Julia Roberts brise 34 ans de silence : sa révélation sur Kiefer Sutherland choque Hollywood.
À 33 ans, le monde m’a applaudi comme la Runaway Bride d’Hollywood. On a rit, on a pleuré, on a cru que tout cela n’était qu’une comédie romantique parfaitement maîtrisée. Ce que personne ne savait, c’est que 10 ans plus tôt, bien avant les caméras et les affiches géantes, j’avais déjà fui un vrai mariage. Pas un scénario, pas une répétition, un hôtel décoré des invités en dimanché.
Un fiancé qui m’attendait. et moi quelque part sur l’autoroute à l’arrière d’une voiture avec le meilleur ami de cet homme. Je me souviens encore du bruit des flashes quand on a annoncé nos fiançailles. On parlait de compte de fé de couple de l’année de mariage événement. On commentait la taille de la bague, la couleur des fleurs, la liste des invités.
Tout le monde semblait savoir exactement qui j’étais. Censé être la fiancée, parfaite la star lumineuse qui allait dire oui devant l’Amérique entière. Moi, à l’intérieur, je n’étais sûr que d’une chose je commençais à avoir peur. La célébrité ne vous laisse jamais seule. Elle vous entoure de regard de micro d’opinion. Je regardais les unes de mes de magazines, les talk, les photos volaies et j’avais l’impression de voir une autre femme, une Julia fabriquée parfaitement maquillée, toujours souriante.
Celle-là voulait se marier, celle-là était prête. Mais la Julia, qui rentrait seule le soir, qui enlevait ses chaussures au milieu du salon, ne savait même pas si elle croyait encore à l’idée de pour toujours. Un jour, dans un couloir de studio, j’ai entendu un journaliste dire “Ce sera le mariage le plus hollywoodien de la décennie qu’elle le veuille ou non, qu’elle le veuille ou non.

” La phrase m’a frappé comme une gifle. Pour la première fois, j’ai eu la sensation que mon propre mariage n’était plus un choix, mais un spectacle déjà écrit que je devais juste jouer jusqu’au bout. Et au fond de moi, une petite voix a murmuré quelque chose que je n’osais pas encore écouter.
Et si tu refusais le rôle, à l’époque, je sortais à peine de ce que tout le monde appelait le miracle Pretty Woman. En quelques mois, je suis passé d’actrice prometteuse à fiancée de l’Amérique. Ce surnom m’enfermait dans une cage dorée. J’avais trois ans. Le monde entier semblait me connaître et pourtant je n’avais jamais été aussi perdu.
Les journées étaient des marathons, interview, séances, photos, réunions. On me parlait d’images et de stratégies, jamais de ce que je ressentais. Je jouais mon rôle en façade, puis le soir, dans les chambres d’hôtel trop grandes, je me sentais minuscule. C’est dans ce vertige que j’ai rencontré Kefer, un plateau des câbles au sol, l’odeur de café et de maquillage.
Assis dans un coin cigarette à la main, il avait l’air à la fois épuisé et vivant, fils d’acteur. Réputation de bad boy, talent indiscutable. On m’avait prévenu, il est intense. Je ne savais pas encore à quel point. La première fois qu’il m’a parlé, il m’a seulement demandé si j’avais bien dormi. J’ai ri en répondant : “Non ! Il a souris.
Bienvenue dans le club de ceux qui n’arrivent plus à débrancher. Pour la première fois depuis longtemps, je ne me sentais pas observé mais comprise. Bruyant, drôle imprévisible, il remplissait l’espace sans demander la permission. À côté de lui, je me sentais moins seul dans ma propre turbulence. Il ne me traitait pas comme une image, mais comme une partenaire.
Nos conversations ont rapidement dépassé les banalités. Il me parlait de sa famille, de ses colères, de ses peurs. Je lui confiais mes doutes, la sensation de ne pas mériter tout ce qui m’arrivait. Avec lui, j’apprenais une autre façon d’exister dans ce milieu plus brut, plus honnête. Son intensité m’effrayait autant qu’elle m’attirait.
Moi, qui contrôlais chaque geste, je découvrais quelqu’un qui semblait refuser toute forme de contrôle. C’était dangereux, mais le danger à ce moment-là ressemblait étrangement à la liberté. Peu à peu, les frontières se sont mises à bouger. Les saines main dans la main laissaient des traces après le clap de faim.
Les plaisanteries entre deux prises devenaient plus lourdes de sens. Je guettais sa voix dans un couloir. Un soir, il m’a raccompagné jusqu’à ma voiture à poser sa veste sur mes épaules sans un mot. Le geste était simple, mais j’ai senti quelque chose se déplacer en moi. Je ne sais pas quand notre complicité est devenue autre chose.
C’est toujours une accumulation de petites choses, un appel trop tard, un message qui compte un peu trop. Un matin, en me regardant dans le miroir d’une loge, je me suis entendu penser, je ne traverse plus cette folie toute seule. Cette pensée-là m’a fait autant de bien qu’elle aurait déjà dû m’inquiéter.
La demande en mariage est arrivée comme tout le reste à cette époque trop vite trop fort. Nous étions ensemble depuis peu, mais on parlait déjà de couples iconique de nouvelle royauté d’Hollywood. Les producteurs souriaient, les attachés de presse calculaient, les magazines, imaginaient les photos du grand jour. Quand il s’est agenouillé un soir dans un salon presque vide, j’ai senti autant le poids de ses yeux que celui des regards invisible du monde entier sur ma nuque. J’ai dit oui.
Je l’aimais ou je croyais l’aimer comme on aime à 23 ans, passionnément sans nuance. En coulisse, tout s’emballait déjà. Contrasse fiançaille rêvé par les studios. Promesse d’un storytelling parfait. La bague a glissé à mon doigt comme un accessoire de plus. Les flashes ont crépité. J’ai souri en pensant surtout tu es en train de te regarder dire oui au lieu de le vivre.
Les semaines suivantes ont été avalées par la machine. On a fixé une date choisi un lieu. Chaque décision impliquait des gens que je ne connaissais pas. Wedding planner, designer, responsable d’images. On me montrait des croquis, des moodboard avec mon nom en lettre d’or. Ce sera le mariage de la décennie.

On ne me demandait pas si j’avais besoin de temps, seulement si je préférais des roses blanches ou crème. Je jouais mon rôle de fiancée appliquer robe, menu essayage. Mais plus les jours passaient, plus j’avais l’impression d’être une figurante dans ma propre histoire. Chaque détail semblait penser pour la photo parfaite, la traî l’allée de l’église, le coin du jardin pour le baiser officiel.
On ne parlait pas de nous seulement de ce que le public attendait de voir. Les médias comptaient les jours. Les émissions spéculaient sur la liste des invités, le prix de la robe, le nombre de bouteilles de champagne. Un soir, je suis tombé sur une couverture. Elle s’apprête à vivre le plus beau jour de sa vie.
J’étais en pyjama, assise par terre au milieu de carton de décoration. J’ai murmuré : “Ah bon ? Parce que moi, je n’en suis pas si sûr. Autour de moi, tout le monde semblait plus excité que moi. Mes proches parlaient coiffure logistique. Les studios voyaient déjà l’affiche parfaite, la star romantique enfin marier le rêve américain bouclé en happy end.
Je répondais mécaniquement. Oui, bien sûr. Magnifique. Parfait. À force de répéter ces mots, ils ont perdu tout sens. Je crois qu’il était sincère à sa manière. Il voulait m’épouser, prouver qu’il pouvait être stable malgré ses démons. Mais là où lui voyait un défi, je voyais un décor qui se refermait sur nous comme une cage luxueuse.
Plus la date approchait, plus j’entendais cette petite voix. Et si tout cela n’était pas pour toi ? Et si tu confondis amour et scénarios bien ficelés ? La veille d’un essayage important, quelqu’un a plaisanté. Des millions de petites filles rêvent d’être à ta place. J’ai souris poliment. Dans ma tête, une autre phrase s’est imposée.
Moi, parfois, j’aimerais être à la leure, à leur place, à regarder l’histoire de loin sans avoir à la porter sur mes épaules. La fissure est devenue impossible à ignorer. Je me couchais tard, le cœur serré, avec l’impression de courir vers un mur que tout le monde trouvait magnifique. On m’assurait que ce serait le plus beau jour de ma vie.
Moi, je ne pouvais pas m’empêcher de penser et si le plus beau jour de ma vie c’était celui où j’aurais enfin le courage de dire non ? Les fissures ne sont pas apparues d’un coup. Elles se sont glissées dans notre histoire comme de la buée sur un miroir retard qu’on excuse promesse fait trop vite soirée annulée et puis ses excès, sa façon de brûler la vie par les deux bouts.
Au début, je trouvais ça fascinant. Ensuite, j’ai commencé à avoir peur. Les disputes ressemblaient à des feux d’artifice rapide, bruyantes, spectaculaires. On s’aimait fort, on se heurtait fort. Il élevait la voix, je me refermais puis venait que les excuses les grandes scènes de réconciliation. Entre deux, la fatigue s’installait.
Je marchais sur la pointe des pieds, attendant l’explosion suivante. C’est à ce moment-là que Jason a vraiment pris place dans le cadre. Il était là depuis longtemps, amis, collègues, présence discrète en coulisse. Là où Keiefer occupait tout l’espace, Jason restait sur les côtés, observant plus qu’il ne parlait.
Nos regards s’étaient déjà croisés, mais sans insistance, comme s’il refusait de fouiller là où je ne voulais pas qu’on regarde. Un soir, vidé par le tournage, la pression du mariage et les engueulades, je me suis retrouvé seul sur une terrasse. Jason est sorti fumé. Il m’a vu s’est approché. Tu as l’air épuisé, a-t-il dit, pas magnifique, pas incroyable, épuisé.
J’ai ris presque en sanglotant. Il ne m’a pas bombardé de question. Il s’est assis à côté de moi à une distance respectueuse en regardant le ciel. Ce silence-là m’a fait plus de bien que tous les discours. Nos conversations se sont multipliées. D’abord par hasard, puis par habitude, loge, couloir, trajet en voiture. Il voulait savoir comment j’allais pas ce que j’allais porter ou annoncer.
Je lui ai parlé des préparatifs de l’euphorie générale de mon malaise invisible. Il écoutait hoch la tête, lâchait parfois un ça doit être lourd qui sonnait comme une validation. Il ne critiquait jamais kiffer ne se posait pas en juge, il constatait et je me surprenais à lui confier des parts de moi que je n’osais même plus affronter seul.
Un jour, je lui ai dit, “J’ai l’impression que mon mariage appartient plus aux autres qu’à moi.” Il a tiré sur sa cigarette puis a répondu, “Alors, il va falloir que quelqu’un te le rende.” Je ne savais pas encore que cette phrase serait une fracture. Je ne prétendrais pas que tout était noir d’un côté et blanc de l’autre.
Kiffer n’était pas un monstre. Il se débattait avec ses démons ses blessures. Il m’aimait à sa manière avec ses excès, ses excuses maladroites. Mais je me sentais écrasé entre sa tempête et les attentes du monde. Dans cet étau, Jason n’était pas le tentateur, mais la zone neutre, le seul endroit où je respirais.
Puis les choses ont changé, ce qui n’était qu’une écoute bienveillante est devenue une présence nécessaire. On ne se demandait plus si on se verrait. Mais quand je pensais à lui en son absence, je guettais sa silhouette, son rire. Dans ses yeux, je voyais une inquiétude silencieuse comme s’il mesurait à quel point je me perdais.
Je portais une bague de fiançaille. J’avais une date, une robe, un fiancé connu de tous. Et pourtant, c’est à un autre homme que j’osais dire : “Je ne sais pas si j’y arriverai. pas pour lui demander de me sauver, juste parce que c’était le seul qui acceptait d’entendre que je ne voulais plus jouer un rôle écrit sans moi.
La ligne était fine, presque invisible. Je savais que je la frôlais. Mais ma plus grande culpabilité n’était pas de parler à Jason, c’était de continuer à faire semblant avec le reste du monde. Plus la date approchait, plus je pensais. Le seul endroit où je suis honnête, c’est dans ces conversations que je n’ai pas le droit d’avoir.
C’est là, je crois que notre histoire à 3 a vraiment commencé bien avant que le monde ne la baptise scandale. Les derniers jours avant le mariage avait l’odeur des coulisses avant un spectacle maquillage, agitation, listes interminables. On parlait de fleurs de menu de plan de table. On parlait de la mariée presque jamais de moi.
Cette femme en blanc était devenue un personnage de magazine sûr d’elle alors que je me sentais de plus en plus comme une figurante dans sa propre histoire. 3 jours avant la cérémonie, je me suis réveillé avec la certitude que quelque chose allait rompre. Mon cœur battait trop vite, mes mains tremblaient. La maison était déjà prête pour le chaud carton chaussur aligné bouquet d’essai.
Je débulais pieds nus avec l’impression d’avoir pénétré dans le décor d’une vie qui n’était pas la mienne. Le téléphone n’arrêtait pas. Tu es prête ? Tu dois être tellement heureuse, je répondais. Oui, bien sûr, évidemment. Alors que tout en moi voulait dire je ne sais pas, j’ai peur, je ne me reconnais plus. Mais ces phrases là n’existent pas dans un mariage hollywoodien.
En fin d’après-midi, presque sans réfléchir, j’ai appelé Jason. Alors, la future mariée a-t-il lancé ? “Je crois que je suis en train d’étouffer”, ai-je répondu. “Tu veux que je vienne ?” J’ai dit oui cette fois, sans hésiter. Il est arrivé discrètement à traverser le chaos des préparatifs un peu étrangers à ce cirque.
Nous nous sommes enfermés dans une petite pièce presque vide. “Je me suis assise par terre, d’eau au mur.” “Il s’est assis en face.” “Je vais te poser une seule question”, a-t-il dit. Imagine que tout ça n’existe pas. Pas de robe, pas d’invités, pas de presse, juste toi et lui aujourd’hui. Est-ce que tu as envie de l’épouser ? J’ai fermé les yeux.
J’ai pensé à notre complicité, puis à ses excès, à nos disputes à mes nuits à l’attendre. J’ai cherché un oui clair. Je n’ai trouvé qu’un silence. Je crois que j’ai surtout envie que ça s’arrête, ai-je murmuré. Jason n’a pas profité de cette faille. Il a simplement hoché la tête. Alors la vraie question question ce n’est pas aller jusqu’au bout, c’est pourras-tu te regarder dans un miroir si tu le fais ? Dans ce vide, mon mensonge est devenu impossible à supporter.
La nuit suivante, je n’ai presque pas dormi. On repassait ma robe, on vérifiait la météo, on ajustait les chaises. On préparait le plus beau jour de ma vie pendant que je me demandais si je n’organisais pas ma propre disparition. Vers l’aube, une pensée s’est imposée. Je ne peux pas y aller. Elle m’a terrifié puis soulagé.
Au matin, j’ai pris un sac quelques vêtements. Réfléchir davantage aurait été reculé. J’ai appelé Jason. Je pars ai-je dit. Tu es sûr ? J’ai regardé la maison pleine de preuves d’une vie qui n’était pas encore la mienne. Non, mais je suis sûr de ne pas pouvoir rester. Une heure plus tard, j’étais à l’arrière d’une voiture, la tête contre la vitre à regarder la ville s’effacer.
Fleur ruban, église invité, fiancée, tout restait derrière moi comme un décor abandonné. À côté de moi, Jason ne disait presque rien. Sa présence suffisait à rendre la fuite réelle. Ce jour-là, quelque part dans une église pleine, quelqu’un a dû annoncer que la mariée ne viendrait pas. Les journaux se sont emparés de l’histoire, l’ont transformé en scandale.
On m’a traité de capricieuse d’ingrate de Runaway Bride avant même le film. Mais à l’instant où l’on m’attendait devant l’hôtel, je n’étais plus une héroïne romanesque. J’étais juste une femme qui pour la première fois depuis longtemps refusait un rôle qu’on avait écrit sans elle. Les jours qui ont suivi ont ressemblé à une chute au ralenti.
Avant même que j’ai le temps de comprendre ce que j’avais fait, les titres avait déjà décidé pour moi. Elle l’a abandonné devant l’hôtel, la fiancée ingrate d’Hollywood. Elle s’enfuit avec le meilleur ami du groom. Chaque journal fabriquait une version plus simple, plus cruelle, plus vendable de moi. Je lisais ces phrases comme si elle parlait d’une inconnu, mais c’était bien mon visage sur toutes toutes les couvertures.
Je ne prétendrais pas être une victime. J’ai blessé des gens. J’ai brisé un homme qui, malgré tout, avait mis son espoir en moi. J’ai placé Jason dans une position impossible entre sa loyauté et sa conscience. Je le savais. Mais je savais aussi qu’en restant, j’aurais passé ma vie à jouer un mariage auquel je ne croyais déjà plus.
Il n’y a pas de façon élégante de fuir un hôtel. Il n’y a que la vérité qu’on accepte ou qu’on enterre. Les années ont passé. Chacun a suivi sa route avec ses cicatrices et son silence. Les journaux ont trouvé d’autres scandales. Ma vie s’est remplie d’autres films d’un amour plus calme d’une famille construite loin des projecteurs.
Puis un jour, on m’a proposé un scénario une femme qui fuit ses mariages à la dernière minute. Runaway bride. Le monde a trouvé ça romantique, drôle. Moi, j’y ai vu un miroir déformé. Sur le plateau en robe blanche lancé au galot, je me suis demandé combien saurait que derrière la comédie se cachait un vieux tremblement.
Personne n’avait besoin de le savoir. Il me suffisait de reconnaître que ce jour de 311 avait été plus qu’un scandale, une naissance brutale. Le moment où j’ai compris que si je laissais Hollywood écrire mon histoire d’amour, je ne m’y retrouverai jamais. Aujourd’hui, quand on me demande si je regrette, je n’ai pas de réponse simple.
Je regrette la douleur causée, les blessures inutiles, les nuits où je me suis demandé si j’avais franchi une ligne irréversible. Mais je ne regrette pas d’avoir refusé un oui qui n’était pas le mien. On peut toujours rejouer une scène, pas recommencer sa vie. Alors, quand on m’appelle encore Runaway Bride, je souris.
Il pense à lui parler d’un film. Moi, j’entends l’histoire d’une femme qui a eu un jour assez de courage ou assez de peur pour ne plus se trahir. Et si c’est le rôle qu’on retient de moi, ce n’est peut-être pas le pire héritage.
News
Cyril Féraud : Révélation choc de la première photo de son fils aîné et de son compagnon.
Cyril Féraud : Le Secret de Tim et l’Ombre de la Compagne Mystère Cyril Féraud, animateur vedette du service public…
Deux ans après son divorce, Hélène Ségara révèle enfin son douloureux cauchemar conjugal.
Deux ans après son divorce, Hélène Ségara révèle enfin son douloureux cauchemar conjugal. Avant de plonger dans ce récit bouleversant…
AUCUNE NOUNOU TENAIT UN JOUR avec les TRIPLÉS du MILLIARDAIRE… Jusqu’à ce que Femme NOIRE Fasse ÇA
AUCUNE NOUNOU TENAIT UN JOUR avec les TRIPLÉS du MILLIARDAIRE… Jusqu’à ce que Femme NOIRE Fasse ÇA Aucune nana n’a…
Un garçon sans abri affirme qu’il peut réveiller la fille du milliardaire…la suite choque le monde !
Un garçon sans abri affirme qu’il peut réveiller la fille du milliardaire…la suite choque le monde ! La fille d’un…
Pour 50 millions il a vendu son sommeil, Il est riche mais s’il dort, il meurt.
Pour 50 millions il a vendu son sommeil, Il est riche mais s’il dort, il meurt.=YRw9_SMTA0w Every night, Charlie lived…
ELLE DONNE SON BÉBÉ À SON AMIE POUR L’ÉLEVER MAIS CELLE-CI LE VEND À DES TRAFIQUANTS !
ELLE DONNE SON BÉBÉ À SON AMIE POUR L’ÉLEVER MAIS CELLE-CI LE VEND À DES TRAFIQUANTS ! Elle donne son…
End of content
No more pages to load






