Mon oncle a maudit le sang de notre lignée..
Mon oncle a maudit le sang de notre lignée. Les histoires de Fludive. Dans le quartier upé de la ville, Fiona regardait fixement l’entrée. Personne ne parlait, personne ne pleurait et pourtant son fils n’était pas rentré. “Sébastien”, murmura-t-elle, la voix cassée. “Tu crois vraiment qu’il a été enlevé ?” L’homme, debout face à la baie vitrée, ne répondit pas tout de suite.
Il n’avait rien d’un père bouleversé. On vit dans un pays de fou Fion”, finit-il par dire. “les enlèvements, c’est chaque jour maintenant. Ce n’est pas nouveau. Mais il n’y a pas eu de demande de rançon, aucune trace, lança Fiona. Et et ce matin, je voulais entrer dans la pièce du fond. Tu l’as fermé à clé.
Il se retourna brusquement. Tu poses beaucoup de questions, Fiona. Elle fit un pas en arrière. Ce regard froid, calme mais menaçant. C’est notre fils Sébastien. Il avait 10 ans. Tu veux que je fasse quoi ? attendre comme si de rien n’était. Sébastien répondit : “Tu veux que les médias s’emmêlent ? Que les journaux viennent fouiller chez moi ? Tu sais qui je suis, Fiona ? Tu sais ce que je représente ?” Elle baissa les yeux.

“Oui, elle savait. Il avait été policier, puis préfet puis député. Et aujourd’hui, son nom faisait trembler jusqu’aux gendarmes eux-mêmes. Même à l’église, on le faisait asseoir devant. Mais ce soir-là, quelque chose dans ses yeux lui fit froid dans le dos. Et cette pièce ? Insista-t-elle. Pourquoi est-elle toujours fermée depuis depuis la nuit de la disparition ? Il s’approcha lentement d’elle.
Ne m’oblige pas à perdre patience, Fiona. Elle sentit son souffle s’étrangler. Tu veux vraiment entrer dans une pièce que Dieu lui-même a oublié ? Un silence s’abattit. Fiona debout tremblait. Il la dépassa sans maudir, monta les escaliers, laissant une peur grandissante. Elle s’effondra sur le canapé.
Son fils était-il seulement encore vivant ? Pire était-il mort dans cette maison ? Le lendemain, elle avait attendu que la maison soit vide. Sébastien était parti depuis l’aube. Réunion avec des chefs, disait-il. Il avait claqué la porte sans un mot. Comme d’habitude. Fiona, elle n’avait pas dormi de la nuit et cette pièce, cette pièce l’appelait.
Elle descendit lentement, tenant son trousseau de clé voler la veille. Devant la porte grise, elle hésita. Seigneur”, murmura-telle, “fa fait que je me trompe.” Mais la serrure céda sans résistance. Elle poussa. Une odeur de sang séché. Au sol, des traces sombres, un cercle et au centre, une hache. Posée comme un trophée. Fiona tomba à genou.
“Non, non, mon dieu, pas ça.” Mais le cri resta dans sa gorge. “Et soudain, tu n’aurais jamais dû entrer ici.” Elle se retourna. Sébastien, il était là, l’ombre dans l’embrasure. Tu m’as dit que tu avais une réunion. Elle a été annulée. Il s’approcha. Fiona recula d’un pas tremblant, mais il referma la porte derrière lui.
Qu’est-ce que tu as fait, Sébastien ? Qu’est-ce que tu as fait à notre fils ? Il ne répondit pas. Il leva la main. Elle hurla mais trop tard. Le coup partit. Violent, elle s’écroula contre le mur. Le sang coulait de sa lèvre. Il se pencha vers elle. Tu veux vraiment savoir, hein ? Ce que j’ai fait, ce que j’ai dû faire ? Elle pleurait. Il se redressa.
Tu oublieras cette pièce. Tu oublieras ce que tu as vu. Sinon, la prochaine fois, ce ne sera pas un simple coup. Puis il ressortit, refermant la porte à double tour. Dans l’obscurité de cette pièce, Fiona resta là, allongé, le regard fixé sur la hache jusqu’à ce que Sébastien revienne pour la faire sortir.
Après ce jour-là, Fiona n’essaya plus d’ouvrir la pièce, pas parce qu’elle avait oublié. Non, mais parce que la peur, elle avait planté ses griffes. Sébastien ne l’avait plus jamais frappé depuis, mais son silence était plus tranchant qu’un couteau. C’est à cette période que les visites commencèrent. Ils arrivaient à des heures étranges, parfois tard dans la nuit, parfois à l’aube, parfois même quand Sébastien n’était pas là.
Des hommes jamais les mêmes, vêtus de longues tuniques. Certains portaient des capuches, d’autres des bonnets rouges, mais tous entraient sans frapper. La première fois, Fiona avait couru ouvrir la porte, mais elle s’était figée. “Qui êtes-vous ?” demanda-t-elle la voix mal assurée.
Un homme à la peau claire, au crâne rasé, lui lança un regard sec. “Nous attendons le chef. Il n’est pas là, nous savons.” Et ils entrèrent comme chez eux. Ils se dirigèrent vers le salon. L’un d’eux à la même jusqu’à sa chambre. Elle tenta de le suivre. Il claqua la porte. Le lendemain, elle voulut demander des explications à Sébastien.
Qui sont ces hommes ? Pourquoi viennent-ils ? Pourquoi entretent-ils dans notre chambre ? Il tourna la tête vers elle. Ce ne sont pas tes affaires, Fiona, mais ce sont des étrangers. Ils font partie de mon cercle. Ce que tu vois ne te regarde pas. Ils avaient les clés. Même moi, je n’ai pas la clé de certaines pièces. Mais eux, il ils vont partout.
Il se leva sans un mot. Fiona resta seule une nouvelle fois. Mais cette nuit-là, elle n’était pas seule dans la maison. Elle s’était réveillé vers troish, un champ comme une incantation. Elle sortit doucement du lit. En bas, dans le couloir, une lueur rouge filtrait sous la porte. Elle s’en approcha puis tendit l’oreille.
Que le sacrifice parle encore. Que la richesse reste. Elle fit un pas en arrière. Elle entendit un coup sec, une chaise renversée. Elle courut à l’étage, se cacha dans la salle de bain et pleura en silence. Le lendemain matin, la maison était vide, comme si rien ne s’était passé. Fiona comprit alors elle n’était plus chez elle.
La maison appartenait désormais à autre chose des années plus tard. Il s’appelait Honoré. C’était l’ancien gardien de la maison, un homme discret mais fidèle. Il avait servi Sébastien pendant plus de 10 ans jusqu’à ce qu’un jour, sans prévenir, il soit renvoyé. Pas d’explication. C’est lui qui a appelé Ellie le neveu de Sébastien.
Peut-être parce qu’il posait trop de questions ou peut-être parce que Honoré sentait que dans cette famille pleine de silence, Ellie était le seul à encore chercher la vérité. Ce qui expliquait pourquoi Ellie s’entendait très bien avec Fiona, sa tante. Sa voix au téléphone était à peine audible. Il faut qu’on parle mais pas au téléphone.
Ils se sont vu derrière un vieil entrepôt. L’un de ceux qu’cle Sébastien avait racheté l’année suivant la disparition de son fils. Un endroit abandonné, mangé par les herbes et les souvenirs pourris. Honoré tremblait. Ses yeux ne cessaient de balayer l’horizon. “Ce que je vais te dire peut me tuer ?” Ellie ? Ellie ne répondit pas. Il attendait.
Et Honoré finit par lâcher dans un souffle. Ton oncle ? Il a tué son fils. Le silence soudain est devenu une cloche lourde dans la tête d’e. Quoi honoré hocha lentement la tête. Je l’ai vu cette nuit-là. Il était rentré tard et il tenait une grande hache noire. Ses habits, ils étaient couverts de sang. Ellie, il marchait lentement comme s’il était déjà ailleurs. Et il chantait.
Un chant que je n’avais jamais entendu. Figea. Tu l’as vu enterrer le corps, honorer secoui la tête. pas le corps, seulement la tête. J’ai bien vu le visage. C’est son fils. Il est allé jusqu’au vieux manguier derrière la maison. Il a creusé et il a enterré quelque chose dans un tissu rouge. Je l’ai vu poser ses mains sur la terre comme s’il parlait à quelqu’un.
Puis il est rentré. Honoré s’essuya le front. Le lendemain matin, un conteneur est arrivé. On m’a demandé de l’aide pour décharger. Il disait que c’était des gadgets venus de Chine. Ensuite, tout s’est enchaîné. l’argent, les entrepôts, les voitures, le respect. Honoré fixait Ellie.
Mais cette terre, Ellie, elle n’a jamais accepté ce qu’il y a dessous. La nuit, j’entendais des grattements, des pleurs étouffées, des chuchottements et un soir, j’ai vu l’enfant. Ellie le regarda le souffle coupé. Quel enfant ? Celui qui l’a tué. Honoré posa une main sur son torse. Je jure devant Dieu. Il était là, immobile mais sans tête.
Il se tenait juste au bord du jardin avec le même habit qu’il portait le jour de sa disparition. Il ne bougeait pas mais on sentait qu’il regardait. Honoré se leva prête à partir. Mais avant de s’éloigner, il lui chuchota : “Fais-les creuser, Ellie, parce que tant que ce crâne restera là, rien ne vivra dans cette famille.” Et il partit.
Elliee n’en a parlé à personne. Lui-même n’arrivait pas encore à digérer ce qu’il venait d’apprendre. En quittant de là, il a marché seul pendant des heures. Son cœur battait trop fort, comme si son propre sang voulait l’étrangler de l’intérieur. Il ne pouvait pas dire ce qu’il venait d’apprendre à sa tante Fiona.

Elle ne la croirait pas ou elle irait confronter son mari. Et tout le monde sait de quoi Sébastien est capable. Dans la famille d’Élie, on ne parle pas, on ne pose pas de questions. Sébastien était un monument. Même les policiers lui serraient la main en baissant les yeux. Il entrait dans certains endroits comme un chef d’état. On l’appelait le parrain, le grand frère, le chef. Il parlait peu.
Mais quand il parlait, tout le monde écoutait. Mais ça c’était avant. Avant que ses yeux ne se perdent, avant que ses nuits ne deviennent plus longues que le jour. Tout a commencé doucement. Il parlait seul. Il riait sans raison. Il avait des sursaus étranges en pleine réunion. “Tu es là, hein ?” disait-il soudain.
“Je sais que tu es là, petit voyou.” Personne ne comprenait à qui il s’adressait. Certains disaient c’est le stress, c’est l’âge mais Fiona savait. Et Ellie commençait à comprendre. Un matin, les domestiques n’était plus là. Congédier, avait dit Fiona. Il ne veut plus personne autour de lui. On l’attachait désormais à sa chaise préférée, celle du salon.
Une chaise en bois foncé, sculptée qu’il appelait le trône. Il s’échappe la nuit, avait expliqué sa femme. Il parle avec des gens qui n’existent pas. Il voit des choses, il fait peur. Un jour Ellie lui a rendu visite. Il était là, assis, les bras attachés avec des corde fines. Il le vit et son regarda. Il le fixa longtemps puis il murmura.
Tu les entends toi aussi, pas vrai ? Qui tonton ? Il sourit et ferma les yeux. Tonton, de quoi parles-tu ? Il ouvrit soudain les yeux, furieux. Tu crois que c’est moi qui ai voulu tout ça ? Tu crois que j’ai choisi ça ? Moi, je voulais juste réussir, juste un peu de chance. Et ils m’ont dit : “Donne ce que tu aimes le plus.” Ellie ne comprenait pas.
Et tu l’as fait ? Il se mit à rire. Je l’ai fait et regarde-moi maintenant. Même la mort ne veut plus de moi. Même les ombres me crachent dessus. Au même moment, Fiona arriva. Il faut que tu partes, Ellie. Il raconte que des bêtises. Avant qu’Ellie ne parte, son oncle Sébastien cria derrière lui : “Je ne suis pas un monstre.
J’ai juste ouvert une porte que je ne pouvais plus refermer. Et derrière lui, Fiona pleurait en silence. Le roi était devenu un prisonnier et sa propre maison, une tombe vivante. Ellie a essayé de parler, de dire ce qu’il avait appris. Il a réuni cousins dans le grand salon de l’ancien duplexe de son oncle. Et si je vous disais que ce qui nous arrive, c’est lié au passé, à l’enfant disparu, ils l’ont regardé.
Certains ont ri nerveusement, d’autres ont détourné le regard. Ellie, tu as bu quoi ? Tu es devenu mystique maintenant ? J’ai juste vu ce que vous refusez tous de regarder. Ellie s’est levé et a crié presque. Regardez autour de vous, combien d’enfants dans cette famille sont nés malades ? Combien ? Je ne parle pas de grippe ou de fièvre.
Je parle de vrais handicap, de souffrances, d’enfants qui ne parlent pas, qui ne marchent pas sans explication. Et vous voulez encore me dire que ce n’est qu’un hasard ? Un silence lourd a rempli la pièce. Puis quelqu’un a dit doucement, “Mais l’argent de notre oncle Éie nous a nourri. Il a bâti cette maison et bien d’autres.
” Oui, et ce que vous ne voyez pas, c’est qu’il nous nourrit avec un prix. Un prix qu’on continue de payer génération après génération, répliqua Ellie. Mais personne n’a répondu. Le lendemain, plusieurs ont bloqué Ellie sur WhatsApp. Certains ont fait comme s’ils ne l’avaient jamais vu ce soir-là. C’est là qu’Ellie comprit. Dans cette famille, la vérité est un poison.
Et Ellie était devenue toxique. Mais les preuves sont là. Tout a commencé avec les enfants. Ellie en a deux. Deux garçons. Les deux sont nés avec un handicap. Aucun ne parle. L’un d’eux a des crises chaque nuit. Les médecins disent que c’est neurologique mais ce que Ellie voit c’est autre chose. Et il n’est pas seul.
La cousine d’Ellie, sa fille est née avec une déficience mentale. Son demi-frère, son fils est né avec une malformation. Et ce n’était pas tout. Il y a d’autres enfants qui sont dans cette même état. Ils ont fouillé dans leur arbre généalogique. Leurs anciens étaient solides. Aucun historique de malformation, pas de trouble, pas de malédiction.
Jusqu’à cette génération, celle d’après l’acte. Depuis que le sang de l’innocent a touché cette terre, leur ventre donne des enfants pleins d’ombre. Mais les autres, eux, vivent bien, ceux qui ont gardé les entreprises. Les biens, personne ne fait le lien. Personne ne veut creuser le jardin et Ellie est seule avec cette vérité.
Après ce jour-là, Fiona avait appelé quelques membres de la famille, même deux policiers. Elle avait dit simplement, “Il veut parler.” Le trône de Sébastien était au centre comme toujours. Il était là, attaché. Un des policiers s’éclaircit la gorge. “Monsieur Sébastien, vous vouliez nous voir ?” Il releva lentement la tête et sa voix raisonna dans toute la pièce.
Je l’ai fait. Personne ne comprit sur le moment. Je l’ai fait. J’ai tué mon propre fils. Fiona étouffa un cri. Une tente s’écroula. Les policiers se figèrent mais lui continuait. Je l’ai fait avec mes propres mains. J’ai utilisé une hache. Il m’a regardé. Il m’a même appelé papa avant que je frappe. Un murmure d’horreur parcourut la pièce.
Je n’ai pris que la tête. C’est ce qu’ils ont demandé. Le reste, on l’a jeté dans la rivière. Ensuite, ils ont dit : “Ofrela et tu verras ce que tu deviendras. J’ai offert.” Et ils ont accepté. Il sourit. Vous avez tous mangé de mon argent. Vous vivez dans mes maisons. Mais aucun de vous n’a jamais osé me demander ce que j’ai payé pour bâtir cet empire. Il se pencha en avant.
Je ne suis pas un ritualiste par choix. C’était une erreur. Je voulais juste percer, juste entrer dans leur club, le cercle du golf. Ils m’ont tendu la main. J’ai serré et ensuite j’ai tranché. Les policiers échangèrent un regard. Puis l’un de dit “Monsieur Sébastien, sans preuve, tout cela n’est qu’un délire.
” “Allez creuser derrière le manguier !” rugit Sébastien. “Mais les policiers ha ossèrent les épaules. “Nous ne sommes pas là pour écouter des fous. Vous êtes malade, monsieur. Votre femme a dit que vous déliriez. On ne va pas remuer la terre pour un vieillard halluciné.” Ils sortirent.
Un des oncles s’approcha furieux. “Tais-toi Sébastien, tu veux nous détruire, c’est ça ?” Mais Sébastien regardait le plafond comme s’il voyait autre chose. Fiona s’approcha d’Éllie et lui chuchota. Ellie, le sol derrière, l’endroit dont il parle, il avait été fouillé. Ellie resta boucheb. Tu es sûr ? Elle hoa lentement la tête. Quelqu’un est venu.
Quelqu’un a déterré ce qu’il dit avoir enterré, dit Fiona. Ellie profita de cette occasion pour raconter à sa tante ce que l’ancien gardien lui avait dit. Fiona resta là, figé, sans un mot. Ce soir-là, Ellie ne dormit pas parce qu’au fond, il savait, même si on avait retiré ce qu’il avait mis dans la terre, le sang, lui était resté et le sol lui aussi se souvenait.
Quelques jours après la confession, Sébastien fixait le vide, les yeux toujours ouverts, comme s’il attendait quelque chose. Fiona disait qu’il chuchotait des noms dans son sommeil, des noms qui n’étaient pas de cette maison, des noms que personne ne reconnaissait. Et puis un matin, il est mort.
Juste comme ça, le corps raide sur sa chaise, le regard figé dans la direction du jardin. On enterra son corps avec honneur. Oui. Les discours furent beaux, les témoignages nombreux. Quelques jours après l’enterrement, Ellie était retournée dans la maison de son oncle avec son père. Le vieux manguier était toujours là. Il s’est accroupi au sol et a creusé.
La terre était molle. Quelqu’un était déjà passé par là. Il creusait plus profondément, espérant trouver un tissu, un os, n’importe quoi. Mais il n’y avait rien, rien que de la terre noire. Ils l’ont enlevé, dit-il à son père. Ce dernier hocha la tête sans parler. Depuis la mort de Sébastien, on aurait cru que la paix allait revenir, que la vérité, une fois dite, libérerait leur ligné.
Mais c’était l’inverse. Et pourtant, la famille continue de sourire. Il continue de vivre dans ses maisons, d’utiliser ses voitures, de toucher les dividendes de ses entrepôts. Un jour, Ellie a discuté avec l’un de ses cousins. On ne peut pas renier tout ce qu’il a construit Ellie. Il nous a laissé un empire.
Un empire bâti sur le sang de son propre fils répliqua Ellie. Mais son cousin ne l’écoutait plus. Et chaque fois que quelqu’un dans la famille tente de monter un projet en dehors de l’héritage de Sébastien, tout s’effondre. Ellie a essayé plusieurs fois. Les comptes se bloquent, les clients disparaissent, les partenaires tombent malades.
C’est comme si une main invisible effçait tout ce qui ne vient pas de l’argent du sacrifice. Même ceux qui se convertissent, qui prient, qui jeûent finissent par revenir, par dépendre, par retomber dans ce cercle empoisonné. Et le plus terrible dans tout ça, c’est qu’ils s’y habitu. Oui, ils apprennent à vivre avec l’ombre. Ils font des réunions de famille.
Il rit autour du barbecue pendant que des cris nocturnes déchirent les couloirs. Il célèbre les profits pendant que les générations futures porte les chaînes. Ce n’est plus un secret, c’est une prison dorée, mais ils ne veulent pas entendre. Ils disent qu’Ellie est aigri, qu’il veut tout salir et qu’il a l’esprit faible. Alors, il se tait.
Deux semaines passées, un matin, Fiona appela Ellie paniqué. Ellie, le jardin, il y a quelque chose. Ellie accourut et entra dans la cour. Fiona était à ses côtés. Le manguier est là, mais la terre elle était ventrée. Une main, non, une chose en forme de main a remuer la terre durant la nuit. Il n’a pas plu et pourtant la boue est fraîche.
Et au centre, un trou profond comme une mâchoire ouverte. Et dans ce trou, le crâne. Oui, celui-là même, celui qu’on croyait disparu. Il était revenu, mais ce n’était pas un simple haos blanchi, il était noir et deux petits coquillages rouges étaient posés à l’endroit des yeux. Il les regardait. Fiona s’est évanoui et Élie était resté figée.
Un vent s’est levé alors qu’il faisait sec et lourd depuis des jours et il a entendu : “Vous m’avez enterré mais je n’étais pas mort.” Lorsqu’un homme sacrifie l’innocence pour atteindre la grandeur, il condamne les générations futures à porter le poids de sa faute. On peut bâtir un empire avec du sang, mais jamais y trouver la paix.
Le mal qu’on enfuit dans le sol ne disparaît pas. Il attend. Et tôt ou tard, il revient frapper à la porte des descendants. Car tout héritage maudit finit par rattraper ceux qui refusent de regarder la vérité en face. Merci d’avoir suivi cette histoire. N’oublie pas de laisser un j’aime et de t’abonner.
À la prochaine pour une nouvelle histoire.
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