Le Bébé Démon : L’enfant qui n’était pas Humain – Histoire Choc
Il existe au cœur de l’Afrique de l’Ouest des histoires qu’on ne raconte jamais à voix haute la nuit. Des récits qu’on chuchote en baissant le ton. Car on croit que certaines forces obscures rôent encore, écoutent et se nourrissent de la peur des hommes. Celle que vous allez entendre aujourd’hui en fait partie.
Tout commence dans un petit village isolé, entouré de champs, de forêts. Là vivait une jeune femme nommée Ngzi, mariée depuis 3 ans à Tchukudi, un homme travailleur mais d’une discrétion presque maladive. Depuis longtemps, le couple espérait un enfant. Ngozi priait chaque nuit, versait des larmes silencieuses en cachette et faisait chaque remède que les vieilles femmes du village lui conseillaient.
Lorsque enfin son ventre commença à s’arrondir, ce fut un soulagement pour tous. On parlait déjà de bénédiction divine et certains disaient que la lignée de Tchukudi allait s’agrandir de façon éclatante. Mois plus tard, par une nuit étrange, sans lune, la pluie frappant fort sur les toits de chaumes, Nos mit au monde un bébé, mais pas n’importe quel bébé.

C’était un garçon à la peau claire et éclatante, si beau que tout le monde reste à bouche b. Ses cheveux étaient noirs comme du charbon humide. C’est trait si parfait qu’on aurait dit qu’il avait été sculpté par des dieux anciens. Et pourtant, il y avait quelque chose d’inexplicable. Car aucun des deux parents ne possédait ces traits.
Aucun ancêtre de leur lignée n’avait ce regard profond, ni cette beauté presque irréelle. Mais dans leur joie, personne ne releva cela. Au contraire, les femmes du village disaient que c’était un signe des esprit, une bénédiction rare. Mais une bénédiction trop éclatante cache souvent une malédiction. Les premiers jours, Nos était émerveillé.
Son fils qu’elle nomma Abas semblait plein de vie, riait souvent, dormait peu. Mais à peine quelques semaines plus tard, tout le monde remarqua une chose troublante. Au bas grandissait anormalement vite. À 3 mois, il paraissait déjà avoir 1 an. À 6 mois, il marchait avec assurance, ses petits pas raisonnants dans la cour. À hu mois, il balbuciait des mots clairs comme s’il parlait depuis longtemps.
Ce phénomène inquiétait Chukudi, mais chaque fois qu’il exprimait ses doutes, Nzi se fâchait. Arrête Tukuwoodi, ce n’est pas un monstre, c’est ton fils. Dieu nous a enfin fait grâce et toi tu veux tout gâcher avec tes soupçons. Mais le mari ne trouvait pas le sommeil car la nuit quand il se levait pour boire de l’eau, il surprenait parfois son fils, éveillé, assis au milieu de la case, ses yeux brillants comme deux braises rouges dans l’obscurité, un sourire inquiétant étirant ses lèvres.
C’est en jouant avec d’autres enfants que la vérité commença à se révéler. Les jeunes du quartier, curieux, adorit en venir voir au bas. Il trouvaient fascinant ce bébé qui marchait et parlait déjà comme eux. Mais peu à peu, leurs rire se transformèrent en murmures apeurés. Il racontait que parfois en plein jeu, Au riait d’un rire étrange, grave, qui ne ressemblait pas à celui d’un enfant, mais plutôt à celui d’un vieil homme ou d’une créature qui se moque.
Un soir, une fillette revint en courant chez elle, hurlant que le petit Auas avait fait disparaître un lézard sous ses yeux comme s’il l’avait avalé avec son regard. Les parents pensèrent que c’était une invention d’enfants, mais les histoires se multipliaient. des cailloux qui se mettaient à bouger autour de lui, des ombres qui apparaissaient dans les murs, des chuchottements qu’on entendait sans savoir d’où il venait.
Pourtant, chaque fois que les enfants essayaient d’en parler aux adultes, on riait d’eux. On disait “Ce ne sont que des histoires pour effrayer vos mères, allez jouer ailleurs.” Mais eux savaient, Aba n’était pas comme les autres. La situation bascula quand dans la famille de Nzie, des choses étranges commencèrent à se produire.
Un premier oncle fit un rêve où un enfant au regard rouge le fixait sans rien dire. Tr jours plus tard, il mourut brutalement, sans maladie. Puis ce fut une tente qui rêva du même regard rouge, du même sourire inquiétant. Elle ne se réveilla jamais de son sommeil. À chaque fois, les proches décédaient sans explication et un détail glaçant les liait.
Tous avaient avoué avoir rêvé d’un enfant au rire étrange, le même que celui d’obas. Tchukudi, terrifié, commença à comprendre. Il fit le lien entre la naissance de son fils, la croissance surnaturelle, les avertissements des enfants et les morts successives. Un soir, le visage marqué par la peur, il prit une gosie à part.
Nosi, écoute-moi. Ce n’est pas un enfant, ce n’est pas notre fils. Nous devons le livrer avant qu’il ne soit trop tard. Mais Ngozii, serrant au bas dans ses bras, hurla : “Tu oses ? Tu oses appeler mon fils un démon ? Jamais je ne livrerai mon sang.” Et elle partit en pleurant, refusant de croire. Pourtant, plus le temps passait, plus l’atmosphère devenait lourde.
Les enfants du village fuyaient désormais au bas, comme on fuit un serpent. Chukudi devenait silencieux, les yeux perdus, craignant que son foyer ne soit déjà marqué par une malédiction irréversible. Mais Engozyzi restait aveuglée par son amour maternel. Elle répétait sans cesse importe ce qu’il est, c’est mon fils.
Elle ignorait qu’en vérité ce n’était jamais son fils et qu’un secret plus terrible encore, dissimulé depuis sa grossesse, allait bientôt exploser. La maison de NY n’était plus jamais tranquille. Les nuits devenaient longues et suffoquantes. Même lorsque tout semblait calme, on pouvait sentir dans l’air une lourdeur invisible.
Les voisins commençaient à murmurer que quelque chose d’étrange vivait sous ce toit. Un soir, Chouudi rentra du champ et trouva au bas son fils supposé assis sur un tabouret fixant une chèvre attachée au poteau. L’animal tremblait, ses yeux exorbités comme s’il voyait quelque chose d’horrible. Chukudi s’approcha lentement et au moment où il allait parler, Auas éclata rire sec, grave.
un rire qui ne pouvait pas venir d’un enfant. La chèvre soudainement s’effondra, morte, sans qu’on sache pourquoi. Chukoui recula terrifié. C’est ce soir-là qu’il jura intérieurement : “Cet enfant n’est pas des nôtres. Je dois trouver la vérité, même si ma femme refuse de l’accepter.” Le lendemain désespéré, Chukudi à la trouver une vieille femme connue pour ses visions, maman Ikoko, celle qu’on surnommait l’œil des ancêtres.
Elle vivait au bord du village, isolée car beaucoup la craignaient. Quand Chouudira dans sa case, la vieille n’attendit pas qu’il parle. Elle leva la tête de son tapis de rafia et dit d’une voix rque : “Tu viens à cause de l’enfant.” Touitilli. “Comment savait-elle ? La vieille reprit. Je t’avais prévenu il y a longtemps.
Quand une femme est enceinte, il ne faut jamais provoquer la jalousie des mauvaises personnes. Ta femme a oublié cette règle. Alors lentement, Mama Coco raconta ce que Chukoui ignorait. Pendant sa grossesse, une gozie était rayonnante. Sa beauté s’était accrue et les gens disaient qu’elle brillait comme une femme bénie.
Mais cette lumière avait attiré les regards et la jalousie. Il y avait dans le village une femme connue pour ses rancune, Adane, une ancienne amie de Nzie, qui l’enviait en secret depuis l’enfance. Quand elle apprit Nzie attendait un enfant alors qu’elle-même était stérile depuis des années, son cœur s’emplit de rage. Une nuit, alors que Nozi dormait profondément, Adan était venu devant sa maison.
pièis nu, une calebasse remplie d’ossement et d’herbes étranges. Elle avait murmuré des incantations, soufflait une poudre noire vers la case et dit : “Que ton enfant meurt dans ton ventre, que je le remplace par ce qui n’est pas humain.” Ce fut ainsi que l’enfant de Noszi, son vrai fils, mourut avant même de voir le jour. Son corps spirituel fut arraché et jeté dans l’ombre.
Et dans son ventre, une autre entité prit place, un démon qui avait pris l’apparence d’un enfant. Quand Chukoui entendit ce récit, il sentit ses jambes trembler. Il rentra précipitamment chez lui, le cœur battant, prêt à tout dire à sa femme. Mais Noszi, quand il lui répéta dans une colère noire. Tu crois à ces folies de vieilles femmes jalouses ? Tu veux qu’on me dise que je n’ai jamais eu d’enfant ? Tu veux me voler la seule joie de ma vie ? Elle se leva, prit au bas dans ses bras et ajouta : “Cet enfant est ma chair, mon sang. Qu’il soit ange ou démon, je ne le
livrerai jamais.” Son amour maternel était devenu aveugle et plus elle le protégeait, plus l’entité qui habitait au bas se renforçait. Les jours qui suivirent, les phénomènes s’aggravèrent. La nuit, on entendait des pas d’adultes dans la cour, mais quand on sortait, on ne voyait qu’au bas assis, ses yeux rouges brillants dans l’ombre.
Des voisins affirmaient qu’ils entendaient des cris d’animaux écorchés venant de la maison. Mais le matin, Nzi jurait qu’il n’y avait rien. Puis un jour, un événement glaça définitivement le sang du village. Un vieil homme qui avait publiquement dit : “Cet enfant n’est pas humain”, fut retrouvé mort au pied de sa case, son visage figé dans une expression d’horreur.
Ses yeux avaient disparu. Le lendemain, les gens jurèrent avoir vu Auas jouer dans la poussière avec deux petits yeux sanglants entre ses doigts. Peu à peu, même Nozi sentit quelque chose lui échapper. Un soir, alors qu’elle chantait une berceuse pour endormir au bas, elle le vit sourire d’une manière qui la glaça.
Ce n’était pas un sourire d’enfant, mais celui d’une créature qui se réjouit d’un secret qu’elle seule connaît. Elle s’arrêta nette, son cœur battant. Abas, tu es vraiment mon fils, n’est-ce pas ? L’enfant la fixa et pour la première fois, il répondit d’une voix grave, une voix qui n’était pas celle d’un enfant. Ton fils ? Nos laissa tomber la calebasse qu’elle tenait. Son sang se glaça.
Cette nuit-là, Nozi fit un rêve. Dans ce rêve, une silhouette d’enfant, fragile, couvert de lumière, s’avança vers elle. Il pleurait. Maman, je suis ton vrai fils, mais je n’ai jamais vu la lumière du jour. Une main cruelle m’a arraché de ton ventre et on m’a remplacé. Celui que tu protèges n’est pas moi. Nosozi se réveilla en sursaut, trempée de sueur et comprit avec horreur que tout ce temps, elle avait donné son amour à une créature qui n’était jamais son enfant.
Mais il était trop tard. Car au pied de son lit, assis dans l’ombre, au bas la regardait. Ses yeux rouges brûlaient comme de charbons ardents et il souriait. Depuis la nuit où elle avait entendu la voix grave sortir de la bouche de son fils, une goziie n’était plus la même. Son cœur battait d’une terreur soure.
Chaque fois qu’elle croisait ses yeux rouges. Elle essayait encore de se convaincre qu’elle rêvait, qu’elle imaginait. Mais l’épreuve s’accumulaient. Au bas ne dormait plus jamais. Chaque nuit, elle le voyait éveillée, assis dans un coin comme s’il l’attendait. Un soir, elle voulut prier à voix haute. Mais avant même qu’elle ne commence, Aba posa son doigt sur ses lèvres et murmura : “Sht maman, ne parle pas à celui-là, il ne t’entend plus. Moi, je t’entends.
Nos sentit la folie l’envahir. Face aux morts successives et aux rumeurs grandissantes, les anciens du village convoquèrent une réunion. Les frères de NI, ses oncles, ses cousins, tous était là. L’un d’eux parla avec gravité. Nos depuis la naissance de cet enfant, ton sang s’éteint. Maison après maison, tu refuses de voir, mais nous nous voyons. Cet enfant doit être livré.
La mère se leva d’un bon, les yeux en feu. C’est mon fils, vous n’allez pas m’arracher mon enfant comme des bêtes sauvages. Les hommes insistèrent, mais Tukudi resta silencieux, les yeux baissaient car lui savait, au fond de lui, il savait que ce n’était pas leur fils. Alors, un des anciens trancha si tu refuses une goszie alors que le sort de ce malheur repose sur toi seul.
Cette nuit-là, Ungzi entendit des cris dehors. Elle sortit et vite une voisine courir, hurlant que son enfant de 5 ans avait disparu. Toute la nuit, on chercha le petit garçon. Le matin, son corps fut retrouvé au bord de la rivière, les yeux ouverts, vides et un sourire figé sur ses lèvres.
Exactement le même sourire Koba. Quand Nozi rentra chez elle, son cœur faillit s’arrêter. Au bas jouait dans la poussière avec un petit collier de choris que seul le garçon disparut portait. Nos lâcha un cri mais au bas leva la tête et dit calmement : “Maman, pourquoi cries-tu ? Je voulais juste un ami pour jouer avec moi.

” Nozi commençait à perdre la raison. Son visage se creusait, ses cheveux se désordonnaient, ses yeux étaient marqués de cernes. Elle ne pouvait plus manger ni dormir. Chukoui à bout lui dit un soir : “Ungzii, si tu continues ainsi, tu mourras avant la fin de la saison. Cet enfant, ce n’est pas le nôtre. Si tu refuses de le livrer, il te détruira toi la première.
” Elle s’effondra, pleurant, tenant sa tête entre ses mains. Mais comment puis-je ? Comment puis-je abandonner celui que j’ai porté, celui que j’ai allaité ? Même s’il n’est pas à moi, je l’ai aimé comme mon fils. Tchukudi posa sa main sur son épaule la voix brisée. Alors, tu devra choisir l’aimer ou sauver ton âme.
Cette nuit-là, Nosi rêva à nouveau. Mais cette fois, ce ne fut pas son vrai fils qui vint la voir. Ce fut une femme vêtue de noir, les yeux pleins de haine. C’était Adane, la sorcière. Elle lui dit en ranant : “Tu pensais que ta joie durerait éternellement ? Tu m’as humilié, Nosi. Tu m’as pris ce que je n’ai jamais eu, la maternité.
Alors, j’ai pris ton fils, je l’ai remplacé par ce qui vient des profondeurs. Et toi, comme une folle, tu l’as nourri, protégée, aimé. Tu as élevé ta propre malédiction.” Nos se réveilla en sursaut au bas. était assis sur son ventre, ses deux yeux rouges fixés dans les siens et il dit d’une voix qui n’était pas humaine : “Maman, elle a raison.
Je ne suis pas ton fils. Ton vrai fils est mort. Moi, je suis à toi maintenant.” Nzyzi hurla si fort que tout le village l’entendit. Le lendemain, les anciens vinrent à nouveau. Cette fois, Chukwoodi se rangea à leur côté. Ils préparèrent un rituel pour livrer l’enfant à la forêt, là où les esprits obscurs se perdent.
Mais au moment où ils saisirent au bas, Ningozi s’interposa. Non, non, même si c’est un démon, c’est le seul enfant que j’ai jamais eu. Le village entier trembla devant son cri. Alors, tourna la tête vers elle et pour la première fois, il la serra dans ses bras. Il dit doucement mais d’une voix effrayante. Merci maman.
Merci de m’avoir choisi, même contre les tiens. Puis soudain, une ombre noire éclata de son corps, couvrant toute la maison. Les lampes s’éteignirent, les femmes hurlèrent, les hommes reculèrent. Quand la lumière revint, Auas avait disparu. Ngozi gisait seul au milieu de la cour. inerte, ses yeux grands ouverts, un sourire étrange figé sur son visage.
Depuis ce jour, on raconte que la maison de Nozi est maudite. La nuit, on peut parfois entendre un rire d’enfant raisonner dans le vent. Certains disent que Nozi ne mourut pas vraiment. Son âme resta toujours à l’enfant qu’elle avait choisi d’aimer malgré tout. Les anciens du village conclurent ainsi : “Il n’est pire aveuglement que l’amour d’une mère qui refuse de voir que son enfant n’est pas humain.
Merci d’être resté jusqu’à la fin. N’oubliez pas de liker la vidéo et abonnez-vous pour de nouvelles histoires.
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