Elle a VOLÉ l’argent jeté lors d’un enterrement… Puis CECI est arrivé
tout l’argent ne porte pas chance certains billets peuvent vous coûter l’âme dans de nombreuses régions d’Afrique les enterrements ne sont pas seulement des adieux ce sont des rituels sacrés un lien entre ce monde et l’autre et il existe une règle qui ne doit jamais être enfreinte ne touchez pas l’argent saupoudré sur le cercueil le village d’odogbo résonne au son des tambours sacrés des hommes et des femme vêtue de blanc dansent en cercle leur voix s’élevant en champ solennel tandis que le cercueil de Baba houidé est
transporté vers son dernier lieu de repos le plus vénéré des anciens du village était parti et son adieu est grandiose des billets volent com dans les airs tournoyant avec le vent avant de tomber sur la terre rouge c’est de l’argent d’honneur une offrande aux ancêtres un tribu à l’esprit qui passe de l’autre côté personne n’ose le toucher mais dans l’ombre adessoua observe ses yeux ne sont pas sur le cercueil ni sur la douleur de la famille mais sur les billets éparpillés au sol de l’argent facile pense-t-elle sa famille est pauvre sa

mère est malade et là devant elle se trouve la solution à ces problèmes une voix r brise ses pensées ne touche pas ce qui ne t’appartient pas cet argent n’est pas pour les vivants Mama l’ancienne du village la regarde avec des yeux vitreux comme si elle pouvait voir au-delà du voile de ce monde son avertissement est un murmure dans le vent mais il pèse comme une malédiction à des souir rit intérieurement ce n’est que de l’argent du papier rien de mal ne peut en découler elle attend le propice lorsque la foule se dispersera elle reviendra et
ramassera ce que les autres ont laissé derrière ce qu’elle ne sait pas c’est qu’elle a déjà été vue par autre chose lorsque la dernière lumière du jour s’éteint et que la foule commence à se disperser adesua se déplace furtivement elle regarde autour d’elle s’assurant que personne ne la voit ses pieds effleurent à peine le sol tandis qu’elle glisse entre les ombres ses mains tremblent lorsqu’elle prend le premier billet puis un autre et encore un autre son cœur frappe contre sa poitrine comme un tambour jamais elle n’a ressenti une
telle adrénaline chaque poignée de billet qu’elle ramasse lui semble un coup de chance une bénédiction inattendu quel mal pourrait-il y avoir à prendre ce que les autres ont laissé derrière eux le vent souffle fort entre les arbres et un instant elle ad l’impression que quelqu’un l’observe elle se retourne brusquement rien juste la nuit et l’écho lointain des tambours elle arrive à sa cabane sans être vu elle ferme la porte précipitamment sa respiration haltante d’excitation elle étend les billets sur la table
éclairé par la lueur tamisée de la lampe à huile il y en a plus plus qu’elle ne l’avait imaginé aujourd’hui mon jour de chance zrg se dit-elle en riant l’avertissement de Mama hi lui traverse l’esprit mais elle le rejette d’un geste de mépris ce n’était qu’une vieille femme superstitieuse elle commence à compter l’argent organisant les billets en tas 1 2 3 la flamme de la lampe vacille soudainement son ombre se torse sur le mur s’allongeant comme si elle prenait vie un frisson la parcourt elle ferme brusquement la fenêtre convaincu que le
vent est entré mais l’air reste froid anormalement froid pour une nuit comme celle-ci les billets craquent entre ses doigts l’un d’eux semble étrange plus vieux et usé que les autres elle le rapproche de la lumière et sa peau se hérisse il y a une tâche sombre dans le coin estce du sang elle se retire précipitamment son pou s’accélère ce n’est pas possible ce doit être juste de la saleté elle prend une grande inspiration et recommence à compter mais en touchant à nouveau le billet un frisson plus intense la secou dehors
quelque chose craque entre les arbres un bruit léger mais inquiétant comme si quelqu’un marchait pied Jon nu adessua avale sa salive elle se dit que c’est le vent juste le vent mais la sensation d’être observée revient plus forte qu’auparavant sa lampe clignote encore la lumière faiblit et pendant un instant la pièce devient complètement noire le silence est de mort un murmure bas et traînant brise la quiiétude un murmure qui ne devrait pas être là adessoua sent que l’air devient lourd dense comme si quelque chose d’invisible
remplissait la pièce elle n’est pas seule et puis un coup sec frappe à la porte avant de continuer aime la vidéo si elle te plaît un deuxième coup à la porte puis un autre sec insistant adessoua retient sa respiration la nuit est profonde et personne ne devrait être là la sensation d’être observé est oppressante elle fait un pas vers la porte mais son corps se fige lorsqu’elle entend un bruit encore plus inquiétant un rire bas lent traînant ses mains se ferme en point ce n’est dès que le vent se dit-elle mais sa propre voix tremble
elle prend une grande inspiration compte jusqu’à TR et ouvre brusquement la porte juste le vent nocturne qui fait bouger les feuilles et le village plongé dans le silence un frisson lui parcourt le dos elle referme la porte et se force à dormir mais son sommeil elle est léger agité et à l’aube une douleur aigue à la tête la réveille la journée passe et adesua décide de tester sa nouvelle fortune elle s’enveloppe dans ses plus beaux vêtements et se rend au marché marchant avec assurance mais quelque chose ne va pas chaque commerçant
qu’elle approche la regarde avec méfiance lorsqu’elle tente de payer avec les billets qu’elle a ramassé les vendeurs s’éloignent comme si elle avait tendu du poison emporte ça d’ici zria crie une vieille en femme reculant d’un pas qu’est-ce qui se passe demande à desoua sentant que la colère remplace sa confusion le boucher la désigne du doigt avec une expression de terreur cet argent sent la mort un frisson la traverse personne ne veut toucher les billets personne ne veut la toucher confuse et frustrée elle rentre chez
elle les mains vides mais quelque chose d’autre la perturbe les ombres alors qu’elle marche sur les sentier du village elle a l’impression qu’elle s’allonge et bouge de manière étrange comme si elle sautait l’observer comme si elle te la suivait le vent souffle autour d’elle murmurant quelque chose entre les branches des arbres adessoua elle s’arrête net son cœur s’accélère c’est le vent se dit-elle mais son nom résonne dans l’air comme un murmure spectral elle accélère le pas ne regarde pas en arrière cette nuit-là la
fatigue l’emporte elle ferme les yeux et tombe dans un sommeil profond mais elle ne repose pas un frisson l’envahit dans l’obscurité elle se retrouve dans un vaste espace sans ciel ni sol juste un vide immense devant-elle une silhouette se matérialise Baba humidé sa peau est cendreuse ses vêtements flottent comme s’il était suspendu dans l’eau ses yeux sont vides à des sous tente de bouger mais elle estit paralysée le vieil homme la fixe en silence puis d’une voix grave et creuse il prononce les mots qui la
font trembler jusqu’aux eau rends ce que tu as pris ou viens avec moi adessua hurle mais le son se noie dans le néant adesua se réveille en sursaut haltante sa peau est daté froide et couverte de sueur ses mains tremblent à alors qu’elle s’agripe à la couverture essayant de se convaincre que ce n’était qu’un rêve juste un rêve mais quelqu chose ne va pas la pièce sent la terre humide le bois pourri son estomac se tort lorsqu’elle remarque que le sol est couvert de Bou sombres comme si quelqu’un avait marché avec les pieds
des trempés dans l’eau d’un cimetière puis elle entend le murmure ce n’est pas le vent ce ne sont pas les insectes nocturnes c’est autre chose quelque chose qu’ilappelle dans une langue qu’elle ne comprend pas mais que son âme reconnaît un langage ancien oublié qui hérisse chaque poil de son corps la peur la dévore en courant elle prend les billets maudits et les jette loin du lit mais le bruit persiste elle se serre les tempes comme si elle pouvait étouffer les murmures dans sa tête un murmure se distingue des autres il est trop tard
l’air devient épais les ombres dans les coins de la pièce semble s’allonger bouger son reflet dans le miroir reste immobile bien qu’elle tremble partage cette vidéo avec tes amis maintenant adessoua pleure en lançant les billets par la fenêtre le vent les emporte mais lorsqu’ell se retourne son sang se glace là sur sa table ils sont à nouveau empilés comme si elle ne les avait jamais touchés un cri de rage et de peur se meurt dans sa gorge elle tente de les brûler mais la lampe s’éteint dès qu’elle approche une allumette elle les
enterre sous le sol de sa cabane mais en levant les yeux les billets tombent lentement du plafond comme des feuilles morte alors un coup sec à la porte la fait sursauter elle reste immobile son souffle bloqué dans sa poitrine la porte s’ouvre toute seule dans un grincement et là encadrée par l’obscurité se tient Mama y fait la vieille la fixe avec des yeux profonds sans surprise ni pitié je t’avais prévenu fille cet argent n’est pas pour les vivants adessua tombe à genoux tremblante aidez-moi s’il vous plaît je ne sais pas
quoi faire mama fait soupir et entre dans la cabane d’un geste elle lui fait signe de s’approcher il n’y a qu’une seule façon de briser la malédiction tu dois rendre l’argent à l’endroit exact où tu l’as pris et demander pardon sur la tombe de Baba olumidee avant minuit adessua sent que le monde se referme sur elle elle regarde l’horloge en bois sur le mur il est presque 11h un éclair la nuit la première goutte de pluie tombe sur son visage lorsqu’elle franchit le seuil de sa cabane les billets serré dans ses mains tremblantes le ciel se
déchire dans un éclair la pluie tombe avec fureur tandis qu’ad souis court pied nu sur les sentiers boueux glissant et trébuchant chaque ombre dans les arbres semble bouger chaque branche craquante résonne comme un murmure qui l’appelle les billets dans son point brûlent comme s’ils étaient vivants elle sent quelque chose d’invisible la suivre de près son souffle froid dans sa nuque le cimetière apparaît devant elle ses croix tordues émergeant dans la brume un vent glacé se lève emportant feuilles et terre dans des spirales frénétiques
adessua parvient à peine à atteindre la tombe de Baba houidé lorsque ses jambes cède la boue lui recouvre les genoux tandis qu’elle qu’elle étend l’argent sur la pierre tombale je le rends crie–elle la voix brisée pardonnez-moi s’il vous plaît la terre sous elle vibre un rugissement sourd s’élève du sol et la pluie devient plus intense les murmures se sont tu dans le vent maintenant ce sont des voies nombreuses exigeant autre chose adessoua sent des mains invisibles s’accrochai à ses chevilles un tiraillement sec l’a fait
avancer de quelques centimètres vers la tombe avec un cri de panique elle lutte griffant la boue s’il vous plaît je l’ai rendu laissez-moi partir mais la terre continue de s’ouvrir sous elle l’engloutissant peu à peu ses doigts s’enfoncent dans la boue alors qu’elle tente de s’accrocher à quelque chose n’importe quoi un rire bas et gutural résonne dans sa tête Baba humidé l’observe depuis la brume ses yeux vides brillant d’une lueur spectrale il est trop tard àoua et alors avec un dernier cri étouffé l’obscurité la consume
activez la cloche des notifications maintenant Adua tombe à genou devant la tombe les billets glissent entre ses doigts pardonnez-moi je ne savais pas je ne savais pas ce que je faisais laissez-moi en paix sa voix est faible brisée par la terreur et le regret le vent cesse la pluie s’arrête brusquement comme si le monde entier retenait son souffle un silence absolu enveloppe le cimetière ad desoua reste immobile fixant la tombe attendant une réponse mais il n’y a rien alors un murmure dans l’obscurité bas et raésonnant comme s’il
venait du cœur même de la terre certaines erreurs ne peuvent ne pas être effacées adessua frissonne les mots la traversent comme une lance aiguisée la peur s’empare de son corps et la douleur de la culpabilité la consume elle relève les yeux espérant voir un signe mais tout reste silencieux un frisson la parcours et à ce moment-là l’horloge de la cabane de Baba humided sonne au loin marquant minuit quelque chose change dans l’air une pression invisible remplit l’espace comme si le temps lui-même la regardait avec des yeux
implacable la terre sous ses pieds commence à trembler les racines des arbres autour de la tombe semblent yeil prendre vie se tordant et s’étendant cherchant quelque chose le vent revient plus fort qu’avant murmurant entre les feuilles de tombé adessua sent une présence quelque chose de proche quelque chose qui n’appartient pas à ce monde elle sent que quelque chose l’observe et la terreur se transforme en désespoir pardonnez-moi je l’ai fait pour la fin pour mes enfants mais le murmure qui répond est encore plus
terrifiant comme si les voies de l’au-delà se mêlaient le prix de la s’est élevé fille maintenant c’est ton âme qui pai soudain un cri de douleur s’échappe de sa gorge lorsque le sol sous elle s’ouvre comme si la tombe elle-même la réclamait la boue la recouvre jusqu’au genoux jusqu’à la taille mais elle ne peut pas bouger les ombres l’entourent se refermant sur elle non je ne veux pas mourir je veux juste vivre crie-elle des pérément mais ces mots sont engloutis par le vent les racines des arbres l’entraînent vers
l’intérieur de la Terre comme si un pouvoir sombre la réclamait à ce moment-là tout devient sombre le temps semble s’arrêter et les ombres se fondent dans une brume épaisse qui l’enveloppe la dernière image d’adesua et celle de la tombe maintenant tranquille comme si elle n’avait jamais été perturbée le lendemain matin un groupe de villageois se rend au cimetière le ciel était dégagé et le soleil commence à faire briller sa lumière à l’horizon cependant lorsqu’il s’approche d’ liim de la tombe de Baba houidé il remarque

manque quelque chose d’étrange tout est en paix la tombe de Baba houide si respectée de la communauté reste intacte comme si elle n’avait jamais été perturbée il n’y a aucune trace d’adessois ni de sa fuite désespérée elle a disparu sans laisser de trace les villageois déconcerté retournent chez eux mais l’écho de ce qui s’est passé reste dans l’air comme un murmure sans réponse personne ne prononce plus le nom d’adessua mais l’histoire de son avarice et de son destin tragique devient une légende que les parents murmurent à
leurs enfants non seulement comme un avertissement mais aussi comme un rappel certains désirs ont un prix trop élevé et ainsi dans le silence du cimetière tandis que le vent souffle entre les tombes l’histoire d’adesua persiste non dans les mots mais dans les réflexions qu’elle laisse derrière elle car au final qui pourrait dire que l’argent que nous prenons nous appartient vraiment et si tout ce que nous cherchons désespérément ne nous mène qu’à perdre ce qui importe vraiment que feriez-vous si le prix de vos désirs était le plus
élevé possible peut-être que ce qui compte vraiment n’est pas ce que nous possédons mais ce que nous sommes prêts à sacrifier pour l’obtenir l’histoire d’adesua nous invite à réfléchir à ce qui vaut réellement la peine d’être poursuivi aimez la vidéo abonnez-vous à la chaîne et activez la cloche des notifications
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