ?
Notre force, c’est vraiment notre tempérament de sudiste. On est des personnes entières. C’est vrai que des fois, même souvent, on se disait les choses qu’on avait sur le cœur. Que ce soit Naïs, Adrien, Jérôme, on ne passe pas par quatre chemins pour se dire les choses. Du coup, ça permet d’avancer très vite. Très rapidement chez les Bleus, on a eu l’impression, d’ailleurs ce n’est pas une impression, qu’on se connaissait parfaitement. Que ce soit sur le camp ou sur les épreuves, on arrivait à avancer, comme une famille, avec les points forts et les faiblesses d’une famille. C’est sûr que des fois, tout n’était pas rose mais on arrivait à se mobiliser. C’était très chouette.
Vous pensez que c’est à cause de votre force de caractère que les autres aventuriers voulaient éliminer les Bleus ?
Oui. On a très vite vu, au début, avec Denis Brogniart, dans la rizière, que notre caractère entier n’allait pas faire l’unanimité. Très vite, on savait que c’était : on nous aime ou on ne nous aime pas. En plus, on a eu des très belles victoires avec les Bleus et surtout, on n’a jamais perdu. Ça nous a permis d’aller entre les Jaunes et les Rouges et après en réunification. On était l’équipe la plus nombreuse, on a prouvé qu’on savait gagner.
Est-ce vous regrettez votre choix d’éliminer Maxime au conseil des ambassadeurs ?
Moi, déjà les ambassadeurs, c’est quelque chose que je voulais faire. Quand je suis parti à Koh-Lanta, je voulais connaître tous les aspects de ce jeu dingue et faire les ambassadeurs en fait partie. Donc déjà, j’étais content de pouvoir le faire. Pour avoir mon destin entre les mains. Mais par contre, le conseil des ambassadeurs à quatre, ce n’est pas évident. Je sentais que ça allait être compliqué en y allant, mais je ne regrette pas du tout mon choix. Tout le monde voulait voir Maxime partir, j’ai zéro regret. De son côté, il a un parcours tellement atypique, c’est le jeu !
Vous avez été très affecté par le choix de Jérôme d’emmener Joana en confort, comment vous avez réglé ça ?
À Koh-Lanta les émotions, c’est un truc de fou ! La réaction que j’ai eu, c’est complètement moi dans la vie (rires). Dans l’aventure, c’est impossible de cacher ses émotions ou de faire semblant. J’ai eu cette réaction aussi parce que je suis très proche de Jérôme et des fois, on est encore plus exigeant avec nos proches. Derrière, Jérôme m’a rendu la pareille en facilitant le choix de Naïs pour aller voir ce super village de pêcheurs. Après, tout est rentré dans l’ordre assez vite. Jérôme ou moi on est quand même assez grands pour se remettre en ordre de marche assez rapidement. Il a fallu un petit peu digérer le coup mais ça a été.
Est-ce que vous avez noué des liens très forts avec d’autres aventuriers ?
Surtout avec les Bleus en règle générale. Je pense que toutes les équipes sont un peu comme ça. C’est-à-dire que, les Bleus ça reste les premiers compagnons galères. C’est la première fois qu’on voit la bannière, ce sont les premières soirées au coin du feu, ce sont les premiers repas, ce sont toutes les premières fois. Une grosse affection pour ma tribu d’origine.
“Même les mauvais souvenirs, avec le temps, deviennent des bons souvenirs, finalement”
Vous êtes toujours en contact ?
Oui, on est tous en contact. On s’envoie des messages régulièrement avec quelques coups de fil.
Qu’est ce qui a été le plus difficile dans cette aventure ?
En fait, à Koh-Lanta déjà le moindre truc est une galère. Ça parait pas, mais tout est une galère, il n’y a rien de simple (rires). Pour moi, le plus dur à gérer c’était vraiment le manque de mes enfants et de ma femme. Mes proches en général. De ne avoir de nouvelles et de ne pouvoir en donner aussi. Mais paradoxalement, c’est aussi ce qui m’a aussi donné beaucoup de force pour ne pas abandonner, pour ne jamais rien lâcher.
En parlant de vos proches, qu’est qu’ils ont pensé de votre aventure ?
Les enfants sont très fiers de leur papa, donc c’était un peu ce que j’étais venu chercher. Ils sont très fiers de voir leur papa dans cette aventure. Et surtout de voir leur papa qui a réalisé l’un de ses rêves. Donc ça, c’est chouette. Et je les encourage à réaliser eux leurs propres rêves. C’est surtout ça que je voulais montrer à mes enfants, à mes neveux, à tout le monde, que même quand on a des rêves, aussi dingue qu’ils soient, si on met tout en œuvre, on peut les réaliser.
Quel a été votre meilleur souvenir de l’aventure ?
Il y en a beaucoup. Même les mauvais souvenirs, avec le temps, deviennent des bons souvenirs, finalement. Mais on va dire que si je dois en on va en citer deux, c’est quand même de gagner un totem individuel. C’est une fierté énorme de rentrer dans cette case d’aventuriers qui ont gagné un totem. Il en a pas tant que ça quand même. Il y a aussi le village qu’on a fait avec Naïs, la première victoire dans la rizière avec les Bleus. Il y a plein plein de choses, la liste serait longue.
Est-ce que vous seriez prêt à repartir pour Koh-Lanta ?
Je pense que c’est dur de refuser Koh-Lanta. Oui, si l’occasion se présente, avec grand plaisir. Même si faire Koh-Lanta, c’est aussi des sacrifices. Donc bien sûr, il faut étudier la proposition. Mais dans les grandes lignes, oui.
Un prénom chargé d’émotion : pourquoi Kendji Girac a choisi ce nom pour son deuxième enfant
C’est un moment que les fans de Kendji Girac n’oublieront pas de sitôt. Le chanteur, connu pour sa voix chaleureuse et son charisme solaire, a annoncé cette semaine la naissance de son deuxième enfant avec une tendresse qui a bouleversé la toile. Sur son compte Instagram, Kendji a posté une photo émouvante de lui tenant son nouveau-né dans les bras, accompagnée de ces quelques mots : “Notre petit garçon est arrivé au monde.” Mais ce qui a particulièrement attiré l’attention des internautes, au-delà de la douceur de l’image, c’est le prénom du bébé. Un choix fort, symbolique, et profondément enraciné dans l’histoire personnelle de l’artiste.
Un prénom, un héritage
Kendji Girac n’a jamais caché son attachement à ses origines gitanes et à sa famille. C’est donc sans grande surprise que le prénom de son fils, soigneusement choisi, reflète cette identité forte. Bien que Kendji n’ait pas encore dévoilé officiellement le prénom du petit garçon, plusieurs sources proches de l’artiste évoquent un prénom rare, porteur de tradition et de signification. Selon certains fans présents lors de ses récentes rencontres publiques, le chanteur aurait murmuré que le prénom “est un hommage à mes racines et à quelqu’un que j’ai beaucoup aimé.”
Le prénom serait ainsi lié à l’histoire de son grand-père, une figure centrale dans la vie de Kendji, qu’il a souvent évoquée dans ses interviews et même dans certaines de ses chansons. Ce geste, profondément personnel, serait une manière pour lui de transmettre un pan de son histoire à la nouvelle génération.
Un message d’amour et de continuité
Dans une interview accordée à un média musical français quelques mois avant la naissance, Kendji confiait déjà qu’il pensait depuis longtemps à un prénom “qui aurait du sens, pas juste un joli son.” Il expliquait alors vouloir “offrir à son fils un nom qui raconte quelque chose, qui porte un message d’amour, de force, et de fierté.” Pour un artiste comme lui, habitué à chanter l’amour et les liens familiaux, ce choix n’a rien d’anodin.
Le prénom de ce petit garçon serait donc bien plus qu’une simple formalité : il incarne une promesse. Celle de perpétuer les valeurs que Kendji défend depuis le début de sa carrière : la famille, l’authenticité, la transmission.
Une réaction émotive du public
Depuis l’annonce, les réseaux sociaux se sont enflammés. Les messages de félicitations affluent de toutes parts, mais beaucoup d’internautes se concentrent surtout sur la signification du prénom du bébé. Certains y voient une démarche artistique : “Kendji ne fait jamais rien au hasard. Chaque mot qu’il choisit a une portée. Alors son fils, il ne pouvait que porter un prénom plein de sens,” écrit une fan sur Twitter.
D’autres saluent son courage de s’éloigner des prénoms à la mode pour affirmer sa différence. “Dans un monde où tout le monde s’uniformise, il est beau de voir un artiste comme Kendji affirmer ses origines à travers le nom de son enfant,” souligne une autre admiratrice sur Instagram.
Une nouvelle facette de l’artiste
La naissance de ce deuxième enfant semble également marquer un tournant dans la vie artistique de Kendji Girac. Déjà papa d’une petite fille, Eva Alba, née en 2021, le chanteur avait confié combien la paternité avait transformé sa vision du monde et influencé sa musique. Il est fort à parier que ce nouvel événement familial nourrira ses prochains textes et projets.
Des proches du chanteur laissent entendre que Kendji planche déjà sur un nouvel album plus intime, dont certains morceaux seraient directement inspirés de la naissance de son fils et de cette nouvelle étape dans sa vie d’homme. “Il écrit beaucoup en ce moment. Il est dans une bulle d’émotions,” confie un membre de son équipe artistique.
Une famille soudée dans la discrétion
Fidèle à lui-même, Kendji reste discret sur les détails de sa vie privée. Son couple avec Soraya, la mère de ses enfants, est resté longtemps à l’abri des projecteurs. Ils préfèrent vivre leur bonheur en toute simplicité, loin des polémiques et du tumulte médiatique. Ce choix de discrétion contraste avec la sincérité dont il fait preuve dans sa musique et ses messages aux fans.
Avec cette nouvelle naissance, le couple semble plus uni que jamais. Les rares photos partagées montrent un Kendji apaisé, comblé, profondément ému par cette nouvelle page de sa vie.
En conclusion
La naissance du deuxième enfant de Kendji Girac est bien plus qu’un simple événement familial. Elle symbolise un acte d’amour, de transmission et de fidélité à ses racines. Le prénom de son fils, encore gardé secret mais déjà porteur de tant de sens, révèle un artiste en pleine maturité, entre tradition et modernité. Une chose est sûre : Kendji Girac, en devenant une nouvelle fois père, continue de toucher les cœurs, non seulement par ses chansons, mais aussi par l’authenticité de son parcours de vie.
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