Elle a utilisé son CHER MARI pour le RITUEL D’ARGENT..
Elle a utilisé son cher mari pour le rituel d’argent. Les histoires de Flodive. Dans une ville connue sous le nom de Dar vivait un homme nommé Bernard. Bernard était marié à une belle femme appelée Stéphanie. Ils étaient tous les deux très pauvres. Bernard était mécanicien et Stéphanie était couturière.
Mais ils avaient du mal à joindre les debouts. Ils pouvaient à peine se nourrir eux-mêmes ainsi que leurs fils de 5 ans, Roger. C’était comme s’ils étaient sous l’emprise d’un sort. Rien de ce qu’il faisait ne marchait. Bernard avait autrefois été commerçant et revendeur de pièces détachées pour véhicules. Juste au moment où son entreprise semblait décollée, sa boutique prit feu.
Cela lui était arrivé deux fois. Après ses échecs, Bernard abandonna son rêve de devenir un grand commerçant, importateur et exportateur de pièces détachées automobiles. Il décida plutôt d’apprendre un métier manuel et se forma pour devenir mécanicien. Il se disait qu’ainsi, même si son atelier devait encore brûler, ses compétences elles resteraient à jamais.

Mais même en tant que mécanicien, Bernard peêit à s’en sortir. Son ami Jacques avec qui il avait été apprenti chez le même maître et qui s’était installé presque en même temps que lui, était aujourd’hui très riche. Jacques avait sa propre maison, un grand atelier et des apprentis qui travaillaient pour lui. Bernard, lui, avait encore du mal à nourrir sa femme, son fils et lui-même.
Cela le tourmentait beaucoup. Souvent, il s’endormait en pleurant honteux de lui-même. Il se demandait ce qui n’allait pas chez lui. Il savait qu’il était un excellent mécanicien capable de réparer n’importe quel panne sur n’importe quelle voiture. Parfois même, son ami Jacques, malgré son grand atelier, lui envoyait des voitures avec des pannes compliquées que seul Bernard parvenait à réparer.
Bernard était triste. Il se demandait pourquoi il était toujours aussi pauvre malgré son travail acharné et son talent. Un jour, Stéphanie était à sa boutique en train de coudre des vêtements pour ses clientes tandis que leur fils Roger jouait par terre. Il ne fréquentait pas l’école car Bernard ne pouvait pas se permettre une école privée et il ne voulait pas l’envoyer dans une école publique de peur qu’il ne soit pas bien encadré.
Alors Stéphanie l’emmenait souvent à sa boutique et lorsqu’elle n’était pas trop occupée, elle prenait deux ou trois heures pour lui apprendre ce qu’elle savait. Soudain, Bernard entra précipitamment dans la boutique. Il dit d’un ton paniqué : “Ferme pour aujourd’hui. Il faut qu’on rentre à la maison tout de suite. Dépêche-toi de ranger.
” Il prit leur fils dans ses bras pendant que Stéphanie s’empressait de fermer. Inquiète, elle lui demanda : “Tout va bien ? Tu m’inquiètes ?” “Qu’est-ce qu’il se passe ? Dis-moi quelque chose, je t’en prie.” “Tout va bien.” “Dépêche-toi, s’il te plaît”, répondit Bernard. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent à la maison. Bernard fixa sérieusement sa femme et déclara : “Stéphanie, je suis fatiguée de cette pauvreté, vraiment fatiguée.
Dieu sait que j’ai tout essayé. Je travaille dur, je prie, je jeûne, je suis une bonne personne et pourtant rien ne fonctionne. Je ne sais plus quoi faire. Ce n’est pas facile. Je le sais, mon mari, répondit Stéphanie en essayant de le réconforter. Mais continuons à attendre Dieu. Le temps de Dieu est toujours le meilleur.
Je suis certaine qu’il va intervenir pour nous très bientôt. Moi, je suis fatiguée d’attendre Dieu, Stéphanie, fatigué d’espérer pour rien. Si je t’ai appelé ici, c’est pour te dire que demain matin, je vais accompagner Jacques, tu sais, mon ami, pour aller voir un baba, un homme qui peut résoudre nos problèmes et nous rendre riche.
Jacques m’a dit de ne le dire à personne, mais il n’y a rien que je puisse te cacher. Je ne peux rien te dissimuler. Je voulais donc t’en parler pour qu’on y aille ensemble. Mais si tu refuses, j’irai seul. Non non ! S’écria Stéphanie choquée par les paroles de son mari. Elle hurla. Bernard, tu veux faire un rituel d’argent ? Eh ! Je suis foutu ! Eh ! Quelqu’un m’aide ! Oh ! C’est donc comme ça que ton ami Jacques a fait sa richesse.
Je suis finie ! Cria-t-elle en pleurant. Baisse un peu ta voix, Ab. Tu veux réveiller tout le quartier ? Tu veux qu’ils entendent ce dont on parle ? S’exclama Bernard. S’il te plaît, Stéphanie, tu n’es pas fatigué de cette pauvreté ? Pendant longtemps, j’ai cru que Jacques avait simplement de la chance, mais ce n’est qu’hier quand je suis allée le voir pour lui demander de m’aider, que j’ai compris la vérité.
Ah, Bernard, tu sais que ces choses-là ont toujours un prix élevé. Le diable ne donne jamais rien gratuitement. Ils peuvent te demander de sacrifier un être humain. Tu entends ce que tu dis ? Je suis finie. H complètement fini, sanglotta-t-elle. Personne ne demande de sang humain répondit Bernard. Jacques est mon meilleur ami.
Je lui fais confiance. Il m’a dit que le baba avait seulement demandé le sang d’une grosse vache. Il n’a tué aucun être humain. Tu te souviens du jour où Jacques a organisé une grande fête et a tué une vache juste 3 mois après son mariage ? Le jour où je t’ai dit que c’était une folie de dépenser autant après un mariage, et bien c’était ce jour-là qu’il a utilisé le sang de la vache pour le rituel d’argent.
Et regarde, ça fait presque 2 ans maintenant. Est-ce que sa femme est morte ? Sa mère, son père ? Est-ce qu’ils n’ont pas eu d’enfant ? Il n’a sacrifié aucun humain. Il a seulement utilisé le sang d’une vache et il m’a même promis de me prêter l’argent pour acheter la vache. “Je pourrais le rembourser quand on deviendra riche”, dit Bernard en tentant de convaincre sa femme.
Cette nuit-là, Stéphanie ne dormit pas. Elle réfléchit à tout ce que son mari avait dit. Une partie d’elle était soulagée que son mari lui ait fait confiance, contrairement à Jacques qui n’avait rien dit à sa femme. Mais une autre partie d’elle était inquiète. Elle décida qu’elle irait avec lui, pas seulement parce qu’il lui avait confié la vérité, mais aussi parce qu’elle voulait être présente au cas où le baba demanderait une vie humaine.
Elle ne voulait pas que son mari la sacrifie sans qu’elle ne le sache. Le lendemain matin, Bernard et Stéphanie suivirent Jacques jusqu’au sanctuaire du Baba. Le Baba fit quelques enchantements, prononça des incantations, puis dit : “Hm, mes enfants, la pauvreté dans votre lignée est très forte. Les dieux ont demandé le sang de la personne la plus précieuse dans vos vies.
Le baba fixa Bernard. Hein ? Mais je croyais que ça ne demandait pas le sang humain ! Dit Bernard, visiblement terrifié. Si je t’avais dit toute la vérité, tu n’aurais pas accepté de venir, répondit Jacques balbuciant. Jacques, tu m’as tué ! S’écria Bernard. Baba, la personne que j’aime le plus, c’est ma femme et je suis aussi celui qu’elle aime le plus au monde, pensait-il en regardant sa femme qui pleurait déjà.
“Baba, nous sommes tous les deux ici. Alors, qui va être utilisé ?” demanda-t-il inquiet. “Papa, s’il te plaît, il doit y avoir une autre solution. Mon enfant, j’ai dit la personne que vous aimez le plus tous les deux et ce n’est ni toi ni elle. Vous aimez votre fils plus que tout.” “Les dieux ont demandé son sang”, déclara le baba.
Hein ? Mon fils, Dieu nous en garde ! Cria Stéphanie l’interrompant. Elle prit immédiatement ses affaires et s’enfuit du sanctuaire en hurlant et en pleurant. “Stéphanie, attends-moi ! “Attends !” cria Bernard en courant après elle. Mais Stéphanie ne l’écouta pas. Elle courut encore et encore jusqu’à rentrer chez elle. Jacques quant à lui s’excusa auprès du baba, lui promit qu’il reviendrait puis partit à leur poursuite.
Dès qu’elle arriva à la maison, Stéphanie serra son fils contre elle en larme, le cœur brisé et dans les jours qui suivirent, elle veilla à ce que Roger ne quitte jamais sa vue, pas une seconde. Stéphanie refusa aussi de parler à son mari Bernard. Elle était profondément en colère contre lui. Mais une semaine plus tard, Bernard l’appela au salon et lui dit : “Stéphanie, tu comptes vraiment continuer à me faire la tête comme ça ? Parlons, je t’en prie.
Regarde, on peut toujours avoir d’autres enfants. Offrir Roger en échange de la richesse serait un sacrifice que nous faisons pour nous-mêmes et pour nos futurs enfants. Et puis, il pourrait revenir à nous par la réincarnation. Donc, ce ne serait même pas une perte totale. He Bernard, tu sais combien de temps on a attendu avant d’avoir Rogé ? Tu sais ce que le médecin avait dit ? Que je ne pourrais plus jamais avoir d’enfant et tu veux que je sacrifie le seul enfant que j’ai ? Comment pourras-tu dormir la nuit en sachant que tu as tué ton propre fils de
tes propres mains ? Tu es cruel, Bernard, dit-elle en pleurant. Non, Stef, si on le fait, on pourra payer les meilleurs soins médicaux et je t’assure qu’on aura autant d’enfants qu’on voudra. Et ce n’est pas comme si on allait tuer quelqu’un de nos propres mains. On ne fera que prendre la photo de notre fils, l’amener avec une vache au baba et après quelques incantations, on fera une fête avec la vache.
La nuit, notre fils dormira et ne se réveillera pas. Ce sera une mort douce, sans douleur. Personne ne saura rien, s’il te plaît. St, je t’en supplie. Quoi ? Que dis-tu ?” cria Stéphanie. Jacques m’a même dit que c’est ce qu’il avait fait avec sa sœur jumelle, dit Bernard. C’est comme ça qu’elle est morte.
Personne ne s’en est douté et elle n’a pas souffert. Stéphanie n’en revenait pas. Elle était horrifiée que son mari insiste pour utiliser leur fils unique dans un rituel d’argent. Mais deux semaines plus tard, elle entra par hasard dans la chambre et le surprit en train de boire une substance empoisonnée.
“Mais que fais-tu là ?” cria Stéphanie en lui arrachant la tasse des mains. “Puisque tu ne veux pas qu’on utilise notre fils, laisse-moi mourir. Je préfère ça que de continuer à pourrir dans la pauvreté”, dit-il en feignant des larmes. Dès lors, Bernard changea complètement de comportement. Il s’isolait, ne parlait presque plus et chaque fois que Stéphanie passait près de lui, il chantait des chansons tristes et pathétiques. “Ma vie est inutile.
Oh, que vais-je faire ? Que vais-je faire ? Pauvreté, tue-moi ici. Pauvreté, viens et tue-moi. Jour après jour, il culpabilisait sa femme jusqu’à ce que Stéphanie craque. Elle n’en pouvait plus. Un soir, elle lui dit en larme : “D’accord, faisons-le. Sacrifions notre fils parce que je t’aime et je ne veux pas te perdre non plus.
” Bernard, fou de joie, la remercia mille fois et lui promit qu’elle ne regretterait jamais cette décision. Quelques jours plus tard, ils retournèrent chez Baba, accompagné d’une vache et de la photo de Roger, leur fils unique. Baba prononça les incantation sur la vache. Puis ils rentrèrent chez eux et organisèrent une grande fête.
Les gens du quartier étaient là, mangeaient, buvaient, riait, même s’ils ne comprenaient pas pourquoi il faisait la fête. Bernard était aux anges. Pour lui, cette fête marquait la fin de sa souffrance et de sa misère. Stéphanie, elle, faisait semblant de sourire. Mais au fond d’elle, elle mourait une fois la fête terminée et que tout le monde fut parti, elle s’assit dans un coin de la maison et se mit à pleurer encore et encore.
Son mari tenta de la consoler en vain. Stéphanie ne dormit pas cette nuit-là. Elle resta éveillée, guettant un appel de sa mère. En effet, pour ne pas éveiller les soupçons, Bernard avait déposé Roger chez sa belle-mère la veille. Mais après avoir lutté contre le sommeil, Stéphanie finit par s’endormir un instant avant d’être réveillée par des cris déchirants venant du salon.
“La force de ma jeunesse. Pourquoi nous as-tu quitté si tôt ?” urlait Bernard versant des larmes de crocodile. Il était entouré de ses voisins qui tentèrent de le consoler, le prenant dans leurs bras, lui murmurant des paroles d’encouragement. Stéphanie, quant à elle, pleurait incontrôlablement. C’était comme si une partie d’elle-même était morte avec son fils.
Les semaines qui suivirent la mort de leur fils furent silencieuses. Bernard et Stéphanie ne se parlaient plus. Chacun portait son deuil dans son propre coin à sa manière. Mais quelques mois plus tard, la tension entre eux commença à s’atténuer. Le temps avait adouci leur chagrin et l’argent avait commencé à couler à flot. Bernard prospéra très rapidement.
En quelques mois seulement, il passa d’un logement délabré à une magnifique villa dans un quartier chic et paisible. Il acheta deux voitures neuves, une pour lui, une pour sa femme. Il ouvrit un immense atelier mécanique où plusieurs apprentis travaillaient sous ses ordres. Il était constamment occupé. Tout le monde voulait que Bernard répare leur voiture.
Il nageait dans l’abondance, tellement riche qu’il ne savait même plus quoi faire de tout cet argent. Sa femme, Stéphanie, vivait elle aussi sa belle vie, une vie de princesse. Elle était toujours élégante, dépensait des millions en vêtements, perruques, sacs de luxe, chaussures et tout ce qui faisait briller ses yeux.
Elle ne marchait plus dans les rues. Elle ferma même sa boutique de couture, décidant que désormais sa seule mission était de rester belle. À la maison, plusieurs domestiques s’occupaient de tout. La cuisine, le ménage, les courses. Stéphanie se disait : “J’ai payé le prix ultime en sacrifiant mon enfant. Je mérite de profiter de chaque centime que son sang a généré.
” Bernard et Stéphanie étaient heureux. Ils avaient intégré la haute société, fréquentaient les personnalités les plus influentes de la ville. Leur vie était belle, tout semblait parfait. Mais après deux ans, un grand vide s’installa dans leur cœur. Leur maison était trop silencieuse. Les rires d’enfants, les pleurs de bébés leur manquaient cruellement.
Alors commença la quête de Stéphanie pour redevenir mère. Elle visita les meilleurs hôpitaux du pays, fit des analyses, des traitements coûteux, tout ce que l’argent pouvait permettre. Mais rien ne fonctionnait. Les médecins étaient formels. Madame, vous ne pourrez plus jamais concevoir. Stéphanie devenait de plus en plus frustrée, perdait patience et les disputes avec Bernard devinrent fréquentes.
Leur maison, autrefois remplie de rire, était désormais pleine de querelles et de silence lourd. Puis Stéphanie remarqua que son mari changeait. Il rentrait tard, ne mangeait plus à la maison, faisait très attention à son apparence et à son parfum et ne lui parlait presque plus. En réalité, Bernard avait rencontré une jeune femme, Binta, une beauté éclatante de seulement 23 ans.
Il s’était croisé dans un club et le courant était immédiatement passé. Binta était douce, séduisante, toujours attentive. Bernard se plaignait souvent auprès d’elle. Ma femme n’arrive même pas à me donner un seul enfant. Et Binta l’écoutait, le réconfortait et au fil du temps, il tomba éperdument amoureux d’elle.
Ils commencèrent à se voir en secret dans des hôtels et leur liaison devint très intense. Un jour, alors que Bernard lui rendait visite comme à son habitude, Binta lui annonça une nouvelle bouleversante. “Bébé, j’ai quelque chose à te dire”, dit-elle toute excitée. “Quoi ? Quoi ? Dis-moi vite !”, répondit Bernard, les yeux brillants d’impatience.
“Je suis enceinte !” cria Bintaxcité. Bernard resta figé un instant, puis sauta de joie. Il la serra fort dans ses bras puis la souleva, tournoyant avec elle. “Merci, merci infiniment, Binta”, s’exclama-t-il. “Je vais redevenir père. Tu ne peux pas imaginer ce que cela représente pour moi.” Dans les semaines qui suivirent, Bernard devint encore plus distant avec Stéphanie.
Il passait le plus clair de son temps avec Binta, lui offrait des cadeaux, l’appelait sans cesse. Pendant ce temps, Stéphanie abandonnée à la maison, pleurait, pleurait et pleurait. Elle en vint même à regretter d’avoir accepté de sacrifier son fils pour un rituel d’argent. Stéphanie était toujours triste, constamment perdu dans ses pensées, rongé par la douleur et le remord.
Quelques mois plus tard, alors qu’elle était chez elle, assise tranquillement dans son salon, la porte s’ouvrit soudainement. Bernard, son mari, disparut depuis des semaines, fit son entrée, mais il n’était pas seul. À ses côtés se tenait Binta enceinte jusqu’aux yeux, traînant des bagages lourds comme quelqu’un qui venait emménager.
Binta ne prit même pas la peine d’attendre une quelconque présentation. Elle alla directement s’asseoir sur le canapé, fière et majestueuse, comme si la maison lui appartenait. Stéphanie, complètement abasourdie, regardait la jeune femme enceinte avec stupéfaction. Puis elle se tourna lentement vers son mari et demanda la voix tremblante.
Bernard, c’est quoi cette folie ? Bernard haussa les épaules et répondit calmement : “Stéphanie, voici ma nouvelle femme, Binta et la mère de mes futurs enfants. Comme tu peux le voir, elle est enceinte, chose que toi tu n’as jamais pu faire. Après tout l’argent que j’ai gaspillé pour toi dans les traitements, les hôpitaux, les voyages médicaux, j’en ai assez.
Tu viens de dire quoi ? Ton argent ?” urla Stéphanie. “As-tu déjà oublié ce que j’ai dû sacrifier pour qu’on ait cet argent ? Tu souffres d’amnésie ou quoi ? Tu es un monstre, Bernard. Un monstre, dit-elle en fondant en larme. Mais ce n’était que le début du cauchemar. Binta, malgré son jeune âge, prit le contrôle total de la maison.
Elle ordonna au domestique : “Désormais, vous ne suivez aucun ordre de Stéphanie. Si ce n’est pas validé par moi, considérez que ça ne compte pas, sinon vous êtes renvoyé.” Elle fit verrouiller la cuisine, empêchant Stéphanie d’y accéder. Stéphanie avait faim. Elle ne recevait plus un seul centime de son mari.
Et quand elle osait demander, Bernard lui disait froidement : “Va demander à Binta, c’est ma femme maintenant.” Stéphanie, au bord de la folie, dû commencer à revendre tous ses vêtements de luxe, ses sacs, ses chaussures, juste pour pouvoir se nourrir. Pire encore, Bernard la chassa de leur chambre conjugale pour y installer Binta, sa nouvelle reine enceinte.
Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Un soir, Stéphanie, les yeux bouffis par les pleurs, marcha lentement vers Bernard et lui dit : “Bernard, comment as-tu pu ? Tu m’as obligé à sacrifier notre fils unique pour ce satané argent et tu savais très bien que je ne pouvais plus avoir d’enfants à cause des complications que j’ai subis.
Et aujourd’hui, tu me traites comme une moins que rien. Tu me prives de tout, même l’argent du sang de mon propre fils. Tu es diabolique. Mais je te promets une chose, tu ne t’en sortiras pas aussi facilement. Je vais te faire payer. Mais Bernard, sans remord répondit en riant. Oh ! S’il te plaît, arrête ton cinéma. Tu ne peux rien me faire.
Et puis arrête de dire “Mon fils, mon fils comme si ce n’était pas aussi mon fils. Je t’ai forcé. Ne m’as-tu pas dit un jour je le fais parce que je t’aime trop pour te perdre ? C’est toi-même qui a fermé ta boutique, hein ? Moi, je bosse dur dans mon garage. Je gagne mon argent et je décide de le dépenser pour une femme qui peut au moins me donner une descendance et perpétuer mon nom. Point final.
Puis Bernard sortit en claquant la porte violemment. Cette nuit-là, Stéphanie ne ferma pas l’œil. Elle pleura, repensa à tout ce qu’elle avait enduré. Puis elle se leva lentement et murmura : “Je vais le faire payer et il ne verra même pas d’où ça viendra.” Quelques semaines plus tard, Stéphanie prit une décision radicale.

Elle retourna voir Baba, le même homme qui leur avait donné la richesse en échange de la vie de leur fils. Elle s’assit devant lui et dit, les yeux brillants de douleur et de rage, “Papa, mon mari a détourné toute la richesse que nous avons obtenue grâce au sang de mon fils. Il m’a trahi, il m’a humilié, il m’a jeté comme une vieille chaussette.
Baba, je veux qu’il paie, je veux qu’il souffre. Je veux qu’il sente chaque goutte de douleur que j’ai ressenti. Il a tout pris. Tout la richesse que les dieux nous avaient donné après que nous ayons offert la vie de notre fils. Aujourd’hui, je souffre pendant qu’il profite. Il a ramené une autre femme qui est déjà enceinte pour lui.
Je suis prête à payer n’importe quel prix. Je veux ma part de la richesse. Je veux ma propre fortune. Je suis prête à sacrifier encore même le prix le plus douloureux. C’est en larme qu’elle parlait au baba. Ses mains tremblaient. Le baba l’observait attentivement, son visage grave. “Ma fille, ce que tu demandes est profond. Tu sais que pour obtenir à nouveau la richesse des dieux, tu dois offrir en sacrifice la personne que tu aimes le plus.
” Es-tu prête à faire encore ce choix ? Elle leva les yeux déterminés. Baba, si j’ai pu offrir la vie de mon fils, je peux offrir n’importe qui. Dites-moi seulement ce que les dieux veulent. Le baba ferma les yeux, marmona des incantations et quelques instants plus tard, il ouvrit les yeux et dit calmement : “Les dieux ont demander la vie de ton mari.
” Son cœur se mit à battre rapidement, mais pas de peur, de joie. Enfin, justice allait être faite. “Baba, j’accepte. Je ferai exactement ce que vous me dites.” Le Baba lui donna les instructions. “Apporte-moi une vache et la photo de ton mari. Ensuite, tu tueras la vache et organiseras une grande fête chez toi.
Cette nuit-là, ton mari s’endormira et ne se réveillera jamais. Il mourra exactement comme votre fils est mort ce jour-là dans son sommeil. Elle était pleine de gratitude et remercia le babait le sanctuaire. Sur le chemin du retour, elle souriait. Elle allait enfin faire payer Bernard pour tout le mal qu’il lui avait fait.
Il allait mourir et elle, elle deviendrait riche par sa mort. Mais elle devait être rusée. Elle vendit quelques perruques, quelques vêtements, quelques bijoux à ses amis et avec l’argent récolté, elle acheta une belle vache et les autres articles nécessaires à une fête. Elle apporta la photo de Bernard et la vache au baba.
Il exécuta les rituels. Ensuite, elle garda la vache dans un endroit secret. Le jour du sacrifice, elle attendit que Bernard sorte avec Binta. Dès qu’ils quittèrent la maison, elle fit ramener la vache chez elle et dit au garçon : “Tu es là maintenant.” Et c’est ainsi que la fête commença.
Les femmes préparaient, les marmites bouillaient, la musique raisonnait, tout était en place. Elle était tellement soulagée. Si Bernard avait vu la vache, il se serait douté de quelque chose. Mais là, il ne se doutait de rien. Environ 2 heures plus tard, Bernard rentra. Déjà dans son quartier, il entendit la musique. Il vit des gens sortir de sa maison avec des paquets de fêtes, de la nourriture.
Il freina brusquement. Il entra furieux. Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Qui fait une fête dans ma maison ? Il vit Stéphanie, souriante, en train d’accueillir les invités. Elle l’attira à l’écart et lui dit : “Bernard, tu te souviens quand tu m’as dit que je ne pouvais rien faire, pas plus qu’un ramort.
” Et bien surprise, je suis retournée voir le baba. Je voulais ma part de la richesse et devine quoi ? Les dieux ont demandé la personne que j’aime le plus et cette personne c’est toi. Bernard recula terrifié. Non non tu ne ferais pas ça. Tu ne peux pas. Va vérifier toi-même. Demande aux femmes dans la cour. La vache a été tuée. Le rituel est terminé.
Affolé, Bernard courut vers l’arrière-cour. Et pendant ce temps, Stéphanie prit la fuite. Elle savait que s’il confirmait ce qu’elle venait de dire, il la tuait. Quand il arriva à l’arrière et que les femmes lui confirmèrent qu’une vache avait bien été tuée pour la fête, il s’effondra en larme. Je suis mort. Je suis fini. Stéphanie m’a tué.
Il courut à l’avant de la maison, mais elle n’était plus là. Elle était déjà loin. Sa nouvelle femme Binta, qui sortait à peine de la voiture était confuse. Bernard, que se passe-t-il ? Pourquoi pleures-tu ? Dis quelque chose. Mais il ne pouvait rien dire. Il courut chez son ami Jacques. Là-bas, il raconta tout en larme. Son ami lui dit : “On doit aller voir Baba tout de suite.
” Arrivé chez Baba, Bernard se mit à genoux et supplia : “Je vous en supplie, Baba, je ne veux pas mourir. Sauvez-moi. Annule le rituel. Mais Baba secoua la tête. Mon fils, si tu étais venu avant la mort de la vache, j’aurais pu t’aider. Mais là, c’est trop tard. Tu es déjà un cadavre qui marche. Rien ne peut être fait.
Tu aurais dû mieux traiter ta femme. Bernard s’effondra à nouveau. Il retourna chez lui, le cœur brisé. Binta lui posait mille questions, mais il ne répondait pas. Cette nuit-là, Bernard tenta de rester éveillé. Il pensait pouvoir lutter contre la mort, mais le sommeil finit par l’emporter et il ne se réveilla plus jamais.
Le lendemain matin, Stéphanie revint chez elle. Elle entendit des pleurs, des cris, des lamentations. Elle entra doucement et vit le corps sans vie de Bernard sur le lit. Binta en larme sanglotait à ses côtés. Les domestiques, les voisins, tous pleuraient. Mais Stéphanie, elle ne versa pas une larme. Elle chassa Binta de sa maison.
Et quelques jours plus tard, elle enterra Bernard. Elle reprit le contrôle total de ses affaires de leur propriété et elle ouvrit un immense atelier de couture comme elle en avait toujours rêvé. Sa vie reprit enfin. Stéphanie a retrouvé le luxe mais son bonheur reste teinté de remord et de solitude. Cette victoire est vide. car elle a perdu son fils, son mari et son humanité.
La richesse vaut-elle la perte de son âme ou la vengeance apporte-t-elle une vraie libération ? Bien que l’argent coulait à flot, dans le miroir, Stéphanie ne voyait qu’une femme seule, rongée par un pacte qu’elle ne pourrait jamais rompre. Et vous, si vous étiez à la place de Stéphanie, qu’uriez-vous fait ? Merci d’avoir suivi cette histoire.
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