Les 8 pires pratiques d’hygiène des femmes de la royauté au Moyen Âge.
Imaginez traverser les salles dorées de l’un des palais les plus luxueux du monde. Lustres étincelants, tapisseries de soie, marbre brillants, tout est conçu pour impressionner. Mais si vous pouviez respirer profondément, vous sentiriez une odeur si forte qu’elle ferait fanner les fleurs à distance. Bienvenue dans la vie des femmes de la royauté du 17e siècle où le glamour extrême cachait des habitudes d’hygiène choquantes.
Entre robes lourdes, bijoux étincel et maquillage impeccables, ces femmes suivaient des routines qui nous paraissent aujourd’hui incroyables. Rarebin, cuisine infestée de parasites, perruques lourdes pleines de parasites et même accouchement public. Dans cette vidéo, nous allons révéler les huit pires pratiques d’hygiène des femmes royales, montrant que derrière l’éclat et la sophistication se cachait souffrance, inconfort et risque constant de maladie.
Préparez-vous, l’histoire de la royauté est bien plus humaine et beaucoup plus dégoûtante que vous ne l’imaginez. À la cour française du 17e siècle, l’idée de prendre un bain quotidien, voire hebdomadaire était presque impensable. Les médecins et conseillers pensaient que l’eau chaude était dangereuse. Elle ouvrait les ports et permettait aux maladies invisibles d’envahir le corps.

L’église condamnait également les bains fréquents, les associant à la vanité et à la tentation. Le résultat ? De nombreuses femmes royales passaient des mois sans prendre de bain complet. Lorsque le bain avait lieu, ce n’était pas une expérience relaxante. Les femmes partagées de grandes baignoires avec leurs proches, entrant dans une eau déjà trouble et pleine de résidus d’autres personnes.
Avant le plongeon, un linge humide imbibé d’alcool, de vinaigre ou même de salive était utilisé pour nettoyer le visage et les mains. Une mesure qui nous semblerait aujourd’hui insuffisante mais qui était considérée comme de l’hygiène à l’époque. Bien que rare, ces moments étaient accompagnés de parfums puissants, de poudre de riz et de maquillage pour masquer les odeurs.
Ainsi, le luxe et l’apparence impeccable cachaient une réalité peu confortable, des corps qui touchaient pratiquement jamais l’eau propre dans un environnement rempli de germes et d’odeur. Lorsque les bains complets étaient rares ou risqués, les femmes de la cour devaient recourir à des méthodes alternatives pour maintenir leur hygiène.
Les linges humides étaient la solution la plus courante, mais il ne s’agissait pas de simples serviett imbibé d’eau. Ils étaient souvent imprégnés d’alcool, de vinaigre ou même de salive en croyant que ces substances tuaient les germes et protégées contre les maladies. De plus, les parfums étaient essentiels. Des huiles aromatiques et des fragrances concentrées étaient appliquées sur des points stratégiques, cou poigné, voire à l’intérieur des vêtements pour masquer les odeurs corporelles inévitables.
La poudre de riz et le maquillage aidaiit également à créer l’apparence d’une peau propre et parfaite, même si le corps n’avait pas été en contact avec de l’eau depuis des semaines ou des mois. Cette pratique ne cachait pas seulement la saleté, elle devenait aussi un symbole de statue.
Plus le parfum était coûteux ou le maquillage élaboré, plus la femme semblait hygiénisée et raffinée aux yeux de la cour. Cependant, derrière cet éclat, la réalité était claire. Ces méthodes alternatives étaient des palliatifs et la santé des femmes était toujours en danger. Lorsque finalement un bain complet avait lieu, l’expérience était encore loin d’être agréable ou hygiénique.
Dans les cours royales, il était courant que les bains soient communs, partagés entre membres de la famille ou habitants du même foyer. L’ordre d’entrée avait ses règles. Les hommes entraient généralement en premier, puis les femmes suivaient dans une eau déjà trouble et remplie de résidus. De plus, le nombre limité de baignoirs et la difficulté de chauffer de grandes quantités d’eau faisaient que les bains étaient rares et improvisés.

Souvent, un même récipient était utilisé par plusieurs personnes à la suite, rendant impossible un véritable nettoyage du corps. Pour compléter, des linges humides et des parfums étaient utilisés pour tenter de masquer la saleté et les odeurs. Malgré l’apparence de luxe et de sophistication, la vérité était que le corps restait exposé aux germes, aux odeurs et aux maladies.
Ce contraste entre apparence et réalité montre que même dans les cours les plus opulentes d’Europe, hygiène et santé n’allaient pas toujours de pair. Malgré le luxe des palais, les installations sanitaires adéquates étaient pratiquement inexistantes. Au palais de Versailles, par exemple, il y avait des centaines de pièces et des milliers de personnes mais peu de toilettes fonctionnelles.
Pour se soulager, la noblesse dépendait de pot de chambre, de petits récipients placés sous les lits ou derrière des rideaux. Une fois rempli, ils étaient souvent simplement vidés par la fenêtre au risque de toucher des passants dans la rue ou dans les jardins. Il n’y avait pas le papier toilette. Les gens utilisaient des morceaux de tissu, des feuilles, de la paille ou même leurs mains et le lavage ultérieur était minimal ou inexistant.
Cette routine précaire favorisait la prolifération de parasites et de malabis. Les couloirs et escaliers pouvaient devenir de véritables dépôts de déchets et un décret royal ordonnait le nettoyage seulement une fois par semaine, considéré comme un grand progrès. Même pour les femmes royales, marcher dans les salons nécessitait de la prudence.
Relever des robes lourdes n’était pas seulement élégant, mais aussi nécessaire pour éviter le contact avec la saleté répandue sur le sol. Luxe et apparence ne signifiaent donc ni confort ni hygiène. À la cour française, la mode dictait également des standard extrême pour les cheveux. Les femmes nobles portaient des perruques et des coiffures pouvant dépasser 1 m de hauteur, horné de rubans, de perles et même de petites répliques de navire.
Pour maintenir ces structures, on utilisait des fils de fer, des crains de cheval et des rembourages en laine ou en coton. Ainsi que des pommades à base de graisse animale, notamment du suivre de bœuf pour modeler et fixer les coiffures. Malgré leur apparence impressionnante, ces perruques et coiffures étaient un terrain idéal pour les pou.
Avec des bains rares et peu d’hygiène, les infestations étaient pratiquement inévitables. Des outils spécifiques, comme des petites fourchettes longues en argent, était utilisé discrètement pour retirer les parasites sans abîmer l’offre d’art capillaire. Le poids excessif pouvait provoquer des douleurs chroniques au cou et le risque d’accident comme des incendies causés par des bougies étaient réels.
Pourtant, aucune femme de la cour n’osait se passer de sa coiffure. Dans cet environnement, l’apparence était synonyme de pouvoir et le luxe coûtait non seulement du confort, mais aussi de la santé. Même avec tout le luxe de la cour, l’époux était une compagnie constante pour les femmes de la royauté. Avec des bains rares et des perruques remplies de graisses animales, ces petits parasites trouvaient un environnement idéal pour se proliférer.
Avoir des pou n’était pas considérés comme honteux. En réalité, c’était presque inévitable et faisait partie de la vie quotidienne de la noblesse. Pour gérer la situation sans compromettre leur apparence, les femmes utilisaient des outils délicats et spécifiques comme de petites fourchettes en argent pour retirer les poues discrètement.
Ces instruments étaient souvent emportés lors de dîner ou de réunion sociales permettant des ajustements rapides sans attirer l’attention. Le problème ne se limitait pas à l’inconfort. Démangeaisons constantes, irritations cutanées et même infection secondaires étaient fréquentes. Malgré cela, abandonner la mode ou la coiffure n’était pas une option car l’apparence dictait le statut et le pouvoir à la cour.
Ainsi, luxe, style et souffrance coexistait de manière surprenante, montrant à quel point la vanité royale avait un prix élevé, littéralement sur la peau et la santé. Bien que les banquets de la royauté semblaient parfait, la réalité en coulisse était bien différente. Les cuisines des palais, même dans des lieux luxueux comme Versailles, étaient souvent sujet à la contamination et aux infestations.
Le système des goûts précaires faisait parfois que de l’eau sale et des déchets atteignaient ou pénétrent même dans les zones de préparation des aliments. Les viandes et les volailles étaient stockées sans réfrigération adéquate. Les fruits et légumes pouvaient rester exposés pendant des jours et les rats ou insectes circulaient librement dans les couloirs de la cuisine.
Même les chefs les plus habiles ne pouvaient éviter le risque de contamination, ce qui causait fréquemment des intoxications alimentaires, des diarrées et des infestations de verre chez les courtisans. Marie-Antoinette, par exemple, a été confrontée à des situations où la proximité des égouts avec les cuisines affectait directement la sécurité de ses repas.
Malgré le luxe apparent, chaque repas était un équilibre délicat entre ostentation et danger, montrant que beauté et abondance ne signifiaent pas hygiène ni santé. Pour les femmes de la cour, cela ajoutait un défi quotidien supplémentaire à l’effort déjà épuisant de maintenir une apparence impeccable. Pour les femmes de la royauté, accoucher était bien plus qu’un moment intime.
C’était un événement public. Lorsqu’une reine ou une noble entrait en travail, médecin, prêtres, courtisans et même des visiteurs pouvaient être présents, tout cela pour surveiller et enregistrer la naissance. La raison n’était pas seulement la curiosité. Il existait la crainte que les bébés soient échangés ou que l’enfant naisse mort, surtout s’il n’était pas de sexe masculin.
Cette exposition extrême transformer l’un des moments les plus vulnérables de la vie en un véritable spectacle d’observation plaçant la mer sous un stress physique et émotionnel intense. De plus, la médecine de l’époque était limitée. Les instruments étaient rarement stérilisés et les pratiques d’hygiène étaient précaires, augmentant le risque d’infection, de complication et même de décès maternels.
Le résultat était brutal. Un enfant sur tro ne survivait pas jusqu’à l’âge de 3 ans et de nombreuses mères affrontaient des risques graves lors de l’accouchement. Même parmi les femmes les plus puissantes d’Europe, luxe et statue ne protégeaient ni de la douleur, ni de la maladie, ni du danger. Derrière les robes luxueuses, les bijoux scintillants et les salons majestueux, la vie des femmes de la royauté était bien plus dure et inconfortable qu’il n’y paraît.
Bain rares, perruques ourdes infestées de pou, cuisines insalubres, sanitaires improvisés et accouchements publics révèlent un quotidien rempli de souffrance, de risques pour la santé et de défis invisibles. Le luxe ne protégeait ni de la saleté, ni de l’inconfort, ni de la douleur. Et l’image parfaite que les cours maintenaient n’était souvent qu’une apparence.
Ces détails montrent que l’histoire de la royauté est humaine, complexe et parfois choquante. En explorant ces vérités, nous comprenons mieux le contraste entre pouvoir, statut et réalité. Si vous avez trouvé ce voyage dans l’hygiène royale fascinant, laissez un like, abonnez-vous à la chaîne et activez la cloche pour ne pas manquer d’autres vidéos sur les secrets et curiosités de l’histoire.
et dans les commentaires, dites-nous quelle de ces pratiques vous a le plus choqué.
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