À 91 Ans, Brigitte Bardot DIT Ce Que PERSONNE N’OSE Sur Laeticia Hallyday !
Le matin du pharévrier 2018, la France se fige. Sur les ondes de repins, une voix rque, familière et pourtant si rare prononce deux mots simples. Ça me dégoûte. Ce sont les mots de Brigitte Bardau, 83 ans à l’époque, qui viennent de tomber comme un coup prêt dans l’affaire la plus médiatisée de ces dernières années, la bataille pour l’héritage de Johnny Hiday.
Ces deux mots, secs, tranchant raisonnent aussitôt dans tout le pays. Il claque comme un jugement sans appel, un cri du cœur d’une femme connue pour son franc parler et son indépendance absolue. À cet instant, le silence de Bardeau se silence qu’elle garde depuis des décennies loin des plateaux et des polémiques se brisent nettes.
Pour une nation entière, c’est un choc. Qu’une figure aussi mythique d’ordinaire détaché du tumulte médiatique, ose parler publiquement d’une affaire aussi sensible, donne à ses propos un poids exceptionnel. Depuis la mort de Johnny, le 5 décembre 2017, la France se déchire. D’un côté Latitia, la veuve et de l’autre David et Laura, les enfants du premier mariage.

Les journaux s’enflamme, les plateaux télébattent, les fans s’opposent et voilà que Bardau entre dans la reine non pas pour chercher la lumière, mais pour dire selon ses mots, ce qu’elle ne pouvait plus taire. “Je redonnerai à Laura et David ce qu’il mérite”, ajouta-elle plus tard dans ce ton ferme et mélancolique qui lui est propre.
Pour beaucoup, c’est une gifle morale à Latitia, pour d’autres une intrusion déplacée dans un drame familial. Mais tous s’accordent sur une chose. Personne d’autre n’aurait pu frapper aussi fort avec si peu de mots. La puissance de cette sortie tient à sa rareté. Depuis des années, Bardau refuse les interviews.
Elle vit recluse à Saint-Tropé, loin du bruit et de la foule. Et soudain, cette femme que l’on croyait retirer du monde s’adresse à la nation comme si pour une fois elle devait poser un acte de conscience. Dans une France lassée des faux semblants, sa voix sonne comme un verdict. Les journaux titrent dès le lendemain. Bardao se révolte, les mots qui font trembler les titicia, la légende sort de son silence.
Derrière ces gros titres, une question persiste. Pourquoi maintenant ? Pourquoi elle ? Et surtout que représentent ces deux mots ? Sam dégoûte. Dans la bouche d’une femme qui toute sa vie a incarné la beauté, la liberté et la vérité nue. Brigitte Bardau. Ce nom à lui seul évoque un mythe. Né à Paris le 28 septembre 1934 dans une famille bourgeoise, elle n’était pas destinée à devenir la légende planétaire qu’elle est aujourd’hui.
Pourtant, dès son plus jeune âge, elle attire la lumière. Sa beauté, sa grâce, sa nonchalance. presque féline, fascine. Mais derrière cette apparente insouciance se cache une jeune femme rebelle, impatiente de bousculer les codes d’une France encore, corseté par les conventions d’après-guerre. En 1956, tout bascule et Dieu créa la femme de Roger Vadim qui deviendra son mari la propulse au rang d’icône mondiale.
Le film choque autant qu’il captive. Bardau y incarne une sensualité libre, une féminité assumée, insolente même, qui tranche radicalement avec l’image sage des femmes de l’époque. En quelques mois, elle devient le symbole d’une révolution silencieuse, celle du désir féminin et de l’émancipation. Les années qui suivent confirment son ascension fulgurante.
Elle tourne avec les plus grands Godards, Cluso, du Vivier et enchaîne 48 films en seulement 20 et un an de carrière. Pourtant, à 38 ans, alors qu’elle est au sommet de sa gloire, elle choisit de tout quitter. En 1973, elle annonce sa retraite définitive du cinéma. Un geste incompréhensible pour beaucoup, mais d’une cohérence absolue pour elle.
Brigitte n’a jamais supporté d’être prisonnière d’une image. Elle tourne alors une page et s’engage pour la cause animale avec une passion presque mystique. Elles font la fondation Brigitte Bardau en 1986 qui deviendra une référence mondiale dans la défense des animaux. Désormais, sa voix ne raisonne plus dans les salles obscures, mais dans les combats contre la chasse, la fourrure et l’expérimentation.
L’actrice s’efface derrière la militante, mais le mythe lui ne disparaît jamais. Ces prises de position, souvent tranchées, parfois controversé, suscite débats et condamnation. Elle dérange autant qu’elle fascine fidèle à cette ligne qu’elle n’a jamais quitté. Dire ce qu’elle pense, quitte à heurté. Enc, Bardau vit retiré dans sa demeure de la Madrague à Saint- Tropé au côté de son mari Bernard Dormal, son compagnon depuis plus de tr ans.

Elle ne sort presque plus, ne parle presque jamais. Pourtant, lorsqu’elle le fait, le monde écoute. Car Brigitte Bardau n’est pas seulement une actrice, elle est une conscience. Une femme qui, par son silence autant que par ses mots, incarne une forme d’authenticité perdue. C’est cette aura forgée par des décennies d’indépendance et de courage qui donnera à ces paroles de 2018 une résonance hors du commun.
Quand Bardau parle, ce n’est pas une starlette qui s’exprime, c’est un symbole de la liberté française qui se lève. Le 24 phare d’évrier 2018, la France s’éveille avec un mélange d’étonnement et d’incrédulité. Brigitte Bardau, que l’on entendait plus depuis des années, vient de participer à la matinale d’Europe 1. C’est un événement à lui seul.
L’icône du cinéma, l’ermite de Saint-Tropè se retrouve soudain au cœur de la tempête médiatique. Le journaliste l’interroge sur l’affaire qui divise le pays. La succession de Johnny Haliday. Bardau, écoute, soupire, puis l’âge d’une voix rque, ça me dégoûte. Rien d’autre. Deux mots qui font l’effet d’un tremblement de terre. Les réactions ne se font pas attendre.
En quelques heures, les chaînes d’information tournent en boucle ses propos. Les réseaux sociaux explose. Pour certains, elle a dit tout haut ce que beaucoup pensaient tout bas. L’exclusion de David et Laura du testament est une honte. Pour d’autres, elle a franchi une limite en se mêlant d’une histoire familiale qui ne la regarde pas.
Mais ce qui frappe, c’est l’autorité morale que lui confère ces décennies de silence. Quand Bardeau parle, c’est toujours pour dire quelque chose d’essentiel. Les mots sont violents mais juste à ses yeux. Elle poursuit. Moi, si j’étais Latitia, je remettrais les pendules à l’heure. Cette phrase prononcée avec une gravité rare devient immédiatement viral.
Elle révèle qu’elle a pris le temps de comprendre les détails de l’affaire, la gestion des sociétés musicales, la main mise supposée de la famille Boudou, la mise à l’écart des premiers enfants. Loin d’un simple avis d’humeur, Bardeau s’exprime avec la conviction d’une femme révoltée par l’injustice. Les journaux s’emparent du scandale.
Le Parisien, le monde, gala, tous titre sur cette intervention inattendue. Les talks show invitent des avocats, des proches du clan alil, des psychologues pour commenter la portée de ces deux mots. Et au-delà de l’affaire, c’est la symbolique même du geste qui fascine. Pourquoi Bardaux, cette légende farouchement indépendante à thé, elle ressentit le besoin de parler ? Certains y voi un élan de loyauté envers une certaine idée de la France, celle où la morale compte plus que le droit.
D’autres estiment qu’elle défend simplement une justice du cœur fidèle à la femme de principe qu’elle a toujours été. Ce qui est sûr, c’est que cette apparition soudaine a bouleversé le récit médiatique. Jusqu’alors, l’affaire à l’idée n’était qu’une querelle d’héritage. Avec Bardau, elle devient un drame moral, presque national.
Et dans ce tumulte, une vérité s’impose : “La voix de Bardeau, cassée mais lucide, pèse encore plus lourd que les cris de tout un pays. Ce qui se joue dans cette affaire dépasse de loin les simples questions d’argent. L’héritage de Johnny Hidé devient un miroir des tensions morales et familiales françaises. D’un côté, Latitia, veuve et gardienne, autoproclamé de la mémoire du rockur.
De l’autre, David et Laura, les enfants du premier lit, qui se battent pour une reconnaissance autant sentimentale que patrimoniale. Lorsque Brigitte Bardau intervient, ce n’est pas seulement pour défendre des chiffres, mais pour rappeler une valeur oubliée, la dessence. Elle s’indigne de voir une famille déchirée et une veuve accusée de manipulation.
Sa phrase, “Ça me dégoûte, n’est pas dirigée uniquement contre Latitia, mais contre une société qui, selon elle, a perdu le sens de la loyauté. Bardeau, qui a toujours défendu la vérité brute, ne supporte ni les faux semblants ni les injustices cachées sous des prétextes juridiques. Dans son esprit, un père ne déshérite pas ses enfants.” Point final.
Puis elle va plus loin. Je n’aime pas la façon dont les sociétés musicales de Johnny ont été mises au nom de la grand-mère et du père de Latitia. Cette phrase presque anodine ouvre une boîte de Pandore. Le public découvre alors un système complexe où les droits musicaux du chanteur sont placés sous contrôle familial de la lignée Boudou.
Une stratégie légale certes, mais qui interroge. Bardeau sans même hausser le ton met le doigt sur une faille morale quand la loi permet ce que la conscience réprouve. Les révélations s’enchaînent. Trois sociétés Mamour SRL, artiste, promotion, pimiento music, toute gérée par la grand-mère et le père de Latitia contrôle une grande partie des revenus liés à Johnny.
Les Français découvrent avec stupéfaction que l’héritage de leur idole est devenu un échiquier familial et la sortie de bardeau agit comme une étincelle sur un baril de poudre. Les médias s’en emparent, les anciens amis du chanteur s’expriment, les partisans se déchirent. Brigitte Bardau, sans le vouloir, vient de donner une dimension éthique à un scandale juridique.
Son avis devient un point de repère, une sorte de boussole morale dans une mer de confusion. Mais ce courage lui coûte cher. Certains journalistes soulignent l’ironie d’une femme parlant de liens familiaux alors qu’elle-même a eu une relation distante avec son fils unique. Pourtant, elle ne vaille pas.
Fidèle à elle-même, elle assume chaque mot. Pour elle, la vérité n’est pas toujours aimable, mais elle est nécessaire. Et dans cette guerre d’héritage devenue guerre d’honneur, Bardau aura rappelé une fois encore qu’au-delà de la gloire, il reste l’humain et la conscience. Lorsque les mots de Brigitte Bardau se répandent dans toute la France, la réaction ne se fait pas attendre. Certains l’acclamant.
Enfin, une voix honnête, libre, qui ose dire tout haut ce que d’autres murmurent. D’autres, au contraire, la jugent sévèrement. On lui reproche son ingérence dans une histoire privée, mais surtout on la renvoie à son propre passé de mère absente. Le nom de son fils Nicolas Jacques Charier, refait surface dans les colonnes des journaux.
On rappelle qu’elle a avoué ne pas avoir l’instinct maternel, qu’elle a choisi le cinéma plutôt que la maternité et qu’elle n’a jamais caché ce désintérêt. Les critiques se multiplient. Qui est-elle pour parler de l’amour filial ? Titre certains magazines. Mais ceux qui la connaissent savent que Barda ne prétend pas donner de leçons de maternité.
Ce qu’elle défend, c’est un principe celui de la justice naturelle, celle du cœur. Dans sa bouche, remettre les pendules à l’heure n’a rien d’une posture morale. C’est un appel à la droiture, à la dessence, ses valeurs qui à ses yeux transcendent les blessures personnelles. Cette contradiction entre la femme et le mythe nourrit le débat.
Et pourtant, c’est peut être ce paradoxe même qui rend Bardeau si humaine. Elle ne se cache pas derrière une image idéalisée. Elle a reconnu ses failles, ses erreurs, ses manques. Elle a vécu dans la lumière puis dans l’ombre et parle désormais avec la lucidité de ceux qui n’ont plus rien à prouvé.
À 91 ans, elle n’a ni compte à rendre ni réputation à sauver. Ce qu’elle dit, elle le dit parce qu’elle le pense simplement. Et c’est précisément cette sincérité brute qui touche les Français. Dans un monde saturé d’images calculé, sa franchise fait figure d’antidote. Ces mots raisonnent comme ceux d’une femme qui n’a jamais cessé de chercher la vérité dans l’art, dans la vie et même dans ses contradictions.
Les médias, eux, s’en délectent, les unes s’enchaînent. Bardau, la morale sauvage. Une mère juge les enfants des autres. Mais dans l’opinion, un respect silencieux s’installe. Beaucoup comprennent qu’elle ne défend pas des personnes, mais une idée, celle que l’amour, même imparfait, mérite toujours justice.
Et dans ce tumulte, la vieille lionne de Saint- Tropé reste immobile, sereine. Elle laisse parler le monde, consciente que sa parole, qu’on l’aime ou qu’on la déteste, ne s’oubliera pas. Car derrière les reproches, il y a cette vérité qu’aucun journaliste ne peut effacer. Brigitte Bardau a osé dire ce que beaucoup n’avaient plus le courage de formuler.
Les années ont passé et le tumulte s’est apaisé. Après des mois de procès, d’accusations et de titres enflammés, un accord est finalement trouvé. Le rasm reçoit une compensation financière et quelques objets personnels de son père tandis que David Alidé choisit de se retirer, affirmant qu’il ne se battait pas pour l’argent mais pour la mémoire.
La guerre de l’héritage s’éteint peu à peu, laissant derrière elle des blessures impossibles à refermer. Mais dans cette saga, les mots de Brigitte Bardaux restent gravés comme un écho moral que personne n’a pu effacer. Aujourd’hui, en 2025, Bardau vit toujours retiré à la Madrague, entouré de ses animaux, fidèle à son unique combat.
La cause animale, elle ne parle plus des affaires humaines. Elle s’en est détachée. Pourtant, chaque fois qu’une injustice éclate dans le pays, certains se souviennent de sa voix brisée, murmurant ses trois syllabes. Ça me dégoûte. Ces mots continuent d’incarner son courage brut, sa fidélité à une vérité intime, même au risque du rejet.
Elle ne reviendra jamais sur cette déclaration. Comme toujours, elle aura dit ce qu’elle pensait. Puis se sera tu, laissant le monde s’agiter autour d’elle. C’est son style, sa marque, frapper fort puis disparaître dans le silence. Ce geste presque mystique a contribué à renforcer la légende. Car Bardaux n’est pas seulement une femme de scandale, elle est la mémoire vivante d’une époque où la parole avait encore un poids.
Et si certains continuent de la juger, beaucoup la respectent pour cette intégrité sans compromis. À quat ans, elle n’a plus besoin d’être aimée ni comprise. Elle a vécu mille vies, star de cinéma, muse, amante, militante, paria. Et dans chacune de ces métamorphoses, une constante demeure son refus de mentir.
Dans un monde d’image, Bardau a choisi la vérité, même rugueuse, même blessante. Ainsi, lorsque l’histoire de Johnny Alidé se racontera encore dans les années à venir, ces mots resteront un repère, un moment suspendu ou une icône du passé a rappelé à toute une nation ce qu’est la morale, la vraie. Parce qu’en fin de compte, ce n’était pas une affaire d’héritage mais de dignité.
et Brigitte Bardau, dans sa solitude lumineuse en aura été la dernière voix sincère.
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