Elle donne une leçon amère à sa nièce qui lui a volé son mari.
Imaginez découvrir que votre propre nièce, celle que vous avez accueilli sous votre toit, est en train de séduire votre mari et que tout ça a été orchestré par votre sœur. Restez jusqu’au bout pour voir comment Jessica va leur donner une leçon amère qu’elles n’oublieront jamais. Abidjan, quartier de Cocodi. Le soleil se couche lentement sur les immeubles dorés de la ville tandis que dans la salle de réception d’un grand hôtel, les rires et la musique s’entremêlent.
Ce soir-là, l’entreprise où travaille Jessica Quadio, 30 ans, célèbre ses 10 ans d’existence. Brillante, élégante et respecté, Jessica est l’une des figures les plus prometteuses de cette multinationale. Ses collègues la décrivent comme une femme ambitieuse mais humble, celle qui a su gravir les échelons grâce à sa détermination et à son intelligence.
Mais ce soir, tous les regards ne sont pas tournés vers ses succès professionnels, mais vers l’homme à son bras. Grand charismatique, le regard sur de lui John Mensa, 40 ans, chef d’entreprise et mari de Jessica attire immédiatement l’attention. Ensemble, il forment le couple parfait, beauté, richesse, élégance, un duo que beaucoup envie.
Pendant la soirée, Jessica fait les présentations. Chérie, voici mon directeur, monsieur Tano. Enchanté, monsieur, répond John avec un sourire franc. La complicité entre saute aux yeux. John dépose un léger baiser sur la main de sa femme et plusieurs femmes autour murmurent admirative. Jessica rayonne fière de l’homme qu’elle a épousé.

Mais derrière ce bonheur apparent, une faille discrète commence à s’ouvrir. Le travail de Jessica exige beaucoup de voyages, réunion à Paris, conférence à la gosse, séminaire à Nairobi. Elle passe parfois plusieurs semaines loin de la maison. John comprend. Il dit ne pas s’en plaindre mais au fond la solitude commence à lui peser.
Un mois après cette fameuse soirée, Jessica reçoit un appel inattendu. C’est Linda, sa grande sœur. Jessie, ma fille Alicia vient d’avoir son bac. Elle veut venir à Abidjan pour poursuivre ses études. Tu sais que la vie est difficile ici à Boaqué. Si tu pouvais la prendre chez toi quelque temps. Sans hésiter, Jessica accepte.
Elle adore sa nièce, une belle jeune fille de 20 ans, vive, curieuse et polie. Pas de souci, grande sœur. Qu’elle vienne, elle sera comme ma propre fille. Deux semaines plus tard, Alicia débarque à Abidjan. Valise à la main, les yeux remplis d’admiration. La maison de sa tante est grande, moderne, avec une piscine et un jardin entretenu.
Tout ce qu’elle n’a jamais connu. Jessica l’accueil à bras ouverts. Ici, tu es chez toi. Tu m’aideras un peu à la maison et tu te concentreras sur tes études. Au début, tout se passe bien. Alicia est gentille, serviable, toujours souriante. Elle aide à la cuisine, range la maison et s’occupe même de John lorsqu’il rentre tard du travail.
Jessica est souvent en déplacement et elle se dit qu’au moins son mari ne se sentira pas seul. Mais très vite, quelque chose change. John commence à remarquer la présence de la jeune fille, sa jeunesse, son sourire, ses gestes doux. Et Alicia, sans s’en rendre compte au départ, cherche inconsciemment à plaire.
Elle aime quand il la complimente sur sa tenue ou quand il la remercie pour un repas bien préparé. Un soir, alors que Jessica est à Paris pour une mission, John tombe malade. Alicia s’occupe de lui. Elle prépare une soupe, reste à son chevet, veille sur lui toute la nuit. John, reconnaissant, lui prend la main et murmure. Merci, tu es une fille en or.
Un frisson traverse Alicia. C’est la première fois qu’il la touche de cette façon. Leur regard se croise. Un silence gêné s’installe, puis elle se retire précipitamment. Le lendemain, elle appelle sa mère. Maman, je crois que je suis en train d’aimer le mari de ma tante. Linda reste silencieuse quelques secondes, puis répond d’une voix calculatrice.
Ma fille, si c’est ce que Dieu a prévu, alors ne te bats pas contre ton destin. Ces mots raisonnent dans la tête d’Alicia comme une permission. Et sans le savoir, Jessica vient d’ouvrir la porte du malheur en accueillant sous son toit la main du diable déguisé en niè. Dans la maison, tout semble encore calme, mais la tempête approche doucement, dangereusement.
Les semaines passent et dans la maison de Jessica et John, l’atmosphère change subtilement. Alicia, autrefois discrète, commence à s’affirmer. Elle s’habille mieux, se maquille davantage, ri un peu trop fort aux blagues de John. Au début, il trouve ça innocent, presque attendrissant, mais sans s’en rendre compte, il commence à attendre ses attentions, le café du matin qu’elle lui apporte avec un sourire, la chemise qu’elle repasse soigneusement, la main légère qu’elle pose sur son épaule lorsqu’elle lui parle. Un soir, alors que Jessica est en
déplacement à Akra pour une conférence de 3 jours, Alicia prépare un dîner spécial. Poulet braisé, atéké, salade, tout ce que John aime. Je voulais juste vous faire plaisir, tonton dit-elle timidement. John sourit touché. Tu es vraiment une perle, Alicia. Si toutes les jeunes filles étaient comme toi, le monde serait meilleur.
Ces mots, simples en apparence allument une flamme dangereuse. Alicia sent son cœur battre plus fort. Pour la première fois, elle ne voit plus John comme son oncle, mais comme l’homme qu’elle désire. Le lendemain, elle appelle sa mère. Maman, il est gentil avec moi. Il m’écoute, il me parle doucement. Mais je me sens coupable.

Coupable de quoi ? Linda, la voix tranchante de ce que je ressens. Ma fille, écoute-moi bien. Ta tante a tout dans cette vie. Elle a oublié d’où elle vient. Elle ne t’a jamais aidé ni moi. Si cet homme t’aime, alors c’est peut-être ton tour de connaître le bonheur. Tu peux changer nos vies. Ces mots achèvent d’empoisonner le cœur d’Alicia.
Elle commence à voir sa tante non plus comme une bienfaitrice mais comme une rivale. Les jours suivants, la complicité entre Alicia et John s’intensifie. Un soir, la pluie tombe violemment. L’électricité est coupée. John, assis dans le salon, boit un verre de vin. Alicia le rejoint, une bougie à la main. Vous n’aimez pas être seul, hein ? Murmure-t-elle.
Pas vraiment. Jessica n’est jamais là ces temps-ci. C’est triste. Un homme comme vous mérite mieux. John la regarde surpris mais il ne dit rien. Alicia s’approche, pose la bougie sur la table et s’assie tout près de lui. Leurs visages sont à quelques centimètres. Il sent parfum, sa chaleur, son souffle. Et dans un moment d’égarement, leurs lèvres se frôlent.
Il s’écarte brusquement, conscient du danger. “C’était une erreur,” dit-il d’une voix tremblante. “Oui, une erreur”, répète-elle. “Mais le mal est fait. À partir de ce soir-là, la frontière entre le bien et le mal disparaît. Jessica rentre de voyage, tout semble normal.” Alicia joue son rôle à la perfection, gentille, polie, innocente.
Mais dès que Jessica repart, le jeu reprend. Des regards furtifs, des caresses dissimulées, des nuits secrètes. John est déchiré entre la honte et le plaisir. Alicia, elle se persuade que l’amour justifie tout et Linda, depuis Boaqué jubile en silence. Mais le destin, lui, ne reste jamais muet devant l’injustice.
Un jour, Jessica rentre d’un voyage plus tôt que prévu. Son vol initialement prévu pour le lendemain a été avancé. Elle ne prévient personne, voulant faire une surprise à son mari. Il est 22 heures lorsqu’elle entre discrètement dans la maison. La lumière de la chambre est encore allumée. “Bizarre, John ne dort pas”, pense-elle.
Elle monte les escaliers sans bruit, ouvre la porte et ce qu’elle voit la brise de l’intérieur. Alicia dans les bras de John dans son propre lit. Un long silence. Puis un rire nerveux s’échappe de ses lèvres. Et bien, on dirait que la famille est devenue très soudée. John se lève précipitamment en panique. Jessica, je peux t’expliquer ? Expliquer quoi ? Que ma niè est devenue ta compagne ou que ma sœur t’a envoyé une servante de luxe ? Alicia pleure, tremble, incapable de parler.
Jessica se tourne vers elle. Tu m’appelais tant hier. Et aujourd’hui, tu m’appelles quoi ? Rival. Elle sort calmement de la chambre sans un cri, sans larme. Mais dans son regard, on lit une promesse, celle d’une vengeance froide et réfléchie. Cette nuit-là, personne ne dort dans la maison. John, rongé par la honte, Alicia, effondrée et Jessica, seul dans le salon, les yeux fixés sur la fenêtre, le cœur enfumé le visage impassible.
Ils m’ont trahi, mais je ne vais pas les détruire avec ma colère. Je vais leur apprendre ce qu’est une leçon amè. Et c’est ainsi que dans le silence de cette nuit orageuse, Jessica commence à préparer son plan. Les jours qui suivirent la trahison furent étrangement silencieux. Jessica ne cria pas, ne pleura pas, ne fit aucun scandale.
Elle se contenta de se lever chaque matin, d’aller au travail et de revenir le soir comme si rien ne s’était passé. Mais dans son cœur, une tempête froide et calculée faisait rage. John n’osait plus la regarder dans les yeux. Alicia, honteuse, passait ses journées enfermées dans sa chambre.
Pourtant, Jessica n’avait encore rien dit. Ce calme inquiétant terrifiait tout le monde. Un soir, alors qu’ils étaient à table, elle brisa enfin le silence. Alicia, ta mère m’a appelé. Elle viendra passer le weekend ici. Ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu. Ses mots tombèrent comme un coup près. Alicia palit comprenant que quelque chose se préparait.
John leva les yeux vers Jessica, mais elle gardait ce visage impassible, presque serein. Le vendredi suivant, Linda arriva. Grande, imposante, vêtue d’un pagne neuf, un large sourire aux lèvres. À ma petite sœur. Quelle surprise ! fait des années ? “Oui, trop longtemps”, répondit Jessica avec un calme glacial. Elle les installa à table. Le repas fut tendu.
John parlait peu. Alicia évitait les regards. Linda, elle tentait de faire comme si de rien n’était. Après le dîner, Jessica se leva. “Avant qu’on se couche, j’aimerais qu’on parle en famille.” Elle posa son téléphone sur la table et appuya sur un bouton. Une voix s’éleva dans le salon. Alicia, ma fille, fais tout pour séduire le mari de ta tante. Il est riche.
Si tu deviens sa femme, tu nous sauveras toutes les deux. C’était la voix de Linda. Alicia éclata en sanglot. John resta pétrifié. Linda tenta de se lever mais Jessica lui lança un regard qui la cloa sur place. Alors, c’était donc vrai ! Murmura Jessica. Ma propre sœur, celle à qui j’ai tout donné, m’a envoyé sa fille comme un piège. Linda tenta de se justifier.
Jessica, ce n’est pas comme ça. Tu ne comprends pas ? Non, Linda, c’est toi qui ne comprends pas. Tu m’as trahi. Tu as utilisé ta fille comme monnaie d’échange. Et toi, Alicia, tu as détruit la confiance que j’avais en toi. Alicia tomba à genou, les larmes ruisselant sur son visage. Tata, je suis désolé. Je ne voulais pas te faire du mal, je t’en supplie.
Non, Alicia, tu voulais m’avoir. Tu pensais que la richesse s’obtient en volant la vie d’autrui. Aujourd’hui, tu vas apprendre ce que cela coûte. Elle s’approcha, les regardant tour à tour, puis ajouta calmement : “Alicia, tu vas rester dans cette maison pendant 3 mois, mais pas comme une nièce. Tu seras ici comme une domestique, tu feras le ménage, tu prépareras les repas, tu laveras le linge et chaque mois, je verserai ton salaire à ta mère” puisque c’est ce qu’elle voulait vivre de mon mari.” Linda se leva, scandalisé.
Tu ne peux pas faire ça. Je viens de le faire, répondit Jessica sèchement. Le silence retomba lourd écrasant. Les jours suivants furent humiliants pour Alicia. Elle servait à table, faisait le ménage pendant que Jessica et John prenaient leur repas sans un mot pour elle. John tenta plusieurs fois de parler à sa femme, de s’excuser encore, mais elle l’interrompait toujours d’une voix froide.
Tu veux te faire pardonner ? reste, supporte le regard de ta faute chaque jour. Peu à peu, John sombra dans la culpabilité. Il changea plus attentionné, plus respectueux, plus discret. Il compit que Jessica n’avait pas besoin de frapper pour faire mal. Son silence suffisait. 3 mois passèrent. Alicia, usé quitta la maison, la tête basse.
Avant de partir, elle s’agenouilla devant sa tente. Je ne te demande pas de me pardonner. Je veux juste te dire merci parce que j’ai compris. Jessica la regarda longuement. Souviens-toi de ceci, Alicia. Quand on trahit une femme qui t’a tendu la main, la vie finit toujours par te la reprendre avec les deux. Linda, rongée par la honte, disparu d’Abidjan.
Quant à Jessica et John, ils restèrent ensemble, mais quelque chose avait changé. Jessica n’était plus la même femme. Elle n’aimait plus avec naïveté, mais avec lucidité. Et chaque fois qu’elle croisait son reflet dans le miroir, elle se souvenait. La vengeance la plus puissante, ce n’est pas la colère, c’est le calme d’une femme qui sait ce qu’elle vaut.

Et dans le silence de son cœur, Jessica sourit. pas parce qu’elle avait gagné, mais parce qu’elle avait compris que le pardon sans confiance est une prison et que la dignité, elle n’a pas de prix. Après tout ce tumulte, la maison de Jessica retrouva lentement son calme. Alicia, désormais partie, devait vivre avec le poids de sa trahison et sa mère, honteuse n’osa plus jamais croiser le regard de sa sœur cadette.
Quant à John, il essaya de regagner la confiance de Jessica, mais le fossé entre eux ne disparaîtrait jamais complètement. Pourtant, Jessica, femme de tête et de cœur, décida de ne pas laisser la haine la détruire. Elle choisit de pardonner non pas pour les autres, mais pour se libérer elle-même. Jessica appris que parfois les plus grandes blessures ne viennent pas des ennemis, mais de ceux qu’on aime le plus.
Et pourtant, c’est dans ces moments d’obscurité que l’on découvre notre véritable force. Elle reprit le contrôle de sa vie, plus déterminée que jamais à ne plus jamais confier les clés de sa paix intérieure à qui que ce soit. Son entreprise prospéra et son histoire devint une leçon pour beaucoup de femmes autour d’elle. Moral de l’histoire, la trahison vient souvent déguisée en affection.
Ne laisse jamais la confiance aveugle te rendre vulnérable. L’amour mérite la fidélité, la famille mérite le respect, mais ta paix mérite d’être protégée avant tout. Que ferais-tu propre niè te trahissait de cette façon ? Pardonnerais-tu ou tournerais-tu définitivement la page ? Dis-le-moi en commentaire. Et si tu as aimé cette histoire, n’oublie pas de t’abonner, de laisser un j’aime et de partager pour que d’autres découvrent cette leçon amè que Jessica a donné.
À très bientôt pour une nouvelle histoire africaine remplie d’émotions, de trahison et de vérité cachée.
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