Le samedi 6 décembre 2025, le spectacle d’Ary Abittan aux Folies Bergères a été brutalement interrompu en pleine représentation par un groupe de militantes féministes du collectif Nous Toutes. Ces militantes ont envahi l’avant de la salle, scandant des slogans comme “Ary Abittan, violeur !” tout en brandissant des pancartes et des masques sur lesquels figurait la mention “violeur”, en référence à l’accusation portée contre l’humoriste en 2021. Leur action, filmée et largement relayée par Le Média, a suscité une vive polémique, d’autant plus que la représentation était en cours dans un contexte déjà délicat, tant pour l’artiste que pour une partie du public.
Ce genre d’interruption n’est pas inédit, mais il s’inscrit cette fois-ci dans un contexte judiciaire particulièrement complexe. Ary Abittan, qui avait été accusé de viol en 2021 par une jeune femme de 23 ans, avait fait l’objet d’une enquête avant que la justice ne prononce un non-lieu en avril 2024. Ce non-lieu, qui a mis fin aux poursuites judiciaires, a été confirmé en appel au début de l’année 2025. Cependant, l’affaire, qui a marqué l’opinion publique, n’a pas cessé de diviser, et certains collectifs féministes continuent de contester la réintégration médiatique et professionnelle d’Ary Abittan, estimant que son retour sur scène reste problématique, même après la décision de la justice.

L’incident aux Folies Bergères a interrompu un spectacle qui marquait le grand retour de l’humoriste après plusieurs années d’absence. En effet, après avoir été soumis à un contrôle judiciaire et suspendu de la scène en raison de l’enquête pour viol, Ary Abittan a présenté son nouveau spectacle intitulé Authentique en 2025. Ce spectacle a été programmé dans plusieurs lieux prestigieux, dont les Folies Bergères, symbolisant son retour après une longue période de silence. Mais ce retour, loin d’être apaisant, a ravivé les tensions et les critiques à son égard.
Les militantes féministes qui ont mené l’action se sont exprimées sur les raisons de leur intervention. Nous Toutes a rappelé que « un non-lieu n’est pas un acquittement, c’est simplement la fin des poursuites ». Elles refusent de voir Ary Abittan réintégrer la scène, estimant que sa présence publique après une accusation aussi grave n’était pas acceptable. Le groupe a souligné que ce n’était pas un acquittement, et qu’il fallait continuer à dénoncer des violences sexuelles même après une décision judiciaire, surtout lorsque des voix se sont élevées pour affirmer qu’une partie de l’opinion publique reste sceptique sur la gestion de cette affaire.
Ce n’est pas la première fois que des militantes féministes s’opposent à la carrière d’Ary Abittan. En mai 2024, un autre incident avait eu lieu à Tours, où des activistes avaient perturbé un spectacle de l’humoriste en taguant la façade du lieu et en exprimant leur mécontentement. Ces actions en séries montrent qu’il existe encore un climat tendu autour de la réintégration d’Ary Abittan dans le milieu médiatique, malgré la décision judiciaire. Le contexte de ce samedi 6 décembre en a été un triste rappel, car l’action des militantes a pris de l’ampleur et a perturbé non seulement la représentation, mais aussi l’image de l’artiste et son retour sur scène.
La violence de l’intervention et les cris des militantes ont d’ailleurs créé une situation tendue dans la salle. Plusieurs spectateurs ont été choqués par l’intrusion et le climat de confusion qui a suivi. Les membres du public ont assisté, impuissants, à l’évacuation des militantes par la sécurité des Folies Bergères, certains témoignant de ce moment où les tensions sont montées en flèche. Selon les témoignages, les militantes auraient été insultées et traitées de manière assez agressive par une partie du public, certains lançant des mots tels que « pétasse » ou « cassez-vous » en réponse à leur action.

Pourtant, l’issue de cette perturbation semble se résumer à un simple constat : la question de la justice et des violences sexuelles reste un débat brûlant et difficile à résoudre, même lorsque la justice a tranché. Le retour d’Ary Abittan sur scène a réveillé des rancœurs et des débats passionnés sur la question du pardon et de la réhabilitation publique des accusés de violences sexuelles. Les actions menées par les militantes féministes montrent bien que, pour une partie de l’opinion, l’absence de condamnation judiciaire ne signifie pas forcément un pardon public. Au contraire, elles rappellent l’importance de continuer à lutter contre les violences sexistes et sexuelles.
En somme, l’incident du 6 décembre aux Folies Bergères est un exemple frappant de la persistance des tensions entre la réintégration médiatique d’un homme accusé de viol et la nécessité de continuer à lutter contre les violences faites aux femmes. Malgré le non-lieu prononcé par la justice, la scène reste un terrain de débats et de contestations qui révèlent les fractures profondes de la société sur ces questions.
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