Karine Le Marchand au chevet de Veronika Loubry : l’hommage bouleversant à Gérard Kadoche, disparu après des années de combat

On va faire quoi ?" : Karine Le Marchand pleure la disparition du compagnon  de Veronika Loubry - Public

La journée du 11 décembre 2025 restera gravée dans la mémoire de ceux qui gravitent autour de Veronika Loubry. Au petit matin, l’animatrice et entrepreneuse annonçait la disparition de son compagnon, Gérard Kadoche, foudroyé après près de trois années d’un combat acharné contre la maladie. Une nouvelle qui, en quelques minutes seulement, a fait le tour des réseaux sociaux, provoquant une vague d’émotion intense parmi les anonymes comme parmi les personnalités proches du couple.

Parmi celles qui ont pris la parole dans les heures qui ont suivi, Karine Le Marchand s’est exprimée avec une sincérité rare. Très amie avec Veronika depuis de longues années, elle entretenait un lien profond avec Gérard Kadoche, qu’elle qualifiait volontiers de « membre de la famille de cœur ». Son hommage, publié en story sur Instagram, a touché en plein cœur ceux qui l’ont lu.

Un deuil partagé, une perte qui dépasse le couple

Dans son premier message, simple mais dévastateur, Karine écrit :
« Repose en paix. On va faire quoi sans ta sagesse et ta lumière, mon Gérard d’amour ? »

Une phrase courte, mais qui en dit long. On comprend immédiatement que la douleur ressentie ne se limite pas à Veronika ; c’est un cercle d’amis soudés, une constellation humaine, qui se trouve amputée de l’un de ses piliers.

Quelques heures plus tard, l’animatrice de L’Amour est dans le pré publie un texte plus long, presque une lettre d’adieu, où elle dépeint la personnalité de Gérard Kadoche avec une délicatesse infinie. Pour elle, « Gégé » n’était pas seulement un ami : c’était un conseiller, un homme de valeurs, un être lumineux, brillant et profondément bon. Elle parle d’un « Mensch », un mot yiddish qui désigne quelqu’un de juste, d’honnête, de généreux – un être humain au sens noble du terme.

Karine raconte celui qui prenait le temps d’écouter, d’aider, de transmettre. Celui qui aimait intensément la vie, ses proches, l’avenir, malgré l’ombre constante de la maladie. Et surtout, celui qui aimait Veronika, d’un amour solide et fusionnel. « Plus que tout, notre Veronika », écrit-elle, soulignant à quel point le couple formait une évidence, même dans l’épreuve.

Un combat mené à deux, jusqu’au bout

Dans son message, Karine rend hommage non seulement à Gérard, mais aussi à Veronika, dont la force, la loyauté et le courage ne sont pas passés inaperçus. Pendant plus de deux ans, elle a accompagné son compagnon dans un combat sans répit contre ce qu’elle appelle, avec révolte, « cette saloperie de crabe ».

Ce combat, ils l’ont mené ensemble, en duo, avec leur humour, leur tendresse habituelle mais aussi avec une résilience qui a forcé l’admiration de leur entourage. C’est cette fidélité amoureuse, cette immersion totale dans l’accompagnement de l’autre, que Karine salue dans son texte.

L’animatrice, épuisée par le choc de cette disparition brutale, fait également part de sa propre fragilité. Elle reconnaît avoir besoin de se mettre en retrait :
« Donnez-moi quelques jours pour retrouver un sourire qui ne serait que factice. »
Puis elle rassure ses abonnés :
« Je reviens vite, ne vous inquiétez pas. Ça va aller. Vive la vie. Prenez soin de vous. »

Des mots simples, mais tellement humains, qui montrent à quel point cette perte a fait vaciller même les plus solides.

C'était mon âme sœur, mon grand amour, mon double» : Véronika Loubry annonce la mort de son compagnon

Une onde de choc dans leur cercle d’amis

La disparition de Gérard Kadoche n’a pas touché que ses proches immédiats. Elle a également provoqué une élan de solidarité parmi de nombreuses personnalités françaises. Très rapidement, des figures comme Carla Bruni, Sylvie Tellier, Flavie Flament, Sophie Davant ou encore Sandra Sisley ont exprimé leur soutien et leur affection à Veronika.

Toutes ont souligné ce que représentait Gérard dans leur cercle : un homme discret mais central, un repère, quelqu’un qui savait créer du lien sans jamais chercher à être au premier plan. C’est ce rôle, invisible mais essentiel, que beaucoup ont choisi de mettre en avant dans leurs messages.

Veronika Loubry, brisée par la perte de son « âme sœur »

De son côté, Veronika a partagé son chagrin dans des mots brefs, comme si la douleur empêchait toute phrase plus longue. Elle se dit « dévastée », incapable de concevoir un monde où Gérard ne serait plus. Elle parle de lui comme de « son âme sœur, son grand amour, son double ». Des mots qui résonnent d’autant plus fort lorsqu’on connaît l’histoire de leur couple, fait de complicité, de respect et de joie partagée.

Dans ses messages, on sent la sidération, le vertige d’une femme qui doit continuer de vivre sans la personne avec laquelle elle formait un tout. Ceux qui la connaissent savent à quel point Gérard avait transformé sa vie, apportant une stabilité et une tendresse essentielles. Leur amour, intense et limpide, faisait l’admiration de leurs proches et de leurs abonnés.

Un hommage qui va au-delà des réseaux

Si les messages publiés par Karine Le Marchand ont tant touché, c’est aussi parce qu’ils ouvrent une fenêtre sur un pan de leur vie privée rarement exposé. Ils dévoilent la profondeur d’une amitié, mais aussi la manière dont une communauté humaine peut se rassembler dans l’épreuve. Ils rappellent que derrière les paillettes, les photos et les stories, des êtres sensibles, vulnérables, se soutiennent et se relèvent ensemble.

Cet hommage n’est pas un simple témoignage public : c’est un acte d’amour envers une amie, une manière d’être présente dans un moment où les mots manquent, où la seule chose possible est d’entourer et de prendre soin.

Une disparition qui marque un chapitre, mais laisse une lumière

La perte de Gérard Kadoche laisse un vide immense. Pourtant, dans les messages de Karine et des autres, on perçoit aussi quelque chose de précieux : la promesse que son souvenir, sa générosité, sa sagesse continueront à vivre à travers ceux qui l’ont connu.

Karine le dit elle-même : quelqu’un qui aimait autant la vie ne disparaît jamais vraiment. Sa lumière demeure, diffusée à travers ceux qu’il a touchés, par ses mots, par ses gestes, par son regard bienveillant.

Dans les prochains jours, Veronika devra affronter l’inimaginable : apprendre à vivre avec l’absence. Mais elle ne sera pas seule. À ses côtés, une armée d’amis, dont Karine, veillera à rester présente, aimante, fidèle – comme Gérard l’aurait voulu.