Elle envoie sa meilleure amie tester la fidélité de son mari, mais celle-ci succombe à la tentation…
Elle envoie sa meilleure amie pour tester la fidélité de son mari, mais celle-ci le séduit, l’épouse et s’envole avec lui pour un autre pays. Le matin, sous le ciel lourd de la gosse, Mariam se tenait devant le miroir, le regard vide, les doigts crispés autour d’une tasse de thé qu’elle n’avait pas touché. Depuis des semaines, une inquiétude silencieuse lui rongeait l’âme.
Elle n’arrivait plus à lire dans les yeux de son mari, Daniel. Ces caresses étaient devenues mécaniques, ces mots rares. Ce matin-là, alors que le soleil tentait de percer la brume, Mariam prit une décision qui allait changer sa vie. Elle appela Grace, sa meilleure amie depuis l’université.
Grace, avec son sourire charmeur et son franc parlé, était toujours celle qui savait dénicher la vérité derrière les apparences. “Gress, j’ai besoin de toi, dit Mariam d’une voix tremblante. Parle ma sœur, je t’écoute”, répondit Grace, un ton rassurant dans la voix. Je veux que tu testes Daniel, que tu vois s’il est encore l’homme que j’ai épousé.

Un silence tomba. Tu sais que ce que tu me demandes n’est pas un jeu, Mariam, souffla Grace. Je sais, mais j’ai besoin de savoir sinon je vais perdre la tête. Le soir même, Grace arriva à la villa. Daniel, surpris de la voir, afficha ce sourire poli qu’il réservait aux invités. Mais dès que ses yeux croisèrent les siens, quelque chose imperceptible mais dangereux passa entre eux.
Cette nuit-là, dans sa chambre, Mariam méditait la parole, pria longuement, ignorant que dans le salon, Grce et Daniel rient ensemble autour d’un verre de vin. Les rires semblèrent innocents, mais les regards eux, brûlèrent déjà. Le lendemain, Mariam demanda à Gris : “Alors, qu’a-t-il fait ?” Grace esquissa un sourire qu’elle masqua vite. Rien pour l’instant.
Mais la vérité c’est que dans le cœur de Grace, une graine avait été plantée. Et Daniel, fatigué des soupçons de Mariam, se laissait séduire par cette présence nouvelle, cette énergie que Grace lui offrait sans reproche. Une nuit, alors que la pluie battait contre les vitres, Daniel et Grace se retrouvèrent seul après un dîner. Les bougies vacillaient.
Grace s’approcha, posa sa main sur son épaule et murmura : “Tu mérites quelqu’un qui croit encore en toi.” Ce fut le début de la trahison. Le matin suivant, Mariam se réveilla avec un pois étrange sur la poitrine, comme si son corps pressentait ce que son esprit refusait encore d’imaginer. Dans la cuisine, elle trouva Daniel déjà habillée pour le travail.
Un parfum nouveau sur lui, un parfum qui n’était pas le sien. “Tu pars tôt”, dit-elle en tentant de sourire. Beaucoup de dossiers en retard, répondit Daniel sans même lever les yeux. Grace L avait disparu depuis l’aube prétextant un rendez-vous imprévu. Mariam essaya de chasser ses pensées mais la sensation qu’un vent froid traversait son foyer restait là.
Le soir, Daniel rentra tard. Grâce l’accompagnait. Mariam se figea en les voyant franchir la porte ensemble. Daniel parla vite comme pour couvrir toute gêne. J’ai croisé Grèce en ville. Elle avait besoin d’un taxi. Alors, je l’ai ramené. Grisce, élégante dans une robe rouge, lança un regard furtif à Daniel.
Un regard que Mariam capta mais qu’elle décida par amour ou par peur de ne pas affronter. Les jours passèrent et Grace trouva 1000 prétextes pour revenir. Je passe juste dire “Bonjour, j’ai apporté du poisson fumé pour vous. Je voulais emprunter ce livre.” Chaque fois, Daniel était là et chaque fois leur conversation devenait un peu plus longue, leur rire un peu plus complice.
Un soir, alors que Mariam rentrait plus tôt que prévu, elle entra dans le salon et trouva Grace assise à côté de Daniel. Leurs mains étaient reliées. Gr retira la sienne brusquement, mais pas assez vite pour effacer l’image qui restait de Mariam. “Qu’est-ce que je viens de voir ?” demanda Mariam. La voix cassée. Daniel se leva, irrité.
“Tu vois toujours des choses qui n’existent pas. Grace, calmement, comme si tout était normal, ajouta : “Mariam, parfois tes soupçons peuvent détruire ce que tu veux protéger.” Cette nuit-là, Mariam pleura en silence, seule dans son lit, tandis que Daniel n’était pas rentré. Quelques semaines plus tard, un matin, Mariam découvrit une lettre sur la table qu’elle se mit par lire.
Quelques mots tracés à la hâte. “Ne m’attends pas, j’ai trouvé une nouvelle vie.” Daniel et sous la signature, un billet d’avion. Deux noms Daniel Okoro et Grace Namdi. Destination Londres. Mariam resta longtemps figée dans le salon, tenant la lettre comme si ses doigts refusaient de la lâcher. Les rideaux bougeaient doucement sous la brise, mais tout semblait figé, étouffé.
Les voisins murmuraient déjà. Certains baissèrent les yeux en la croisant, d’autres la regardaient avec cette pitié qui blesse plus que l’insulte. À l’aéroport, pendant ce temps, Daniel et Grace traversèrent le hall main dans la main. Grace avait ce sourire triomphant, celui d’une femme qui avait gagné une guerre silencieuse.

Daniel, lui, semblait soulagé comme si un poids venait de quitter ses épaules. Le vol vers Londres dura des heures, mais pour Mariam, le temps s’arrêta complètement. Elle ne mangea pas. Elle ne parla à personne. Elle fixait juste le vide, les souvenirs l’écrasant un à un, les promesses échangaies sous la pluie, le parfum du Rolof qui l’aimait tant, la manière dont il l’appelait ma force quand il traversait des épreuves.
Une nuit, seule dans sa chambre, elle décrochap et appela Grace. Contre toute attente, Grace répondit : “Mariam !” dit-elle, la voix posée. “Comment as-tu pu ?” hurla Mariam, ses sangla étouffé par la rage. Mariam, ton mari n’était plus à toi. Il m’a choisi. Tu devrais tourner la page. Ses mots frappèrent Mariam comme une gifle brûlante.
Elle sentit ses genoux céder, tomba au sol et resta là, respirant difficilement. Pendant ce temps, à Londres, Grace s’installait dans un appartement chic, goûté au confort que Daniel lui offrait. Mais derrière ses yeux brillants, une inquiétude naissante s’installait. Daniel n’était pas aussi simple à aimer qu’elle l’avait cru.
Chaque jour dans leur nouvelle vie, Daniel sortait tôt, revenait tard, ivre. Il parlait peu. Grace commença à comprendre qu’elle avait volé un homme, mais pas la paix qu’elle espérait. Pendant ce temps, à la gosse, Mariam décida qu’elle ne resterait pas à genoux. Elle vendit quelques bijoux, réunit ses économies et prit une décision silencieuse.
Le lendemain à l’aube, elle se rendit à une agence de voyage. “Je veux un billet pour Londres”, dit-elle. La voix ferme. Le matin de son départ, Mariam se tenait à l’aéroport de la gosse. Ses yeux étaient secs, mais il y avait dans son regard une profondeur nouvelle, une dureté née de la trahison.
Dans son sac, elle n’avait que quelques vêtements, un passeport et un cœur qui battait pour autre chose que l’amour, la vérité. Le vol fut long, silencieux. Elle ne regarda aucun film, ne prit aucun repas. Tout ce qu’elle voyait, c’était le visage de Daniel, le rire de Grace et cette lettre posée sur la table comme un coup de couteau.
À Londres, le vent glacé lui coupa le souffle dès qu’elle sortit de l’aéroport. Elle avait l’adresse. Une amie vivant déjà en ville, Aminata lui avait transmis des informations après quelques recherches. Mariam, sois prudente, avait soufflé Aminata. Cet homme n’est plus celui que tu connaissais. Ce soir-là, sous une pluie fine, Mariam se posta de l’autre côté de la rue face à un immeuble moderne aux grandes bé vitrées.
À travers la lumière chaude du salon, elle aperçut Grace riant à table. Daniel était là, assis, un verre à la main, mais son visage, oh, son visage, il semblait fatigué, usé, presque amer. Le lendemain matin, Mariam suivit discrètement Daniel lorsqu’il sortit. Il entra dans un café, s’assit seul, le regard perdu dans sa tasse.
Elle prit place à deux tables derrière lui, ses mains tremblants. Elle ne comptait pas l’aborder, pas encore. La nuit suivante, elle revint observer l’appartement. Mais cette fois, ce qu’elle vit lui glaça le sang. Grace et Daniel se disputent violemment. Les gestes de Daniel étaient brusques, ses paroles fusaient et même à travers les vitres, Mariam pouvait sentir l’attention.
Puis Daniel claqua la porte et partit. Grace, seul s’effondra sur le canapé. Tenant son visage entre ses mains, Mariam comprit alors qu’un autre chapitre de cette histoire était en train de s’écrire et cette fois, elle ne serait pas spectatrice. Le lendemain matin, Mariam prit son courage comme on saisit une arme.
Elle se présenta à la porte de l’appartement. Grâce, surprise, ouvrit les yeux gonflés de fatigue. Mariam, qu’est-ce que tu fais ici ? Rendre à chacun ce qui lui appartient et te faire payer ce que tu m’as volé, répondit Mariam la voix glaciale. Grce tenta de refermer la porte. Mais Mariam la poussa violemment et entra.
Tu pensais que tu pouvais m’humilier, me dépouiller et vivre comme une reine avec lui ? Tu croyais que tu avais gagné ? Grce recula le dos contre le mur. Il m’aime, Mariam. C’est toi qu’il ne voulait plus. Alors pourquoi tes yeux pleurent chaque nuit ? Pourquoi tes mains tremblent quand il crie ? Avant que Grâce ne réponde, la porte s’ouvrit.

Daniel venait de rentrer. Son visage se figea en voyant Mariam. Mariam, je tais-toi, Daniel. coupa-telle sèchement. Regarde bien la femme pour qui tu m’as quitté. Regarde-la et demande-toi si c’est ce que tu voulais vraiment. Daniel baissa les yeux, incapable de soutenir son regard. “J’ai fait une erreur”, murmura-t-il. Grace éclata.
“Une erreur après tout ce que j’ai sacrifié pour toi ?” Daniel s’approcha. C’est très marqué par la fatigue. Tu as détruit une amitié, Grace, et moi j’ai détruit mon mariage et maintenant je n’ai plus rien. Une tension lourde emplissait la pièce. Mariam fit un pas vers Grace, son regard brûlant. Tu as pris ce qui m’appartenait, mais tu n’as jamais su le garder.
Les voleurs ne connaissent pas la paix. Le silence fut brisé par le bruit de verre éclaté. Daniel venait de jeter son verre contre le mur, la tête dans les mains. Je vous ai toutes perdu. Mariam recula vers la porte. Elle ne voulait plus de Daniel, mais elle voulait que ses derniers mots restent gravés. Elle leur pointait du doigt. Daniel, tu récoltes ce que tu as semé.
Quant à toi, Grace, n’oublie jamais, l’amour volé porte toujours la malédiction. Puis elle quitta l’appartement. Les jours suivants, Grace découvrit que Daniel n’avait plus de travail à Londres. Il avait tout quitté à la gosse et ses finances s’épuisaient. Les disputes devinrent quotidiennes. La passion s’éteignit, remplacée par le mépris.
Daniel, rongé par les regrets, chercha à recontacter Mariam, mais elle avait changé de numéro et disparu de sa vie. Des mois plus tard, seule dans un petit appartement misérable, Daniel fixait une vieille photo de Mariam, ses yeux noyés de larmes. Pendant ce temps, Grace, ruiné et abandonné, errait dans les rues froides, se demandant à quel moment sa victoire s’était transformée en punition.
Le vent de Londres emporta leurs illusions mais pas leurs cicatrices.
News
La Serveuse A Chuchoté « Ne Signez Pas Ça » — Ce Que Le Milliardaire A Fait Ensuite A Tout Changé…
La Serveuse A Chuchoté « Ne Signez Pas Ça » — Ce Que Le Milliardaire A Fait Ensuite A Tout…
Pourquoi Les Princesses Ottomanes Craignaient Leur Première Nuit De Noces…
Pourquoi Les Princesses Ottomanes Craignaient Leur Première Nuit De Noces… Un cri déchire le silence de la nuit. Nous sommes…
L’esclave Isabeau entra dans la chambre de la Maîtresse à l’aube — et vit l’inimaginable…
L’esclave Isabeau entra dans la chambre de la Maîtresse à l’aube — et vit l’inimaginable… Les premiers rayons du soleil…
Un homme d’affaires raciste rejette une femme noire—quelques minutes plus tard, elle lui prend tout.
Un homme d’affaires raciste rejette une femme noire—quelques minutes plus tard, elle lui prend tout. Le hall de la banque…
Ma sœur m’humilie à son mariage, jusqu’à ce que la Bentley de mon mari arrive.
Ma sœur m’humilie à son mariage, jusqu’à ce que la Bentley de mon mari arrive. Tu oses te pointer ici…
Ils voulaient l’humilier — mais son arrivée fige toute la salle…
Ils voulaient l’humilier — mais son arrivée fige toute la salle… J’ai franchi les portes du lieu de réception où…
End of content
No more pages to load






