Biyouna : Le message effacé de sa fille et le mystère de ses 4 enfants introuvables.

Le 25 novembre 2025, l’Algérie ne perd pas seulement une icône, elle perd sa voie la plus libre. Mais au moment où le rideau tombe définitivement sur Biyuna, un mystère épais refuse de se dissiper. Pendant plus de 50 ans, cette star adulée pour son audace sans limite a réussi un tour de force impossible à l’air du numérique garder ses quatre enfants dans l’anonymat le plus total.

Aucun prénom, aucun visage, pas la moindre photo volée par un paparadzi, pas une seule confidence intime. Une seule phrase répété comme un mantra à traverser les décennies, je vise avec mon mari et mes quatre enfants. Puis le néant absolu. Pourtant, en 2025, la forteresse se fit sûre. L’unique fille supposée de la chanteuse brise soudainement l’omerta, affirmant ne plus pouvoir contacter sa mère.

Mais quelques heures après ce cri de détresse numérique, elle disparaît à son tour de l’espace public. Quant aux trois autres, des fantômes, pourquoi un tel silence Buna protégeait-elle sa chair de sa propre lumière ou cachait-elle un drame inavouable ? Ce récit est une descente dans le secret le plus troublant du monde artistique algérien.

Billuna, de son vrai nom, Baya Bouzar, voit le jour le 13 septembre 1952 dans les ruelles populaires de Belloisdad. Issu d’un milieu modeste, elle force très tôt les portes d’un univers artistique alors chasse garder des hommes le cabaret. D’abord danseuse orientale, elle devient rapidement une figure incontournable des nuits algéroises, maniant la provocation et l’autodérision comme des armes de précision.

Au fil des années 70 et 80, elle s’impose au théâtre puis à la télévision, campant des personnages hauses en couleur qui détonnent violemment dans un paysage maghrébain, souvent conservateur. Cependant, c’est dans les années 90 que sa carrière prend une dimension quasi mythique. En pleine décennie noire, alors que l’élite artistique s’exile massivement pour survivre, Biuna fait le choix insensé de rester.

 Elle brille notamment dans la série culte Nasmla City imposant un style libre et sans tabou qui lui vaut autant d’admirateurs fervant que de détracteurs violents. Elle devient une voix rare, à la fois comique et politique, souvent censurée mais toujours écoutée. Le nouveau millénaire marque son envolé musical et international.

Avec des titres audacieux comme une blonde dans la case, elle séduit la France, écument les plateaux prestigieux de Taratata à On n’est pas couché. Biyuna incarne désormais une Algérie moderne, métissée et complexe. Au cinéma, comme à la ville, elle s’affiche sans voile maquillé, cigarettes aux lèvres, osant rire du pouvoir de la religion et du patriarcat, là où beaucoup n’osent même pas murmurer.

Une transparence radicale qui ne laisse rien présager de l’ombre qu’elle cultive en coulisse. Dans la presse, si elle offre son franc parler en pâure, elle impose une ligne rouge infranchissable sa vie privée. Lorsqu’on l’interroge sur sa famille, le ton change. Le regard se durcit imperceptiblement. “Je suis une femme comme les autres.

J’ai mes secrets”, rétorquait-elle déjà en 2008, fermant la porte à toute intrusion. Jamais elle n’a cédé à la tentation de publier une photo de ses enfants. Jamais elle n’a posé en une avec eux pour adoucir son image sulfureuse. Même lors de ces triomphes à ou de ses concerts parisiens, aucun rejeton n’apparaît dans son sillage.

 Cette distance radicale jure avec l’exubérance de son personnage public. Plusuna brille sous les projecteurs, plus sa vie intime devient une boîte noire impénétrable. Une seule mention revient mécanique presque robotique. Elle vite à Alger avec son mari et ses quatre enfants. Une phrase standardisé répété sans la moindre variation pendant des décennies tel un bouclier sémantique.

 Ce choix délibéré érige une muraille entre la femme de scène et la mère de famille. Alors que tant d’artistes instrumentalisent leur maternité pour séduire, elle efface cette dimension avec une obstination qui frôle l’effacement. Cette opacité alimente inévitablement les spéculations les plus sombres. Est-ce une pure volonté de protection ou le symptôme d’une douleur ancienne ? Ces enfants, ont-ils subi des menaces durant les années de plomb ? Ont-ils refusé d’être associés à sa célébrité ? Aucun indice ne filtre, conférent à Biyuna

quasi mythologique où le silence devient un acte de résistance. Le 12 mars la dig cède. Une publication anonyme sur une page Facebook locale provoque une onde choc sur les réseaux sociaux algériens. L’autrice prétend être la fille de Buna et lance une véritable bouteille à la mer numérique. Je ne sais plus où est ma mère.

 Aucun appel ne passe personne ne répond. Aidez-moi. En quelques heures, le message devient viral. Pour la première fois en un demi-siècle, le voile hermétique posé sur la descendance de la star semble se déchirer. Les médias s’emballent, espérant enfin percer le mystère. Mais cet espoir de vérité est aussi violent qu’éphémère.

 Dès le lendemain, le message est effacé. Pas de rétractation, pas d’explication, juste le vide. Les journalistes d’investigation tentent de remonter la piste numérique mais se heurtent à un mur ni adresse IP local, ni prénoms ni photo. Tout s’évapore laissant le public avec une impression vertigineuse d’inquiétude.

 Cette apparition spectrale reste l’unique contact connu entre un enfant de Buna et le monde extérieur. Quant aux trois autres, le silence est absolu presque surnaturel. Aucune rumeur de coulisse, aucune présence dans les registres, pas même une ombre furtive. C’est comme s’il n’avait jamais existé. Plus troublant encore à la mort de l’artiste en novembre, le communiqué précise qu’elle s’est éteinte entourée des siens, tout en verrouillant catégoriquement l’identité de ses témoins de la dernière heure.

 Même lors de l’hommage national à Alger, aucun visage ne se détache de la foule. C’est l’État qui organise le deuil. Les enfants eux brillent par leur absence. Pourquoi un mutisme aussi radical ? Face à ce vide, les théories foisonnent dessinant les contours d’une énigme complexe. La piste la plus répandue évoque un pacte familial scellé dès les prémisses de la gloire.

 Une séparation étanche pour protéger la progéniture d’un destin dévoré par les projecteurs. D’autres plus cyniques murmurent l’existence de conflits internes, de drames étouffés voire de ruptures irréconciliables. Mais aucune preuve tangible ne vient jamais étayer ces scénarios de rupture. Des proches de l’artiste s’exprimant sous le saut de l’anonymat dessinent une réalité plus nuancée.

 Une actrice ayant partagé l’affiche avec elle en 2005 confie elle ne parlait jamais d’eux, pas par honte mais par terreur. Elle répétait que le monde du spectacle broyait les gens qu’on aime. Un musicien se souvient d’une phrase murmurée dans la pénombre d’une loge glaçante de lucidité : “Si je parle d’eux, je les perds.” Ces confidences renforcent l’ura tragique de cette double vie.

 Pour les experts culturels, ce silence s’inscrit aussi dans une tradition de pudeur générationnelle, la Horma, où la sphère privée demeure un sanctuaire inviolable. Biyuna qui a transgressé tant de codes sociaux aurait ainsi préservé l’essentiel en érigeant ce rempart. Et si ce silence était aussi le choix des enfants eux-mêmes, le fait qu’aucun ne revendique cet héritage ni après les succès, ni après les scandales est stupéfiant.

 Cette absence totale de traces numérique constitue une anomalie statistique à notre époque. Un seul indice a brièvement troublé ce désert médiatique en 2017. Une photo ancienne montrant une femme ressemblant très pour très à Biyuna nourrisson dans les bras surgit sur la toile. L’image non daté supprimée presque instantanément. Était-ce l’un d’eux ? Aucun journaliste n’a eu le temps de l’authentifier.

Depuis les spéculations, vont bon train, exil volontaire, accord secret ou sacrifice maternel ultime. Peut-être a-t-elle accepté la célébrité en échange de leur invisibilité. Ce mystère familial est devenu indissociable de sa légende. Une énigme que même la curiosité morbide des réseaux sociaux n’a pas su résoudre.

 La dernière année de vie de Biona se déroule dans un hc clos quasi carcéral. Une opacité totale qui tranche brutalement avec la lumière des projecteurs. Dès 2024, les médias algériens notent une absence prolongée et inhabituelle. Plus d’interview, plus d’éclats de rire sur les plateaux des réseaux sociaux figés dans le silence.

 À Alger dans son quartier mythique de Bouisdad, les voisins murmurent qu’ils ne la croisent plus. Certains parlant de voyage, d’autres redoutant de la maladie, mais le secret est gardé sous une chape en mars 2025 que la situation bascule dans le dramatique. Alors que la rumeur enfle, le ministère de la culture diffuse un communiqué laconique presque télégraphique, l’artiste est hospitalisé.

 Sa famille exige le respect strict de son intimité. Aucune précision sur le mal qui l’arronge, ni sur le lieu de sa convalescence. Les fans désemparés déposent des fleurs devant le théâtre national, mais reste invisible. Ce n’est qu’après sa mort, le 25 novembre 2025 que les détails de cette fin de vie filtre révélant une organisation quasi militaire de la confidentialité.

L’artiste aurait été admise en octobre à l’hôpital de Benny Messus dans l’Ouest d’Alger, réputée pour son service de médecine interne. Selon des sources médicales relayées par la presse locale, elle arrive dans un état de faiblesse avancée mais refuse catégoriquement un transfert médical vers la France. Sa volonté est claire : rester sur sa terre et surtout rester caché.

 Ces derniers jours se consument dans une chambre sécurisée transformée en bon cœur sanitaire. Le personnel soignant lié par des clauses de confidentialité draconienne n’a jamais révélé l’identité des rares visiteurs autorisés à franchir le seuil. Biyuna était-elle entourée ? Ses enfants lui tenaient-il la main ? Aucun témoignage ne viendra le confirmer.

 Le dénouement survient le 25 novembre à du matin. Selon les informations recoupées, la comédienne rend son dernier souffle dans une chambre isolée du service de soins palliatifs. La scène décrite et d’une froideur clinique, aucun représentant de l’État, aucun journaliste. Seuls deux agents de sécurité montent la garde. Le rapport de décès évoque une détresse respiratoire terminale.

 Aucun acharnement thérapeutique n’est tenté conformément à ces dernières directives. À 5h10, son corps est transféré à la morgue interne, immédiatement placé dans un cercueil hermétique, sans passer par la case-chambre mortuaire publique. L’ordre viendrait directement de la famille invisible mais omniprésente dans la gestion logistique de cette disparition.

La nouvelle ne circule qu’en soirée par le biais d’un technicien de théâtre sur Facebook, Baya est parti. La presse s’affole, la télévision nationale interrompe ses programmes à midi le lendemain, mais il est déjà presque trop tard. Le cortège funéraire est déjà en route vers le cimetière d’Alia, le panthéon algérien.

 Là encore, le scénario de l’invisibilité est respecté à la lettre. L’enterrement a lieu à 13h30 précise dans une discrétion qui confine à l’effacement. Sur les rares images volées par une équipe de télévision tenue à distance, on distingue à peine une dizaine de silhouettes vêtues de noir. Aucun visage familier du showbsiness, aucun enfant identifiable.

Biyuna est inumé à quelques mètres de Warda Aljazairia, l’autre légende. Mais le contraste est saisissant là où Warda repose dans un mausolée Biyuna n’a droit qu’à une simple plaque sans photos portant son nom civil et ses dates. C’est un adieu sans emphase, un départ sur la pointe des pieds. Une voix enregistrée lors d’un concert à Marseille en 2020 raisonne alors étrangement dans les mémoires je ne veux pas de pleur, je veux du silence.

 Le silence, c’est ma façon à moi de dire adieu. Cette phrase ignorée à l’époque sonne désormais comme son ultime volonté testamentaire. Ces enfants n’étaient peut-être pas absents ce jour-là. Ils étaient simplement fidèles à ce pacte de l’ombre exécutant la dernière mise en scène de leur mère disparaître pour mieux exister.

 Au lendemain de cette disparition, le silence administratif est tout aussi assourdissant que celui de la morgue. Aucune bataille d’héritier ne vient souiller la mémoire de l’artiste. Aucun notaire ne s’est exprimé aucune succession tapageuse n’a été ouverte au nom de Baya Bouzard. Selon les spécialistes du patrimoine, l’actrice ne laisse derrière elle ni empire immobilier, ni fortune colossale, mais un modeste appartement à Bouisdad et l’écho éternelle de ces chansons.

Pourtant, son véritable Lex dépasse le matériel. Dans un monde de l’hyper exposition où les stars monaient en leur intimité jusqu’à l’indessence Bona a réussi l’impossible ériger une forteresse imprenable autour de sa famille. Cette absence de visage ce vide assumée devient un acte de résistance presque une œuvre d’art en soi.

 Elle aura vécu sa vie brûlée par les projecteurs, mais elle aura élevé ses enfants dans une ombre protectrice peut-être pour qu’il n’ait jamais à fuir la lumière aveuglante de la célébrité. Et si leur silence obstiné, même après sa mort était le plus grand hommage qu’il pouvait lui rendre, Biyuna est parti sans laisser de traces publiques de sa chair.

 Mais ce mystère intact continue de fasciner comme une dernière scène qui ne finirait jamais. Et vous, qu’en pensez-vous ? Une vie de star vaut-elle le sacrifice d’une existence sans adieu visible ? Le débat est ouvert. Ce documentaire d’anticipation explore le décès fictif de l’icône algérienne Biyuna en 2025 pour mettre en lumière le plus grand mystère de sa vie, l’anonymat absolu de ses quatre enfants.

Le récit contraste son image publique exubérante et transparente avec une vie privée, verrouillée à double tour. À travers l’incident d’un appel au secours sur Facebook vite étouffé et la description minutieuse de ses funérailles où sa famille reste invisible, le script interroge la nature de ce silence.

 Protection maternelle, traumatisme ou choix délibéré ? La vidéo conclut que cette invisibilité et l’ultime performance artistique de la star réussir à être une légende, tout en préservant son jardin secret jusqu’à la tombe.