À 72 ans, Biyouna disparaît mystérieusement : sa fille brise le silence.
Mesdames, messieurs, l’affaire éclate en mars 2025 lorsquamel, la fille de Biyuna, lance un cri d’alarme publique qui secoue l’Algérie et la diaspora. Elle affirme ne plus parvenir à joindre sa mère, ne plus savoir où elle se trouve et accuse une femme vivant avec la comédienne de couper volontairement tout contact familial.
Amelle parle d’isolement, de manipulation, de menaces, voire d’injection suspectes administrées à une artiste affaiblie. Ce témoignage brutal provoque une onde de choc nourrie par les réseaux sociaux et plusieurs médias locaux. Pourtant, quelques jours plus tard, Biuna réapparaît dans une courte vidéo et dément tout, assurant être en sécurité, bien entouré et parfaitement libre.
Ce contraste frontal entre l’appel désespéré d’une fille et la sérénité affichée d’une mère crée un doute profond qui va hanter toute l’histoire jusqu’à ce jour, alimenté par l’absence d’enquête officielle et le silence persistant de l’entourage proche autour de la star. Biyuna, de son vrai nom Bayabouar voit le jour le 13 septembre 1952 dans le quartier populaire de Belcour à Alger.
Alors en pleine colonisation française. Dès son plus jeune âge, elle est confrontée à la dureté de la vie dans une société patriarcale où l’art féminin est souvent méprisé. Pourtant, avec une force de caractère peu commune, elle s’impose d’abord comme danseuse dans les cabarets algérois avant de se tourner vers le théâtre, le cinéma et la chanson.

L’humour devient son arme favorite. Dans les années 1970, elle se distingue par son audace et son franc-parlé, choquant parfois les conservateurs, mais devenant une idole pour toute une génération de femmes maghrébines. Dans les années 1990, alors que l’Algérie plonge dans une guerre civile sanglante, Biyuna prend le risque de continuer à jouer et se produit même dans des rôles engagés.
Elle incarne des mères couragees, des femmes libres, des figures provoquantes. Son image explose à l’international grâce à des collaboration en France, notamment avec Nadir Mokèch dans le harem de Madame Osman et d’Élise Paloma où est libre des performances acclamées par la critique. Le public français la découvre comme une actrice atypique entre guille populaire et sensibilité tragique.
On la voit ensuite sur scène, au cinéma, à la télévision et même en tant que chanteuse dans des shows décalés mélan rail, chanson réaliste et humour cabaret. Sa carrière est marquée par une liberté de ton radicale. Elle n’a jamais fait mystère de ses opinions politiques, de son rejet des hypocrisies sociales et de son goût pour la provocation.
Cela lui va vouse parfois des censures ou des polémiques, notamment en Algérie où certains de ces sketchs sont jugés irrespectueux, voire sacrilège. Mais Biyuna reste inébromable. Elle vieillit sans jamais renoncer à ses combats, devenant pour beaucoup une icône féministe et anticonformiste adulée autant pour son talent que pour sa capacité à briser les tabous.
Sur le plan familial, en revanche, son histoire est plus complexe. Elle élève seule ses enfants dans un contexte difficile entre exil, tournée et pression médiatique. Sa fille à mal, restée souvent dans l’ombre apparaît rarement un public. On parle d’une relation marquée par les tensions, les incompréhensions et une distance qui s’est accentuée avec les années.
Si Biyuna n’a jamais étalé sa vie privée, certaines interviews anciennes laissent entendre une fatigue émotionnelle, notamment autour de la gestion de son âge et de son entourage. À partir de 2020, elle se fait plus discrète, apparaissant moins souvent à l’écran, évoquant des problèmes de santé mais sans jamais s’esantir.
En 2023, elle annonce vivre entre Paris et Alger, souvent accompagné d’une dame de compagnie qui l’aide au quotidien. Selon elle, cette femme est comme une sœur qui lui rend sa dignité et son autonomie. Mais c’est justement cette présence qui devient le centre de la controverse de 2025.
La disparition temporaire de Byuna des réseaux combiné à l’absence de contact avec Amel allume toutes les alarmes. Le public se retrouve alors face à une star vieillissante, vulnérable, au cœur d’un conflit familial devenu affaire publique, sur fond de silence, d’ambiguïté et d’une réputation forgée sur l’insoumission. Une figure si forte et pourtant soudain si fragile.
Le 14 mars 2025, Amel, fille unique de Buna, publie une vidéo sur ses réseaux sociaux. Visiblement bouleversée, elle y explique qu’elle n’a plus de nouvelles de sa mère depuis plusieurs semaines. Ce n’est pas la première fois que les deux femmes se brouillent, mais cette fois, Amel affirme qu’il ne s’agit pas d’un simple silence.
Selon elle, sa mère est littéralement retenue par une personne malveillante dans son propre domicile à Alger. Elle accuse nommément une femme dont l’identité n’est pas révélée dans les médias d’avoir isolé Biyuna, de l’empêcher de communiquer avec ses proches et même de lui administrer des substances non identifiées. La déclaration d’Amel est directe, brutale et fait l’effet d’une bombe.
Le lendemain, plusieurs sites d’information algérien reprennent ses propos. Des hashtags comme ramenez-moi ma mère ou libérer Biona émergent spontanément sur X, ex Twitter et Facebook. Des internautes réclament une vérification de l’état de santé de l’artiste. Certains appellent même les autorités à ouvrir une enquête.
Dans certains forums, on évoque la possibilité d’un abus de faiblesse. Un débat s’installe. À 72 ans, Biuna serait-elle devenue prisonnière d’un entourage abusif comme cela pu arriver à d’autres célébrités âgées dans le passé ? Où s’agita au contraire d’un malentendu familial exploité par les médias pour créer du sensationnalisme.
Dans les heures qui suivent, une journaliste de la chaîne Ennar affirme avoir pu brièvement échanger par téléphone avec. Celle-ci, selon le reportage, aurait déclaré être en bonne santé et aurait demandé qu’on cesse de s’inquiéter inutilement. Mais cela ne suffit pas à calmer les doutes. Deux jours plus tard, une vidéo est publiée sur le compte TikTok de la femme accusée par Amel.
On y voituna assise dans un canapé vêtu d’un cafet clair disant en souriant qu’elle va bien, qu’elle mange correctement, dort bien et remercie sa compagne de vie pour son aide constante. Pourtant, cette séquence est vivement critiquée. La mise en scène paraît maladroite. Le ton deuna semble trop mesuré. Certains vont même jusqu’à évoquer une vidéo forcée.
Les images sont décortiquées image par image. La main légèrement tremblante de la comédienne, son regard fuyant devienne objet d’interprétation. Une atmosphère de suspicion se répand. Le climat se tend. Amel accuse à nouveau publiquement cette femme d’avoir forcé sa mère à faire cette vidéo et demande une expertise médicale indépendante.
Elle affirme que Biuna souffre de pertes de mémoire intermittente et qu’elle n’est plus en capacité de prendre toutes ses décisions seules. Or, à ce stade, aucun médecin n’intervient dans la presse pour confirmer ou infirmer ses propos. Le parquet d’Alger ne commande pas l’affaire. Le ministère de la culture reste silencieux.
Le vide institutionnel nourrit les pires scénarios. Des personnalités prennent alors la parole. L’actrice Samia Mesian, proche de Buna depuis les années 1990, appelle au calme. Je crois que Biuna est une femme forte, il faut la respecter. Si elle dit qu’elle va bien, faisons-lui confiance. D’autres plus prudents rappellent les cas d’abus avérés dans le passé sur des artistes âgés en Algérie.
Le souvenir de la chanteuse Warda, dont les dernières années avaiit été entouré d’un mystère similaire, est évoqué. Des émissions de débat s’emparent du sujet. Faut-il instaurer une tutelle pour les artistes seiors ? veille sur eux lorsqu’ils vieillissent hors du système. En parallèle, certains fans de Buuna appellent à respecter son intimité.
Il dénoncent le fait qu’Amel aurait instrumentalisé la détresse familiale pour attirer l’attention. Mais d’autres lui donnent raison, saluant son courage d’avoir exposé un malaise que beaucoup de familles vivent en silence. Le public se divise, les opinions se radicalisent. Puis à la surprise générale, Biuna accorde une courte interview téléphonique au journal Liberté algérien où elle déclare “Je ne suis ni séquestré ni malade, je suis juste fatigué, je veux qu’on me laisse tranquille.
” Ce message, loin d’apaiser relance la contreverse. Pourquoi refuser une visite médicale indépendante ? Pourquoi ne pas apparaître physiquement en direct ? Pourquoi ne pas parler en présence de sa fille ? Et c’est là qu’un retournement inattendu survient. Un ancien assistant de Biuna licencié en 2022 affirme dans une interview clandestine qu’il a vu lui-même cette femme interdire à plusieurs reprises les appels d’AEL.
Il évoque des tensions anciennes, un contrôle progressif et des décisions prises à la place de la comédienne. Même si ce témoignage n’est pas vérifié, il s le doute. À partir de là, la méfiance s’installe durablement dans l’esprit du public. Au moment où l’affaire éclate, en mars 2025, Biyuna vitée à Hidra.
un quartier UP des hauteurs d’Alger. Propriété discrète, sans panneau, sans portail tape à l’œil, mais avec des murs hauts et des caméras de surveillance. Depuis 2023, selon plusieurs témoignages concordants, elle y mène une vie relativement retirée, rarement vue en public, n’apparaissant qu’à de rares occasion culturell, parfois en fauteuil roulant, parfois debout avec une canne.
Ses proches affirment qu’elle a refusé toute mise sous tutelle, préférant être assistée par une dame de compagnie de confiance décrite par Biuna comme la seule personne sur qui je peux compter à 100 %. Sur le plan financier, Biyuna n’a jamais exposé clairement l’étendue de son patrimoine. Toutefois, ses dizaines de rôles au cinéma et à la télévision, ses revenus de spectacles, d’albums et de droits d’auteur cumulés depuis les années 90 lui aurait permis de constituer un capital confortable.
Certaines estimations du milieu artistique algérien évoquent une fortune modeste mais stable autour de 700000 à 1 million d’euros réparti entre biens immobiliers à Alger, des comptes bancaires en France et en Algérie et des revenus d’exploitation de ses œuvres en streaming notamment sur YouTube et les plateformes francophones.
Depuis sa collaboration avec des cinéastes comme Nadir Moknesch Rachid Benjad, Biyuna percevait également des droits secondaires sur les diffusions internationales de ces films, souvent projetés dans des festivals ou vendus à des chaînes francophones. Ces revenus, bien qu’en déclin depuis 2018, auraient suffi à entretenir une vie confortable avec assistance domestique permanente.
Selon un ancien comptable de la comédienne cité anonymement dans un article de presse locale, Biyuna aurait mis à l’abri une partie de son argent à travers un compte en France sur lequel seul elle avait accès jusqu’en 2021. Mais depuis, la gestion quotidienne aurait été déléguée à son entourage immédiat.
Précisément ce cercle aujourd’hui contesté par sa fille à Amel. C’est justement la question de la gestion de ces ressources qui ravivent les inquiétudes. Amel affirme ne plus savoir qui contrôle les comptes de sa mère, ni comment sont utiliser ses biens. Elle évoque une perte progressive d’autonomie, notamment dans les signatures de documents juridiques et dans les décisions liées à la santé.
Or, à ce jour, aucun document officiel n’a été produit attestant d’une mise sous curatelle ou d’une désignation légale d’un tuteur. Cela signifie que juridiquement, Billuna reste pleinement maîtresse de cette décision. Une position que ces défenseurs utilisent pour balayer les accusations. Mais ce vide juridique est précisément ce qui inquiète certains observateurs.
Sans contrôle indépendant, sans avis médical certifié, les douques persistent. L’avocate Meryem Abdesslam, spécialisé en droits des personnes vulnérables, déclare dans Elatan : “À partir du moment où un membre de la famille signale un possible abus de faiblesse, l’absence de procédure judiciaire peut poser problème.
Cela ouvre la porte à toutes les dérives, surtout quand la personne concernée est célèbre, âgée et isolée. Quant à l’héritage, aucune information publique ne confirme l’existence d’un testament officiel. Si Biyuna devait décéder sans dispositions écrites, Amel deviendrait héritière directe selon le droit algérien. Toutefois, si une donation ou un testament privé a été signé au bénéfice d’un tiers, notamment la femme vivante avec elle, des conflits successoraux pourraient naître voir se judiciariser.
Pour l’instant, le silence règne. Le 12 mars 2025, selon le récit d’Ale, tout bascule. Après plusieurs appels restés sans réponse, elle tente de joindre un voisin de sa mère à Hydra, espérant avoir des nouvelles indirectes. Le voisin répond brièvement, visiblement embarrassé, affirmant qu’il n’a pas vu Bypuis plusieurs semaines.
Amel décide alors de rendre publique son inquiétude. Deux jours plus tard, elle poste sa vidéo d’alerte en larme depuis Paris. Le message est direct. Je ne sais plus si ma mère va bien. Je ne sais même pas si elle est encore libre. Cette phrase bouleverse les internautes. Dans les heures qui suivent, les médias algériens tentent de la contacter.
Une seule station de radio affirme avoir reçu un appel depuis le domicile de Buna, transmis par la femme qui vit avec elle, affirmant : “Tout va bien, il n’y a aucun souci.” Mais aucune preuve visuelle n’est fournie. Ce n’est que le 16 mars, 4 jours après l’appel de détresse d’Amel, qu’une vidéo apparaît sur TikTok.
Elle dure moins d’une minute. Bunai est assis sur un divan en velour rose, les cheveux tirés en arrière, maquillé mais affaibli. Elle dit : “Je vais très bien, je suis bien traité. Merci de ne pas écouper les rumeurs.” La femme accusée par Ramel est brièvement visible derrière la caméra, donnant des indications à voix basse. Cette vidéo suscite l’effet inverse de celui espéré.
Loin de rassurer, elle inquiète. Des internautes notent que la voix de Biyuna semble hésitante. D’autres évoquent le regard vide et surtout le fait qu’elle ne mentionne jamais sa fille. Le détail qui choque. À la fin de la vidéo, on entend la femme murmurer “C’est bon”. Comme s’il s’agissait d’un enregistrement préparé. Plusieurs internautes capturent cet extrait et le diffusent avec le commentaire.
“Pourquoi aurait-elle besoin d’être dirigée si elle va bien ?” Un ancien assistant technique de la comédienne resté proche d’Amel affirme dans une interview anonyme qu’il n’a pas reconnu la vraieuna dans cette vidéo. Il parle d’un scénario monté de toute pièce pour faire terre les soupçons. Face à la pression, un communiqué bref est publié le 18 mars au nom de Biyuna, signé électroniquement où elle affirme : “Je suis libre, je suis soigné, je vis en paix.
Merci de ne pas perturber ma tranquillité.” Mais ce message n’apporte aucun élément nouveau. Le fait qu’il soit envoyé depuis une adresse mail inconnue d’Amel renforce sa méfiance. Elle décide Amur de déposer un signalement formel auprès du consulat d’Algérie à Paris demandant que l’état de santé de sa mère soit vérifié par un médecin indépendant.
À ce jour, aucune mission de ce type m’a été rapportée. Ce qui frappe, c’est que depuis cette vidéo, Biuna n’a plus jamais été vu en public. Aucun appel téléphonique n’a été enregistré, aucun live, aucune photo prise par la presse. La maison d’Hidra reste fermée. Des voisins disent ne plus entendre de musique ou de voix alors qu’autrefois la comédienne faisait souvent raisonner ses anciens disques.
L’absence de bruit devient un signal d’alarme. Le 28 mars, Amel publie une lettre ouverte dans Elwatan suppliant les autorités d’intervenir. Elle écrit “Si ma mère va bien, qu’on me le montre, qu’on me laisse la voir. Ce n’a pas un caprice, c’est une nécessité humaine. Cette lettre fait le tour de la presse algérienne et française, mais n’entraîne aucune action officielle.
La situation reste figée. Bununa, icône adulée, est désormais une présence fantomatique enfermée dans une maison d’Alger invisible, silencieuse, inaccessible et personne ne peut dire avec certitude ce qu’il s’y passe réellement. Aujourd’hui, le nom de Biyuna ne fait plus la une, mais la question demeure entière.
Où est-elle vraiment ? et surtout dans quel état pour une actrice qui a toujours revendiqué sa liberté, son franc parler et son indépendance, cette disparition médiatique prolongée sonne comme une dissonance brutale. L’affaire reléguée au rang de conflit familial privé par certains médias soulèvent pourtant un malaise profond dans l’opinion car derrière le silence plane doute.
Et si Amel avait eu raison ? Et si nous étions collectivement passés à côté d’un abus réel, maquillé en tranquillité volontaire ? Le silence des institutions, l’absence de preuves médical, l’isolement prolongé, autant d’éléments qui transforment ce cas en symbole d’une problématique plus large, celle des artistes vieillissants, riches de leur histoire mais souvent vulnérables dans leur intimité.
Ce que l’on croyait être une simple inquiétude filiale pourrait bien devenir avec le temps l’un des épisodes les plus dérangeants du crépuscule de Byuna.
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