La Guerre Froide des Miss : Quand Miss France 2026, Hinaupoko Devèze, Devient la Cible d’une Série de Critiques Vives

L’élection de Miss France est traditionnellement un moment de célébration de la beauté et de l’unité nationale. Cependant, l’année 2026 a dérogé à la règle, transformant le conte de fées en une véritable “guerre froide” intestine. Depuis le couronnement d’Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti, une vague de critiques acerbes et de controverses a secoué la couronne, impliquant plusieurs de ses concurrentes directes, notamment Miss Aquitaine, Miss Provence et Miss Normandie. La nouvelle Miss France est rapidement devenue la cible d’attaques répétées, principalement axées sur son physique, remettant en question non seulement le jugement du jury, mais aussi les valeurs de sororité censées régir le concours.

Le début de la polémique a été initié peu après la cérémonie, lorsque des déclarations faites par Miss Aquitaine et Miss Provence ont été relayées. Bien que les propos exacts varient selon les sources, le fond du message était sans équivoque : une remise en question de la légitimité esthétique de la gagnante. Dans un concours où l’apparence est intrinsèquement liée au titre, critiquer le physique de la nouvelle Miss France par d’autres participantes crée une dissonance médiatique puissante. Ces attaques, souvent perçues comme motivées par la jalousie ou la frustration de ne pas avoir remporté le titre, ont rapidement enflammé les réseaux sociaux. Les internautes se sont divisés entre ceux qui prenaient la défense d’Hinaupoko Devèze, dénonçant la méchanceté et le manque de professionnalisme de ses rivales, et ceux qui amplifiaient les critiques, alimentant un débat stérile et dommageable pour l’image du concours.

Loin de s’apaiser, la controverse a pris une nouvelle ampleur avec l’intervention de Miss Normandie. Cette dernière, en s’associant implicitement ou explicitement aux critiques de ses consoeurs, a semblé confirmer une forme de ligue des Miss régionales contre la Miss nationale. Le fait que trois candidates issues de régions différentes (Aquitaine, Provence, Normandie) s’expriment sur le même sujet – le physique d’Hinaupoko Devèze – a donné corps à la théorie d’une animosité organisée, d’une difficulté à accepter que la victoire soit revenue à une candidate d’Outre-mer, ou simplement d’un déchaînement d’égo mal contrôlé. Cette accumulation de “tacles” a placé Miss Tahiti dans une position difficile, la forçant à gérer une pression médiatique intense en plus des responsabilités inhérentes à son nouveau rôle.

La nature des critiques, ciblant directement l’apparence physique, soulève des questions plus profondes sur les standards de beauté et l’évolution du concours Miss France. Malgré les efforts constants des organisateurs pour moderniser l’image de la compétition et insister sur l’intelligence, l’éloquence et l’engagement social des candidates, ces polémiques rappellent que le jugement reste avant tout visuel et subjectif. Pour Hinaupoko Devèze, qui a déjà révélé dans des interviews ses propres “combats cachés contre le burn-out et ses peurs secrètes”, ces attaques publiques sur son physique constituent un fardeau psychologique supplémentaire. Être jugée et critiquée par ses pairs, juste après l’apogée de sa carrière, est une épreuve d’une grande violence.

Par ailleurs, l’épisode de Miss Provence illustre la gestion catastrophique des conséquences de ces critiques. Face au tollé général et à la pression médiatique, Miss Provence a tenté de faire des “excuses en urgence”. Cependant, ces excuses, perçues comme forcées ou stratégiques, “n’ont pas convaincu” le public. La réaction de la toile a été sans pitié, interprétant cette démarche comme une “tentative désespérée” pour sauver sa réputation plutôt que l’expression d’un regret sincère. Ce fiasco de communication a eu pour seul effet d’aggraver la situation, soulignant que dans l’ère des réseaux sociaux, l’authenticité est une monnaie d’échange indispensable. La rapide tentative de se racheter, dénuée de conviction, n’a fait qu’alimenter le cynisme des internautes.

L’ensemble de ces événements – les “tacles” répétés de Miss Aquitaine, Miss Provence et Miss Normandie – dessine un portrait d’une promotion 2026 marquée par la division. Hinaupoko Devèze, au lieu de jouir d’une année de règne sereine, se retrouve au cœur d’un drame de jalousie et de rivalités. Cette situation met en lumière la fragilité de la façade de glamour et de camaraderie du concours, exposant les tensions et la compétitivité féroce qui animent les coulisses. La Miss France en titre doit désormais non seulement représenter l’élégance française, mais aussi faire preuve d’une force de caractère exceptionnelle pour ignorer ou surmonter cette hostilité persistante, prouvant ainsi que sa valeur et sa légitimité vont bien au-delà des critères physiques controversés par ses ex-rivales. Le défi d’Hinaupoko Devèze est clair : faire de son règne une démonstration de résilience face à la toxicité et aux jugements hâtifs.