Il a vendu son ÂME à une SIRÈNE… Voici le PRIX qu’il a payé !

dans un petit village côtier où les vagues chantaient jour et nuit vivait Baba un homme respecté mais rongé par une soif inextinguible de richesse pêcheur de son état il peenait à nourrir sa femme Awa et ses trois enfants malgré son dur labeur il enviait les grands marchands qui avec leurs tissus colorés et leurs bijoux étincelants parcouraient le marché en exhibant leur opulence un soir alors qu’il réparait ses filets sous un baobab centenaire un vieil homme s’approcha de lui son visage était marqué par le sel de la mer et le poids

des ans Baba j’ai entendu dire que tu cherchais un moyen de devenir riche murmura-t-il d’une voix rocailleux Baba releva la tête intrigué qui ne voudrait pas s’élever au-dessus de la misère dit-il le vieil homme sourit tristement alors écoute bien il y a une créature dans la mer une sirène aux écaill d’or elle exauce les vœux mais son prix est toujours un secret qu’elle ne révèle qu’après l’accord Baba a senti son cœur battre plus vite son ambition l’emportait sur la prudence où puis-je la trouver demanda-t-il une lueur à

videite dans les yeux le vieil homme soupira si tu veux la voir va au rivage à minuit sous la pleine lune et offre à la mer le plus beau poisson que tu auras pêché mais souviens-toi Baba chaque richesse a un prix Baba n’écouta que la première partie du conseil cette nuit-là le destin du pêcheur fut scellé cette nuit-là Baba natant endit pas longtemps avant d’agir dès que la Lune se dressa haut dans le ciel projetant sa lumière argentée sur l’océan il se dirigea vers la plage tenant fermement le plus beau poisson qu’il avait pêché ce jour-là le

village dormait verersé par le doux murmure des vagues mais Baba lui sentait l’excitation vibrer dans ses veines les paroles du vieil homme raisonnaient encore dans sa tête était un piège une légende vide de sens ou bien un secret que seuls les plus audacieux osaient saisir arrivé au rivage il s’agenouilla prit une grande inspiration et lança le poisson dans l’eau un silence étrange tomba sur la plage même le bruit des vagues sembla suspendu dans le temps Baba sentit un frisson parcourir son échine puis soudain l’eau s’ouvrit

devant lui dans une danse mystique une forme émergea lentement se détachant de l’obscurité de l’océan une femme d’une beauté inhumaine se tenait là flottant légèrement au-dessus de la surface sa peau était d’un bleu nacré et ses longs cheveux sombres se mêlaient aux vagues ses yeux aussi profonds que l’océan brillit d’une lueur envoûtante tu m’as appelé mortel murmura-t-elle d’une voix mélodieux Baba hypnotisé ohcha la tête oui je veux la richesse l’or l’abondance tout ce que je désire la sirène sourit dévoilant des dents

blanches et légèrement pointues et que donnerais-tu en retour demanda-t-elle d’une voix douce Baba sentit un malaise l’envahir mais l’avidité le domina tout ce que tu veux murmura-t-il sans réfléchir un vent glacial souffla sur la plage la sirène s’approcha lentement de lui posa un doigt froid sur son front alors ton vœu est exaucé mais souviens-toi Baba l’océan ne prend jamais sans réclamer son d d’un mouvement fluide elle replongea dans l’eau et disparut Baba resta là immobile il ne savait pas encore ce qu’il venait

de faire mais il ne tarda pas à le découvrir au matin Baba se réveilla dans sa case comme si tout n’avait été qu’un rêve pourtant en sortant un spectacle inattendu l’attendait devant sa porte là où la veille il n’y avait que du sable et des coquillages se trouvait un coffre en bois massif incrusté de symboles étranges les mains tremblantes il souleva le couvercle et eu un quet de stupeur lors des pièces scintillantes s’entassé à l’intérieur jetant des reflets dorés sur son visage et baahi il y avait aussi des bijoux ornés de Pierre

précieux des bracelets en argent ciselés des colliers dignes des rois Baba tomba à genoux les yeux écarquillés par les ancêtres souffla-t-il son cœur battait à tout rompre il plongea les mains dans le trésor le laissa couler entre ses doigts comme du sable c’était réel il était riche Baba ne perdit pas de temps il utilisa une partie de son or pour acheter des filets plus solides un bateau plus grand et soudoya les marchands du village pour établir un commerce de poisson prospère en quelques mois il devint l’homme le plus influent

de la région sa case en paille fut remplacée par une grande maison en bois d’ében décorée de tissus importés et de sculptur raffinées sa femme Hawa qui avait toujours vécu modestement s’inquiétait de ce changement soudain Baba d’où vient toute cette richesse demanda-t-elle un soir alors qu’il dînit sur une table en voir Baba haussa les épaules ne pose pas de question Awa ce qui compte c’est que nous ne manquons plus de rien mais Hawa sentait une ombre planée au-dessus de leur foyer si Baba profitait pleinement de sa fortune il

remarqua un changement subtille dans l’air chaque nuit le vent soufflait plus fort portant avec lui un champ mélancolique venu de la mer une voix douce triste semblait murmurer son nom à travers les vagues baba au début il crut à une illusion mais plus les jours passaient plus ce champ devenait oppressant parfois il lui semblait même voir au loin une silhouette sombre assise sur un rocher le fixant de ses yeux brillants puis vinrent les cauchemars il rêvait d’une sirène en pleur ses larmes se transformant en

perles scintillante avant de disparaître dans l’eau noir Baba savait que quelque chose approchait mais quoi les jours passèrent et Baba essayait d’ignorer les signes inquiétants qui s’intensifiaent autour de lui chaque nuit le champ de la sirène se faisait plus proche plus oppressant parfois il croyait entendre des pleurs mêlé aux vagues sa femme Awa ne dormez plus Baba murmura-t-elle un soir nous devons partir cette maison cette richesse il y a quelque chose de mauvais derrière tout ça Baba secoua la tête feignant l’indifférence tu es fatigué

aha rien ne va nous arriver mais en vérité une peur de grandissait en lui puis vint cette nuit fatidique le village entier dormait sous la lumière blafarde de la pleine lune mais dans la maison de Baba le silence fut brisé par un cri perçant papa Baba bondit hors du lit le cœur battant c’était la voix de sa fille aînée Hadya il courut vers sa chambre et trouva la petite de 12 ans recrovillé dans un coin ses yeux agrandi par la terreur elle elle était là sanglotta-t-elle qui ça demanda Baba en sa genouille devant elle Adia pointa du

doigt la fenêtre ouverte Baba sentit son sang se glacer il se redressa lentement et s’approcha là dans l’obscurité juste au bord de la mer une silhouette se tenait debout luisante sous la lumière lunaire la sirène ses longs cheveux noirs flottaient dans le vent et son regard fixé Baba avec une intensité glaciale l’heure est venue murmura une voix dans sa tête Baba sentit son souffle se bloquer non un rire cristallin résonna dans la nuit tu m’as promis un cadeau Baba je suis venu le chercher et soudain la mère derrière

elle se mis à rugir violemment comme si l’océan lui-même exigeait son d Baba comprit enfin son premier neé c’était le prix caché du pacte il tomba à genou la bouche ouverte incapable de parler non pas ma fille mais la sirène qui n’y a même pas des yeux impact est impact tu savais que l’océan ne donne jamais sans reprendre Hawa apparu derrière lui tenant Adia fermement contre elle tu as vendu notre enfant hurla-t-elle la voix brisée par le désespoir je je ne savais pas sanglotababa mais la mère grondait impatiente la sirène s’approcha encore

tu as jusqu’à la prochaine pleine lune si tu refus l’océan prendra ce qui lui revient de la pire des manières puis dans un dernier éclat de lumière elle disparut dans l’eau noir Baba se laissa tomber sur le sol le regard vide il était piégé l’au se leva sur un foyer brisé Awa refusait de parler à Baba elle tenait àad dans ses bras comme si elle pouvait la protéger par la seule force de son amour quant aux deux autres enfants il restait silencieux troublé par la terreur qu’il ressentait sans la comprendre Baba lui n’avait pas dormi il

était resté toute la nuit assis sur le seuil de sa maison fixant l’océan il savait que le temps lui était compté dans dans un mois la sirène reviendrait réclamer son d mais il n’avait pas l’intention de la laisser prendre sa fille dès le matin il annonça à sa famille nous devons partir d’ici quitter le village awawa le regarda avec des goûts et tu crois que ça suffira tu as scellé un pacte avec une créature de l’océan où que nous allions elle nous retrouvera Baba serra les points il refuser de croire cela j’ai entendu

parler d’un marabou puissant répondit-il un homme qui connaît les secrets du monde invisible il vit loin dans la savane il peut nous aider Awa d’abord sceptique finit par céer elle n’avait plus confiance en son mari mais elle n’avait pas d’autre choix le soir même ils préparèrent leurs affaires et quittèrent le village sous le couvert de la nuit Baba fit atteler une charrette et la famille s’enfonça dans la forêt laissant derrière leur maison luxueuse et l’or qui avait causé leur perte mais l’océan n’oublie jamais pendant

plusieurs jours il traversèrent la brousse avançant vers la terre ferme loin des côtes Baba croyait que plus il s’éloignait de la mer plus il serait en sécurité mais chaque nuit le champ revenait babah une voix douce mélancolique qui flottait dans l’air comme une brise glaciale même en plein cœur de la savane il pouvait entendre les vagues et pire encore Adia changeait elle parlait peu mangeait à peine son regard autrefois vif et joyeux et était maintenant absent elle semblait appeler une nuit alors kaawa veillait sur elle

la fillette se leva sans bruit et marcha vers l’extérieur comme une somnambule adya s’écria Awa en la retenant la petite sursauta comme si elle s’éveillait d’un rêve elle m’appelle maman murmura-t-elle je dois y aller à wablemi la sirène ne comptait pas attendre la pleine lune cette même nuit alors que tout le monde dormait Baba ouvrit les yeux en surceau quelqu’un ou quel quel chose était là il se redressa et vit à quelques mètres de leur campement une silhouette accroupie une femme au long cheveux noirs et à la peau

saintillante d’eau la sirène elle n’était plus dans la mer elle l’avait suivi jusque dans la terre des hommes et cette fois elle ne venait pas négocier Baba tenta d’ouvrir la bouche pour crier mais aucun sonen ne sortit un vent glacial souffla sur lui et soudain la silhouette disparut mais une certitude blassçante s’impos à lui nulle part sur cette terre il ne serait en sécurité l’océan réclamait son D et rien ne pouvait l’en empêcher le lendemain à l’aube Baba et sa famille reprirent leur route avec plus d’urgence que jamais Awa

terrifié par la vision de la nuit passée gardait adya contre elle refusant de la lâcher d’une seconde Baba ne dit rien mais une angoisse insupportable lui enserrait la poitrine si la sirène était capable de les suivre si loin alors alors peut-être que même le marabou ne pourrait rien contre elle mais il devait essayer après plusieurs jours de voyage ils atteignirent enfin un petit village caché au cœur de la savane là vivait un vieil homme dont on disait qu’il connaissait les secrets du monde invisible Baba ne perdit pas une seconde

il se présenta devant lui et d’une voix tremblante raconta tout le marabou un homme à la peau ridé par le temps et aux yeux perçants resta silencieux un long moment après avoir écouté son i puis il secoua lentement la tête tu as commis une erreur terrible Baba on ne conclut jamais de pacte avec les esprits de l’eau il ne mentent pas mais il ne pardonne jamais non plus Baba s’agenouilla désespéré je suis prêt à tout pour sauver ma fille il doit bien y avoir une solution le marabou soupira et ferma les yeux il traça des signes dans

la terre murmura des paroles dans une langue ancienne puis il ouvrit brusquement les yeux il existe un moyen mais il est dangereux et le prix pourrait être pire que ce que tu as déjà payé Baba dégluti dites-moi le marabou prit une profonde inspiration la sirène veut ton premier nez pour l’empêcher de l’emmener il faut rompre le pacte mais cela ne peut se faire que par un rituel ancien un rituel où tu devras lui rendre ce que tu as pris Baba fronça les sourcils rendre lor le marabou le fixe droit dans les yeux pas seulement lor tu

dois renoncer à tout ce que la sirène t’a donneré et offrir un sacrifice un silence pesant tomba sur la C Awa qui était resté silencieuse jusque-là serra la main d’Adia quel genre de sacrifice demanda-t-elle d’une voix faible le marabou ferma les yeux une vie en échange d’une vie Baba blémi non il doit y avoir un autre moyen le vieillard soupira si tu refus la sirène prendra ta fille à la prochaine pleine lune et elle ne se contentera pas de l’emmener elle la changera en l’une les siennes Hawa étouffa un criit en serrant adya contre

elle Baba sentit son monde s’écrouler il n’avait que deux choix sacrifier quelqu’un d’autre ou perdre sa fille à jamais et la pleine lune approchait la nuit tombait lentement sur le village du marabou une brise chaude traversait les C soulevant la poussière rouge du sol autour du feu Baba restait silencieux le regard fixé sur les flammes d’encin le poids du choix qui pesait sur ses épaules était insupportable Awa quant à elle ne pouvait détourner les yeux d’Adia qui semblait déjà ailleurs son regard vide et perdu nous devons trouver

une autre solution murmura Awa d’une voix brisée le marabou secoua lentement la tête il n’y a pas d’autre issu la loi des esprits est absolue tu as pris quelque chose à l’océan maintenant il veut reprendre et si tu ne lui donnes pas ce qu’il demande il détruira tout sur son passage Baba ferma les yeux son cœur battait si fort qu’il lui semblait qu’il allait exploser dans sa poitrine et si et si c’était moi awwa le regarda avec surprise quoi Baba serra les points et si je donnais ma propre vie le marabou haussa les sourcils comme s’il

n’avait pas envisagé cette possibilité c’est un Paris risqué Baba la sirène veut une vie innocente en échange or ton âme est souillée par la cupidité et le mensonge Baba sentit un frisson lui parcourir les chines alors qui de demanda AA la voix tremblant le marabou posa son regard perçant sur eux une âme pure ou une âme liée au pacte Baba comprit immédiatement il n’y avait qu’une autre personne directement impliquée dans l’affaire l’homme qui l’avait conduit jusqu’à la sirène la première fois le vieux pêcheur du

village celui qui lui avait montré l’endroit interdit des lobes Baba se mit en route il retourna vers son ancien village seul le cœur lourd la respiration courte il savait que ce qu’il s’apprêtait à faire était impardonnable mais il refusait de perdre sa fille il arriva à la plage là où tout avait commencé là devant lui se tenait l’homme qu’il cherchait un vieil homme maigre au dos voûté occupé à démêler ses filets Baba s’approcha lentement tu es revenu murmura le pêcheur sans même lever les yeux Baba sentit un frisson

dans son dos comment savais-tu que j’allais venir le pêcheur lâcha son filet et se redressa son regard était grave mais pas surpris parce que je connais la nature de la sirène et la nature des hommes tu veux me livrer en sacrifice n’est-ce pas Baba sentit sa gorge se serrer il n’arrivait pas à répondre le vieux pêcheur poussa un soupir je savais qu’un jour quelqu’un viendrait payer le prix de cette malédiction il fit quelques pas en avant et plongea son regard dans celui de Baba fais ce que tu as à faire Baba sentit

son souffle se bloquer ce vieil homme il acceptait son sort mais alors qu’il levait la lame que lui avait donné le marabou une voix s’éleva derrière lui non Baba se retourna brusquement Awa se tenait là adya dans ses bras elle avait tout entendu et elle ne le laisserait pas commettre un autre crime mais soudain un bruit terrifiant résonna derrière eux une vague immense s’éleva dans le ciel grondant comme un millier de tambours et au sommet de cette vague la silhouette de la sirène apparut elle était venue ses yeux brillère d’un éclat

sinistre en fixant Baba Baba sentit son corps trembler il devait faire un choix et vite la mère rugissait les vagues s’élevant comme des griffes prêtes à embloutir le rivage la sirène perchée au sommet de l’écume fixer Baba de ses yeux à Bissau sa voix raisonna douce mais implacable je suis venu réclamer ce qui m’appartient as-tu choisi Baba sentit son souffle s’accélérer il tourna la tête vers le vieux pêcheur prê prê à faire ce qu’il croyait nécessaire mais avant qu’il ne puisse bouger une petite main attrapa la sienne papa arrête

c’était Hadya son regard brillait de larmes mais il n’y avait aucune peur dans ses yeux seulement de la tristesse Hawa s’avança se tenant entre la sirène et sa fille défiant l’esprit de l’eau du regard il n’y aura pas de sacrifice il n’y aura plus de sang versé à cause de ta malédiction la sirène pencha la tête un é sourire étirant ses lèvres alors tu refus Baba déglutit il savait ce que cela signifiait la sirène leva lentement une main fine et l’eau s’agita autour d’elle la mère commença à se retirer du rivage comme si elle aspirait toute son

énergie pour préparer une attaque dévastatrice si tu ne me donnes pas ce que je veux je prendrai bien plus qu’une vie je détruirai ce village je ferai de la terre ferme un royaume d’eau et d’oubli Baba sentit ses jambes trembler il ne pouvait pas la laisser faire mais pouvait-il réellement se résoudre à offrir une vie pour en sauver une autre soudain le vieux pêcheur F un pas en avant attends la sirène tourna son regard vers lui intrigué tu dis que tu veux une vie en échange mais cette vie doit être purure n’est-ce pas elle hocha

lentement la tête oui c’est la loi des pactes le pêcheur esquissa un triste sourire alors prends la mienne Baba et ahwa etcarquillè les yeux non s’écria Baba mais le le vieux pêcheur leva une main pour l’arrêter j’ai vécu bien plus longtemps que je ne l’aurais dû c’est moi qui t’ai montré le chemin Baba j’ai une part de responsabilité dans cette histoire si une vie doit être prise autant que ce soit la mienne la sirène l’observa en silence puis elle tendit la main approche sans hésiter le pêcheur s’avança lorsque ses pieds touchèent

l’eau une lumière bleue entoura son corps petit à petit sa silhouette devint translucide comme si l’océan l’absorbait il se tourna une dernière fois vers Baba protège ta famille ne refais jamais cette erreur puis il disparu sous les flots les vagues s’apaisèrent immédiatement la mer redevint calme comme si rien ne s’était passé la sirène regarda Baba une dernière fois le pacte est rompu mais souviens-toi l’océan n’oublie jamais puis elle plongea et disparut dans les profondeurs Baba tomba à genou le souffle court il avait gagné

mais à quel prix a s’agenouill à ses côtés tenant Adia contre elle nous sommes en vie c’est tout ce qui compte Baba baissa la tête il savait qu’il lui faudrait du temps pour expier ses fautes mais une chose était sûre il ne referait jamais la même erreur il avait appris trop tard que la richesse ne valait rien si elle coûtait l’âme de ce qu’on aime et désormais chaque fois qu’il entendrait le bruit des vagues il se souviendrait du prix qu’il avait failli payer vous pouvez nous soutenir en vous souscrivant à notre chaîne Youtube pour

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