Le salon de coiffure qui rendait belle… mais VOLAIT les âmes
Le salon de coiffure qui rendait belle mais volait les âmes. Les histoires africaines de Fiona, le salon Divine Beauty. Il est apparu du jour au lendemain dans le quartier de Yopougon, un salon moderne, luxueux, avec des équipements dernier cri. Les prix étaient ridiculement bas. Une coiffure complète pour 5000 francs, un défrisage pour 3000 francs, des prix incroyables pour un tel standing et les résultats étaient spectaculaires.
Les femmes qui en ressortaient étaient transformées. Magnifiques, rayonnantes. Leurs cheveux brillaient d’un éclat presque surnaturel. Leur peau semblaient plus lisse, plus jeune. C’était comme de la magie. En quelques semaines, toutes les femmes du quartier se pressaient au Divine Beauty. Il fallait réserver des jours à l’avance tellement il y avait du monde.
Mais ce que personne ne remarquait, c’est qu’après quelques visites, ces femmes changeaient. Elles devenaient différentes, froide, distante, comme si quelque chose en elle s’était éteint. Nadj allait découvrir pourquoi et ce qu’elle découvrirait la glacerait d’horreur. Nadj habitait Yopougon depuis 5 ans. Elle connaissait tous les commerces du quartier.

Alors quand le Divine Beauty ouvrit ses portes un lundi matin, elle fut surprise. Elle n’avait vu aucun chantier, aucune préparation. C’était comme si le salon était apparu par magie pendant la nuit. Le bâtiment était impressionnant. Façade blanche immaculée, grande vitre teintées, enseignes lumineuses en lettres dorées. À l’intérieur, tout brillait.
Sols en marbre, fauteuils en cuir, miroirs immenses avec des cadres dorés, des lustres en cristal pendant du plafond. On se serait cru dans un salon parisien, pas dans un quartier populaire d’Abidjan. La propriétaire s’appelait Madame Ornela, une femme d’une quarantaine d’années, magnifique, avec une peau parfaite et des cheveux longs qui cascadèrent jusqu’à sa taille.
Elle portait toujours des tenues élégantes, des bijoux en or. Elle souriait tout le temps, mais son sourire n’atteignait jamais vraiment ses yeux. Le jour de l’ouverture, elle offrit des coiffures gratuites aux 50 premières clientes. Une file immense se forma dès 6h du matin. Nadj passa devant le salon vers 8h.
Elle vit la foule, la décoration tapa l’œil et quelque chose en elle se méfia. C’était trop beau, trop parfait, trop généreux. “Tu ne viens pas essayer ?” lui demanda sa voisine Claris. qui faisait la queue. Non, pas aujourd’hui. J’ai du travail. Tu rates quelque chose ? Regarde cette beauté. En effet, les premières clientes qui ressortaient étaient méconnaissables, transformées.
Leurs cheveux étaient parfaits, brillants, soyeux. Leur peau semblait lumineuse. Elles se prenaient en photo, postaient sur les réseaux sociaux, criaient leur bonheur. Les jours suivants, le succès du salon explosa. Tout le quartier ne parlait que de ça. Divine Beauty, la meilleure coiffeuse d’Abidjan. Des mains magiques.
Nadj continuait de passer devant sans entrer. Quelque chose la retenait. Son instinct lui disait de rester à l’écart. Deux semaines après l’ouverture, elle remarqua quelque chose d’étrange. Sa voisine Claris, qui allait maintenant au salon deux fois par semaine, avait changé. Elle était toujours magnifique. Oui, ses cheveux étaient parfaits, mais son regard était vide.
Elle souriait moins, elle parlait moins, comme si elle était devenue une coquille vide. Ça va Claris ? Demanda Nadège un matin. Claris la regarda avec des yeux sans vie. Oui, très bien. Sa voix était monocorde, mécanique. Tu es sûr ? Tu as l’air différente. Je suis juste fatiguée. Mais ce n’était pas de la fatigue, c’était autre chose, quelque chose d’inquiétant.
Les semaines passèrent. De plus en plus de femmes du quartier fréquentaient le Divin Beauty et de plus en plus, Nadj remarquait les changements. Sa collègue de travail Bintou, qui y allait chaque semaine était devenue distante. Elle ne riait plus aux blagues. Elle ne participait plus aux discussions pendant la pause.
Elle faisait son travail de manière robotique, puis rentrait chez elle sans un mot. “Ben tout, qu’est-ce qui ne va pas ?” demanda Nadj un jour. Rien. Pourquoi ? Tu es bizarre depuis que tu vas à ce nouveau salon. Bintou la fixa d’un regard vide. Je suis très bien. J’ai juste envie d’être seule. Sa cousine Adjois aussi fréquentait le salon.

Elle qui était si vivante, si joyeuse, était devenue froide. Elle ne jouait plus avec ses enfants. Elle ne cuisinait plus. Elle restait assise pendant des heures à se regarder dans le miroir, touchant ses cheveux parfaits. Adjois, tu m’inquiètes dit Nadj lors d’une visite. Pourquoi ? Je suis belle maintenant. Regarde mes cheveux, ils sont parfaits.
Oui, mais tu n’es plus toi-même. Je suis mieux que moi-même. Un soir, Nadj décida d’en parler à son mari. Didier, tu as remarqué les femmes du quartier ces derniers temps ? Remarquez quoi ? Elles sont toutes magnifiques. Trop magnifiques. Et elles sont toutes éteintes. Éteintes ? Oui, comme des zombies bien coiffés. Elles ont perdu leur personnalité, leur joie de vivre, tout ce qui les rend humaine.
Didier fronça les sourcils. Tu penses que ça a un rapport avec ce salon ? J’en suis sûr. Je ne sais pas ce qui se passe là-bas, mais ce n’est pas normal. Tu devrais peut-être y aller pour voir par toi-même. Non, je ne mettrai pas les pieds là-dedans. Mon instinct me dit de rester loin, mais sa curiosité grandissait.
Elle devait comprendre ce qui se passait. Le samedi suivant, elle s’installa à la terrasse d’un maqui en face du salon. Elle commanda une bière et observa. Et les femmes entraient excitées, bavardant. Elles ressortaient deux heures plus tard, transformé, magnifique. Mais quelque chose dans leurs yeux avaient changé. Quelque chose s’était éteint.
Nadj remarqua autre chose. Madame Ornéella ne coiffait jamais elle-même. Elle avait trois employés, mais elle restait toujours dans le salon, observant, souriant de son sourire froid. À un moment, une jeune fille sortit en courant. les larmes aux yeux. Elle criait : “Je ne veux pas. Laissez-moi partir.” Madame Ornéla sortit calmement.
Elle posa sa main sur l’épaule de la fille, murmura quelque chose à son oreille. La fille se calma instantanément. Son regard devint vide. Elle retourna à l’intérieur sans un mot. Nadj sentit un frisson glacial la parcourir. Nadj décida d’en savoir plus. Elle ne pouvait pas laisser cette situation continuer sans comprendre.
Elle commença à poser des questions discrètes. Elle interrogea les femmes qui fréquentèrent le salon. Pourquoi tu y vas si souvent, Claris ? Je dois y aller. Je dois rester belle. Mais pourquoi tu dois ? Je je ne sais pas. Je dois. Toutes donnaient la même réponse comme si elles étaient programmées. Nadj chercha des informations sur Madame Ornella.
Personne ne savait d’où elle venait. Elle était apparue en même temps que le salon. Pas d’histoire, pas de passé. Juste là, soudainement, un soir, Nadj attendit que le salon ferme. Elle vit Madame Ornel sortir vers 22h. Elle la suivit discrètement. Madame Ornel marcha jusqu’à une rue isolée. Elle entra dans une vieille maison délabrée.
Nadj s’approcha, se cacha derrière un mur. Par la fenêtre entrouverte, elle vit Madame Ornel allumer des bougies rouges. Elle disposa des objets sur une table, des photos, des mèches de cheveux, des objets personnels. Elle commença à chanter. pas en français, dans une langue étrange que Nadj ne reconnaissait pas.
Puis elle vit quelque chose qui la glaça, une ombre, une forme sombre qui apparut dans la pièce, une silhouette sans visage. Madame Ornel s’agenouilla devant elle. Maître, j’ai nourri votre faim. 37 âmes ce mois-ci. Donnez-moi plus de pouvoir, plus de beauté, plus de richesse. La silhouette fit un geste.
Des objets apparurent, des bijoux, de l’argent, des lingots d’or. Continuez à m’apporter des âmes et je vous donnerai tout ce que vous désirez. La voix était inhumaine, grave, raisonnante, terrifiante. Nadèj recula le cœur battant. Elle avait compris. Madame Ornel volait les âmes de ses clientes en échange de richesse et de pouvoir.
Elle rentra chez elle en courant. Elle devait faire quelque chose, mais quoi ? Qui la croirait ? Le lendemain, elle alla voir un marabou réputé du quartier. Elle lui raconta tout. Le vieil homme hoa gravement la tête. Cette femme a fait un pact avec un démon. Elle lui offre des âmes humaines. En échange, elle reçoit beauté, richesse et pouvoir.
Les femmes qui vont dans son salon sont ensorcelées. Elles prend leur essence vitale progressivement. Elles deviennent des coquilles vides. Comment on l’arrête ? Il faut briser le pacte, détruire l’objet qui lie démon à ce monde. Dans ce genre de rituel, il y a toujours un objet, un miroir, un peigne, quelque chose qu’elle utilise dans le salon. Trouve-le, détruis-le.
Le lien sera brisé et les femmes, elles guériront. Si le pacte est brisé à temp, oui, leurs âmes leur reviendront. Mais si tu attends trop, elles seront perdues à jamais. Nadj savait ce qu’elle devait faire. Elle devait entrer dans le salon, trouver cet objet, le détruire. Le mercredi suivant, Nadj prit son courage à demain.
Elle entra dans le Divine Beauty. “Bienvenue !” dit madame Ornel avec son sourire froid. “Première fois ici ? Oui, j’ai entendu tellement de bien. Vous ne serez pas déçu. Asseyez-vous.” Nadj s’assit dans le fauteuil. Une employée commença à préparer ses cheveux. Madame Ornel circulait dans le salon, observant. Nadj regarda autour d’elle, cherchant l’objet.
Il y avait tellement de miroirs. Lequel était le bon ? Détendez-vous, dit l’employé, vous allez être transformé. Elle commença à appliquer un produit sur les cheveux de Nadj. Une odeur étrange, doucâtre, et queurante. Nadj sentit sa tête tourner. Qu’est-ce que Qu’est-ce que c’est ? Juste notre produit spécial. Respirez profondément. Nadj ferma les yeux.
Elle devait résister. Elle se concentra, mordit l’intérieur de sa joue pour rester alerte. Elle rouvrit les yeux et là, elle le vit dans le fond du salon, un grand miroir ancien différent des autres. Son cadre était t orné de symboles étranges et dans le reflet, elle vit quelque chose que personne d’autre ne semblait voir.
Des ombres, des dizaines d’ombres derrière chaque femme assise dans le salon. Des ombres qui arrachaient quelque chose de lumineux de leur corps, leurs âmes. Nadje et toutfon cri. Madame Ornel se tourna vers elle. Leur regards se croisèrent dans le miroir et madame Ornéla suut. Elle su que Nadj voyait. Vous dit-elle lentement.
Vous êtes différente. Nadj se leva d’un bon. Ne me touchez pas. Les autres femmes dans le salon se tournèrent vers elle. Leurs yeux vides, leurs visages sans expression. Attrapez-la, ordonna calmement madame Ornella. Les femmes se levèrent comme des zombies. Elles avancèrent vers Nadèj. Nadj courut vers le fond du salon, vers le miroir ancien.
Elle saisit un tabouret et le lança de toutes ses forces. Le miroir explosa en mil morceaux. Un hurlement déchirant emplit le salon. Pas humain, c’était l’entité démoniaque. Les ombres dans la pièce devinrent visibles pour tous. Elles tourbillonnèrent, crièrent puis furent aspiré par les débris du miroir avant de disparaître.
Madame Ornel poussa un cri. Son visage commença à changer, à se fanner, à vieillir. Sa peau se rida. Ses cheveux blanchirent, tombèrent. En quelques secondes, elle devint une vieille femme décrépite. Non ! Qu’est-ce que tu as fait ? Les femmes dans le salon clignaient des yeux, confuses. Où ? Où suis-je ? Dit l’une. Qu’est-ce qui s’est passé ? Dit une autre. Elles reprenèrent conscience.
Leurs âmes leur revenaient. Madame Ornela, maintenant une vieille femme horrible, essaya de fuir, mais elle s’effondra. Son corps se décomposa littéralement. En quelques instants, il ne resta plus qu’un tas de poussières et des vêtements vides. Le chaos éclata dans le salon. Les femmes criaient, pleurit, ne comprenaient pas ce qui s’était passé.
Nadj essaya de les calmer. C’est fini, vous êtes libre. Le sortilège est brisé. Un sortilège ? Quoi ? Nadj leur expliqua. Au début, elle ne voulèent pas croire, mais progressivement les souvenirs leur revenaient. les sensations étranges, la perte de contrôle, le vide intérieur. “Je me souviens”, murmura Claris. “Je me souviens avoir senti quelque chose me quitter, mais je ne pouvais pas résister.
Je devais revenir ici encore et encore. Ben tout pleurait. J’ai négligé mes enfants, mon mari, mon travail, tout juste pour venir ici me faire coiffer. Qu’est-ce qui m’a pris ? Ce n’était pas votre faute”, dit Nadje. Vous étiez ensorcelé. La police arriva alertée par le bruit. Nadj leur expliqua tout. Au début, ils étaient sceptiques, mais quand ils virent la poussière là où madame Ornel s’était décomposé, quand ils entendirent les témoignages de dizaines de femmes racontant la même histoire, ils durent accepter la vérité.
Le salon fut fermé, scellé puis démoli quelques semaines plus tard. Les jours suivants furent difficiles pour toutes les femmes qui avaient fréquenté le Divine Beauty. Elles devaient réapprendre à vivre. Certaines avaient perdu des mois de leur vie. Certaines avaient négligé leur famille, leur travail, leur santé.
Claris vint voir Nadège une semaine plus tard. Elle avait les cheveux courts, mal coiffé, pas du tout parfait. Mais son regard était vivant, son sourire était sincère. “Merci”, dit-elle en serrant Nadèche dans ses bras. “Tu m’as sauvé la vie. Tu nous as toutes sauvé. Je n’ai fait que suivre mon instinct. Ton instinct t’a dit de ne jamais entrer dans ce salon.
Tu as écouté. Nous, on n’a pas écouté nos instincts. On a été aveuglé par le désir d’être belle. Bintou aussi revint à la normale. Elle retrouva sa joie de vivre, sa personnalité. “Je préfère être moi-même avec des cheveux ordinaires que d’être une poupée magnifique mais vide”, dit-elle.
Adjois s’excusa auprès de sa famille pour les avoir négligé. Elle pleura beaucoup, horrifiée par son comportement pendant ses mois. Mais toutes guérir progressivement, le cauchemar était terminé. 6 mois plus tard, le quartier avait retrouvé sa normalité. Le terrain où se trouvait le Divine Beauty resta vide. Personne ne voulait y construire quoi que ce soit.
Nadj passait parfois devant. Elle repensait à tout ce qui s’était passé, comment une simple coiffeuse avait failli détruire des dizaines de vies. Un jour, alors qu’elle faisait ses courses, elle vit une affiche. Un nouveau salon de beauté allait ouvrir dans un autre quartier. Beauty paradise. Des résultats miraculeux garantis, prix imbattable.
Elle arracha l’affiche et alla directement à l’adresse indiquée. Elle frappa à la porte. Une femme ouvrit. Oui, vous allez ouvrir un salon ici ? Oui, dans deux semaines. Pourquoi ? Nadje la regarda droit dans les yeux. Si vous faites ce que je pense que vous faites, si vous utilisez des méthodes surnaturelles pour attirer des clientes, je vous trouverai et je vous arrêterai.
La femme palie. Je je ne vois pas de quoi vous parlez. Vous voyez très bien. Annulez l’ouverture. Partez, sinon vous aurez affaire à moi. La femme claqua la porte. Deux jours plus tard, le bâtiment était vide. La femme était partie. Le salon n’ouvrit jamais. Nadèj sourit. Elle était devenue la protectrice du quartier.
Celle qui veillait, celle qui empêchait le mal de s’installer et elle continuerait toujours. La beauté a un prix, mais certains prix sont trop élevés. Quand quelque chose semble trop beau pour être vrai, c’est souvent parce que ça l’est. Les résultats miraculeux, les prises imbattables, les transformations spectaculaires cachent souvent des méthodes douteuses, parfois même dangereuse. Écoutez votre instinct.
Si quelque chose vous met mal à l’aise, il y a une raison. La vraie beauté vient de l’intérieur, de votre personnalité, de votre joie de vivre. Une coiffure parfaite ne vaut rien si vous perdez votre âme en échange. Et méfiez-vous des nouveaux commerces qui apparaissent du jour au lendemain sans histoire, sans passé.
Posez des questions, restez vigilants. Merci d’avoir suivi cette histoire. Si elle vous a interpellé, abonnez-vous et dites-moi de quel pays vous me suivez. À très bientôt pour une nouvelle histoire. Yeah.
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