Elle empoisonne son fiancé riche, et découvre plus tard qu’il n’est pas mort
À Abidjan, sous le soleil brûlant de Cocodi, vivait Mélissa Coné, une jeune femme de 27 ans au charme irrésistible. Belle, cultivée et toujours vêtu avec élégance, elle était le genre de femme qui attirait tous les regards sans même parler. Mais derrière son sourire parfait se cachait un cœur rempli d’ambition et une peur viscérale de la pauvreté.
Mélissa avait grandi dans un quartier populaire de Yopougon, dans une petite maison en tôle où la faim et la honte ne la quittait jamais. Depuis, elle s’était jurée qu’un jour elle vivrait une vie de luxe, même si elle devait la voler. C’est dans une soirée d’entreprise qu’elle rencontra Charles Quadio, un entrepreneur respecté d’une trentaine d’années à la tête d’une société d’un port export florissante.
Il était séduisant, intelligent et surtout riche. Leur rencontre semblait un pur hasard mais Mélissa savait que le destin n’existe pas. On le provoque. Dès ce soir-là, elle décida qu’il serait son mari. Charles tomba immédiatement sous le charme. Elle jouait à la perfection le rôle de la femme douce, attentionnée, discrète.

Elle riait à ses blagues, s’intéressait à ses affaires et lui faisait croire qu’elle n’en voulait qu’à son cœur. En 6 mois, il en était fou. Il lui offrit une voiture, un appartement à la rivière à Palmer et la présenta à ses amis comme celle qui a changé sa vie. Pourtant, plus leur relation avançait, plus Mélissa sentait monter en elle un désir incontrôlable de tout posséder.
Les bijoux, les dîners, les voyages, tout cela ne lui suffisait plus. Elle voulait sa richesse entière, son empire, ses comptes, sa liberté. Et un soir, alors qu’il dormait profondément, elle fouilla dans son bureau. C’est là qu’elle découvrit un document qui allait tout changer. Une assurance vie signée quelques mois plus tôt, montant 450 millions de francs CFA.
Et le bénéficiaire principal, Mélissa Conet. Son cœur battait à tout rompre. Elle resta figée, le papier tremblant entre ses doigts. Elle venait de trouver le raccourci vers la vie de Luxe qu’elle avait toujours rêvé. Mais pour en bénéficier, Charles devait mourir. Les jours suivants, elle fit semblant de l’aimer plus que jamais.
Elle l’enlaçait, riait avec lui, lui préparait ses plats préférés. Mais dans le secret, elle préparait son crime. Elle se rendit au marché de Trècheville, dans les zones sombres où l’on vend des remèdes interdit. Là, une vieille femme lui vendit un poison rare, incolore, inodore, indétectable. Une seule goutte suffisait à arrêter un cœur sans laisser de trace.
“Mais attention, ma fille”, lui dit la vieille, “le poison n’épargne jamais la conscience. Il revient toujours vers celui qui le verse.” Mélissa Avér. Elle ne croyait ni au karma ni à la morale. Seul l’argent comptait. Le soir de leur fiançaille, elle passa toute la journée à cuisiner elle-même. Du riz parfumé, du poisson braisé et une sauce graine épaisse, le plat préféré de Charles.
Il était heureux, détendu, fier de la femme qu’il pensait épouser. Au moment de servir, Mélissa ajouta discrètement quelques gouttes du poison dans son assiette. Ses mains tremblaient un peu mais son cœur était glacé. Ils mangèrent ensemble. Charles lui sourit tendrement, parla de leur futur mariage, des enfants qu’ils auraient.
Puis soudain, il s’interrompit. Son visage se crispa. Il porta la main à sa poitrine, suffoqua et s’effondra sur la table. Mélissa cria, appela à l’aide, joue à la panique, à la perfection. Les voisins accoururent. Les secours furent appelés. Mais il était que trop tard. Charles fut déclaré mort à son arrivée à la clinique.
Pendant les jours qui suivirent, Mélissa porta le deuil avec élégance. Elle pleura devant tout le monde, se roula par terre lors des funérailles et jura qu’elle ne se remettrait jamais de sa perte. Mais à l’intérieur, elle savourait sa victoire. Elle allait bientôt hériter d’une fortune qui changerait sa vie pour toujours.
En regardant le cercueil descendre dans le sol, elle murmura : “Repose en paix, mon amour. Tu m’as donné plus que je n’aurais jamais pu rêver.” Elle sourit. Mais au moment où la terre recouvrait la tombe, un vent glacial traversa le cimetière. Un pressentiment étrange la traversa comme si quelqu’un la regardait encore. Ce qu’elle ignorait, c’est que Charles n’était pas mort et qu’il allait revenir pour se venger.
3 semaines s’était écoulé depuis la mort de Charles Quadio. Abidjan avait repris son rythme effrainé et Mélissa, désormais vêtu de noir, continuait son rôle de veuve inconsolable. Elle recevait des visites, remerciait les proches pour leur condoléances et pleurit à la demande. Mais derrière ses larmes bien jouées se cachait une femme impatiente.
Dans sa tête, elle comptait déjà les jours avant le versement de l’assurance vie. La banque l’avait appelé. Tout serait prêt dans une semaine. Une semaine avant de devenir millionnaire. Enfin, pensait-elle, la pauvreté allait disparaître de son vocabulaire. Pourtant, quelque chose d’étrange commença à se produire.
Une nuit, alors qu’elle dormait profondément, son téléphone vibra sur la table de chevet. Un numéro inconnu. Elle hésita puis décrocha. Mélissa, tu croyais vraiment que j’étais mort ? La voix était grave, connue, impossible. Elle sentit son cœur battre à tout rompre, la sueur coulant sur son front. Qui qui êtes-vous ? Balbucia.
Regarde bien ton téléphone, répondit la voix avant de raccrocher. Quelques secondes plus tard, une photo s’afficha sur son écran. C’était Charles vivant, maigri mais avec ce même regard intense qu’elle connaissait trop bien. Et sous la photo, un message. On doit parler. Hôtel Ivoire, chambre 708. Ce soir, elle lâcha le téléphone tremblante.
Tout son corps refusait de croire à ce qu’elle voyait. Elle se mit à rire nerveusement, persuadée que quelqu’un lui faisait une mauvaise blague. Mais au fond d’elle, une peur viscérale s’installer et cette peur la poussa à y aller. À 22h, Mélissa arriva à l’hôtel Ivoir. Le hall était silencieux, le marbre reflétant les lumières dorées.
Elle monta lentement au 7e étage, le cœur prêt à exploser. Chaque pas semblait raisonner comme un battement de tambour. Devant la porte 78, elle hésita et frappa. La porte s’ouvrit lentement et là, elle hurla. Charles se tenait devant elle, bien vivant, pâle, affaibli, mais debout. Son regard, autrefois tendre, était glacial. Bonsoir Mélissa.
Tu sembles surprise, mais c’est impossible. J’ai vu ton corps, ton cercueil. Non, tu as vu ce que je voulais que tu vois ? Charles l’invita à s’asseoir. Le silence pesait dans la chambre, seulement brisé par le bruit du climatiseur. Puis il parla d’une voix calme, sans colère apparente. La nuit de nos fiançailles, j’ai senti quelque chose d’étrange dans le plat.
Tu oublies que mon père était chimiste. J’ai reconnu le goût amè d’un poison. Alors, j’ai joué le jeu. Mon médecin, un vieil ami, m’a aidé à simuler ma mort. Pendant que tu pleurais sur un faux corps, je t’observais. Mélissa tremblait. Ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’il posa un dossier épais sur la table basse.
Dedans, des photos, des captures d’écran, des transactions bancaires, tout ce qu’elle avait fait depuis sa mort. Même les messages qu’elle avait envoyé à son amant secret, Tony, un jeune serveur avec qui elle avait déjà prévu de s’enfuir à Dubaï une fois l’argent encaissé, Charles reprit la parole.
Tu as vidé mes comptes, vendu ma voiture et envoyé de l’argent à ton amant. Tu pensais que je ne verrais rien ? Elle essaya de parler mais aucun mot ne sortait. Le piège venait de se refermer. Soudain, il se leva. Sa voix se fit dur, tranchante. Tu vas me rendre chaque franc, Mélissa, chaque bijou, chaque cadeau et ensuite je déciderai si tu mérites de respirer encore.
La jeune femme éclata en sanglot, se jeta à genoux. Elle cria qu’elle regrettait, qu’elle avait perdu la tête, qu’elle avait fait ça par amour. Mais Charles ne brancha pas. l’amour. Tu n’aimes que l’argent et tu verras qu’il ne t’achètera pas le pardon. Il sortit alors une clé USB de sa poche et la posa sur la table. Tout est là. L’épreuve.
Si je meurs pour de vrais cette fois, la police recevra ce dossier. Puis il ajouta d’une voix glaciale : “Tu voulais ma mort, Mélissa ?” “Très bien, maintenant tu vas vivre avec ta culpabilité.” Elle leva la tête vers lui, tremblante, les yeux pleins de haine et de peur. Mais ce qu’il ignorait, c’est que Mélissa n’avait pas dit son dernier mot.
Dans son esprit, un nouveau plan commençait déjà à se former. Un plan encore plus dangereux, encore plus vicieux. Cette fois, elle voulait s’assurer qu’il ne se relève plus jamais. La nuit où tout devait s’achever, l’air à Abidjan était lourd, comme si la ville retenait son souffle. Mélissa avait dormi à peine heure.
L’adrénaline et la peur l’avait plus tenu éveillée que la culpabilité, mais sa résolution était intacte. Récupérer l’argent et faire disparaître pour de bon l’obstacle vivant qui se tenait face à elle. Elle revint à l’hôtel voir le soir même. Le visage blême, les talons claquant sur le marbre du hall. Son arrivée à la chambre 708 avait été soigneusement calculée.
Elle savait maintenant que Charles aimait mesurer chaque geste, chaque mot. Elle frappa, entra sous le prétexte d’apaiser la tension et de négocier le retour de ses bijoux. Il l’accueillit sans surprise, froid et maître de la scène exactement comme l’homme qu’il avait toujours été. Les premières minutes furent une mise en scène parfaite, échange de reproches fins, larmes simulées et ce rire trop contrôlé qui trahissait la provocation.
Puis Mélissa, feignant la faiblesse, proposa un verre d’eau. Elle avait préparé le flacon chez elle, un poison silencieux, cadeau du vieux marché de Trècheville et savait que la moindre goutte suffirait. Elle versa tremblante, sa destinée dans le verre qu’elle présenta à Charles avec un sourire poli. Charles prit le verre.
Il eut un geste lent, presque cérémoniel et bu. Mélissa attendit, le cœur battant si fort qu’elle en avait mal à la poitrine. Le temps s’étira. Rien. Charles posa le verre, le regard posé sur elle comme on suit un animal pris au piège. Puis doucement, il se mit à rire d’un rire qui était loin d’être joyeux.
“Tu n’apprends donc jamais”, dit-il. Avant que tu n’arrives, j’ai fait remplacer toutes les bouteilles. Le médecin m’a donné un antidote pour simuler la mort et depuis, je n’ai plus que ce que je savais sûr. La seule chose que tu as empoisonné ce soir, c’est toi-même. Deux secondes plus tard, Mélissa sentit un goût amè envahill sa bouche, une brûlure glissante descendre dans sa gorge.
Son monde se mit à tourner. Elle essaya de crier, mais sa voix mourut dans sa poitrine. Ses jambes fléchirent. Charles, impassible prit son téléphone et appela l’accueil comme on appelle un témoin à la barre. “Appeler une ambulance”, dit-il avec une froideur clinique. Et la police ? La scène qui suivit fut digne d’un mauvais film.
Mélissa convulsant au sol, Charles appliquant un masque de serviteur affligés, les secours arrivant au pas de course. Mélissa survécut mais trop affaiblie pour échapper au bras de la loi. Elle passa des semaines dans le coma la presse s’emparant de l’affaire comme d’un plat épicé. Les titres se succédèrent.
La veuve empoisonneuse, l’homme qui jouait à la mort, amour, argent, poison. À son réveil, menoté sous les lumières crues d’un hôpital, elle su que son monde avait changé à jamais. Le procès fut une arène. Les procureurs nourrit des vidéos et des enregistrements que Charles avait fournis. pénir Mélissa en calculatrice froide et manipulatrice.
Les témoins, certains achetés, d’autres sincères, racontèrent ses manœuvres, ses transferts d’argent, sa panique lors des funérailles. Tony compara, avant sous la pression son rôle ambigu, payé d’abord par Mélissa puis retourné par Charles. Le public était fasciné, divisé entre et pitié. Mais l’affaire prit un dernier tour imprévu le jour où Mélissa, dans un moment d’affliction sincère au banc des accusés, fit une révélation qui fit vaciller la salle d’audience.
Elle était enceinte. Le murmur fut instantané. Était ce l’enfant de Charles un secret caché ? Était ce celui de Tony ? Les analyses prouvèrent plus tard que le fétus n’était pas de Charles. C’était un coup de théâtre qui ne l’innocenta pas, mais humanisa paradoxalement celle qu’on traitait comme une monstre. Certains jurés vacillèrent.
Finalement, la justice la condamna pour tentative d’homicide et fraude. Elle écopa d’une lourde peine de prison, mais la voix publique demanda aussi une réflexion plus large sur l’argent, le pouvoir et la manipulation. Charles lui refusa les projecteurs. Avant de partir pour Dubaï, il fit publier un long texte où il dénonçait la cupidité déguisée en amour.
Un article qui fit débat qu’on lo sa sincérité ou qu’on vit comme la confession d’un homme qui s’était cru au-dessus des lois. La dernière image de Mélissa, telle que la presse laissa dans les mémoires, fut celle d’une femme au regard vide, poussée dans un fourgon cellulaire, un début de ventre arrondi dissimulé sous son par-dessus.

Ceux qui avaient suivi l’affaire se demandèrent si l’enfant serait sauvé par la justice, si un avenir différent lui attendrait. Charles, quant à lui, s’enfonça dans l’exil, emportant avec lui un succès amè. Il avait survécu. Mais à quel prix ? Et dans les nuits où la ville s’allume et s’éteint, certains prétendent encore voir à la lueur des réverbères l’ombre d’une femme qui, poussée par la fa et l’ambition, a tenté de manger le monde et s’est brûlé.
Le dernier mot resta en suspend. La vengeance avait été servie, mais l’histoire n’appartenait désormais à personne en particulier. Elle appartenait à la ville toute entière qui continue silencieuse à regarder et à juger. Mélissa a voulu jouer avec la vie et l’amour comme on joue avec de l’argent.
Elle a cru pouvoir manipuler Charles, le faire disparaître et s’approprier sa fortune. Mais elle a sous-estimé un détail crucial. Charles n’était pas seulement riche, il était intelligent et préparé. Sa cupidité et son ambition l’ont conduite à sa propre chute et tout ce qu’elle avait construit autour de son mensonge s’est effondré.
Charles a survécu et Mélissa a payé le prix fort, perdant non seulement sa liberté mais aussi son rêve de richesse facile. Moral, le mal que l’on prépare pour les autres finit toujours par revenir vers soi. La cupidité et la manipulation détruisent plus que la personne que l’on croit piégé. Et parfois le poison le plus dangereux, c’est celui que l’on verse soi-même.
Imaginez, vous croyez avoir tué quelqu’un pour toucher sa fortune et il revient d’entre les morts pour vous faire payer chaque geste. Mélissa a appris à ses dépends qu’on ne joue pas avec l’amour ni avec le destin.
News
“C’est interdit de laisser des chiens courir dans la nature” : après avoir été violemment mordue, la comédienne Ariane Brodier se confie.
Le jeudi 20 novembre 2025, Ariane Brodier a choqué ses abonnés en réagissant sur son compte Instagram à une expérience…
Brigitte Bardot est à nouveau hospitalisée à Toulon !
Alerte Santé : Brigitte Bardot Est De Nouveau Hospitalisée À Toulon Toulon, le (Date actuelle) – L’actrice légendaire et fervente…
Julia Roberts brise 34 ans de silence : sa révélation sur Kiefer Sutherland choque Hollywood.
Julia Roberts brise 34 ans de silence : sa révélation sur Kiefer Sutherland choque Hollywood. À 33 ans, le monde…
Cyril Féraud : Révélation choc de la première photo de son fils aîné et de son compagnon.
Cyril Féraud : Le Secret de Tim et l’Ombre de la Compagne Mystère Cyril Féraud, animateur vedette du service public…
Deux ans après son divorce, Hélène Ségara révèle enfin son douloureux cauchemar conjugal.
Deux ans après son divorce, Hélène Ségara révèle enfin son douloureux cauchemar conjugal. Avant de plonger dans ce récit bouleversant…
AUCUNE NOUNOU TENAIT UN JOUR avec les TRIPLÉS du MILLIARDAIRE… Jusqu’à ce que Femme NOIRE Fasse ÇA
AUCUNE NOUNOU TENAIT UN JOUR avec les TRIPLÉS du MILLIARDAIRE… Jusqu’à ce que Femme NOIRE Fasse ÇA Aucune nana n’a…
End of content
No more pages to load






