À 64 Ans, Florent Pagny en a MARRE et RÉVÈLE TOUT Sur Laeticia Hallyday !

et et Johnny n’est pas non plus blancbleu dans dans tout ça. Donc à un certain moment c’est lui qui provoque dès le départre. Qu’est-ce que tu penses de l’œuvre de Johnny ? No comment ? Ça veut tout dire. Si on met Johnny, on met Johnny. J’ai l’impression d’avoir une concession Harley qui a ouvert devant Bercy.

 Donc mais en même temps Johnny, on résume pas Johnny avec une moto. À 64 ans, Florent Pan a assez du silence. Le chanteur Rebelle, celui qui a toujours refusé les convenances et les faux semblants, a décidé de tout dire sur Latitia Hiday, sur l’héritage de Johnny, sur cette statue controversée qui fait encore parler aujourd’hui et surtout sur la vérité que personne n’ose vraiment aborder.

 Parce que contrairement à beaucoup d’autres, Florent Pan n’a jamais eu peur des polémiques. Il dit ce qu’il pense. Point final. Et ce qu’il révèle sur l’affaire à l’idée va bien au-delà des apparences, des déclarations qui accusent directement Johnny d’être responsable de la guerre familiale. Des critiques singlantes sur la statue qui honore sa mémoire, des explications sur son absence remarquée lors des funérailles.

Florent Panient plus rien et ça va faire du bruit. Pour comprendre pourquoi les déclarations de Florent Panid, il faut remonter aux origines de son amitié avec Johnny Hiday. Ce n’est pas une connaissance superficielle, pas une relation faite de sourire poli lors des cérémonies. Non, c’est une vraie complicité forgé sur les scènes des plus grands stades de France dans le partage d’une même passion pour la musique et d’un même respect mutuel.

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 Les années 190 et 2000 sont marqués par des moments musicaux inoubliables entre les deux artistes. Ces collaborations ne sont pas anodines. Quand Johnny Hiday choit un artiste pour monter sur scène avec lui, ce n’est jamais par hasard. Il faut avoir la voix, la présence et surtout le respect mutuel.

 Florent Pan coche toutes ses cases. En 1998, au Stade de France, lors d’un concert monumental devant des dizaines de milliers de spectateurs, Florent Pan scène au côté de Johnny pour interpréter le pénitentier. Deux voix puissantes qui se répondent, deux baritons qui s’affrontent vocalement, deux personnalités fortes qui se complètent musicalement pour le plus grand plaisir du public.

 La performance est grandiose. Les deux hommes se regardent, se définent, se sourinent. C’est la magie du live de l’instant partagé devant une foule en délire. Puis en 2003, au Parc des Princes, nouveau duo sur Pense à moi. Cette fois-là, une anecdote restera gravée dans les mémoires et dans les coulisses de la légende alidéenne.

 Florent arrive en retard au concert. Très en retard, il ne trouve pas la scène, se perd dans les dédes du stade, panique en cours de route. “Tu es sûr que tu connais le chemin ?” demande-t à son chauffeur d’une voix de plus en plus anxieuse. Le temps presse. Johnny est déjà sur scène. Le public attend. L’intro de la chanson commence.

 Puis en entendant les premières notes, c’est la panique totale pour Florent. C’est celle-là. Le stress est à son comble. Il faut y aller maintenant. Johnny attend sur scène le public aussi. Des milliers de regards tournés vers ce micro vide qui attend l’arrivée de Florent Pan. Finalement, il débarque complètement chamboulé, essoufflé, le cœur battant à 100 à l’heure.

 Mais professionnels qu’ils sont tous les deux, le duo se déroule à merveille. Personne dans le public ne se rend compte du stress vécu quelques secondes auparavant. C’est ça aussi la magie du spectacle. Cette soirée-là, Johnny et Florent prouvent qu’ils sont capables de gérer la pression des plus grandes scènes françaises, même dans l’urgence la plus totale.

 Ce qui lit les deux hommes au-delà de la musique, c’est cette capacité à être authentique. Johnny comme Florent n’ont jamais joué un rôle. Ils sont ce qu’ils sont, sans filtre. C’est probablement ce qui explique leur respect mutuel. Florent raconte d’ailleurs dans son livre que chanter avec Johnny était une épreuve. Pas parce que Johnny était difficile, mais parce que l’exercice demandait une intensité rare.

 Johnny avait cette exigence du spectacle parfait, du moment magique et Florent, lui aussi perfectionniste, comprenait cette quête. Mais toute cette complicité va être mise à mal par ce qui suit la mort de Johnny. Et c’est là que Florent Panny va commencer à dire des choses qui vont choquer beaucoup de monde. Octobre 2019, cela fait presque 2 ans que Johnny Haliday est décédé.

 La guerre d’héritage fait rage entre Latitia d’un côté et David et Laura de l’autre. Les tribunaux sont saisis, les avocats s’affrontent, les médias se délecte de chaque rebondissement. C’est dans ce contexte tendu que Florent Pis est invité le 18 octobre dans l’émission “On refait la télé sur RTL” présenté par Éric Dussard. L’interview commence tranquillement.

 On parle de musique, de projet, de l’actualité musicale française. Éric Dusart mène l’entretien avec Finess, laissant Florent s’exprimer librement. Et puis vient la question sur l’héritage de Johnny. La question qui fâche, celle qui divise la France. Florent Panny aurait pu beauté en touche, rester neutre, dire que il ne veut pas se mêler de ça, que c’est une affaire de famille et qui ne le regarde pas.

 Beaucoup d’autres artistes ont choisi cette voix du silence prudent. Mais non, pas Florent. Fidèle à son tempérament de rebelle, fidèle à son franc parler légendaire, il choisit de parler et ce qu’il dit va faire l’effet d’une bombe dans le petit monde du showbiz français. Ça va se régler, ils vont régler leur histoire.

 Tout le monde est intelligent là-dedans, commence-t-il, comme pour calmer le jeu, comme pour rassurer. Une entrée en matière diplomate qui laisse penser qu’il va rester en terrain neutre. Mais ensuite, Florent lâche la phrase qui va tout changer. La phrase qui va être reprise dans tous les médias, commentée, analysé, disséqué. Il y a eu des réactions, des comportements et Johnny n’est pas non plus blanc-bleu dans tout ça.

 Donc à un certain moment, c’est lui qui provoque dès le départ. Attendez, il vient de dire quoi exactement ? Florent Pan d’accuser Johnny Hidé, l’idole national. Le monument sacré de la chanson française d’être responsable de la guerre qui déchire sa famille. Oui, exactement ça. Sans ambiguïté, sans détour. Il continue et à chaque mot, il enfonce le clou un peu plus profondément.

 Après qu’il se règlent entre eux, ça va se faire naturellement. Puis il développe sa pensée avec une franchise désarmante. Ça pouvait peut-être l’amuser, aussi bête que ça puisse paraître, qu’il y ait un peu de friction pour rappeler que voilà, tout n’a pas été comme ça aussi facile. Ces mots sont extraordinaires.

 Florent Panny aurait volontairement créé les conditions du conflit, que peut-être d’une manière tordue, le rocker trouvait ça amusant de laisser derrière lui une bombe à retardement. Il était capable de choses comme ça, ajoute Florent, comme il a été capable de faire venir un million de mecs pour lui dire au revoir sans qu’il y ait un problème et qu’il se passe ce qui s’est passé.

 Cette déclaration est massive parce que Florent Pan connaissait bien Johnny. Il n’est pas un commentateur extérieur qui balance des théories fumeuses. C’est un ami de longue date qui a partagé la scène avec lui, qui a vu son caractère, ses contradictions, ses jeux psychologiques. Et selon lui, Johnny a sa part de responsabilité dans ce chaos.

Ce n’est pas seulement Latitia qui aurait manipulé ou influencé. Non, Johnny lui-même aurait essemment créé cette situation conflictuelle. Évidemment, ses propos font polémique. Certains défenseurs de Johnny critent au scandale. Comment peut-on salir la mémoire du Tollier de cette manière ? D’autres, au contraire trouvent que Florent a le courage de dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.

 Johnny Haliday était un homme complexe, parfois imprévisible, capable de grands gestes comme de décisions incompréhensibles. Pourquoi pas celle-ci ? Mais Florent Pan s’arrête pas là. Quelques années plus tard, en septembre 2021, il va remettre une couche. Cette fois, c’est la statue en hommage à Johnny qui va en prendre pour son grade.

 Septembre 2021, une sculpture monumentale est inaugurée devant l’accord Arena à Paris. Une œuvre du plasticien Bertrand Lavier composée d’un manche de guitare de 6 m de haut surmonté d’une Harley Davidson bleue. L’œuvre est censé représenter les deux passions de Johnny, la musique et la route. Latitia Alid trouve ça extraordinaire.

 Les autorités parisiennes valident mais le public lui est divisé. Beaucoup de fans déçus voire choqués. Ils auraient préféré une statue traditionnelle représentant Johnny lui-même. Le 18 septembre 2021, quelques jours après l’inauguration, Florent Panier est invité sur RFM dans l’émission de Bernard Montiel, son ami de longue date.

 La conversation roule naturellement sur différents sujets et inévitablement Bernard Montiel aborde la question : “Qu’est-ce que Florent pense de cette fameuse statue ?” On lui demande son avis en direct devant des milliers d’auditeurs. Au début, Florent hésite visiblement. On sent la gêne dans sa voix. Il soupire.

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 Pas de commentaire, lâche-t-il d’abord comme s’il voulait éviter la polémique, comme s’il savait que ces mots allaient faire des vagues. Bernard Montiel insiste gentiment. Il connaît Florent, il sait qu’il a un avis. Alors Florent soupire à nouveau plus profondément cette fois et finalement après quelques secondes de silence pesant, il craque.

 Il ne peut pas se retenir. Le franc parler reprend le dessus. Je pense qu’il ne fallait pas essayer de faire autre chose que du traditionnel. La phrase est lâchée, simple, directe, sans artifice. Florent Pan n’aime pas la statue. Il le dit clairement et il ne va pas s’arrêter là. Il continue, développe sa pensée avec de plus en plus de convictions.

 Pour moi, Johnny, c’était une telle silhouette. Le mec, il représente une telle image arrivé sur scène, les jambes un peu écartées, son micro à la main et tout, c’est ça l’image de Johnny. Pour Florent, Johnny est avant tout une présence physique, une attitude iconique, une posture reconnaissable entre 1000.

 cette façon de se tenir sur scène, cette assurance, ce charisme fou qui émanait de lui dès qu’il apparaissait. Réduire tout ça à une moto et un manche de guitare, c’est passé complètement à côté de l’essentiel. C’est ne pas comprendre ce qui faisait vraiment la magie de Johnny Holiday. Puis vient la punchline. J’ai l’impression d’avoir une concession Harley qui a ouvert devant Bercy.

 La comparaison est mordante. Florent ne mâche pas ses mots. Pour lui, cette statue n’honore pas Johnny. Elle le réduit à des symboles commerciaux. On ne résume pas Johnny avec une moto et un manche de guitare, insiste-t-il. Si on met Johnny, on met Johnny. On pouvait ne mettre qu’une silhouette si on voulait. Florent Panny conclut avec une forme de résignation.

 Ce n’est pas tout à fait ce que j’espérais mais bon, après chacun ses goûts et je n’ai rien à reprocher à l’artiste. Il essaie de ne pas être trop dur, mais le message est clair. Cette statue est un échec. Elle ne capture pas l’essence de Johnny Halid et Florent n’est pas le seul à le penser. Les internautes, les fans présents à l’inauguration, beaucoup ont exprimé leur déception.

 Mais entendre un ami proche de Johnny le dire publiquement, ça a un poids différent. Et puis il y a cette question qui revient sans cesse. Pourquoi Florent Panny n’a-t-il pas porté le cercueil de Johnny lors des funérailles ? Beaucoup se sont interrogés, certains ont même critiqué son absence. Mais en 2023, dans son autobiographie Pan Florent, le chanteur donne enfin des explications.

 “Lorsque tu as quitté cette terre, j’ai été comme tout le monde sonné et infiniment triste”, écrit-il s’adressant directement à Johnny. “On avait beau savoir que c’était foutu depuis un petit moment déjà, on ne pouvait pas concevoir une vie sans nouvelle chanson de toi.” Florent avoue avoir été complètement dévasté par la mort de son ami à tel point qu’il s’est retiré en lui-même.

“J’en étais bien incapable. Je me suis retiré en moi-même tout en pensant à toi tous les soirs quand je chantais. Florent explique qu’il avait un concert prévu à Dijon ce jour-là. Il aurait pu faire un aller-retour mais il n’en avait pas la force émotionnelle. Je ne pouvais pas lui dire “Porteur, le cercueil de Johnny aurait été trop dur, trop violent.

” Florent préfère laisser cette tâche à ceux qui étaient plus proches de Johnny dans ces derniers moments. Mais il ajoute quelque chose de touchant. “Je sais que tu sais, tu aurais fait pareil si les rôles avaient été inversés. Sur certains points, nous nous ressemblons. Florent pense que Johnny aurait compris que dans une situation inversée, Johnny aussi aurait pu faire ce choix.

 Parce que porter le cercueil d’un ami, ce n’est pas qu’un geste symbolique. C’est porter le poids de la perte, affronter la réalité brutale de la mort et parfois on en a pas la force. Ce qui est intéressant dans les relations entre Florent Pan et la famille Hidé, c’est que elle ne se résume pas à des critiques ou à des tensions.

 Il y a aussi eu des moments de complicité, notamment avec Latitia. Dans son livre, Florent raconte une anecdote surprenante qui s’est déroulée au VIP, un club parisien branché. Ce soir-là, Florent est attaigner. Il discute tranquillement quand Johnny et Latitia font leur entrée. Latitia s’installe à côté de moi, Johnny, face à moi. Il a Stark à sa droite.

 Stark est très impressionné parce que Johnny à côté de lui, ça lui fait tout drôle. N’oublions pas que personne n’a plus de charisme que Johnny, raconte Florent. La soirée se déroule bien jusqu’à ce que Philippe Stark se lance dans une longue tirade sur les relations amoureuses. Il parle, parle, parle et ça commence à ennuyer tout le monde.

 Johnny intervient alors de manière géniale. Il se tourne vers Latitia et lui dit simplement “Letit, viens parle au monsieur, il a des problèmes.” Latitia comprend immédiatement. Elle prend le relais de la conversation. Apaise Stark, détend l’atmosphère. Florent se souvient de ce moment avec amusement. Latitias avait géré ce genre de situation sociale compliquée.

 Cette anecdote montre qu’il y avait une forme de respect mutuel entre Florent et Latitia. Pas une amitié profonde, mais une cordialité, une reconnaissance des rôles de chacun dans l’univers de Johnny. Latitia n’est pas décrite comme une manipulatrice ou une intruse. Elle est juste là faisant partie de l’entourage, jouant son rôle. Et puis il y a ce lien troublant qui unit Florent Panny et Johnny Halid au-delà de la musique. Un lien médical.

En 2022, lorsque Florent annonce qu’il est atteint d’un cancer du poumon, il révèle que son médecin n’est autre que le professeur David Kayat, le même médecin qui avait soigné Johnny Hiday, le chef du service d’oncologie de l’hôpital de la Pitié Salpétrière. Une somité dans son domaine. Le professeur Kayat m’appelle enfin.

 C’est une mauvaise nouvelle. De tous les scénarios, le pire. La nature du cancer fait qu’il est inopérable, écrit Florent dans son livre. La nouvelle tombe comme un coupré, mais Florent se bat. Il suit le protocole. subit la chimiothérapie, affronte la maladie avec courage et aujourd’hui il est en rémission. Le professeur Kayat, qui n’avait pas pu sauver Johnny a réussi à sauver Florent.

Ce lien médical crée une connexion étrange entre les deux artistes comme si leur destin était lié d’une manière invisible. Florent a d’ailleurs été reçu par Johnny et Latitia à la Savana, leur résidence parisienne, probablement pour rencontrer le professeur Kayat. Ces moments d’intimité, de partage autour de la maladie, de la lutte contre le cancer ont probablement renforcé leur lien.

Alors, que retenir de toutes ces révélation de Florent Pan ? D’abord que l’homme n’a jamais perdu son franc parler. À 64 ans, il dit toujours ce qu’il pense sans se soucier des conséquences. Il a accusé Johnny d’être responsable de la guerre d’héritage. Il a critiqué sévèrement la statue censée honorer sa mémoire.

 Il a expliqué pourquoi il n’avait pas porté son cercueil. Des déclarations qui ne plaisent pas à tout le monde mais qui ont le mérite d’être honnête. Florent Panny ne cherche pas à aménager qui que ce soit. Il ne défend pas aveuglément Latitia mais il ne la diabolise pas non plus. Il reconnaît que Johnny avait sa part de responsabilité dans ce chaos, que le rocker était capable de jeux psychologiqu de décisions incompréhensibles, que peut-être d’une certaine manière il a voulu laisser derrière lui cette situation explosive.

Cette vision nuancée tranche avec les positions tranchées de beaucoup d’autres. Certains sont à 100 % avec Latitia, d’autres à 100 % avec David et Laura. Florent, lui, refuse de prendre un camp. Il dit juste la vérité telle qu’il la voit. Johnny n’était pas un saint. Latitia n’est pas un monstre. C’est une histoire humaine, complexe avec des zones d’ombre et des parts de responsabilité partagées.

 Mais ce qui ressort surtout des déclarations de Florent, c’est son amour pour Johnny. Malgré les critiques, malgré les accusations, il reste profondément attaché à la mémoire de son ami. Quand il parle de la statue, c’est parce qu’il aurait voulu quelque chose de plus digne pour Johnny. Quand il parle du testament, c’est parce qu’il pense que Johnny aurait mérité mieux que cette guerre familiale.

 Florent Pan n’est pas un détracteur. C’est un ami fidèle qui refuse que la mémoire de Johnny soit salie ou réduite à des symboles creux. À 64 ans, Florent Panny continue de vivre comme il l’a toujours fait. en Patagonie, loin de l’agitation médiatique avec sa femme Asusna et leurs enfants. Il chante toujours, il revient régulièrement sur scène.

 Il reprend son fauteuil dans The Voice. Le cancer ne l’a pas arrêté. Les polémiques non plus. Il avance fidèle à lui-même, fidèle à ses valeurs. Et s’il devait résumer son message sur l’affaire à l’idée, ce serait probablement celui-ci. Johnny a créé une partie du problème. Latitia en a créé une autre. David et Laura ont subi.

 Tout le monde a sa part de vérité et sa part de tort. Mais au final, ce qui compte, c’est que la paix revienne, que la famille se reconstruise, que l’héritage de Johnny soit celui de la musique, pas celui des bataille juridique. Florent Panier en a marre du silence, il en a marre des mensonges, des versions édulcorées, des récits officiels. Alors, il dit la vérité.

 Sa vérité, celle d’un ami qui a connu Johnny pendant des années, qui a chanté avec lui, qui a partagé des moments intenses et cette vérité dérange, mais c’est peut-être justement celle dont on avait besoin pour comprendre vraiment ce qui s’est passé.