DONALD TRUMP tente de rabaisser BENZEMA, mais sa réponse l’a laissé honteux.
Donald Trump tente de rabaisser Benzema, mais sa réponse l’a laissé honteux. Le silence tomba sur la salle de réception de l’hôtel Plaza à New York. Les 300 invités, vêtus de leur plus beau smoking et robes de soirée, restèrent figés, verre de champagne en main. Personne n’osait respirer.
Les caméras des journalistes S étaient toutes tournées vers la scène qui se déroulait près du grand escalier de marbre. Personne n’aurait pu prévoir que ce galat de charité organisé par une fondation internationale tournerait à la confrontation diplomatique. Benzema se tenait droit, impeccable dans son smoking noir et son nœud papillon, son expression parfaitement contrôlée malgré l’insulte qu’il venait de recevoir. Sa présence à cet événement avait été une surprise pour beaucoup.
Le footballeur français récemment transféré au club saoudien Al-Itihad après son passage légendaire au Real Madrid, était pas connu pour fréquenter ce genre de soirée mondaines américaines, mais son nouveau statut d’ambassadeur global pour plusieurs marques de luxe l’avait amené à étendre son influence bien au-delà des terrains de football.
En face de lui, le président des États-Unis, Donald Trump, arborait ce sourire caractéristique, mélange de suffisance et de défi. Sa cravate bleue semblait encore plus vive sous les lumières du lustre cristallin qui dominait la salle. Sa main était levée dans un geste de refus comme pour bloquer physiquement l’approche du footballeur.
Tout avait commencé 20 minutes plus tôt quand Benzema était arrivé discrètement par l’entrée latérale. Les organisateurs l’avaient accueilli chaleureusement. Heureux que sa présence puisse attirer l’attention médiatique sur leur cause. Le joueur avait échangé quelques mots poli avec différentes célébrités, pris quelques photos, toujours avec cette réserve qui le caractérisait.

Il ne cherchait pas la lumière mais ne la fuyait pas non plus. Trump était arrivé peu après, avec son habituel cortège de sécurité et d’assistant. Son entrée, comme toujours, avait été théâtrale. Poigné de mains énergiques, sourires appuyés aux photographes, commentaires lancés assez forts pour être entendu par tous. La présence de l’ancien président avait immédiatement polarisé la salle.
Certains invités s étaient précipités vers lui pour le saluer. D’autres étaient discrètement éloigné. La soirée avait suivi son cours jusqu’à ce que le hasard ou peut-être le plan calculé des organisateurs, cherchant une photo marquante place les deux hommes dans la même conversation. Autour d’eux, s’était rassemblé un célèbre réalisateur hollywoodien, deux milliardaires de la tech et l’ambassadeur d’un pays du golfe. La discussion tournait autour du développement économique au Moyen-Orient.
J’ai toujours dit que la région avait un potentiel incroyable”, avait déclaré Trump avec assurance. “J’ai fait plus pour la paix là-bas que n’importe quel président avant moi. Les accords d’Abraham, c étaient dû jamais vu.” L’ambassadeur avait hoché la tête poliment tandis que Benzema écoutait sans intervenir.
“Et maintenant, avec tous ces joueurs qui partent jouer là-bas !” poursuivit Trump en se tournant vers Benzema. “C’est intéressant, n’est-ce pas ? Il pèit fortune pour amener du talent, beaucoup d’argent, énormément d’argent. Le joueur avait simplement acquié, sentant que la conversation prenait une direction particulière. Vous êtes l’un d’eux, n’est-ce pas ? Demanda Trump, bien qu’il connaissait manifestement la réponse.
Vous jouez pour quel pays déjà ? L’Arabie Saoudite, monsieur le président, répondit calmement Benzema. Pour le club d’Al Ittihad. Ah oui, l’Arabie Saoudite, un pays avec qui j’ai fait beaucoup d’affaires, de très bonnes affaires. Ils savent comment traiter les gens importants. Le sous-entendu sur les raisons du transfert de Benzema était à peine voilé, mais le joueur garda son calme.
“J’ai entendu les chiffres, vous savez !” continua Trump, élevant légèrement la voix pour que les personnes autour puissent entendre. Des sommes ridicules, mais je suppose que c’est ce qu’il faut pour attirer les talents. La pause avant le mot talent était délibéré, chargé de condescendance. “Le football est un sport global, monsieur le président”, répondit Benzema. L’Arabie Saoudite investit dans son développement comme de nombreux pays. Le football.
Trump laissa échapper un petit rire. Vous voulez dire le soccer ? Le vrai football est américain. Je n’ai jamais compris l’intérêt de courir après une balle pendant 90 minutes pour finir à 10. Nos sports américains, ils savent comment divertir. Beaucoup de points, beaucoup d’actions. Quelques rirees nerveux se firent entendre autour d’eux.
L’ambassadeur semblait de plus en plus mal à l’aise. “Chaque pays a ses traditions sportives”, dit simplement Benzema. Mais quand même, reprit Trump en se penchant légèrement comme pour partager une confidence qui serait néanmoins entendue par tous. Quittez l’Europe pour aller là-bas, c’est comme prendre sa retraite, non ? Sauf qu’on vous paye des millions pour le faire.
Le silence se fit autour d’eux. La remarque avait dépassé le cadre d’une simple pique. C était une attaque directe sur la carrière et les choix du joueur. “Je ne suis pas à la retraite, monsieur le président”, répondit Benzema, toujours aussi calme. “Je continue de jouer au plus haut niveau.
” “Bien sûr, bien sûr” acquessa Trump avec un sourire qui disait le contraire. “Je suis sûr que le niveau est comparable.” C’est à ce moment qu’un photographe s’était approché. demandant s’il pouvait prendre une photo des deux hommes ensemble. Une opportunité que Trump n’avait jamais refusé de sa vie. “Venez, faisons cette photo”, avait-il lancé en tendant la main versema.
C’est alors que le joueur avait simplement dit : “Je préfère décliner, monsieur le président.” Trump avait figé son geste, la main tendue dans le vide. Son sourire s’était crispé. Pardon, je préfère ne pas faire de photos ce soir. Merci quand même pour l’offre.
La main de Trump resta suspendue dans l’air pendant ce qui sembla une éternité. Son expression oscillait entre l’incrédulité et l’irritation. Personne ne refusait une photo avec Donald Trump, surtout pas devant une salle remplie de témoins et de caméras. Vous ne voulez pas faire une photo ? Répéta-t-il comme si la simple idée était incompréhensible. Non, répondit Benzema sans élever la voix.
Je choisis soigneusement les personnes avec qui je m’associe publiquement. Un murmure parcourut la salle. L’implication était claire. Être vu au côté de Trump, S était pas quelque chose que Benzema considérait comme positif pour son image. Les joues de l’ancien président s’en pourprèrent légèrement. L’humiliation était d’autant plus vive qu’elle se déroulait devant un parterre de L élite mondiale dans un environnement où il s’attendait à être traité avec déférence. “Vous savez qui je suis ?” demanda-t-il.
Sa voix montant d’un cran. “Bien sûr”, répondit Benzema, “Et vous savez qui je suis aussi. C’est pourquoi je pense que nous devrions en rester là. La tension était palpable. Les gardes du corps de Trump, postés à quelques maètres, échangèrent des regards, évaluant s’il devait intervenir. L’ambassadeur du pays du golfe tenta maladroitement de détendre l’atmosphère.
Peut-être pourrions-nous revenir à notre discussion sur les investissements sportifs, mais Trump n écoutait pas. Vexé, il cherchait une réplique pour reprendre le dessus. Vous savez, beaucoup de gens payent cher pour être sur une photo avec moi, dit-il finalement. Beaucoup beaucoup de gens. Je n’en doute pas, répondit Benzema avec un léger hochement de tête. Mais le prix ne m’intéresse pas.
La répartie fut accueillie par quelques sourires dissimulés parmi les invités. Trump avait l’habitude de mesurer tout à l’ône de l’argent et la réponse de Benzema suggérait qu’il existait des valeurs que l’argent ne pouvait acheter. L’ancien président, sentant qu’il perdait la face, décida de passer à l’offensive. “Ah, franchement, je ne comprends pas pourquoi on fait tant d’histoires avec le soccer”, lança-t-il en élargissant son propos à l’assistance. C’est un sport pour les pays qui ne peuvent pas se permettre d’équiper leurs joueurs
comme au football américain, un sport de pays en développement. Les regards se tournèrent vers Benzema, attendant sa réaction. L’insulte était à peine voilé, non seulement envers lui, mais envers le sport le plus populaire au monde et les cultures qui le vénéraient. Le football est joué par plus de deux cinquante millions de personnes dans plus de pays répondit calmement Benzema.
C’est le sport le plus universel qui soit mais je comprends que certains préfèrent des jeux où seuls les Américains excellent. Un rire étouffé parcourut l’assemblée. La réponse était mesurée, factuelle, mais l’ironie était évidente. Trump venait de se faire renvoyer son chauvinisme avec une élégance qui rendait toute réplique colérique impossible sans paraître puérile. Les yeux de Trump se plissèrent.
Il n’avait pas l’habitude de être contré de cette manière, surtout par quelqu’un qu’il considérait comme un simple sportif, pas un égal dans l’arène politique ou économique. “Vous savez”, dit-il en pointant un doigt vers Benzema, “seque. Les Européens ont toujours cette attitude.
Ils pensent être supérieurs alors qu’ils viennent nous demander de l’aide dès qu’ils ont un problème.” Benzema haussa légèrement les épaules, refusant de mordre à l’hameçon. Cette modération ne fit qu’irriter davantage Trump qui cherchait visiblement à provoquer une réaction plus vive. Et puis d’ailleurs, poursuivit Trump en élevant davantage la voix.
Je n’ai jamais compris pourquoi les athlètes se sentent obligés de donner leur opinion sur tout. Vous tapez dans un ballon. Vous n’êtes pas un expert en politique internationale. Un léger sourire se dessina sur les lèvres de Benzema. Je ne me souviens pas avoir donné mon opinion sur la politique internationale ce soir, monsieur le président, c’est vous qui avez aborder le sujet. Trump balaya l’argument d’un geste de la main.
Vous savez très bien ce que je veux dire. Les sportifs devraient s’en tenir au sport comme ces joueurs de la NFL qui s’agenouillent pendant l’hymne national. Une honte. Quand j’y étais président, je leur ai dit ce que j’en pensais. Le footballeur français observa Trump quelques secondes avant de répondre.
Il semblait peser chaque mot. “Le sport n’existe pas en dehors de la société”, dit-il finalement. “Les sportifs sont des citoyens comme les autres, avec les mêmes droits d’expression.” “Bien sûr, bien sûr”, concéda Trump avec un sourire condescendant. “Mais quand des millions de jeunes vous regardent, il y a une responsabilité.
Vous ne pouvez pas juste dire n’importe quoi. Je suis entièrement d’accord sur ce point, répondit Benzema, fixant Trump directement dans les yeux pour la première fois de leur échange. Le sous-entendu était clair et plusieurs invités étouffèrent un rire. L’ancien président était connu pour ses déclarations incendiaires et souvent controversé sur les réseaux sociaux.
Sentant qu’il perdait le contrôle de la conversation, Trump changea brusquement de sujet. Donc vous jouez en Arabie Saoudite maintenant, un pays musulman. Vous êtes musulman aussi, n’est-ce pas ? La question était posée avec une fausse nonchalance, mais l’intention était claire.
Ramenz la conversation sur un terrain où Trump pensait avoir l’avantage. “Oui, je suis musulman”, confirma Benzema sans hésitation. “Je me suis toujours bien entendu avec les musulmans, vous savez”, affirma Trump. J’ai fait des affaires dans tous les pays arabes. Il m’adore à fait beaucoup pour la paix au Moyen-Orient, beaucoup plus que n’importe quel autre président.
Benzema ne répondit pas, se contentant d’un hochement de tête poli. Son silence semblait incommoder Trump qui poursuivit mais quand même, ça doit être difficile pour vous en tant que français de vous adapter là-bas. Ils ont des règles très strictes, vous savez. Pas d’alcool, pas de fête, ça doit être un sacré changement par rapport à la vie en Europe. Chaque pays a sa culture.
Monsieur le président, répondit Benzema, le respect des différences est essentiel quand on voyage ou qu’on vit à elle étranger. Trump laissa échapper un rire, le respect bien sûr. Mais entre nous, ils ont dû vous offrir une fortune pour que vous acceptiez tous ces inconvénients. L’ambassadeur du pays du golfe se racla gorge, visiblement mal à l’aise.
Benzema, lui, garda son calme olympien. Ma décision de rejoindre Al-Itihad était basée sur plusieurs facteurs, pas uniquement financiers. C’est un nouveau défi sportif, une opportunité de contribuer au développement du football dans la région. Un défi sportif, répétap avec un sourire narquis. C’est une façon élégante de le dire.

Mais nous savons tous que le niveau n’est pas le même qu’en Europe. Soyons honnêtes, vous êtes allés là-bas pour l’argent et je ne vous blâme pas. J’aurais fait pareil. Les affaires sont les affaires. Une lueur passa dans le regard de Benzema. Pour la première fois, une pointe d’agacement semblait percer son masque de politesse.
“Monsieur le président !” dit-il d’une voix calme mais ferme. “Je comprends que vous jugiez les motivations des autres selon vos propres critères. Mais nous n’avons pas tous les mêmes priorités dans la vie. La pique était subtile mais efficace. Plusieurs invités échangèrent des regards, impressionnés par la manière dont le footballeur tenait tête à l’ancien président.
Trump, irrité par cette résistance, décida de passer à l’offensive. “Vous savez, j’ai lu des choses sur vous”, lança-t-il. “Des problèmes avec la justice en France ? quelque chose à propos d’une affaire de comment dire chantage. Un silence glacial tomba sur le petit groupe.
L’allusion à l’affaire judiciaire qui avait impliqué Benzema quelques années auparavant était délibérément provocatrice. Le footballeur avait depuis été blanchi par la justice française. Mais Trump ressortait cette histoire ancienne de manière calculée. Pour la première fois, l’expression de Benzema se durcit visiblement. Ses yeux se plissèrent légèrement. Cette affaire a été résolue par la justice de mon pays, monsieur le président.
J’ai été innocenté par la plus haute instance judiciaire française. Bien sûr, bien sûr ! Trump avec un geste désinvolte. La justice, elle peut être si flexible parfois, surtout pour les célébrités. La provocation était évidente. Plusieurs invités commencèrent à se éloigner discrètement, sentant que la conversation prenait une tournure dangereuse.
L’ambassadeur tenta une nouvelle fois de désamorcer la situation. Je crois que le dîner va bientôt être servi. Nous devrions peut-être, mais Trump l’interrompit. Je trouve juste intéressant, continua-t-il en fixant Benzema, que quelqu’un qui a eu des démêlés avec la justice se permette de me faire la leçon sur la morale et les valeurs.
Le footballeur prit une profonde inspiration. Quand il répondit, sa voix était parfaitement maîtrisée mais chargé d’une intensité nouvelle. “Monsieur le président”, dit-il, “achcun de nous fait face à ses propres défis dans la vie. J’ai affronté les miens avec dignité et persévérance.
J’ai assumé mes responsabilités quand il le fallait et j’ai défendu mon innocence quand c était nécessaire. La justice a tranché. Je n’ai pas à me justifier devant vous ou qui que ce soit d’autre. Un silence s’installa. La réponse, dépourvue d’agressivité mais empreinte d’une fierté tranquille, semblait avoir momentanément déstabilisé Trump. Et si nous parlions de vos propres défis avec la justice américaine, monsieur le président.
poursuivit Benzema d’une voix douce. Je crois comprendre que vous avez vous-même quelques procédures en cours. L’assistance retint son souffle. La référence aux multiples procédures judiciaires visant l’ancien président était un coup direct.
Trump, qui avait l’habitude d’attaquer, mais beaucoup moins de être confronté à ses propres contradictions, sembla momentanément pris au dépourvu. “Fake news, lâcha-t-il finalement, reprenant son expression favorite. Des procès politiques, rien de plus. Une chasse aux sorcières. Je comprends !” répondit Benzema avec un léger hochement de tête. “Alors, peut-être devrions-nous tous les deux bénéficier de cette présomption d’innocence que vous sembliez me refuser il y a un instant ?” Trump ouvrit la bouche pour répliquer, mais pour une fois les mots semblèrent lui manquer. Autour d’eux, plusieurs invités
échangèrent des regards admiratifs. Le footballeur venait de remettre l’ancien président à sa place avec une élégance remarquable. Un serveur s’approcha, sauvant Trump, d’avoir à répondre immédiatement. Mesdames et messieurs, le dîner est servi. L’annonce provoqua un mouvement général vers la salle à manger. Trump en profita pour éloigner.
entouré de ses assistants qui s’empressèrent de lui parler comme pour faire oublier ce moment d’Amembarra, Benzema, lui fut rapidement rejoint par d’autres invités, impressionnés par sa prestance face à l’ancien président. Un acteur hollywoodien connu pour ses positions progressistes lui serra discrètement la main. “Ctait magistral”, murmura-t-il.
Peu de gens osent lui tenir tête de cette façon. Je n’étais pas venu pour créer une confrontation”, répondit simplement Benzema, “ma pouvais pas laisser certaines choses passer.” À l’autre bout de la salle, Trump S était installé à une table entourée de ses fidèles. Son visage était rouge, son expression tendue.
Il parlait avec animation à un sénateur assis à sa droite, gesticulant comme pour évacuer sa frustration. Il vous a mis en colère”, commenta le sénateur à voix basse. “Pas du tout”, répliqua Trump. “Trop fort ! C’est juste un joueur de ce cœur qui se soucie de son opinion, mais sa voix trahissait sa vexation. Être remis à sa place publiquement par quelqu’un qu’il considérait comme inférieur à lui était une expérience à laquelle il n’était pas habitué.
Le dîner se déroula sans autre incident. Les deux hommes restant soigneusement à distance l’un de l’autre. Mais la confrontation haine N était pas passée inaperçue. Plusieurs invités avaient discrètement filmé des parties de Léchange avec leur téléphone.
Vers la fin du repas, alors que les convives dégustaient leur dessert, Trump remarqua que plusieurs personnes jetaient régulièrement des coups d’œil à leur téléphone, puis dans sa direction avec des expressions amusées. Euh, “Qu’est-ce qui se passe ?”, demanda-tila à son assistante. Elle consulta rapidement son propre téléphone puis grimassa. “Monsieur, il semble que des extraits de votre conversation avec le footballeur circulent déjà sur les réseaux sociaux.” Quoi ? Faites-moi voir ça.
Il saisit le téléphone qu’elle lui tendait et fixa l’ écran avec incrédulité. Une courte vidéo montrait le moment où il avait tendu la main vers Benzema pour la photo et le refus poli mais ferme du joueur. Les commentaires sous la vidéo étaient largement favorables au footballeurs.
Benzema vient de donner une leçon à Trump. La classe à elle est à pure face à l’arrogance. Benzema président. Trump reposa brusquement le téléphone, son visage passant du rouge à elle écarlate. “C’est ridicule !” siffla-t-il, complètement ridicule. Les médias déformment toujours tout. Son assistante récupéra l’appareil avec précaution, évitant soigneusement son regard.
“Monsieur, plusieurs médias ont déjà contacté notre équipe pour obtenir des commentaires sur l’incident.” “Quel incident ! “Il n’y a pas eu d’incident !” rétorqua Trump. “Juste une conversation normale, dites-leur que ce joueur de soccer a été impoli et irrespectueux envers un ancien président des États-Unis. C’est lui qui devrait s’excuser.
” À l’autre bout de la salle, Benzema était engagé dans une conversation avec le réalisateur hollywoodien et plusieurs autres invités qui semblaient captivé par sa présence. Contrairement à Trump, il paraissait parfaitement à l’aise, souriant discrètement aux remarques de ses interlocuteurs. “Vous avez gérer cette situation avec une classe remarquable”, lui dit une actrice renommée.
“J’aurais probablement perdu mon sang froid face à de telles provocations.” “Le respect de soi commence par le contrôle de soi”, répondit simplement Benzema, sur un terrain de football comme dans la vie. La soirée touchait à sa fin quand un journaliste du New York Times, présent parmi les invités, s’approchartement de Benzema.
Monsieur Benzema, pardonnez mon indiscrétion, mais votre échange avec l’ancien président Trump a été remarqué. Accepteriez-vous de commenter ce qui s’est passé ? Le footballeur réfléchit un instant avant de répondre. Je préfère ne pas alimenter une polémique. Ce soir était censé être dédié à la cause soutenue par ce gars-là. C’est ce qui importe vraiment.
Mais Trump a fait des remarques sur votre carrière, votre transfert en Arabie Saoudite et même votre religion, insista le journaliste. Vous avez le droit de vous défendre. Je n’ai pas besoin de me défendre, répondit calmement Benzema. Mes actions parlent pour moi sur le terrain comme en dehors. Quant à monsieur Trump, il a ses opinions. J’ai les mienne.
Je respecte sa fonction d’ancien président, même si je peux être en désaccord avec certaines de ces idées. Cette réponse mesurée, loin de éteindre l’intérêt du journaliste, ne fit que la croître. Cette retenue est impressionnante, surtout face à quelqu’un connu pour sa propension à l’attaque personnelle. Benzema haussa légèrement les épaules. J’ai connu des défis bien plus grands dans ma vie. Une conversation difficile lors d’un gala n’en fait pas partie.
De l’autre côté de la salle, Trump avait rassemblé son entourage et se préparait à partir. Son expression orageuse contrastait avec l’atmosphère généralement détendue de la fin de soirée. Il se dirigea vers la sortie, entouré de ses gardes du corps, évitant soigneusement de passer près de Benzema. Mais le destin ou peut-être la configuration des lieux en décida autrement.
Pour atteindre la sortie principale, l’ancien président devait nécessairement passer près du groupe où se trouvait le footballeur. Quand il s’en aperçut, il était déjà trop tard pour changer de direction sans que cela paraisse une retraite. Un silence progressif s’installa dans la salle tandis que Trump avançait. Les invités, sentant la tension, écartèrent légèrement, créant un couloir involontaire entre les deux hommes.
À quelques mètres de Benzema, Trump ralentit imperceptiblement. Allit-il l’ignorer complètement ? une dernière pique ou peut-être contre toute attente chercher une réconciliation de façade. C’est alors que Benzema, dans un geste qui surprit tout le monde, y compris Trump lui-même, fit un pas en avant et tendit la main. “Bonne soirée, monsieur le président”, dit-il simplement.

Trump s’arrêta net, décomptencé. Tous les regards étaient fixés sur eux. L’ancien président hésita visiblement coincé dans un dilemme la main tendue serait perçue comme mesquin surtout après l’incident précédent. La serrée signifiait accorder une forme de reconnaissance à l’homme qui venait de le mettre en difficulté.
Après ce qui sembla une éternité, mais qui ne dura en réalité que quelques secondes, Trump tendit sa main et serra brièvement celle de Benzema. Bonne soirée”, marmona-t-il avant de poursuivre son chemin. Ce simple échange, pourtant banal en apparence, électrisa la salle. Le geste de Benzema, offrant une sortie honorable à l’homme qui venait de tenter de l’humilier, démontrait une grandeur d’âme qui ne passa inaperçu pour personne.
Dès que Trump eut franchi les portes, les conversations reprirent avec une intensité nouvelle. Le journaliste du New York Times revint immédiatement vers Benzema. “Pourquoi ce geste après tout ce qu’il a dit ?” “La rancune n’apporte rien de bon”, répondit le footballeur. Et parfois, tendre la main est plus fort que serrer le point.
Cette phrase prononcée sans enhase particulière allait faire le tour du monde dans les heures suivantes. Au petit matin, alors que Benzema prenait son petit- déjeuner dans sa suite d’hôtel, son agent l’appela. La voix excitée. Tu es partout Karim, partout. La vidéo de ton échange avec Trump a dépassé les dix millions de vues. Toutes les chaînes d’information en parlent.
Même les journaux sportifs européens ont relayé l’histoire. Benzema accueillit la nouvelle avec son calme habituel. Ce N était pas prévu. J’espère que ça ne crée pas trop de problèmes. Des problèmes ? S’exclama l’agent. C’est tout le contraire. Les réactions sont extrêmement positives. Tu es perçu comme un modèle de dignité et de classe.
Même des personnes qui ne s’intéressent pas au football partage les vidéos. En effet, l’incident avait pris une ampleur que personne n’aurait pu prévoir. Les médias du monde entier S étaient emparés de l’histoire, la présentant sous différents angles selon leur orientation politique, mais tous s’accordaient sur un point. La manière dont Benzema avait géré la situation était exemplaire.
Leçon de diplomatie sur un parquet new yorkaais titré le monde. Le footballeur français qui a tenu tête à Trump annonçait CNN. Quand le sport donne une leçon à la politique résumait El Paï, Trump quant à lui avait tenté de reprendre le contrôle du récit en publiant une série de messages sur son réseau social.
rencontré le joueur de soccer français hier soir, très surestimé selon beaucoup de gens, triste de voir des sportifs qui pensent être des politiciens rester dans votre domaine. Mais pour une fois, sa tactique habituelle consistant à réécrire la réalité ne fonctionnait pas. Les vidéos parlaient d’elles-même et même certains de ses partisans habituels semblaient mal à l’aise avec son attitude envers le sportif français. En milieu de journée, Benzema reçut un appel surprenant.
Le président français en personne souhaitait s’entretenir avec lui. “Monsieur Benzema”, commença le chef des États. “Je tenais à vous féliciter personnellement pour votre comportement exemplaire lors de cet incident diplomatique improvisé. Vous avez représenté la France avec une dignité remarquable.” “Merci, monsieur le président”, répondit Benzema, “ma n’ai rien fait d’extraordinaire.
J’ai simplement été moi-même. C’est précisément ce qui est admirable, poursuivit le président français, être soi-même avec intégrité dans des circonstances difficiles. Vous avez fait honneur non seulement à votre pays mais aux valeurs universelles de respect et de dignité.
La conversation se poursuivit quelques minutes, le président évoquant même la possibilité de décerner à Benzema une distinction honorifique lors de son prochain retour en France. L’impact de l’incident dépassa largement le cadre d’une simple anecdote mondaine. Dans les jours qui suivirent, des journalistes et commentateurs politiques analysèrent l’échange sous tous les angles y voyant un symbole des tensions contemporaines entre générations, entre culture, entre vision du monde.
Pour Trump, l’épisode représentait un revers d’image inhabituel. Habitué à dominer ses adversaires par la force de sa personnalité et de sa rhtorique, Iess était trouvé désarmé face au calme imperturbable de Benzema. Sa tentative d’humilier le footballeur S était retournée contre lui, le laissant dans une position qu’il détestait par-dessus tout, celle du perdant.
Pour Benzema, cette notoriété soudaine en dehors du monde sportif était inattendu. Des offres d’interview affluèrent du monde entier, tout comme des propositions de contrat publicitaires et même des invitations à s’exprimer dans des universités prestigieuses. Il déclina la plupart d’entre elles, fidèle à sa nature réservée. Dans l’unique interview qu’il accorda à un journal français, il minimisa l’importance de l’incident.
Je n’ai pas cherché cette confrontation. Elle s’est imposée à moi. J’ai simplement réagi comme je le fais toujours, en restant fidèle à mes valeurs et en gardant mon sang froid. Sur un terrain de football, perdre son calme est souvent le meilleur moyen de perdre le match.
Une semaine après l’incident, alors que Benzema s’apprêtait à retourner en Arabie Saoudite pour reprendre l’entraînement avec son club, un dernier rebondissement sur 20in. Le propriétaire de la chaîne d’hôtel où s était déroulé le Gala, un milliardaire connu pour ses positions progressistes, annonça la création d’un nouveau prix annuel, le trophée de le élégance sous pression. Et le premier lauréat serait bien sûr Karim Benzema.
Cette annonce provoqua la fureur de Trump qui avait autrefois entretenu des relations d’affaires avec ce même milliardaire. Il publia immédiatement une série de messages virulents qualifiant ce prix de mascarade ridicule et menaçant de poursuites judiciaire.
Quiconque continuerait à propager des mensonges sur sa rencontre avec le footballeur. Ses réactions excessives ne fent que confirmer l’impression générale. Donald Trump, l’homme qui avait bâti sa carrière sur sa capacité à dominer et humilier ses adversaires, avait été vaincu sur son propre terrain par un footballeur français qui n’avait même pas cherché l’affrontement.
Le monde du sport célébra cette victoire symbolique comme une confirmation de ce que beaucoup savaient déjà. Au plus haut niveau, l’excellence sportive forge non seulement des corps d’exception, mais aussi des caractères d’une force rare.
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