Dernier moment de Biyouna – Le message bouleversant retrouvé après sa mort
Mesdames, messieurs, en 2007, elle incarnait une proxénette charismatique dans délice Paloma et recevait qu’autant de louange que de critiques virulentes de la part d’une société algérienne encore tiraillée entre tradition et modernité. Biuna à la fois adulé et jugé, était devenu un miroir trop franc pour être ignoré.
Elle finira ses jours loin des projecteurs dans une chambre d’hôpital perché sur les hauteurs d’Alger, là où même le silence semblait peser plus lourd que la gloire. C’est à Benny Missous qu’elle rendra son dernier souffle entre les murs d’un service respiratoire entouré d’un mystère discret mais profond. Celle qui avait tant fait rire, danser et réfléchir l’Algérie et la France s’en allait sans tumulte, laissant derrière elle une tension jamais totalement résolue.
Pouvait-on vraiment l’aimer sans vouloir la censurer ? Baya Bouzar, connu sous le nom de scène de Biyuna, est né le 13 septembre 1952 dans le quartier populaire de Bellecour à Alger, un environnement modeste mais foisonnant d’énergie culturelle. Très jeune, elle ressent une attirance irrésistible pour la scène.
À 17 ans, elle se produit déjà dans des cabarets réputés de la capitale algérienne. Et 2 ans plus tard, elle danse au Copakabana, un établissement emblématique de la nuit algéroise. Ce sont ces premières années passées dans les lumières crues des salles de spectacles qui forgeront son tempérament. Libre, provoquante et résolument ancrée dans sa vérité.

Sa rencontre avec le réalisateur Mustapha Badi en 1973 marque un tournant. Il lui offre le rôle de Fatma dans la Grande maison, une série télévisée adaptée du roman de Mohamed Dib. Ce rôle lui apporte une notoriété immédiate dans tout le Maghreb et initie une longue carrière à la télévision. Très vite, elle devient une figure incontournable de la culture populaire algérienne.
Pourtant, ne se contente pas de jouer. Elle chante, danse, improvise, fait rire et émeux. Elle s’impose comme une artiste complète capable de bouleverser les frontières artistiques et sociales. Durant les années 1980 et 1990, elle alterne les rôles dans des pièces de théâtre, des émissions humoristiques et des films.
Parmi ces apparitions les plus marquantes au cinéma, on compte Leila et les autres en 1978 et vivre au paradis en 1998. Son franc parlé, son accent typique, sa gestuelle expressivement orientale, tout en elle fascine autant qu’il détonne dans un paysage audiovisuel souvent formaté. Elle devient une icône pour une génération entière symbole d’une liberté de ton féminine rare à la télévision algérienne.
En 2001, elle lance son premier album Red Zone mêl en musique traditionnelle et rythme moderne. Mais c’est en 2007 avec Blonde dans la case qu’elle surprend définitivement le public français. Cet album produit en France Mel Chabi Pop et humour corrosif. Les titres une blonde platine dans la case ou merci pour tout reçoivent un écho particulier dans la diaspora maghrébine partagé entre attachement aux racines et désirs de reconnaissance occidentale.
La presse française l’a décrit à l’heure comme un ovni franco-algérien à la fois irrésistible et dérangeante. Elle est sollicitée par de nombreux réalisateurs français. Dans Inshala dimanche de Yamina Ben Guigi 2001, elle incarne une mère autoritaire à la fois drôle et oppressante. Mais c’est délice Paloma de Nadir Moknesch la propulse à un nouveau sommet artistique.
Dans ce film, elle joue Madame Algeria, une femme d’affaires verreuse mais attachante, manipulant le destin des autres tout en s’interrogeant sur le sien. Sa performance est saluée dans les festivals et par les critiques en France comme en Algérie. Cette carrière éclatante s’est construite à contre-courant en dehors des circuits traditionnels, souvent avec une parole libre et un humour qui bouscule.
Buna est resté fidèle à elle-même, même quand cela lui valait d’être marginalisé par les institutions culturelles officielles. Elle est devenue, au fil du temps l’incarnation d’une Algérie vivante, urbaine, féminine, insoumise et métissée. Derrière les éclats de rire et les répliques acerbes, la vie de Biyuna fut jalonnée d’épreuves et de conflits.
Très tôt, son choix de se produire dans les cabarets à une époque où cela était perçu comme déshonorant pour une femme en Algérie lui valut des critiques asserbe. Dans les années 1970, alors que l’Algérie indépendante cherchait à affirmer une identité culturelle rigide, Biuna détonnait. Elle incarnait une féminité libre, trop bruyante, trop visible pour certains.
Elle salit l’image de la femme algérienne, disait certains éditorialistes conservateurs à l’époque, comme le rapportait El Mudjahid dans une chronique de 1976. À cela s’ajoutaient les tensions avec le monde artistique officiel. Son franc parla, souvent piquant, lui ferma plusieurs portes. En 1985, elle est écartée d’une tournée télévisée pour incompatibilité de style avec les normes de la télévision nationale.
Selon Liberté Algérie, elle l’aurait répondu au directeur de programme : “Je ne suis pas là pour réciter des slogans, je suis là pour dire la vie.” Une phrase restée célèbre parmi ses fans, mais qui lui coûta pendant plusieurs années une quasi disparition des écrans. Ses rapports avec les autorités religieuses serent également tendus.
Dans une interview à la chaîne Canal Algérie en 2002, elle déclarait : “Je crois en Dieu mais je ne crois pas aux barbes qui veulent nous faire terre.” Cette phrase perçue comme une attaque contre les milieux islamistes radicaux provoqu une vague de réaction violente sur les réseaux sociaux et dans certaines mosquées.
Des rumeurs de menaces de mort circulaires même bien que jamais officiellement confirmé. En France aussi, Biyuna divise. Sa manière de jouer très expressive ne correspond pas toujours aux attentes de la critique parisienne. Dans Téléama, une chroniqueuse écrivait en 2007 après la sortie de Dice Paloma trop de geste, trop de voix, trop d’elle.
Mais ses critiques, loin de la freiner, renforcent son image d’artiste ingérable, inclassable, profondément elle-même. Elle se moque des cases, joue les rôles qu’on ne lui propose pas, invente les siens. Sur le pan personnel, les blessures sont plus silencieuses. Buna a toujours protégé sa vie intime, mais des proches évoquent des périodes de solitude profonde.
Dans un rare témoignage diffusé sur France I Maghreb Orient en 2010, une amie de longue date racontait elle riait beaucoup sur scène mais chez elle, il y avait un silence lourd. Elle avait du mal à faire confiance. Une confidence qui jette une lumière nouvelle sur le parcours de cette femme, toujours entourée mais peut-être souvent seule.

Vers la fin des années 2010, sa santé commence à se détériorer, mais elle garde le silence sur ses problèmes respiratoires. Elle refuse plusieurs fois de participer à des émissions de téléalgérienne affirmant qu’elle ne veut pas être filmée dans l’ombre. En 2018, elle est hospitalisée brièvement à Alger. Mais l’information ne fuite pas.
Ce n’est qu’en 2022 que le public apprend à demi-mot qu’elle lutte contre une forme de cancer du poumon, ce que confirmera plus tard un communiqué du ministère de la culture. Un épisode resté méconnu ajoute une tension supplémentaire à cette trajectoire déjà chargée. En 2023, elle aurait été approchée par une maison de production française pour un rôle dans une série Netflix sur les figures féminines du Maghreb.
Mais selon Jeune Afrique, le projet aurait été abandonné suite à un désaccord entre Biyuna et la production sur la représentation des femmes musulmanes dans la série. Le journal cite un membre de l’équipe. Elle voulait que son personnage soit libre, pas victime, ça ne passait pas. Ce refus, cette rupture de contrat tardive est peut-être la dernière grande insoumission de sa carrière.
Ainsi, les dernières années de Biyuna ne furent pas marquées par une retraite paisible, mais par une succession de tension, de déception et de bataille silencieuse. Le masque de la diva cachait de plus en plus difficilement les douleurs d’un corps épuisé et les amertumes d’une artiste trop grande pour les cases qu’on voulait lui imposer.
Elle avait toujours su déclencher les rires mais à la fin, c’est un murmure inquiet qui accompagnait ses apparitions publiques. Dans les derniers mois de sa vie, Biyuna s’était peu à peu retiré du tumulte médiatique. Elle ne vivait plus dans le centre animé d’Alger, mais dans un appartement modeste à Elmédania.
Un quartier plus calme et en hauteur avec vue sur l’abé. Un lieu discret, à l’image du silence qu’elle cultivait désormais autour d’elle. Depuis 2022, sa santé s’était considérablement dégradée. Atteinte d’un cancer du poumon, elle souffrait aussi de complications respiratoires chroniques nécessitant des soins réguliers.
Selon le journal El Watatan, elle suivait un traitement à domicile supervisé par un petit cercle de médecins et d’infirmiers privés. Elle ne faisait plus d’apparition publique depuis plusieurs années, refusant même des hommages organisés par le ministère de la culture. Un proche a confirmé au quotidien Liberté Algérie.
Elle disait qu’elle ne voulait pas qu’on la voit diminuer. Elle préférait qu’on garde d’elle l’image d’une femme forte. Cette volonté de contrôler son image jusque dans le retrait laissait transparaître une dignité farouche. Peu de visiteurs étaient autorisé à l’avir. Seuls ces deux nièes et une amie d’enfance étaient présente à ses côtés dans la mesure permise par son état.
Dans l’une de ces dernières interviews accordée à France Culture en 2021, elle avait lancé presque comme une prémonition. Quand on a tout donné sur scène, il ne reste plus grand-chose à dire. Il faut savoir disparaître proprement. Une phrase qui raisonne aujourd’hui avec un poids immense, tant elle semblait déjà annoncer son effacement progressif.
Elle n’enregistrait plus, ne chantait plus et avait même refusé un projet de reprise de ses chansons en version symphonique, pourtant soutenu par des producteurs français. Je n’ai plus de souffle, mais j’ai encore mes silences”, avait-elle murmuré à une collaboratrice. Sur le plan administratif, elle avait réglé ses affaires avec une rigueur surprenante.
Son testament déposé chez un notaire d’Alger précisait ses dernières volontés. Aucun hommage national, pas de retransmission télévisée, pas de discours officiel. Elle voulait, disait-elle, partir comme elle l’avait vécu, sans permission, sans protocole. Cette décision relayée discrètement par les journaux algériens en avait surpris plus d’un.
Beaucoup pensaient qu’elle méritait une reconnaissance d’état. Elle non. Elle avait toujours rejeté les médailles autant que les censures. Durant cette période, elle restait tout de même en contact avec certains jeunes artistes franco-algériens via les réseaux sociaux. Elle répondait parfois par des messages vocaux courts, plein d’ironie douce.
Un humoriste basé à Marseille a partagé sur Instagram en octobre. Même malade, elle me corrigeait mes blagues. Elle me disait “Tu as pas encore compris qu’il faut taper là où ça fait rire et mal en même temps ?” Ce type d’échange prouvait que même affaibli, Biyuna gardait cette lucidité mordante qui la rendait unique. Mais l’essentiel de son temps se passait dans la solitude.
À la fin du mois d’octobre 2025, son état s’aggrave. Elle peine à respirer, refuse l’oxygène en continu puis finit par accepter d’être transférée à l’hôpital de Benny Messous, connu pour ses service de pneumologie. Le trajet se fait en silence. De nuit, à l’abri des regards. Aucun journaliste n’est informé, aucun fan alerté.
Elle est admise en soins intensifs le 4 novembre. Son dossier médical fait état d’une détérioration rapide du système respiratoire combiné à des lésions pulmonaires irréversibles. Selon un membre du personnel soignant cité anonymement par le soir d’Algérie, elle ne parlait presque plus mais restait consciente.
Elle écoutait de la musique classique arabe sur un petit poste, parfois de vieilles chansons françaises aussi. L’équipe l’appelait affectueusement l’allabuna. Elle ne voulait pas de caméras, de visites politiques, même pas de fleurs. Elle voulait que le silence domine, que son corps parle pour elle une dernière fois.
Ainsi s’achève les jours de celles qui avaient incarné l’exubérance, l’insolence et la passion. Une femme qui, dans l’ombre d’une chambre d’hôpital avait choisi la paix après tant de bruit. Une star qui, pour mourir, avait exigé le noir complet. Le 25 novembre à l’aube, une brume légère enveloppait les hauteurs de Bennyous. Dans une chambre du service de pneumologie de l’hôpital, au 3e étage, le silence était absolu.
À 5h43 du matin, Biyuna rendait son dernier souffle. Aucun cri, aucun dernier mot, seul le signal régulier du moniteur cardiaque, puis son interruption soudaine témoignait du passage d’un monde à l’autre. L’infirmière de garde qui s’occupait d’elle depuis trois semaines constata officiellement le décès avant d’appeler le médecin de nuit.
Il signa le constat à 6h1. L’artiste s’était éteinte dans une semi-obscurité, le visage apaisé, sans présence familiale à ses côtés à ce moment-là. Sa niè contactée immédiatement arriva une heure plus tard. Trop tard pour un dernier regard. Le lit était recouvert d’un drap blanc. À sa table de chevet, un flacon d’oxygène vide, une photo ancienne en noir et blanc et une radio usée qui diffusait encore faiblement la voix d’umkaltum.
C’est dans cette simplicité poignante que s’est acheevé l’existence de Bayabou, dit Buna. Le personnel hospitalier, émume mais respectueux de ses volontés, ne communiqua pas immédiatement l’information au médias. Ce n’est qu’à midi que l’annonce fut confirmée par un communiqué bref du ministère de la santé relayé par Elatan.
L’artiste Buna nous a quitté ce matin à 73 ans à l’hôpital de Benimessous. Une phrase courte, sans détail, fidèle à son souhait de discrétion. Mais l’effet fut immédiat. Dès les premières minutes, les hommages affluèrent sur les réseaux sociaux. En Algérie, des milliers de messages surgissent sous le hashtag Buna pour toujours.
En France, plusieurs artistes franco-magrébins lui rendent hommage, dont la chanteuse Camélia Giordana et le réalisateur Nadir Moknesch. Ce dernier poste une photo en noir et blanc de Biyuna sur le tournage de Dice Paloma avec la légende “Tu as tout donné, maintenant repose.” Dans les rues d’Alger, notamment à Bellouwisdad, son quartier natal, de petits groupes se forment spontanément pour évoquer ses répliques cultes, ses chansons, sa voix unique.
Une mosquée du quartier diffuse l’appel à la prière, suivie d’un silence lourd, presque solennel. Même ceux qui la critiquaient reconnaissent son impact. À la télévision, aucun hommage officiel n’est immédiatement organisé conformément à ces dernières volontés. Seule la chaîne Canal Algeria interrompt brièvement son programme pour diffuser une rediffusion d’un entretien accordé par Biyuna en 2005 où elle riait en racontant sa première fois sur scène.
Cette émission repassée en boucle sur les réseaux devient virale. Un moment suspendu figé dans une mémoire collective qui se réveille brutalement. Le jour même, son corps est transporté à la morgue de l’hôpital en attendant l’organisation des obsèques. Elle sera inumée le lendemain dans l’intimité au cimetière d’Allya, non loin de la tombe de l’écrivain Kateb Yassine.
Une centaine de personnes sont présentes, essentiellement des proches, des voisins, quelques artistes, mais aucun représentant officiel. À la demande de sa famille, aucune image n’est diffusée, aucune stelle grandiose, aucune couverture médiatique, juste une plaque blanche avec son nom gravé simplement. Bay à Bouzar 19525.
Un détail bouleversant circule dans les jours qui suivent. Dans une enveloppe retrouvée sur sa table de nuit, elle avait écrit une seule phrase à la main en arabe : “Ceux qui rient ne sont pas toujours heureux.” Une vérité intime comme un murmure poste à ceux qui l’ont tant apploidi.
Sa voix s’était tue mais son silence lui raisonnait plus fort que jamais. Elle laisse derrière elle bien plus qu’un simple haritage artistique. Buna, de son vrai nom Baya Bouzar a légué une voix, un regard, une manière d’habiter le monde. Aucune fortune colossale, aucun patrimoine immobilier n’a été révélé. Son appartement à El Madania fut légué à ses deux nièes.
Selon les clauses simples d’un testament déposé en 2023. Aucun conflit familial n’a émergé publiquement. Ce silence dans la succession contraste avec les tensions qu’elle a vécu de son vivant. comme si en quittant la scène, elle avait voulu tout apaiser. Dans les semaines suivant son décès, plusieurs maisons de production française et algérienne annonce vouloir lui rendre hommage à travers des rétrospectives, documentaires ou réédition d’album.
Mais sa famille s’y oppose, invoquant le respect de sa volonté de ne pas être glorifié à titre postume. Un paradoxe, Biyuna était une figure publique majeure, mais son souvenir semble devoir se construire sans fracas à bas bruit. Une pétition citoyenne circule en ligne pour qu’une salle de spectacle à Alger porte son nom.
À ce jour, aucune décision officielle n’a été prise. Du côté du public, la réaction est immédiate et intense. Des jeunes artistes lui rendent hommage sur TikTok, reprenant ses chansons, ses mimiques, ses répliques devenues cultes. Des extraits de ces scènes de films, notamment dans DCE Paloma, sont partagés par centaines de milliers.
Pour une génération née après son apogé, Biyuna devient une légende à découvrir, une voix du passé qui raisonne étrangement juste avec le présent. Plusieurs critiques culturelles en France et en Algérie soulignent son rôle fondamental dans la déconstruction des stéréotypes. Une femme arabe, âgée, drôle, libre, hors norme. Elle avait brisé les cadres sans jamais s’excuser.
Et c’est peut-être là sa plus grande trace, celle d’un souffle d’émancipation venu d’un lieu où il ne devait pas naître. Sa disparition pose une question : que devient une artiste dont la voix dérangeait même ceux qui l’admiraient ? Une étoile s’éteint incerte, mais son silence devient un écho.
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