L’Homme Qu’Elle Avait Épousé… N’Était Pas Humain

L’homme qu’elle avait épousé n’était pas humain. Bienvenue dans French African Folktal. Nadine avait 20 ans. Elle vivait à Lomé au Togo. Une fille simple, belle, pleine de rêve. Un jour, sur les réseaux sociaux, elle a rencontré un homme. Lui disait qu’il avait 30 ans. Il habitait en Espagne.

 Au début, c’était juste des messages puis des appels vidéos. Chaque soir, il se parlait, il riait, il s’envoyait des cœurs. Petit à petit, l’homme a commencé à envoyer de l’argent, pas des petites sommes, des montants qui faisaient tourner la tête. Dans la maison de Nadine, c’était la joie parce que sa famille n’était pas riche.

 Sa maman se battait juste pour nourrir les enfants. Alors quand Nadine arrivait avec de l’argent, la maman souriait. Elle disait “Ma fille, tu as trouvé un vrai mari ? Tiens-le bien.” Et Nadine croyait vraiment qu’elle avait trouvé l’amour de sa vie. Avec le temps, leur relation devenait sérieuse. Nadine était convaincu d’avoir trouvé son futur mari.

 Un jour, l’homme lui a dit “Ma chérie, je ne veux plus perdre de temps. Je vais venir au Togo pour t’épouser.” Il a commencé à envoyer encore plus d’argent. Il lui a dit de trouver un appartement à Lomé pour qu’il puisse y loger à son arrivée. Nadine a trouvé un bel appart à Beaapota. Elle a payé la réservation avec l’argent qu’il avait envoyé.

 Dans sa tête, c’était déjà clair. Bientôt, elle allait se marier avec un homme de l’étranger. Bientôt, elle allait partir en Espagne. Sa maman, elle était encore plus excitée. Ma fille, tiens-toi bien, c’est la chance de ta vie. Nadine souriait. Elle se sentait déjà comme une femme bénie. Le jour de l’arrivée, Nadine s’était habillée comme une reine.

 Elle était partie à l’aéroport international Gnassing B et Yadema de Lomé, impatiente de voir enfin son futur mari. Sur la route, elle n’arrêtait pas de sourire. Dans sa tête, elle se disait : “Aujourd’hui, ma vie change.” Arrivée à l’aéroport, elle regardait partout, mais elle ne voyait pas le monsieur. Alors, elle prend son téléphone et l’appelle.

Je suis ici à l’aéroport. Ton avion a déjà atterri, mais je ne te vois pas. Tu es où ? L’homme lui répond calmement. Regarde bien, l’homme en chemise bleue, là-bas, c’est moi. Nadine a levé la tête. Son cœur s’est arrêté. Ce n’était pas un homme de 30 ans. Non, c’était un vieux papa.

 Il avait presque le double de l’âge qui lui avait dit. Elle est restée figée. Elle a juste murmuré. Mais ce n’est pas possible. Le vieux a souri. Il a ouvert les bras. Ma chérie, viens. C’est bien moi. Nadine avait envie de courir mais au fond de sa tête, elle entendait la voix de sa maman. C’est la chance de ta vie. Accroche-toi.

 Quand Nadine est rentrée de l’aéroport, elle était bouleversée. Elle est allée voir sa maman. presque en larme. “Maman, regarde, cet homme m’a menti.” En vidéo, il paraissait jeune, mais en vrai, c’est un vieux papa. “J’ai honte, maman !” Mais la maman n’a pas regardé le mensonge. Elle a regardé l’argent. Elle lui a dit calmement : “Ma fille, écoute-moi bien.

 Un vieux riche vaut mieux qu’un jeune pauvre. Ces hommes savent garder leurs femmes. Ne regarde pas son âge, regarde son niveau. Si tu tiens, demain, tu seras en Espagne et là-bas, tu vas appeler tes frères. Tu vas aider toute la famille. Nadine secoua la tête. Elle ne voulait pas. Elle se sentait piégée. Mais quelques jours plus tard, l’homme est revenu.

 Il lui a donné 8000 dollars cash. Juste comme ça. Nadine a regardé l’argent. Elle a pensé à ses frères, à sa mère qui se battait et elle s’est dit dans son cœur : “Je vais fermer les yeux, je vais continuer.” À partir de ce jour-là, elle a décidé de rester avec ce vieil homme malgré elle. Quelques jours après, le vieil homme a appelé Nadine.

 “Ce samedi, je viens chez tes parents pour prédoter.” La nouvelle a enflammé la maison. La maman de Nadine sautait presque de joie. Ma fille, regarde comme Dieu fait les choses. Prépare-toi bien. Ta vie est en train de changer. Le samedi est arrivé. Le vieux est venu avec des valises d’argent, des boissons, tout ce qu’il fallait pour respecter la coutume.

 La famille a accepté sans réfléchir. Les chants, les danses, les applaudissements. Tout le monde disait que Nadine avait de la chance. Mais quand la fête a pris fin, le vieux s’est approché d’elle. Il a parlé calmement mais ses mots étaient lourds. Ma chérie, on s’est beaucoup amusé en vidéo. Aujourd’hui, j’ai payé ta famille, maintenant je veux consommer.

 Nadine a eu un choc. Elle n’était pas prête. Mais dans sa tête, une voix répétait : “Tu as pris son argent, tu n’as plus le choix.” Ce soir-là, Nadine a cédé. Elle est allée dans le lit de ce vieil homme. Après cette nuit avec le vieil homme, Nadine est rentrée chez elle. Elle était fatiguée mais surtout troublée.

 Elle avait honte, elle ne disait rien. Quelques heures plus tard, en allant aux toilettes, elle a senti une brûlure étrange quand elle a uriné. Elle a serré les dents. Elle s’est dit “Ce n’est rien. Sûrement une petite infection.” Le lendemain, la douleur a empiré. Elle est allée à la pharmacie. Elle a acheté des antibiotiques pour se soigner toute seule.

 Mais ça n’a rien qu’elle faisait pipi, il y avait des sécrétions bizarres. Pas normal, comme des petits morceaux de métal rouillé. Elle les touchait avec ses doigts et ça s’écrasait comme de la poussière. Nadine était confuse, mais qu’est-ce qui m’arrive ? Elle pensait que c’était une infection passagère, mais au fond, c’était le début du cauchemar.

 Malgré les douleurs, malgré les sécrétions étranges, Nadine continuait d’avancer. Le vieil homme avait donné encore plus d’argent. Avec ça, la famille a organisé un grand mariage coutumier à Lomé. Ce jour-là, la maison était pleine, la musique tournait, les habits étaient beaux. Nadine portait son pagne comme une vraie mariée.

 Tout le quartier regardait. On disait “Cette fille a trouvé la chance de sa vie. Son mari est venu d’Espagne exprès pour elle.” Les gens félicitaient la famille. La maman souriait fière devant tout le monde. Mais Nadine, derrière son sourire cachait sa douleur. Elle sentait que quelque chose clochait en elle. Pendant que tout le monde dansait, elle s’est isolée un instant.

 Elle a serré son ventre. Seigneur, qu’est-ce qui m’arrive ? Mais elle n’avait pas le choix. Le mariage devait continuer. Elle a pris sur elle. Elle est sortie encore plus souriante. Personne ne pouvait deviner que la mariée ce jour-là commençait déjà à se détruire de l’intérieur. Après le mariage coutumier, tout le monde pensait que Nadine vivait son rêve.

 Le vieux lui disait, “Le mariage religieux, on va le faire en Espagne. Prépare-toi, je vais lancer ton visa.” Mais pendant ce temps, son corps la lâchait. Chaque jour, les douleurs augmentaient. Chaque fois qu’elle allait aux toilettes, elle criait presque. Les sécrétions devenaient pire, l’odeur insupportable. La nuit, elle ne dormait plus.

 Elle se tordait dans son lit en silence pour ne pas alerter sa famille. Elle se confiait seulement à sa petite sœur. J’ai peur. Je sens que quelque chose est en train de me tuer de l’intérieur. Sa sœur la regardait sans savoir quoi dire parce que malgré les bijoux, malgré les habits, malgré les promesses d’Espagne, Nadine était en train de dépérir à vue d’œil.

 Quelques jours seulement après son mariage coutumier, Nadine n’en pouvait plus. Son corps était faible. Elle ne mangeait plus, elle ne dormait plus. Les douleurs étaient insupportables. Ses sécrétions étranges avaient empiré. Même ses proches commençaient à sentir que quelque chose n’allait pas. Après son mariage coutumier, Nadine est allée habiter directement dans l’appartement que le vieux avait loué pour eux à Lomé.

Elle se disait que ce n’était qu’une étape avant de partir. Chaque jour, elle préparait ses valises. Elle passait aussi voir sa famille pour leur dire “Bientôt, je pars.” Elle parlait déjà comme une femme qui avait un pied en Espagne, mais la famille, il y avait quelque chose de louche parce que jusque-là, aucun dossier de visa n’avait été déposé, aucun papier n’avait bougé.

Et pourtant, le vieux répétait avec assurance, “Ma chérie, dans une semaine, on voyage.” Nadine, naïve, croyait à tout. Elle répétait à ses proches : “Ne vous inquiétez pas, dans quelques jours, je pars.” Elle ne savait pas qu’en réalité, elle ne quitterait jamais le Togo.

 Après le mariage coutumier, Nadine passait souvent chez ses parents. Elle voulait profiter des derniers moments avec eux avant son départ. Un soir, autour du repas, un de ses frères lui a lancé : “Ma sœur, tu parles de voyage tous les jours, mais le visa alors ? Comment ça se fait qu’on ne voit rien ?” Nadine a sourit pour calmer les choses.

Mon mari m’a dit que tout est réglé. Dans une semaine, on part. Son frère a secoué la tête. Non, attends. Tu crois qu’un visa pour l’Espagne sort comme un ticket de bus ? pas possible. Je ne comprends pas. Les autres dans la maison ont commencé à douter aussi. Nadine gêné à coupé court. Laissez vos histoires.

Dans quelques jours, vous verrez par vous-même. Elle voulait croire à son rêve mais sa famille, elle commençait à flairer le danger. Pendant que tout le monde parlait de voyage, le vrai problème était ailleurs, la santé de Nadine. Depuis un moment, elle ressentait des démangeaisons insupportables en bas.

 Ça brûlait, ça grattait jour et nuit. Elle était obligée de se frotter au point d’utiliser une brosse à dents pour se gratter à l’intérieur. C’était devenu incontrôlable. Les poils de sa partie intime tombaient avec la chair. Sa peau s’arrachait. C’était horrible. Nadine en parlait souvent à sa petite sœur qui était sa confidente.

 Ma petite, je ne comprends pas ce qui se passe. Ça me gratte, ça me brûle, ça me détruit. Je n’arrive même plus à couper mes poiles tellement la chair se décolle. La sœur la regardait choquée, sans savoir quoi répondre. Nadine se disait peut-être que c’était la sorcellerie de sa famille, peut-être un mauvais sort.

 Mais en vérité, c’était beaucoup plus grave que ça. 3 jours avant la date du voyage, le vieux a appelé Nadine. Il lui a remis une grosse enveloppe remplie d’argent. Il lui a dit calmement, “Va déposer ça chez tes parents, c’est pour eux. Prépare-toi bien parce que dans 3 jours, on part pour l’Espagne.” Nadine a pris l’enveloppe et l’a laissé chez sa maman.

 Mais dans son cœur, elle n’était pas tranquille. Ses démangeaisons étaient devenues insupportables. Elle n’arrivait plus à s’asseoir correctement. Ce jour-là, elle a dit à sa sœur : “Moi, je vais voir un médecin. Je n’en peux plus. Si ce n’est pas ma famille qui m’attaque, alors je dois savoir ce que j’ai.” Elle est partie directement à l’hôpital.

 Quand les médecins l’ont examiné, ils ont été choqués. Ils lui ont dit : “Ma sœur, tu ne peux pas repartir comme ça. Ton cas est trop grave. Si on te laisse rentrer, tu risques de mourir. C’est là que Nadine a compris. Quelque chose clochait vraiment. À l’hôpital, les médecins ont dit clairement à Nadine : “Ton cas est trop critique, on ne peut pas te laisser rentrer.

 Si tu veux sortir, il faut signer une décharge. Mais sache qu’en route, tu peux mourir.” Nadine était sous le choc. Elle pensait à son départ prévu pour l’Espagne. 3 jours plus tard. Elle pleurait et répétait : “Mais docteur, je dois voyager le 14. Mon mari m’attend, mon visa est prêt.” Les médecins la regardaient impuissant. Ils ont mis Nadine directement en observation.

 Pendant ce temps, elle a pris son téléphone et a appelé sa petite sœur. La voix tremblante, elle a dit “Ma petite, viens vite, je suis à l’hôpital. Mon cas est grave.” La petite sœur a couru. Quand elle est arrivée et qu’elle a vu Nadine branché, souffrante, elle a compris que ce n’était pas une simple infection. C’était quelque chose de beaucoup plus sombre.

 À l’hôpital, l’état de Nadine empirait. Elle transpirait, elle se tordait de douleur. Entre deux respirations, elle répétait toujours la même chose. Appelez mon mari, appelez-le vite. La maman a pris son téléphone. Elle a composé le numéro. Ça sonnait. Pas de réponse. La petite sœur a essayé à son tour. Même chose, pas de réponse. Nadine pleurait.

 Elle criait : “Maman, appelle-le encore. C’est lui qui doit venir me chercher. C’est lui qui m’emmène en Espagne.” Mais chaque fois, le téléphone sonnait dans le vide. Et puis, à un moment, plus rien. Le portable du vieux s’était éteint. Dans la chambre d’hôpital, le silence était lourd. La maman et la petite sœur se regardaient paniqué.

 Nadine, elle, commençait à comprendre que quelque chose n’allait pas. que son mari avait disparu. Voyant que le mari ne répondait plus, la petite sœur de Nadine a pris la décision de courir jusqu’à l’appartement. Elle voulait le trouver, le ramener de force à l’hôpital. Arrivé sur place, elle a demandé au gardien : “S’il vous plaît, je cherche mon beau-frère. Ma sœur habite ici avec lui.

Il faut que je lui parle. Elle est entre la vie et la mort.” Les gardiens l’ont regardé, surpris. L’un d’eux a répondu : “Ma fille, ta sœur vit ici seule. Le jour où elle est arrivée, elle avait seulement ses valises. Depuis, aucun homme n’est jamais venu s’installer avec elle. La petite sœur a cru mal entendre.

Ce n’est pas possible, commence à seul. Tous ces jours, elle disait qu’elle vivait ici avec son mari. Le gardien a insisté : “On travaille ici depuis le début. On voit qui entre, qui sort. Ta sœur n’a jamais été avec un homme. Jamais. La petite sœur est restée bouchebé. C’était comme si le sol s’ouvrait sous ses pieds.

 Elle a compris que quelque chose d’inexplicable entourait toute cette histoire. À l’hôpital, l’état de Nadine empirait chaque heure. Elle se tordait sur son lit, les jambes crispées, les yeux ouverts grand. Soudain, elle a commencé à parler d’une voix tremblante. Maman, ils sont là, ils veulent m’emmener. Sa mère s’est approchée, elle a pris sa main. Ma fille, calme-toi.

 Qui sail ? Nadine pleurait. Elle répétait : “Moi, je ne veux pas partir avec eux. Je voulais aller en Espagne, maman. Moi, je voulais voir l’Europe. Je voulais voyager, pas comme ça. Puis d’un coup, ses yeux se sont éteints. Elle criait : “Maman, je ne vois plus. Je suis devenue aveugle. Je ne vois plus rien.

” Sa sœur et sa maman pleuraient à côté d’elle. Nadine serrait leurs mains comme si sa vie en dépendait. Dans la chambre, les médecins étaient impuissants. Ils savaient qu’elle était en train de basculer. Nadine n’en pouvait plus. Elle se débattait sur son lit. Sa respiration était sacadée. Elle serrait la main de sa maman de toutes ses forces, comme si elle avait peur d’être arrachée.

 Elle criait : “Maman, ils ont mes valises, ils veulent m’amener. Moi, je voulais aller en Espagne. Maman, sauve-moi.” Ses yeux s’étaient déjà fermés à la lumière. Elle ne voyait plus rien. Elle répétait : “Je suis devenue aveugle. Maman, je ne vois plus.” Sa petite sœur pleurait accrochée à son autre main.

 La maman en larme lui disait : “Ma fille, tiens bon. Jésus est là, tiens bon.” Mais quelques instants plus tard, Nadine a poussé un dernier cri, a serré la main de sa mère très fort, puis son corps s’est relâché. “Silence !” Nadine venait de rendre l’âme. Son voyage, ce n’était pas l’Espagne, c’était l’éternité. Après la mort de Nadine, la famille a décidé d’aller récupérer ses affaires dans l’appartement où elle vivait avec son mari.

Mais quand ils sont arrivés, choc, il n’y avait rien, pas de trace d’un homme, seulement les valises et les vêtements de Nadine. Sur le lit, ils ont trouvé une petite boîte comme celle où on range les mouchoirs dans les voitures. À l’intérieur, il y avait une photo passeport de Nadine avec son nom écrit en grand.

 C’était comme si son voyage avait été scellé depuis longtemps. Quelques jours plus tard, pendant le deuil, les photographes sont venus apporter les photos du mariage coutumier. Mais sur toutes les images, il manquait quelqu’un. Le mari n’apparaissait pas. Sur certaines photos, on voyait Nadine sourire, tendre la main, mais elle tenait le vide.

 Sur d’autres, elle faisait des bisous, mais c’était dans l’air comme si elle avait célébré seule. Même les vidéastes ont dit qu’ils ne comprenaient pas. Devant leur caméras, il y avait bien un homme. Mais sur les image, rien. Les amis, cette histoire a glacé tout le quartier. Cet homme-là n’avait jamais existé.

Voilà comment Nadine a perdu sa vie. Elle pensait voyager, elle pensait commencer une nouvelle vie en Espagne, mais son voyage c’était la mort. Aujourd’hui, ouvre les yeux. Le dehors est plein de pièges. Les promesses sur internet ne sont pas toujours réelles. Ne vend pas ta vie pour de l’argent facile.

 Partage cette histoire, commente en bas. Et toi, dis-moi, tu aurais fait quoi à la place de Nadine ?