Christophe Hondelatte claque la porte : le journaliste au cœur d’une tempête médiatique après ses propos sur l’affaire Lola
Depuis ce week-end, les réseaux sociaux se sont enflammés autour d’un nom bien connu du paysage audiovisuel français : Christophe Hondelatte. Le journaliste, figure emblématique du journalisme judiciaire et ancien présentateur de l’émission culte Faites entrer l’accusé, est devenu la cible d’un torrent de critiques après son intervention dans C l’hebdo sur France 5.
L’émission, présentée par Aurélie Casse, revenait ce samedi 23 novembre sur un drame qui continue de bouleverser l’opinion publique : l’affaire Lola. Un sujet d’autant plus sensible que la mère de la jeune fille assassinée était présente sur le plateau, à la veille du procès de la principale suspecte.
Une séquence lourde d’émotion
Sur le plateau, l’ambiance était déjà empreinte d’émotion. L’annonce du futur procès de la meurtrière présumée, une femme algérienne sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français), a ravivé les blessures d’une tragédie survenue en 2012. Selon les experts, son discernement n’était pas aboli au moment des faits, ce qui la rend pénalement responsable.
C’est dans ce contexte explosif que Christophe Hondelatte a pris la parole. Fidèle à sa réputation d’homme sans filtre, il a livré une analyse qui a immédiatement fait polémique. Pour lui, ce drame illustre avant tout la nécessité de soigner les sans-papiers, notamment sur le plan psychiatrique, plutôt que de se contenter de les expulser.
« On a là une preuve flagrante que l’aide médicale d’État est indispensable. Ces gens-là, fusse-t-il sans-papiers, ont aussi besoin d’être soignés, y compris sur le plan psychiatrique », a-t-il déclaré sur le plateau.
Une phrase qui se voulait humaniste, mais qui a été perçue par certains comme une provocation ou un manque d’empathie envers la douleur de la mère de la victime.
Une vague d’indignation immédiate
La réaction ne s’est pas fait attendre. Dès la diffusion de l’émission, les réseaux sociaux se sont transformés en véritable tribunal populaire. Sur X (anciennement Twitter), les internautes ont fustigé le journaliste, l’accusant d’avoir manqué de tact, voire de respect, face à la mère de Lola.
Les chroniqueurs de “Touche pas à mon poste” (TPMP) sur C8 ont eux aussi pris part à la polémique. Guillaume Genton s’est emporté : « Il n’a pas honte ? », tandis que Jean-Michel Maire a ironisé : « Donc maintenant, c’est de notre faute ? » Quant à Géraldine Maillet, elle s’est dite profondément choquée : « Parler de récupération politique devant la maman de Lola, je trouve que c’est absolument indécent ! Le timing est très mauvais. »
Ce flot de critiques a rapidement pris de l’ampleur, transformant la controverse en véritable affaire médiatique.
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Christophe Hondelatte réplique : “Regardez l’émission en entier !”
Face à ce déferlement de haine, Christophe Hondelatte n’a pas tardé à sortir du silence. Depuis son compte X, il a tenu à rectifier ce qu’il considère comme un malentendu nourri par un extrait tronqué de l’émission.
« Vous commentez un extrait, monté comme tous les extraits d’émission, pour faire le ‘buzz’. Je vous invite à aller voir le replay de l’émission en entier ! Vous verrez que l’attitude que vous me prêtez à l’égard de la maman de Lola est très, très, très loin de la réalité », a-t-il écrit.
Le journaliste, visiblement affecté par la tournure des événements, a insisté sur le respect et l’empathie qu’il porte à la mère de la jeune victime.
« J’aime cette femme, je la respecte et la comprends », a-t-il ajouté, rappelant que de nombreux échanges en plateau, passés sous silence dans l’extrait polémique, témoignaient de cette bienveillance.
“À mon tour de vous demander de respecter la mémoire de Lola”
Mais Christophe Hondelatte ne s’est pas arrêté là. Dans une série de messages publiés sur X, il s’en est violemment pris à ceux qu’il accuse de l’avoir lynché sans chercher à comprendre le fond de son propos.
« À tous les abrutis qui m’ont lynché pendant deux jours », a-t-il écrit, manifestement à bout.
Il a également tenu à clarifier ses relations avec la mère de Lola, expliquant qu’il n’y avait eu aucune animosité entre eux. Au contraire, il a salué le courage de cette femme et rappelé qu’elle-même refusait toute récupération politique de la tragédie.
« Je me souviens surtout qu’elle refuse, depuis le début, la récupération misérable que certains zigotos hyperactifs sur ce réseau pitoyable lui imposent. À mon tour de vous demander de respecter la mémoire de Lola, et le courage de sa maman, en cessant de récupérer cette tragédie aux bénéfices de vos idées pourries », a-t-il martelé.
Un message fort, qui traduit l’exaspération d’un homme convaincu d’avoir été injustement caricaturé.

“Je me retire sur la pointe des pieds”
Épuisé par la virulence des attaques et la violence des propos à son encontre, Christophe Hondelatte a finalement pris une décision radicale. Le journaliste d’Europe 1 a annoncé son retrait temporaire de la vie médiatique.
« Je me retire sur la pointe des pieds pour quelques jours, le temps que la horde monstrueuse qui m’est tombée dessus trouve un autre os à ronger ! »
Un geste d’apaisement, mais aussi une manière de prendre du recul face à un climat devenu délétère.
Une nouvelle controverse symptomatique
Cette affaire illustre, une fois encore, la fragilité du débat public à l’heure des réseaux sociaux. En quelques heures, une séquence sortie de son contexte peut se transformer en polémique nationale. Christophe Hondelatte, habitué aux zones d’ombre et aux drames judiciaires, se retrouve cette fois au banc des accusés médiatiques, pris dans une tempête dont il ne maîtrise plus les contours.
L’épisode pose aussi une question plus large : comment parler d’affaires sensibles, mêlant émotion, politique et justice, sans tomber dans l’amalgame ou la récupération ?
Pour certains observateurs, les propos de Hondelatte n’étaient pas déplacés, mais malvenus dans un moment de forte émotion. Pour d’autres, ils étaient au contraire nécessaires, rappelant qu’au-delà des drames individuels, il existe des enjeux de société plus vastes : la santé mentale, la prise en charge des personnes précaires, et la responsabilité collective.
Une pause nécessaire avant le retour ?
Pour l’heure, Christophe Hondelatte semble décidé à s’éloigner quelques jours du tumulte médiatique. Un retrait salutaire pour celui qui, depuis des décennies, décrypte les faits divers les plus sombres sans jamais craindre la controverse.
Mais cette fois, ce n’est pas une affaire criminelle qu’il commente : c’est la sienne.
Et si le journaliste espère que “la horde monstrueuse” passera à autre chose, cette affaire restera sans doute comme l’un des épisodes les plus marquants de sa carrière — un rappel brutal que, dans notre époque ultra-connectée, la moindre parole peut devenir une arme à double tranchant.
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