À 73 ans, Biyouna révèle ENFIN un secret choquant concernant ses 4 enfants.

Le 25 novembre 2025 à 37 du matin, Biyuna s’éteint dans une chambre isolée de l’hôpital de Benimes Celle qui avait fait rire des millions de foyers, celle dont la voix r et le regard insolent accompagnaient nos soirées depuis des décennies disparaît en silence. Pour beaucoup, ce n’est pas seulement une artiste qui s’en va, mais un morceau de mémoire, un fragment de notre propre histoire propre histoire.

En Algérie comme en France, son nom ne laissait personne indifférent. Elle faisait partie du paysage comme un visage qu’on croit connaître, qu’on croit comprendre et qui pourtant nous échappe au moment où l’on pense l’approcher. Mais alors que toute une nation lui rend hommage, une autre réalité demeure intacte et presque déroutante.

 Pendant 50 ans de carrière, Biuna n’a jamais livré la moindre information sur ses quatre enfants. Aucun prénom, aucun visage, aucun instant partagé dans la lumière. Une absence totale presque irréelle au cœur d’une vie raconté partout et tout le temps. Plus elle brillait sur les plateaux, plus ce silence prenait du poids.

 Comment une femme aussi flamboyante, aussi directe, aussi provocatrice pouvait-elle maintenir un secret aussi absolu ? Pourquoi cette frontière si nette entre la scine et l’intime ? Pourquoi ces quatre enfants n’ont-ils jamais été aperçus, ni dans les concerts, ni dans les films, ni même dans les hommages officiels ? Alors, les questions se multiplient.

Hommages à Biyouna: «Elle laisse un immense vide et un riche héritage»

Qui était-il vraiment ? Pourquoi n’ont-ils jamais partagé un seul instant public avec leur mère ? Étient-ils protégé ou tenu à distance ? S’agit-il d’un choix familial, d’un pacte silencieux ou d’une blessure ancienne que personne n’a voulu rouvrir ? Et surtout, pourquoi dans les dernières heures de sa vie, Biuna a-t-elle laissé échapper une phrase que personne n’attendait ? Mes quatre enfants ? Ils sauront qu’a-t-elle voulu dire ? Que savait-il ? Et pourquoi cette vérité n’a-t-elle jamais été révélée avant son

dernier souffle ? Voici leur histoire. Pour comprendre l’énigme qui entoure ses enfants, il faut d’abord comprendre la femme que la France a appris à aimer. Biyuna n’est pas arrivée dans le paysage culturel français comme une inconnue. Elle y est entrée comme une déflagration. Venue de Belcour, quartier populaire d’Alger, elle portait déjà en elle cette énergie singulière, mélange de provocation d’humour cru et d’une élégant une élégance déroutante.

Sur les scènes algéroises, elle avait appris très tôt que le rire peut être une arme, un refuge et parfois une rébellion. Lorsque la France la découvre véritablement dans les années 90, c’est une personnalité déjà façonnée par l’histoire, par la décennie noire, par l’exil partiel et par le choix courageux de rester dans un pays que tant d’artistes fuyaient.

 Elle apporte avec elle un style que personne n’attendait libre, insolente, imprévisible, profondément humaine. Dans les rôles télévisés, comme dans les fictions franco-magrébines, elle incarne des femmes que le public n’avait jamais vu à l’écran des femmes qui parlent sans filtre, qui osent exister sans s’excuser. À partir des années 2000, sa présence en France devient incontournable.

 Sur les plateaux de Taratata. d’ en est pas couché dans les émissions de variété ou de débat. Elle déstabilise, amuse, choquémeux parfois tout cela en même temps. Les animateurs la redoutent autant qu’il la recherche. Son franc parler devient une signature. Ses éclats de rire un rituel. Sa manière de regarder la caméra droit dans l’objectif comme pour dire au public je ne vous dois rien mais je vous donne tout.

 devient un moment de télévision à part entière et puis il y a sa musique, cette voix grave légèrement cassée qui glisse du shabi au jazz, du rail, aux balades. Le public français y entend quelque chose de familier et d’étranger. À la fois un pont entre deux cultures, une nostalgie qui ne ressemble à aucune autre. Pour beaucoup d’immigrés maghrébains, elle symbolise l’audace de dire tout haut ce qu’ils n’ont jamais osé formuler.

 Pour les Français qui ne la connaissaient pas avant, elle devient une figure attachante, une sorte de vérité vivante, brute mais tendre. Au fil des années, Biyuna s’imposait comme un visage familier, une femme à qui l’ont pardonné tout parce qu’elle ne trichait jamais. Et pourtant, au cœur de cette vérité exposée, une zone restait intouchable, inaccessible, presque sacrée sa vie de mer.

C’est dans cette frontière invisible que se cache l’une des plus grandes énigmes de sa destinée. Pendant plus d’un demi-siècle, la carrière de Buna se déploie sous les projecteurs, mais une partie essentielle de sa vie reste plongée dans une obscurité totale. Aucun journaliste, aucun biographe, aucun ami de plateau ne parvient à pénétrer cette zone interdite, celle de ses quatre enfants.

 Le mystère ne vient pas seulement du manque d’information, mais de l’absence totale de traces, comme si ces enfants avaient été soigneusement effacé du récit public. Un silence si absolu qu’il finit par attirer davantage l’attention que les confessions les plus bruyantes. Les premières nos mentions remontent aux années 70. Dans les portraits de presse algériens et français, une phrase revient toujours identique, presque mécanique.

 Elle vit à Alger avec son mari et ses quatre enfants qui enfants. Aucun détail supplémentaire, pas de suivi, pas de recoupement. On aurait dit une ligne écrite pour remplir un vide ou pour en créer un plus grand encore. À l’époque, personne ne pose de questions. La star amuse chante provoque. Sa vie privée ne regarde qu’elle.

Mais avec les années, quelque chose cloche. Plus Biuna devient célèbre, plus l’absence de ses enfants devient troublante. Les acteurs avec qui elle joue ne se souviennent pas d’avoir croisé un seul d’entre eux en coulisse. Les techniciens qui l’accompagnent en tournée n’envoient jamais un à la sortie des concerts.

 Les journalistes qui ont interviewé des dizaines d’artistes ne peuvent citer aucun témoignage, aucune photo, aucun souvenir, comme si ces enfants n’avaient jamais existé. Puis il y a cet épisode étrange de 2017. Sur un forum algérien, un internaute poste une photo ancienne. Une jeune biona tient dans ses bras un nouveau né, le regard tendre presque inquiet.

Beyouna est hospitalisée en urgence 😢 Les dernières nouvelles indiquant  que l'actrice Algérienne Beyouna a été hospitalisée en urgence après avoir  subi un malaise soudain. 😔 Pour rappel, Beyouna avait déjà souffert

 La photo fait le tour des réseaux en quelques heures et puis soudain tout disparaît. La publication est supprimée le compte fermé les captures d’écran introuvable. Aucun média ne parvient à récupérer l’image. Pour certains, ce n’était qu’un montage. Pour d’autres, c’était une preuve que l’actrice avait tenté un jour de montrer un fragment de sa maternité avant de se raviser.

 D’autres indices apparaissent par bribe, toujours indirect. Un musicien raconte qu’en 2005 pendant une tournée, il a entendu Biyuna murmurer. Le monde du spectacle détruit les gens qu’on aime. Personne ne sait si elle parlait de ses enfants, mais la phrase raisonne comme un avertissement. Une actrice affirme qu’elle changeait de sujet dès qu’on évoquait la moindre question familiale.

 Un technicien se souvient d’un moment suspendu pendant un tournage. Elle recevait un appel privé, se figeait, baissait la voix puis reprenait son rôle comme si de rien n’était. Et puis arrive l’épisode qui fait trembler les réseaux sociaux. En mars 2025, une jeune femme publie un message poignant sur Facebook. Je ne sais plus où est ma mère.

 Aucun appel ne passe. Aidez-moi. Le message est signé d’un nom que personne ne connaît, mais la rumeur enfle serait-ce la fille de Buna ? Pendant 24 heures, tout le pays se met à chercher, à interroger, à douter. Mais le lendemain, le message disparaît sans explication. Plus aucune trace, plus aucun compte associé. Le silence retombe encore plus lourd qu’avant.

 Face à cette accumulation de fragments de signes et de disparition, les hypothèses se multiplient. Certains parlent d’un pacte familial conclu dès le début de sa carrière pour protéger les enfants d’une exposition médiatique potentiellement destructrice. D’autres évoquent des drames étouffés des conflits jamais résolus, des blessures si profondes qu’elles ont imposé une rupture définitive.

Les spécialistes de la culture maghrébine y vointent une dimension plus symbolique, une fidélité à une certaine pudeur générationnelle, un respect de la frontière sacrée entre la scène et le foyer. Mais aucun indice concret ne permet de confirmer quoi que ce soit. Le mystère demeure et plus le temps passe, plus il devient évident que ce silence n’était pas un oubli décision.

Un choix réfléchi, répété, maîtrisé comme siuna avait voulu protéger à tout prix la seule partie d’elle que le monde n’avait pas le droit de toucher. C’est ce choix pourtant qui prendra un sens totalement nouveau dans les derniers mois de sa vie. L’année 2024 marque le début d’un silence que personne ne comprend encore.

 Peu à peu, Biyuna disparaît de tout plateau concert radio réseau. Un effacement soudain presque brutal qui surprend un public habitué à son énergie, à son franc parler, à son omniprésence. À Alger dans son quartier de Bouisdad, des voisins racontent qu’elle sortait moins qu’elle marchait lentement qu’elle évitait le regard des passants.

Certains pensent qu’elle prépare un nouveau projet, d’autres sentent qu’elle s’éloigne. En octobre 2025, la vérité éclate doucement. Elle est hospitalisée à Bénimessous. Mais l’information reste verrouillée. Pas de communiqué officiel, pas de photos, pas même une rumeur confirmée. La famille exige une discrétion totale.

 Le nom de Bona n’apparaît pas sur les registres de carrariatre. Elle est admise sous un pseudonyme dans une chambre isolée où seuls quelques soignants sont autorisés à à entrer. On parle d’une faiblesse générale d’une maladie qui s’est aggravée. Rien de plus. Les soignants décrivent une femme très affaiblie mais dont le regard restait étonnamment clair.

 Une infirmière raconte, elle ne parlait presque pas, mais quand elle le faisait, chaque mot semblait peser. Une phrase répétée dans les derniers jours intrigue ceux qu’il entendent : “Protégez-les, ne les nommez jamais. Personne ne comprend vraiment, mais tout incline à croire qu’elle pense à ses quatre enfants. Puis viennent ces visites nocturnes, rapide, discrète.

 Un jeune homme d’abord nerveux, les yeux rougis. Il ne reste qu’une dizaine de minutes assis près d’elle silencieux. Tr jours plus tard, une femme élancée cachée derrière des lunettes sombres demande à entrer, “Elle me reconnaîtra”. Et en effet, Biuna acquièse faiblement. À l’aube d’un autre jour, une silhouette masculine apparaît dans le couloir, hésite longtemps puis repart après avoir été refusé, faute d’autorisation.

 Aucune identité n’est confirmée, aucun lien familial n’est établi, mais tous ces visiteurs partagent la main du par la même attitude : entrer sans vouloir être vu, repartir sans laisser de traces. Dans la nuit du novembre, l’état de Buna se dégrade rapidement. Un ami très proche alerté par un appel à cours à l’hôpital.

 Il arrive quelques minutes avant sa mort. Selon lui, elle prononce une phrase qui semble porter le poids de toute une vie. Mes quatre enfants, ils savent. Je les ai tenu loin de la lumière, pas loin de mon cœur. Puis elle ferme les yeux comme si tout avait enfin été dit. Le décès est constaté à 4h37. Le reste se déroule dans une discrétion presque irréelle.

 Le corps est placé dans un cercueil scellé sans exposition publique. La famille refuse toute prise d’image, tout rassemblement. Ce n’est qu’en fin de journée que le ministère de la culture confirme la nouvelle. À ce moment-là, le cortège funéraire est déjà en route vers le cimetière d’Elia. Les funérailles le lendemain choquent par leur choquent par leur simplicité.

Pas de retransmission télévisée, pas de foule, pas de discours officiel. À peine une dizaine de silhouettes noires entourent la entour la tombe. Personne ne sait qui elles sont. Certains pensent semblent reconnaître un proche. D’autres imaginent que les enfants sont peut-être là mêlés à la petite assemblée fidèle à la volonté de leur mère exister sans apparaître.

Après l’inumation, une amie intime révèle enfin la vérité que Biyuna n’avait jamais confié. Publiquement, elle avait choisi le silence pour protéger ses enfants. Non pas par honte, non pas par distance, mais par peur. Peur que ces combats dérangent ceux qui n’avaient pas choisi de les porter. Peur que ces prises de position, ses provocations, ses scandales deviennent un fardeau pour eux.

 peur surtout que la lumière féroce du spectacle ne les détruise comme elle l’avait tant vu autour d’elle. Ainsi, s’éclaire le mystère qui a traversé 50 ans de carrière, cette femme qui avait tout donné à la scène avait réservé l’essentiel sa maternité à l’ombre. Et ce secret, elle ne l’a laissé s’ouvrir que dans l’instant où la lumière s’est éteinte.

 Aujourd’hui, encore des mois après sa disparition, la figure de Buna continue de hanter l’imaginaire collectif. On revoit ses éclats de rire, ses réponses fulgurantes sur les plateaux de télévision, sa manière unique d’occuper l’espace en mêlant provocation et tendresse. Mais derrière cette énergie qui semblait inépuisable, derrière cette femme qui n’avait peur de rien ni de personne, il existait une zone d’ombre que même les projecteurs les plus puissants n’ont jamais pu éclairer celle de ses enfants.

 Ce silence que beaucoup ont d’abord considéré comme une bizarrerie apparaît désormais pour ce qu’il était réellement un choix de protection, une décision d’amour, une frontière érigée non pas contre eux mais pour eux. Biyuna savait que sa liberté choquait, que son audace dérangeait que sa parole pouvait déclencher des tempêtes et elle refusait que ses éclats atteignent ceux qu’elle aimait le plus profondément.

 On ne connaîtra probablement jamais leur nom. leur visages ni leurs histoires. On ne saura jamais s’ils étaient présents au cimetière d’Elia, caché derrière des lunettes sombres mêlé à la petite foule silencieuse. Mais on peut imaginer qu’ils ont compris son geste, qu’ils ont accepté d’être les gardiens de ce secret comme on accepte un héritage qui ne s’explique pas mais qui se respecte.

Biuna laisse derrière elle un vide étrange, un silence presque aussi fort que sa voix. Un silence qui finalement raconte peut-être mieux que tout le reste qui elle était une femme qui avait choisi de tout donner au public, sauf ce qui comptait le plus. Et si c’était cela sa dernière leçon, que dans un monde où l’on s’expose jusqu’à se perdre protéger une part de soi devient un acte de courage, un acte de fidélité, un acte d’amour.